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 |  Sujet: Concours 79 : Si... Lun 25 Fév - 17:59 | |
| Combien de fois dans la vie on ne revient sur une situation quelconque qui a mal tourné...ou qui n'a pas eu exactement le résultat attendu alors on se dit: "Si j'avais dit...si j'avais fait..."
Un si petit mot qui change pour un moment la réalité..."Si le Titanic n'avait pas rencontré cet iceberg...on n'aurait pas eu un si beau film"..."Si le 11 Septembre n'avait pas eu lieu...le monde serait différent"
Laissez vous entrainer pour un moment par la magie du "SI", jouez avec l'infinité de possibilités offertes. Écrivez vos histoires, amusantes ou tristes en commençant par ce petit "Si"...
Concours de RP, plus de vingt lignes sont à souhaiter...si vous voulez en faire plus...bienvenus!
Le gagnant aura droit à 1.000.000 points pour la Coupe des Maisons et 500 gallions.
Toute participation sera récompensée par 150.000 points pour la Coupe et 50 gallions!
À vos claviers...pas question de vous dire..."Si j'avais participé...j'aurais pu gagner!"
Durée du concours: Samedi 1er Mars , 21:00 h.
Bonne participation et bonne chance à tous!
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Mar 26 Fév - 3:23 | |
| Voilà ma participation. Attention, rigolade garantie !!! - Spoiler:
Extrait du journal intime d'Audrey Phillips,
Si seulement j'avais écouter ma grande soeur ! Elle m'avait prévenue ! Tu verras, m'a-t'elle dit, les Serpentards sont de vrai cauchemars !
Oui mais moi, Audrey, 11ans, répartie (par erreur) à Gryffondor, j'étais un vrai cauchemars !
Dès mon arrivée à Poudlard, je me suis fait remarquée. J'ai commencé par de petits tours moldus, tel que le poil à gratter, les punaises sur la chaise,... Et puis petit à petit, j'ai découvert les blagues sorcières. Le bonheur !
Enfin ... Si j'avais su ...
Il ne passait pas une journée sans qu'on entende crier AUDREY !!!!!
Et oui, c'était moi !Ma soeur finit par abandonner et je dû me débrouiller. Pour faire des bêtises ? Pas de problème ! Enfin ... si !
Ah, ... Si j'avais su ...
Lors de notre première sortie, je suis aller visiter, seule bien sûr, la cabane hurlante. Oui mais un escalier capricieux me bloqua et je fut obliger d'accepter l'aide de la préfète qui était venue me chercher. La pauvre ... Maintenant, je la plains ! Elle a été obligée d'endurer mes caprices de petite fille.
Si elle avait su ...
A peine arrivée au château, je l'ai plantée là et je suis partie ! Mais quelques jours plus tard, je fit, encore, une mauvaise rencontre. Cette fois-ci avec Peeves.
Ah ... Si j'avais su ...
Je m'étais toujours bien entendu avec lui. On avait fait plein de blagues ensemble, oui mais ce jour-là, il n'avait personne à embêter sauf ... Moi ! En deux temps, trois mouvements, je me retrouva suspendue comme une chauve-souris et ficelée comme un saucisson !
Ah ... Si j'avais su ...
Et voilà que la personne qui me trouve ainsi et encore la même ! Mademoiselle la préfête ! Elle me libère, me sermonne et en plus m'oblige à l'accompagner à la bibliothèque !
Si elle avait su ...
Moi, dans un lieu calme ? Un désastre ! Cela ne faisait pas cinq minutes que j'étais là que des livres tombèrent tout seuls d'une étagère ! Enfin ... pas vraiment tout seuls. Je n'y peut rien s'ils mettent les meilleurs livres trop haut ! Enfin la préfête ne fut pas heureuse et l'on se quitta fâchée.
Ah ... Si j'avais su ...
Je décide donc de m'isoler en descendant dans les cachots. Mais voilà ! Impossible d'être seule ! Je fit une rencontre et elle bouleversa ma vie.
Ah ... Si j'avais su ...
Tomber amoureuse ! Je n'y croyais pas jusqu'à ce que je fasse la connaissance de ce Serpentard. Oui, un Serpentard avec une Gryffondor. Et ce n'est pas tout ! Il est en septième année et moi seulement en première !
Ah ... Si j'avais su ...
Oui, si j'avais su que l'amour pouvait changer quelqu'un, je crois que je ne l'aurais pas crue. Mais voilà, c'est ce qui m'es arrivée.
Aujourd'hui, Audrey est une jeune fille posée, disciplinée qui ne fait plus de blague douteuse car elle est amoureuse.
Si Merlin avait su, ... Tout cela n'aurait jamais exister et je n'aurais pas pu vous le raconter !
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Mar 26 Fév - 22:44 | |
| voici la mienne... pour l'instant  - Spoiler:
Si j’avais su qu’il allait pleuvoir, je ne serais pas allée pêcher. Or, ce jour-là, rien n’annonçait les bouleversements atmosphériques qui suivirent.
Je m’étais levée tôt, avais pris mon attirail et m’étais dirigée à pied vers le lac où je pêche habituellement ; il est situé à deux kilomètres de chez moi.
Tabouret installé, hameçon appâté, ligne déployée, il ne me restait plus qu’à regarder rêveusement le flotteur dériver doucement sous la brise. Il faisait très doux, le soleil se pointait déjà. Je me sentais parfaitement détendue et, comme cela m’arrive souvent dans ces circonstances, je m’endormis au bout d’un moment. Je ne m’éveillai qu’alertée par une secousse de ma canne. Je crus à la prise du siècle… Hélas, il n’en était rien. Mon hameçon s’était accroché dans des branchages qu’une méchante houle malmenait sur l’eau. De la houle ? Du vent ? Je me rendis alors compte de la couleur anormale du ciel. D’un bleu serein, il était maintenant d’un gris ardoise des plus menaçants. De sournoises rafales agitaient les flots.
Ni une ni deux, je rassemblai mon matériel. Impossible de dégager le crochet, mon canif trancha le fil nylon ; je pliai bagage en vitesse. Je tentai de piquer un sprint vers la maison. Chargée comme je l’étais… patatra, me voilà par terre. Le pantalon déchiré aux genoux révéla de profondes écorchures. Impossible de courir, j’avais trop mal. Clopinant, je tentai d’aller plus vite que les affreux nuages qui allaient crever sur ma tête. Déjà quelques gouttes tombaient, lourdes et larges. Le tonnerre grondait à présent et de beaux éclairs déchiraient le ciel tels des flashes produits par des anges ou démons qui s’amusaient à prendre ma fuite en photo.
Une trompe d’eau s’abattit brutalement sur moi, me trempant mieux qu’une soupe en un clin d’œil. Un véritable rideau de pluie me bloquait la vue. Il n’y avait aucun abri à proximité. J’étais perdue dans un champ qui se transformait en océan. Le tonnerre redoublait. La foudre approchait ! Rien de plus dangereux que de rester debout dans une étendue uniformément déserte. Je ferais un paratonnerre par trop idéal. Pas d’autre solution que de m’allonger par terre si je ne désirais pas finir en brochette carbonisée. Je vous jure, ce n’est pas drôle de se coucher dans de l’herbe détrempée avec des litres d’eau qui s’ajoutent au supplice.
Cela dura… longtemps avant qu’un retour au calme ne survienne. Lorsque je rentrai enfin chez moi, ma mère crut que j’étais tombée dans le lac. Dégoulinante, je grelottais sur le seuil en souhaitant ne pas subir d’autres foudres. Un bon bain bouillant, un bol de lait chaud, la sollicitude maternelle me ragaillardirent tout à fait.
Figurez-vous que depuis ce jour, je ne sors plus jamais sans avoir consulté la météo, bizarre, non ?
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Mar 26 Fév - 22:50 | |
| Super,les filles...continuez comme ça!  |
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Mar 26 Fév - 23:32 | |
| Je suis pas très douée en écriture alors ... En tout cas c'est pas un truc très drôle, pas du tout même - Spoiler:
Si ce jour-là n'avais pas eu lieu, tu ne serais pas mort. Oui, c'est de toi que je parle. De toi, la personne que j'ai le plus aimé en ce monde cruel. Tu m'as tant apporté... De l'amour et de l'attention. Tout ce que je demandais, tu me l'offrais. Mais lui est arrivé. S'il n'était pas venu au monde, tu serais encore là, à mes côtés... Il avait suffit d'une seconde pour que tout s'arrête... Et si je t'avais empêché d'y aller, si seulement... Mais il faut voir la vérité en face. Tu y es allé et il t'a tué. Si banal est cette histoire... Le frigo était vide, il fallait aller faire les courses. Tu t'es proposée alors que moi je souhaitais que tu restes un peu plus à mes côtés, comme si j'avais le pressentiment que cela allait mal tourner. Je n'avais pas tort pour une fois... Environ une demi-heure plus tard, tu n'étais toujours pas rentré, toi qui a l'habitude d'être si rapide dans tes achats. Une heure passe... J'étais inquiète, tu ne répondais pas à mes multiples appels... Le téléphone venait de sonner... Je me jetais dessus comme un prédateur sur sa proie et d'une voix paniquée je demandais qui était à l'autre bout du fil. C'est la police qui me répondit m'annonçant une chose que je redoutais tant. Le policier faisait son possible pour me le faire encaisser avec douceur mais rien n'y faisait, je tombais en larme sur le fauteuil, tenant avec difficulté le téléphone. Après avoir raccroché, je me jetais sur la clé de la seconde voiture. Je sortis dehors, me fichant complètement d'avoir ou non fermé à clé la porte de la maison. En deux secondes, la voiture était sur la route. Quelques minutes plus tard, j'arrivais sur les lieux et je regardais terrifiée l'étendue des dégâts. Vacillante, je me rendais auprès de l'inspecteur de police. J'apprenais que tu étais le seul à avoir été touché et je retins un cri de rage. Pourquoi toi ? Si j'avais été là, serais tu allongés sur le brancard où en train de pleurer sur mon corps endormi ? Je tombais de nouveau en larme, demandant avec difficulté à voir ton corps. Il hésitait, ne voulant pas me faire souffrir encore plus. J'insistais avec force et il céda malgré lui. Je marchais vers ce drap blanc qui recouvrait ton corps froid et sans vie. A la vue de ton visage que j'avais tant de fois embrassée, d'autres larmes perlèrent sur mes joues. 'Une balle en plein coeur...' me dit le policier à mes côtés. Il fallait qu'il tire sur quelqu'un est c'était toi qu'il avait choisi. Je ne pouvais rester plus longtemps à te regarder alors je m'éloignais. Plus loin, il y avait l'homme responsable de ta mort, dans une voiture aux couleurs de la police municipale. Je lançais un regard plein de haine à ce meurtrier sans scrupule. Il t'avait tué pour quelques malheureux euros et il n'avait même pas réussi à s'enfuir ! D'un côté, c'était mieux ainsi... Je m'avançais d'un pas décidé en sa direction et plusieurs personnes m'avaient étrangement fixés en me voyant faire ce geste. Après avoir violemment ouvert la porte de la voiture, je mis une gifle phénoménale à l'homme en face de moi. Celui-ci ne semblait pas comprendre la raison de ce geste, mais après m'avoir entendue prononcé ces mots, il rit aux éclats. 'Tu l'as tué...' Je n'avais pas pris la peine de refermer la porte et je m'étais enfuie en courant vers le parc voisin. Il y a aussi un lac là-bas, tu te souviens ? On y allait souvent tous les deux, pour pique-niquer... Je m'étais assise sur le bord du pont qui le traversait et à ce moment-là, je prie une grave décision...
Si tu n'étais pas mort, je ne me serais pas suicidée.
Voilà donc ma participation que je trouve assez bonne quand même ^^. |
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Mer 27 Fév - 0:58 | |
| C'est très beau, Elisa...et si triste! |
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Mer 27 Fév - 13:02 | |
| Ce concours a plus été un prétexte pour moi que d'offrir ces quelques vers à ma femme. J'espère que cette sincérité vous touchera également - Spoiler:
Si tu n'avais pas été là, qui serais-je devenu ? Dans l'incertitude de ma vie de jeune adulte, tu es arrivée aussi impromptu que le vent, sans que rien ne me fasse prédire un tel avenir tous les deux. Belle et légère, fervente et passionnée, tu es entré dans ma vie qui jamais alors ne fut aussi heureuse. Si tu n'avais pas été là, sans doute aurais-je continuer une futile existence. Alors que rien dans mon existence n'était fixé, alors que mon futur et mon avenir ne se dessinait que succintement devant moi, tu es arrivée avec tes convictions et ta certitude, éclairant avec ta lanterne le chemin qui se déroulait sous mes pas. Si tu n'avais pas été là, sans doute errerais-je encore sans savoir où aller. Aucun projet avant ta venue ne s'était réellement proposé à moi. J'ignorais ce que pouvais m'apporter une famille ou un travail, me convenant dans ma situation sans jamais avoir la volonté de m'émanciper et de me projeter vers l'avant. Si tu n'avais pas été là, sans doute n'aurais-je jamais trouver un travail à ma convenance. Et que dire de ce moment fantastique qu'était notre mariage. Lorsque tu avançais au milieu de l'église, tes mains enserrées autour de ce bouquet qui faisait tant d'envieuse à cet instant. Ces moments si intenses où notre famille et nos amis se sont réjouis d'un même accord autour de nous. Si tu n'avais pas été là, sans doute n'aurais-je jamais vécu un tel instant aussi intensément. La conclusion de ces quelques phrases se porte sur le fruit de notre union, cette merveilleuse petite fille que tu as mise au monde il y a quelques mois. Il n'y avait pas de plus beau cadeau que cet enfant que Dieu nous a donné. Elle est le mélange parfait de nos deux êtres, la fusion inconcevable de nos deux chairs. Elle est la conclusion que nos deux âmes ont parcourues un court instant cette terre et ce monde. Si tu n'avais pas été là, une âme n'existerait pas. Beaucoup de gens ont médient sur nous. Beaucoup de gens nous considéraient trop différents pour être ensemble, trop naïfs pour croire que notre couple marcherait, trop jeunes pour que nous nous marions, trop hâtifs pour avoir un enfant. Mais à toutes ces personnes qui n'ont jamais cru en nous, je leur demande de regarder notre parcours et le bonheur que nous avons en nous et je ne peux que leur dire que si tu n'avais pas été là, ils ne seraient pas aussi jaloux et envieux.
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Mer 27 Fév - 13:59 | |
| Voilà ma participation  Je suis vraiment désolé, mais je crois que ce texte est absolument incohérent. Les mots ne sont pas sortis dans le bon ordre  [[ Mais l'important est de participer  ]] - Spoiler:
Il y a tellement de choses à dire sur le "si" qu'il est impossible d'en explorer toutes les possibilités. Voilà, c'est dit. Au moins c'est clair et net. Si je n'avais pas peur de décevoir les gens, je ne vous préviendrez même pas ... Mais il le faut. Le Si est un espace immense constitué de fantsmagorie et de nébulosité. Lorsque l'on y réfléchit bien, le vie n'est qu'un immense Si que l'on trimballe sur son dos toute sa vie. Si le Si n'existait pas, le mal de dos serait, j'imagine, quasi inexistant. Et Si les kinés n'étaient pas là, les mal de dos serait, j'imagine, quasi habituel. Et Si cela était tout simplement une sorte d'excuse, de baume invisible que l'on se fait à soi même lorsque l'on a rater quelque chose ou que tout ne s'est pas passé exactement comme on le désirait. Le Si est comme une énorme hotte remplie de possibilités pour se tromper soi même et chercher dans le rêve ce que l'on a pas le courage d'accomplir dans la réalité. Le Si est un mot pitoyable mais Si il n'existait pas, tout serait sûrement différent. Si ... Si ... Toujours Si ... C'est tellement affligeant de voir que le Si, symbole universel de le flegmardise mondiale est présent partout, dans toutes les bouches, dans tous les textes où personne n'ose agir ?? Et Si c'était un cri du coeur que j'étais en train de pousser ? Il n'en est rien, bien evidemment ... ou peut-être que Si. Non. Si. Je ne sais pas Si le Si est un mot inventé pour qu'on l'utilise systématiquement. Sûrement ...
"Si mamaaan sii hii, si mamaan siii, Maman si tu voyais ma vie ..."
Pff ... C'est totalement déprimant n'est-il pas ??!! Si ma maman voyait ma vie, ma vraie vie, celle qui se passe dans ma tête, elle en serait sans aucun doute toute retournée. Si, je vous assure, c'est la pure et triste vérité. Sur les fesses mamounette. Mais déjà, Si tout le monde avait une maman, une maman qui sache bien sur s'occuper d'eux correctement, la vie serait peut-être plus facile ... Je ne dis pas moins difficile parceque je crois que je ne peux pas me le permettre étant donné que ma vie n'est qu'une immense routine de Si éparpillés ici et là dans les méandres de mon imagination.
Si la faim était éradiquée dans le monde, Si tout le monde s'entendait bien, Si la vie ne nous offrait pas toutes ces épreuves, Si tout le monde respectait le code de la route, Si il n'y avait pas de fous, de psychopates, de meurtriers, de différences de couleurs, de jeune, de pauvres, de bourgeois, de riches, de guerre, de conflit ... La vie serait horriblement belle et terriblement ennuyeuse.
Si la philosophie n'existait pas, je pense que le Si serait peut-être absent de notre vocabulaire actuel. Pareil si la médecine n'était pas là. Et c'est égal pour beaucoup d'autres choses. Vous avez déjà entendu parler des hypothèses ? (Mais Si, dans d'interminables cours de physique, ce doux mot vous a sûrement caresser les oreilles plus d'une fois.) Car donc, pour en revenir à notre sujet initial, le médecine et la philosophie sont en majeur partie composée de suppositions et d'hypothèses exprimées par des Si, des Si qui ont fait avancer le monde jusque là. Un monde pas toujours rose, je vous l'accorde. Le Si n'est finalement pas si moche que ça, après tout, si il permet de sauver quelques vies.
"Tout corp perrsevère dans son état de repos ou de mouvement rectiligne uniforme SI les forces qui s'exercent sur lui se compensent."
Euh... oui. C'est bien un soupçon du fameux cours de pgysique que je vous sert là, pour participer à ma soupe de n'importe quoi. Juste pour vous dire, en fait, que le Si peut aussi suggérer une situation particulière.
"Nous avons d'autres chats à fouetter"
Inadmissible. De quand date cette expression visiblement sadique. Du temps où on fouettait les chats quand il mangeait la crème de la petite bergère ? C'est tellement ridicule. Si seulement les gens pouvaient retirer cette xpression salissante de leurs bouche. C'est tellement frustrant. Et les gens, les gens, cela leurs semblent tout à fait normal car ils n'y réfléchissent pas. Et si les gens réfléchissaient, pas mal de choses futiles et tracassantes seraient brusquement résolues. Bref.
Si le jour était la nuit ... Si le soleil était la lune ... Si la terre n'était pas ronde ... Si d'infimes possibilités pouvaient se transformer en réalités ... Si ... Si le mot "si" n'existait pas ... "Avec des Si, on pourrait mettre Paris en bouteille". Oui. Mais SI la bouteille était plus grande que Paris ?? Imaginez... si l'expression était "avec des SI, on pourrait mettre une bouteille dans Paris".
Mesdames, Massieurs, à tous les utilisateurs du "SI", ne vous en privez pas car il est synonyme de rêve. Mais SI est aussi une signification seconde de "éphémère" et donc à utiliser avec modération. C'est comme l'alcool comme dirait l'autre. Et si l'alcool n'était pas de l'alcool. Si cela gardait le même goût sans vous mettre cuits ? Si seulement, d'ailleurs, les gens pouvaient arrêter de penser que l'alcool est indispensable à la survie en communauté la nuit. C'est absolument fantastique toutes les déductions que l'on peut faire avec des Si. Inimaginable.
Si les mots sortient dans le bon ordre, Si les mots sortaient ordonnés de ma tête, je pourrais écrire des choses cohérantes voulant dire quelque chose. Mais Si tout était toujours cohérant, rien ne serait plus pareil. On referait le monde avec des Si.
Si.
Non.
Si.
Non.
Siiiiiiii.
Le Si qui va avec le Non est un immense univers de manque d'argumentation. Si, je vous assure. Maintenant, pour ceux qui ont eut l'infinie patience de me lire jusqu'au bout, je vous remercie car ceci est un texte qui n'a vraiment aucun sens. Aucun.
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Mer 27 Fév - 23:08 | |
| Voilà mon texte. J'ai fais comme j'ai pu mais après avoir lu la participation des autres je me dis que je n'ai aucune chance :tft: , leurs textes sont trop beaux ! Et puis comme a dit Luna: "L'important c'est de participer !" - Spoiler:
Le mot « Si » est un petit mot, un tout petit mot… Mais il évoque les chances que l’on n’a pas eues, ou que l’on a gâchées. Personnellement avec des « si » je n’aurai pas changé le monde, juste ma petite vie. Car j’en ai faites des erreurs, oh oui.
Le premier « si » que je peux ajouter à mon histoire fut lorsque la série d’évènements qui a bouleversé ma vie commença :
Si je n’étais pas allée à cette fête, ma vie n’aurait pas changé. Mais je n’ai pas écouté la petite voix que j’avais dans la tête et qui me disait de rester chez moi, bien tranquillement. C’était une fête parmi tant d’autres, mais pourtant elle fut différente.
Si je n’avais pas croisé son regard je ne serai pas tombée amoureuse, mais je l’ai regardé. Il était si beau.
S’il n’était pas venu vers moi, s’il ne m’avait pas parlé, les choses seraient restées telles qu’elles étaient tranquilles mais aussi monotones.
S’il n’avait pas été si beau, si parfait, je n’aurai pas cédé.
Avec lui j’ai connu le monde. J’étais prête à le suivre où qu’il aille, même en enfer, si j’avais su…
Si je ne lui avais pas fais confiance, je n’aurai pas autant souffert.
Si je n’étais pas rentrée plus tôt ce jour là, je ne l’aurais pas trouvé au lit avec une autre fille. S’il ne m’avait pas trahi, je n’aurais pas fais cette bêtise.
Mais en disant tout cela, j’essaye de lui incomber une partie de la faute, je suis lâche tout simplement.
Si je ne l’avais pas tant aimé, je ne me serais pas suicidée…
Dieu seul sait comme je l’ai regretté, comme je m’en suis voulu.
Je voyais le sang s’écouler de mes poignets, et devant mes yeux défilaient les visages de ceux qui m’aimaient vraiment. Alors je me suis dit : « Ais-je le droit de faire ça ? Ais-je le droit de les faire souffrir ? »
J’ai tenté d’arrêter ce sang qui coulait à flots mais je n’ai pas pu. La vie m’a quittée, la mort m’a emportée.
C’était une erreur, une énorme erreur. Ma vie n’était pas finie, non, juste taché. Je ne l’ai pas compris.
Et lui ? Lui que j’ais tant aimé, tant détesté. Je suis sur qu’il m’a oubliée et effacée de sa vie.
Si j’avais été encore là, j’aurai vu qu’il regrettait et qu’il pleurait.
Non jamais il m’oubliera, il a ma mort sur la conscience. Mais je ne le sais pas.
Si j’étais là devant lui, il m’aurait dit qu’il m’aimait…
Si j’étais encore en vie, j’aurai su qu’en moi je portais un enfant, notre enfant, l’enfant de l’amour…
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Mer 27 Fév - 23:30 | |
| C'est un texte poignant, Gwendolyne, très beau , qui touche plus d'une triste réalité! J'oubliais de vous dire...vous pouvez participer autant de fois que vous voudrez, il n'y a pas de limite, mais pensez aussi que ça peut être aussi sur des thèmes amusants pas seulement sur des tragédies ou autres amertumes de la vie |
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Jeu 28 Fév - 17:28 | |
| Tu as lu dans mes pensées ! Je comptais justement te le demander. Voilà ma deuxième participation. Elle n'est pas forcement mieux que l'autre mais une chose est sur, c'est pas la même ambiance !  - Spoiler:
Je n’en peux plus ! Ce Si n’arrête pas de s’imposer à moi comme une évidence. Il est là, dans ma tête, à me souffler : si tu avais fais ça, si tu avais dis ça… Il veut que je fasse le bilan de mes erreurs et de ce que j’ai fais ou pas fais.
Mais non ! Je suis forte ! J’assume mes actes et pas question de revenir là-dessus.
J’aime beaucoup Princesse Sisi. Quel rapport me direz-vous avec cette histoire ? Aucun, absolument aucun, à par ce Si. Comme quoi il m’intoxique.
Il faut que je me calme, que je respire. Que je fasse des gammes, oui c’est ça des gammes de musique ! Ca m’amuse et en plus ça me détend. Attention (raclement de gorge) Do Ré Mi Fa Sol La Si, si, si, Si, SI, SI !!!!
J’en peux plus ! Je sens qu’il va me poursuivre encore longtemps. Si si je vous l’assure, je le sens bien.
Zut, j’en ai marre. Faut que je trouve une solution. Je suis sur que Marie saurait comment gérer cela. Réfléchissons, Si j’étais elle qu’est-ce que je ferai ?
Et M***e ! C’est bon j’abandonne ! Tu as gagné, tu es content ! Saleté de Si.
Bon, puisqu’il faut que je me lance autant commencer maintenant surtout que je n’ai pas fini.
Si je n’avais pas été une fille j’aurais été un garçon. Jusque là tout le monde est d’accord avec moi je suppose, non ? Le fait est que Si j’avais été un garçon cela m’aurais évité bien des embrouilles.
Si je n’avais pas porté une jupe ce jour là (c’est un jour très lointain que j’essaye d’oublier), les garçons n’auraient pas eu la bonne idée de s’amuser à la soulever. Vous pouvez penser que cela n’a rien d’extraordinaire et qu’il se passe des choses bien pires. Malheureusement ce jour là je portais une culotte avec des nounours et des p’tits cœurs. La honte !
Si je n’avais pas avoué au garçon pour qui j’avais le béguin que je l’aimais, je n’aurais pas été déçue. En effet, le lendemain il sortait avec une de mes amies. Je crois qu’il a eu peur…
Si au lieu de m’amuser sur mon ordi j’avais fais mes devoirs je n‘aurais pas récolté un zéro. Zéro qui donna un prétexte à mes parents pour me punir pendant deux semaines, d’ordi bien sur.
Si je n’avais pas voulu craner je ne me serai pas aventurée sur des rochers en plein milieu d’un lac dans les Pyrénées, et je ne serai pas tomber dedans alors que l’eau ne faisait même pas 5°C !
Si j’avais mieux dormis la nuit au lieu de lire, je ne me serai pas endormis en classe et je n’aurais pas appelé le prof’ maman. Je me souviens encore des heures de colle.
Si je n’avais pas tué mon frère je ne serai pas… Ah non zut ! Je confonds mes rêves et la réalité. Oubliez ce que je viens de dire. Je sais je suis sadique !
Si je ne m’étais pas amusé à jouer au tennis chez moi, je n’aurai pas détruit la fenêtre du voisin. Ca fait mal les fessées.
Si je ne m’étais pas inscrite sur ce site, c’est sur que je ne serai pas en train de dire des choses aussi bêtes !
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Jeu 28 Fév - 22:31 | |
| Si j’avais su qu’entrer chez les louveteaux changerait ma vie, peut-être aurais-je reculé. Quoique… Voici ce qui m’est réellement arrivé, il y a des années. C'est peut-être incroyable, mais vrai. - Spoiler:
Je faisais partie de la sizaine des loups bleus dont le cri de guerre était « Joyeux » ; on avait aussi les loups gris « souris » et les loups noirs « loyal » On se marrait bien, nous avions entre 9 et 11 ans, filles et garçons mêlés. Vint le camp d’été. Pour moi une aventure toute neuve que de partir 10 jours sans mes parents.
Nous avons piqué les tentes dans un pré à Dourbes en juillet et il faisait très beau. La première nuit fut un peu étrange mais le grand feu de camp où l’on avait chanté tout notre répertoire de chansons scouts nous avait assez fatiguées pour dormir comme des anges… jusqu’au passage de notre cheftaine. Après, avec les lampes de poche sous les couvertures, nous avons encore échangé maintes blagues délirantes.
Au matin, les corvées s’organisaient. Quelques filles allaient à la ferme proche y prendre le lait, beurre, pain et œufs tandis que d’autres allumaient le feu ou cherchaient l’eau à la source. Il fallait aussi participer au petit déjeuner en beurrant des tonnes de tranches de pain, etc.
Le plus gai c’était l’après-midi : les jeux !
Le premier jour nous n’en fîmes pas, question d’organiser correctement le campement.
Dès le second, ce fut amusant… Jeu de piste classique à chercher des indices selon le code préétabli ( flèches, messages, etc) Les 3 équipes devaient retrouver un « trésor ». Si elles se croisaient à un point stratégique, elles devaient s’affronter à la prise au foulard. Vous ne savez pas ce que c’est ? L’uniforme des scouts se compose en autre d’un foulard et d’un ceinturon. Pour la prise au foulard, vous devez l’accrocher à l’arrière du ceinturon puis, sur un pied, tenter de vous emparer de celui de votre adversaire.
C’est ce qui nous arriva en croisant les loups noirs. Misère, ils étaient costauds ceux-là. On forma les duos ; j’héritai d’une véritable force de la nature. Elle avait 11 ans, comme moi, mais me dépassait d’une tête et d’un volume conséquent. David et Goliath, quoi !
Ah pour sautiller, je l’ai fait, L’autre me donnait de ces coups de buttoir dans les épaules… je vous dis pas. Mais je résistais. Plus fine et agile, je crus en ma chance. Je lançai ma main vers le foulard que j’empoignai lorsqu’une douleur incroyable se déclencha. Nos genoux s’étaient rencontrés très brutalement ! Je boulai par terre avec mon trophée ainsi que des cris d’orfraie. J’avais gagné l’affrontement et… un transport d’urgence à la tente-infirmerie. Ce n’était plus un genou mais… quelque chose d’énorme, bleuté, qui faisait un mal de chien.
« Epanchement de synovie » dit l’infirmière.
La seule Sydonie que je connaissais était celle de Bob et Bobette ( BD belge)… je ne compris rien sauf que j’eus droit à un bandage et des comprimés.
Deux jours plus tard, je souffrais moins. On m’autorisa à participer au parcours du combattant. Il fallait réaliser toute une série de petites épreuves tel lancés de balle dans carré de ficelles ( j’ai tout raté), jeter des anneaux sur un piquet ( pire) course à quatre pattes… Alors là… Faire faire ça à une fille comme moi… Dans l’air frais et la rosée du matin… ( chant de patrouille) quel billet de parterre j’ai pris. Je ne sais pas comment j’ai fait mon compte mais j’ai dérapé. C’est pas ma faute, ça glissait ! Mon bras s’est retrouvé sous mon corps qui s’est écrasé dessus. Retour à l’infirmerie avec foulure du poignet.
Les dirigeantes commencèrent à me regarder de travers, je me demande pourquoi.
Un nouveau grand jeu se profila. Il occuperait toute la journée.
Nous partîmes lestés de sacs emplis de provisions, chaque sizaine séparément avec sa monitrice. On devait se regrouper en un lieu précis pour midi. On m’avait donné la boussole... curieuse idée ! Nous tournâmes gentiment en rond avant d’arriver au point de ralliement avec une grosse heure de retard. Nous fûmes accueillies par des huées car tout le monde avait faim, et c’est nous qui portions la viande.
En désespoir de cause, ils s’étaient rabattu sur le pain et les salades en attendant le plat de résistance. Nous, nous n’avions rien eu à nous mettre sous la dent. Nous supportâmes les quolibets en présentant les raviers contenant la bidoche… crue. Encore fallait-il la cuire.
Les deux autres équipes avaient allumé un bon feu mais… pas de casseroles, pas de fourchettes… Tous se regardaient avec des mines de chien battu. J’ai haussé les épaules, sorti mon canif et m’en fus effeuiller une branche que je ramenai pour la transformer en brochette en piquant la viande. D’abord sidérés, ils m’imitèrent dans un bel enthousiasme, ce qui fit remonter un peu ma cote de popularité.
Que nous étions empotés ! Certains cramèrent leur viande, les uns virent les morceaux glisser à la queue leu leu dans les braises, d’autres en eurent marre d’attendre et mangèrent cru. Heureusement les pommes de terre emballées dans l’alu avaient eu le temps de cuire pendant notre ronde déboussolée. Et ce fut le repli général. La cheftaine nous ramena par le chemin des écoliers… Mal lui en prit. Une rivière coupait notre route. Deux moyens de traverser : à pied ou sur un beau tronc d’arbre couché entre les berges.
Allez ! Tout le monde sur le tronc !
* Elle est folle ! Moi, là-dessus ? Jamais !*
Je préfère ôter mes chaussures. Il n’y a que trente centimètres d’eau.
Non, Grisham ! Vous seriez capable de tomber dans un trou. On vous connaît ! D’ailleurs nous passerons les dernières et je vous tiendrai. Pas de discussion !
Soupir… Je laissai les autres s’aventurer à petits pas d’un côté à l’autre. Tout se passa bien. Vint mon tour. La monitrice devant moi me tenait la main gauche, surveillant chacun de mes mouvements. Nous progressâmes tels des escargots dociles mais… Mon lacet se défit et, cela ne rata pas, je marchai dessus. Déséquilibrée je partis en avant. La traction de ma cheftaine me fit pivoter sur le tronc. Je me retrouvai dos à la rivière.
Tenez bon, Grisham je vous tiens.
Elle attrapa mon autre main. Pour m’agripper, je tirai très fort. Ce fut un magnifique plongeon arrière dans lequel j’entraînai la jeune femme qui m’atterrit dessus. PLOOUUUF ! Nous voilà au bouillon. La monitrice n’était que trempée, moi… en plus, mon coude avait durement rencontré les cailloux du fond : un énorme hématome se développa. Je gardai le bras en écharpe plusieurs jours.
Je vous passerai les détails de l’épisode de la pomme de pin qui s’écrasa sur mon front et me valut deux points de suture, ainsi que celui de la corde de l’arc qui me lacéra le visage.
Le dernier soir, nous fîmes une grande veillée. J’avais des pansements un peu partout ce qui donna à un de mes copains l’idée d’un surnom. Depuis ce temps-là, ils ne m’appelèrent plus que… la momie ! Allez savoir pourquoi ?
N’empêche que sans ces incidents, tout aurait été différent.
C’est par ses erreurs que l’on apprend, aussi, les dures réalités et surtout comment s’en tirer. Je suis encore tombée, évidemment ! Mais aujourd’hui, je vous jure, je suis très, très prudente !
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Jeu 28 Fév - 23:15 | |
| Je voulais savoir, si l'on fait deux textes, est-ce qu'on aura 2 fois la récompense pour la participation ? :arrow: |
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Bloody Girl
Kiara Ellinger
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Jeu 28 Fév - 23:19 | |
| Voilà je me lance XD je m'inspire de ma vie mais cette petite blagounette s'inspire un peu (beaucoup tous les noms, lieu et horaire sont les même) de ma vie mais cette boulette ne m'est encore jamais arrivé XD Heureusement d'ailleurs oO Quand j'ai dis ça j'avauis pas encore écris la fin XD. - Spoiler:
Si seulement il ne m'avait pas vu....
Arf mon petit Clément, mon petit danseur Tecktonik... Pourquoi? Pourquoi ce genre de chose stupide, débile, et tous les mots qu'on pourrait dire sur le sujet, n'arrive t-elle qu'à moi? Je n'ai vraiment pas de chance. Si j'avais su j'aurais annulé mon week-end... En plus il m'a vu... pourquoi a-t-il fallu qu'il me voit? Il ne pouvait donc pas tourner la tête? Partir aux toilettes? Demander pour boire un verre? Non il était là et il me regardait et il a bien rigolé comme tout le monde d'ailleurs.
Arrête de t'impatienter petit lecteur irrespectueux ce passage qui s'acharne sur la vie est fait exprès pour te faire attendre et ça me rapporte des lignes en plus. Si tu ne veux pas patienter va lire un autre texte que le miens... Je vais te raconter ce qu'il m'est arrivé.
Il était une fois... non moi mes histoire ne commence pas comme ça. Tu y a cru hein?
Comme d'habitude, comme tous les week-end ou plus précisément comme tous les samedi je prend mon train de 15h08 qui part pour toulouse. Et hop on s'installe, on met les écouteurs dans les oreilles et on écoute du hardstyle pendant une heure et demi de train. Et oui la ville est loin de chez moi... qu'est ce que je ferais pas pour aller à Toulouse. Si je n'aimais pas autant cette ville je n'aurais jamais rougi de honte!! Donc j'arrive à Toulouse à 16h20 et je sors de mon train. Qui m'attend?? Toute la troupe de fou avec qui je traîne : Shanel, Rémy, Damien et sa copine. Bientôt rejoint par Florian que je n'avais pas envie de voir comme d'habitude mais il ne peut s'empêcher de s'incruster royalement dans notre groupe... et dire que cet SAF (Sans Amis Fixe) est mon ex petit ami. Peu m'importe on va à la place du Capitole... ils ont enfin enlevé la patinoire et la vie reprend son cour : des enterrements de vie de garçon qui nous vaut un bel homme habillé avec un costume de lapin rose qui nous réclame des bisous et des câlins. Comment refuser? Câlins, bisous, photos souvenirs avec Lapin qui se croit au pays des bisounours et on continue notre route. Un petit tour à l'espace saint George et j'achète enfin les menottes rouge que je voulais absolument, un délire comme un autre sur les menottes c'est comme la biopsie. Tu ne comprend pas le rapport avec la biopsie? Désolé mais trop long à expliquer j'ai un timing à respecter moi!!!
On passe au métro de Jean Jaures et on s'arrête à Monoprix où travail Julien. Achat de sandwich, on mange sur place et on repart. On attend la navette de 22h à Jean Jaures pour pouvoir aller à l'Omega. La boite où on sort tous les week-end et où je vais voir Clément... Alalala Clément... Non Héloïse ne t'égare pas tu as un timing à respecter >
Comme tous les samedi soir on gagne la bouteille de champagne, on a encore été le groupe qui foutait le plus d'ambiance. Vincent, le Dj, commence à nous reconnaître c'est bien. La soirée se finit, on s'en va à 6h pour chopper la navette gratuite qui nous ramène en ville à 6h30. On ne peut pas rentrer, ya pas de bus le dimanche... enfin si mais on peut pas revenir passer l'après midi à toulouse. Donc on fait nuit blanche à la gare. On discute avec le vigil qui est super sympa et on prend notre petit déjeuner à Quick. A deux heures on prend le bus pour retourner à l'Omega. Et oui le dimanche après midi cours de tecktonik et de Jumpstyle avec la team Arcanan c'est à dire Swann, Clément, Marjorie, Johan et Amory. Tous géniaux. D'ailleurs en Jump je devient très bonne car Swann veut que je l'aide pour apprendre quand y’a trop d'élève. Bref on arrive, encore une bise de Clément... génial. Je ne me lave plus jamais les joues de la vie!!! On apprend à danser et là... c'est la catastrophe. Enfin pas maintenant dans deux minutes... tu deviens vraiment impatient toi calme toi et soit patient!! Et arrête de sauter des lignes tu rate le meilleurs c'est à dire tout.
On sort dehors pour fumer notre cigarette. J'essaye d'arrêter mais le week-end je me le permet. D'habitude Clément vient pas dehors car il fume pas mais là il avait chaud et nous accompagne tous dehors. Génial... sauf à la fin. En voulant m'entraîner à un nouveau mouvement de Jumpstyle voilà que je glisse et que je tombe sur les fesse... devant tout le monde!!!
La honte tu te rend compte?? Quoi?? tu t'attendais à quelques chose de plus marrant? C'est ça le don de l'écriture on peut très bien vous étonné comme vous décevoir. Comme quoi il y a plus grave dans la vie que ce genre de petit tracas. D'autant plus que c'est Clément qui est venu vers moi pour me tendre la main et me relever en me demandant si ça va.
Si il ne m'avait pas vu... il ne m'aurait jamais tenu la main...
Dernière édition par Kiara Ellinger le Ven 29 Fév - 0:48, édité 3 fois |
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Jeu 28 Fév - 23:32 | |
| Bien sûr, Gwendolyne...chaque participation est récompensée! |
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Bloody Girl
Kiara Ellinger
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Ven 29 Fév - 0:49 | |
| Oula sur mon ordi mon texte bug... il n'est pas en entier. J'ai enlevé le spoiler mais ça fait pareil. Le problème ce'st que quand j'édite il reviens en entier dans le mode édition oO
En fait le trou c'est entre "Non Héloïse ne t'égare pas tu as un timing à respecter >" et
"Comme tous les samedi soir "...
Est ce que que vous aussi ça vous coupe ou c'est mon ordi qui bug? |
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Ven 29 Fév - 1:11 | |
| En relisant très attentivement, après ta remarque, on dirait qu'il manque bien quelque chose...mais c'est... de toutes façons...génial!  |
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Ven 29 Fév - 1:15 | |
| Voilà ma deuxième participation. J'ai vraiment bien rigolée en l'écrivant j'espère que vous aussi en la lisant ! - Spoiler:
Si j'avais su, je serais restée au lit !
Quelle journée catastrophique !
Tout d'abord, mon réveil m'a pas sonné. Du coup j'étais en retard pour le travail.
Je me suis précipitée sous la douche et ... AHHHHH !!! Plus d'eau chaude !!!
En grognant, je pris vite fait un café et bien sûr, je m'en renversa dessus. Résultat, passage rapide dans la chambre pour changer de chemise.
Je monte dans ma voiture et met le contact. Rien ! La voiture refuse de démarrer !
Nom d'un petit bonhomme, c'est pas mon jour !
Je décide donc de prendre le bus mais voilà t'y pas que je le loupe !
Il ne me reste plus qu'à marcher. 3 kilomètres, ce n'est rien !!!
Lorsque j'arrive enfin sur le lieux de mon travail, mon patron m'appelle dans son bureau. Il doit licencier du personnel et je fais partie des départs. J'ai marcher trois kilomètres pour apprendre que j'avais perdue mon boulot ! Et Me***e !!!
Je décide de flâner dans les rues pour profiter de cette journée de repos impromptue. J'admire les vitrines et ... PAF ! Je marche en plein dans une déjection canine ! Si je tenais le propriétaire de l'animal, il passerait un sale quart d'heure !
Après avoir réussit tant bien que mal d'essuyer cette chose immonde, je décide de rentrer chez moi, je fit donc demi-tour et ... passa sous une échelle. On dit que ça porte malheur ? Cela ne pourra être pire !
Je rentre donc tranquille jusqu'à ma maison. Lorsque j'arrive dans mon allée, un chat noir se faufila entre mes jambes et faillit me faire tomber.
Résultat, j'en lâche mes clés qui tombent ... dans la bouche d'égout ! Zut ! Me voilà à plat ventre sur le trottoir la main au fond de l'égout à la recherche des clés.
Une dizaine de minutes plus tard, je me relève, la main dégoulinant d'horreur mais avec les clés.
Je rentre enfin dans la maison et claque la porte. Ouf, plus rien ne peut m'arriver ! A ce moment- là, le miroir suspendu à côté de la porte d'entrée se décrocha et tomba. Sept ans de malheur !!!!
Quelle horreur !!
Dégouttée, je file me mettre au lit.
Comme je disais.
Si j'avais su, je ne me serais pas levée ce matin !
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Ven 29 Fév - 3:29 | |
| Comme je m'ennuyais, j'ai écrit ceci. Je ne sais pas ça comptera mais je voulais le partager avec vous. - Spoiler:
Si j'étais un animal, ce serait le chat
Si j'étais un objet, ce serait un ordinateur
Si j'étais une plante, ce serait un bambou
Si j'étais un sport, ce serait la gymnastique
Si j'étais un métier, ce serait animatrice
Si j'étais un transport, ce serait une voiture
Si j'étais une forme, ce serait le rond
Si j'étais une fleur, ce serait une tulipe
Si j'étais un aliment, ce serait du chocolat
Si j'étais une célébrité, ce serait une chanteuse
Si j'étais une couleur, ce serait le vert
Si j'étais une ville, ce serait Morez
Si j'étais un pays, ce serait la France
Si j'étais une planète, ce serait Saturne
Si j'étais une lettre, ce serait le S
Si j'étais un mot, ce serait Amitié
Si j'étais une boisson, ce serait du jus d'abricot
Si j'étais un légume, ce serait du chou-fleur
Si j'étais un fruit, ce serait une banane
Si j'étais une fable, ce serait le corbeau et le renard
Si j'étais un conte, ce serait la belle et le clochard
Si j'étais une bande dessinée, ce serait Tintin
Si j'étais un jeu, ce serait un jeu de l'oie
Si j'étais un sentiment, ce serait la joie
Si j'étais un jour, ce serait le Dimanche
Si j'étais un chiffre, ce serait le 29
Si j'étais un mois, ce serait Octobre
Si j'étais une année, ce serait 1981
Si j'étais un prénom, ce serait Stéphanie
Si j'étais quelqu'un, ce serait simplement moi !
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Ven 29 Fév - 17:18 | |
| Encore une mésaventure authentique  Si ma grand-mère avait eu des moustaches, on l’aurait appelée grand-père. Si le vent ne s’en était pas mêlé, je n’aurais pas connu cette situation embarrassante. - Spoiler:
Je faisais mon ménage. Ben oui, même sans aimer particulièrement ça, il le faut bien. Ma maison s’ouvre sur un large corridor que je me dois d’entretenir nickel. Equipée d’un tablier et de chaussures en caoutchouc, j’allais donc entreprendre les grandes eaux ( je n’habite pas Versailles, je vous rassure) mais avant, bien sûr, je devais balayer. Juste près de la porte se trouve le paillasson ; normal, me direz-vous. Je n’eus pas envie de le passer à l’aspirateur. Je l’empoignai et ouvrit la porte. Une marche à descendre, me voilà dans la rue en train de taper l’objet ( il n’a pas eu mal) contre le mur de façade. Pan, Pan ! J’y allai à tours de bras. C’est alors qu’un vent coquin claqua la porte dans mon dos !
Oh, oh ! Ma porte est à commande électrique… Pas de clé en poche, personne dans la maison : je suis sur le trottoir avec un paillasson en main, vêtue comme une boniche.
Que faire ? Ma maison possède un passage latéral s’ouvrant sur le jardin mais je ne sais pas voler ( mon balai était dans la maison et il n’a rien de magique, hélas)
Reste à solliciter l’aide des voisins. Je frappe au numéro 1, je demande Mzelle, euh, non, ça c’est autre chose, pardon. Je sonne à droite, poireaute, recommence… Ma veine habituelle… ils sont absents. Force fut de me rabattre sur ceux de gauche. Mes chers voisins de quatre-vingt ans, chenus et surtout… très sourds, elle comme lui.Drinn ! Drinn ! (10x)
Ils sont sûrement là mais n’entendent pas. Je crois que mon doigt va s’incruster dans le bouton de sonnette quand, enfin : miracle ! Ma bonne vieille Jeanne avec ses lunettes comme des loupes, ouvre sa porte. Je lui saute au cou !
Rapidement, j’explique ma situation puis dois recommencer lentement car elle a pas pigé. Je lui aurais bien dit : moi-dehors-porte-fermée-moi-veut-échelle, elle n’aurait pas capté plus, la pauvre.
Elle se tourna vers l’intérieur et cria ( Cette Jeanne serait-elle Tarzane ? Car pour du coffre, elle en avait ; la force de l’habitude, peut-être ?)
ROOOOBEEEEEERT !
À petits pas dans ses pantoufles, la main en cornet sur l’oreille, mon bon Robert s’avança vers nous. Il me reconnut et sourit :
Ah ! C’est toi ! Tu viens prendre un café ?
Etais-je en tenue pour des civilités ? Non, mais ! Je recommençai mon récit en priant pour qu’il comprenne mes désirs.
Une échelle ? Pourquoi faire ?
* Pour faire joli, grrrr*
Ma patience fint par payer. J’accompagnai Robert dans son garage où je pris les choses en main ou plutôt la chose car mon voisin était incapable de déplacer sa double échelle métallique tout seul.
En faisant bien attention à ne rien casser en sortant dans le jardin, je pus bientôt poser l’engin contre notre mur mitoyen. Je remerciai beaucoup Robert en promettant de revenir ranger l’échelle que j’escaladai aussitôt. La configuration de nos terrains veut que celui de Robert soit situé à une dizaine de mètres sous le niveau du mien. Pour ceux qui auront lu mes mésaventures de louveteau, il va sans dire que grimper à l’échelle ne m’effrayait pas. Je fus bientôt au sommet du mur. Je n’avais que trois mètres à sauter. Dans mon jeune temps, j’aurais fait ça sans même m’asseoir sur le bord mais… J’ai dit que j’étais devenue prudente. Donc, je m’assis et me tournai face au mur en laissant pendre mes jambes dans le vide.
Vous ai-je jamais parler de mon chien ? Je possédais l’animal le plus fou de la gent canine. Ce croisé épagneul était le plus peureux de la Terre, sauf quand il s’agissait de défendre son territoire. Il courait après tous les chats du voisinage qui passaient à portée et savait se montrer féroce envers les étrangers. Me prit-il pour l’un d’eux ? Cet idiot me fonça dessus en aboyant et en grognant furieusement. Je donnai de la voix :
Funny, c’est moi !
Que nenni ! Ce stupide clébard n’en fit qu’à sa tête ! Mon bord de pantalon fut agrippé et tiré en arrière ; il se déchira. J’hésitai : tomber ou remonter ? Je tentai le tout pour le tout en espérant que cet idiot ne m’attaquerait plus.
Dès que mes pieds touchèrent le sol, je me tournai et craignis le pire en recevant les grosses pattes du toutou sur la poitrine. Heureusement, ce ne furent pas ses crocs qui m’assaillirent mais sa belle langue rose baveuse. Je le repoussai gentiment en me dirigeant vers la porte-fenêtre donnant sur la cuisine. Pourvu que… Ouf ! elle était ouverte. Je pus enfin m’asseoir pour récupérer de mes émotions. Je devais ressortir pour rentrer l’échelle et prendre le paillasson laissé chez Jeanne. Je n’oubliai pas de prendre mes clés. D’ailleurs, je les ai toujours sur moi quand je nettoie mon couloir à présent… Je vous laisse deviner pourquoi !
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Ven 29 Fév - 17:32 | |
| J'adore vos textes...je vais avoir des vrais problèmes à l'heure de trancher! :@: |
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Bloody Girl
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Ven 29 Fév - 18:42 | |
| Opal, j'ai réassayé de poster la partie manquante et ça me l'éfface dès que je fais poster... Même en prévisualisation elle y pas et quand je veux éditer elle réaparaît... En résumpé ça me fait 10 lignes en moins et c'est sûrement les plus importantes je sais pas quoi faire  Toi qui est modo tu veux pas éditer le message de mon texte pour voir si tu vois la partie manquante??? Comme ça tu pourras lire en entier... et sinon je sais pas quoi faire :tft: |
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Ven 29 Fév - 21:36 | |
| Celui ci est le texte de Kiara, j'espère que cette fois on l'aura complet!
Si seulement il ne m'avait pas vu....
Arf mon petit Clément, mon petit danseur Tecktonik... Pourquoi? Pourquoi ce genre de chose stupide, débile, et tous les mots qu'on pourrait dire
sur le sujet, n'arrive t-elle qu'à moi? Je n'ai vraiment pas de chance.
Si j'avais su j'aurais annulé mon week-end... En plus il m'a vu... pourquoi a-t-il fallu qu'il me voit? Il ne pouvait donc pas tourner la tête? Partir aux toilettes? Demander pour boire un verre? Non il était là et il me regardait et il a bien rigolé comme tout le monde d'ailleurs.
Arrête de t'impatienter petit lecteur irrespectueux ce passage qui s'acharne sur la vie est fait exprès pour te faire attendre et ça me rapporte des lignes en plus. Si tu ne veux pas patienter va lire un autre texte que le miens... Je vais te raconter ce qu'il m'est arrivé.
Il était une fois... non moi mes histoire ne commence pas comme ça. Tu y a cru hein?
Comme d'habitude, comme tous les week-end ou plus précisément comme tous les samedi je prend mon train de 15h08 qui part pour toulouse. Et hop on s'installe, on met les écouteurs dans les oreilles et on écoute du
hardstyle pendant une heure et demi de train. Et oui la ville est loin de chez moi... qu'est ce que je ferais pas pour aller à Toulouse. Si je n'aimais pas autant cette ville je n'aurais jamais rougi de honte!!
Donc j'arrive à Toulouse à 16h20 et je sors de mon train. Qui m'attend?? Toute la troupe de fou avec qui je traîne : Shanel, Rémy, Damien et sa copine. Bientôt rejoint par Florian que je n'avais pas envie de voir comme d'habitude mais il ne peut s'empêcher de s'incruster royalement dans notre groupe... et dire que cet SAF (Sans Amis Fixe) est mon ex petit ami. Peu m'importe on va à la place du Capitole... ils ont enfin enlevé la patinoire et la vie reprend son cour : des enterrements de vie de garçon qui nous vaut un bel homme habillé avec un costume de lapin rose qui nous réclame des bisous et des câlins. Comment refuser? Câlins, bisous, photos souvenirs avec Lapin qui se croit au pays des bisounours et on continue notre route.
Un petit tour à l'espace saint George et j'achète enfin les menottes
rouge que je voulais absolument, un délire comme un autre sur les menottes c'est comme la biopsie. Tu ne comprend pas le rapport avec la
biopsie? Désolé mais trop long à expliquer j'ai un timing à respecter moi!!!
On passe au métro de Jean Jaures et on s'arrête à Monoprix où travail Julien. Achat de sandwich, on mange sur place et on repart. On attend la navette de 22h à Jean Jaures pour pouvoir aller à l'Omega. La boite où on sort tous les week-end et où je vais voir Clément... Alalala Clément... Non Héloïse ne t'égare pas tu as un timing à respecter >
Oui je me fait des remontrance à moi même et alors ça te choque?? Va faire bisous avec les pingouins alors!!! 22h la navette arrive... enfin on commençait à avoir froid. On se réchauffe le temps d'arriver et on arrive en 30 minutes un peu plus. On fait le peu de chemin qu'il reste à faire pour aller à la boite et là ben on dit bonjour au maître chien qui nous file des invitations, on pose nos affaires dans la voiture de Xavier, notre maître chien préféré on entre 1h plus tard dans la boite. Et oui en tant qu'habitué on ne paye ni l'entrée, ni le vestiaire. Je cherche des yeux... enfin je le vois...
Clément!!!! Il est tellement beau (enfin pour moi car Shanel ne pense pas la même chose, Aurore non plus d'ailleurs...), il danse tellement bien. En plus il est gentil et sympa et je sais qu'il s'intéresse un peu à moi mais j'ose pas faire le premier pas!!! Il me voit et s'approche, il me fait la bise et je savoure ce moment comme le plus beau de ma vie. Ce chinois n'a rien d'extraordinaire mais il me fait craquer quand même. Il me demande si ça va, toujours avec cette même joie de vivre qui me fait tant frissonner. Je lui répond oui, essayant de cacher mon effondrement intérieur comme à chaque fois qu'il me parle. Je fond... il retourne danser, je vais boire un verre.>
Comme tous les samedi soir on gagne la bouteille de champagne, on a encore été le groupe qui foutait le plus d'ambiance. Vincent, le Dj, commence à nous reconnaître c'est bien. La soirée se finit, on s'en va à 6h pour chopper la navette gratuite qui nous ramène en ville à 6h30. On ne peut pas rentrer, ya pas de bus le dimanche... enfin si mais on peut pas revenir passer l'après midi à toulouse. Donc on fait nuit blanche à la
gare. On discute avec le vigil qui est super sympa et on prend notre petit déjeuner à Quick. A deux heures on prend le bus pour retourner à l'Omega. Et oui le dimanche après midi cours de tecktonik et de Jumpstyle avec la team Arcanan c'est à dire Swann, Clément, Marjorie, Johan et Amory. Tous géniaux. D'ailleurs en Jump je devient très bonne car Swann veut que je l'aide pour apprendre quand y’a trop d'élève.
Bref on arrive, encore une bise de Clément... génial. Je ne me lave plus jamais les joues de la vie!!! On apprend à danser et là... c'est la catastrophe. Enfin pas maintenant dans deux minutes... tu deviens
vraiment impatient toi calme toi et soit patient!! Et arrête de sauter
des lignes tu rate le meilleurs c'est à dire tout.
On sort dehors pour fumer notre cigarette. J'essaye d'arrêter mais le week-end je me le permet. D'habitude Clément vient pas dehors car il fume pas mais là il avait chaud et nous accompagne tous dehors. Génial... sauf à la fin. En voulant m'entraîner à un nouveau mouvement de Jumpstyle voilà que je glisse et que je tombe sur les fesse... devant tout le monde!!!
La honte tu te rend compte?? Quoi?? tu t'attendais à quelques chose de plus marrant? C'est ça le don de l'écriture on peut très bien vous étonné comme vous décevoir. Comme quoi il y a plus grave dans la vie que ce genre de petit tracas. D'autant plus que c'est Clément qui est venu vers moi pour me tendre la main et me relever en me demandant si ça va.
Si il ne m'avait pas vu... il ne m'aurait jamais tenu la main...
J'espère que maintenant ça va!
Dernière édition par Opal McLane le Ven 29 Fév - 21:47, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: Concours 79 : Si... Ven 29 Fév - 21:44 | |
| OUIIIIIII
Merci :o
C'était super important cette partie c'est celle qui parle de Clement oO (d'ailleurs j'espère que ce week end... ok je me tais je me tais XD).
Merci merci merci à Angel et à toi ^^ |
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