Chez Merwan [Fe]

Pourquoi pas je ne suis pas contre.

Tout en s'installant sur le canapé Stéphanie regarda Merwan chercher un film dans sa collection, elle avait les yeux qui pétllait et depuis sa rencontre avec le jeune homme un sourir sur le visage comme si tout les malheurs du monde lui était indifférente.
Merwan mit un film dans le lecteur et revint à côté d'elle.

Je suis sûr que tu a mis un très beau film, aller viens là que je puisse te prendre dans mes bras.

Le jeune perse mit le dvd d'un humoriste québecquois, son cousin. Il ne dit rien,
les regards parlent mieux que les paroles, c'est connu. Il se blottit dans ses
bras, comme un enfant. Il était tellement épuisé par la maladie...Il toussa
lègèrement et s'endormit doucement.

Stéphanie remarqua que Merwan s'était vite endormit, elle avait peur qu'il prenne froid alors elle sortit sa baguette magique sans pour autant reveiller son bien aimé:

Accio couverture de Merwan!

Une couverture très douce venu de la chambre à coucher arriva dans les mains délicates de Stéphanie et elle la déposa sur eux deux.
Quelques minutes plus tard c'est l'infirmière qui s'endormit dans les bras de Merwan, durant la nuit Stéphanie se réveilla, elle avait quelques frissons et se demanda pourquoi, mais quand elle vit que le feu de la cheminée commencait à mourrir elle le ranima avec une formule magique et se rendormit aussitôt.
Le lendemain matin la jeune femme s'éveilla et ne vit nul part Merwan, elle voulu se lever mais le jeune homme réaparu dans le salon avec un délicieux petit déjeuner.

Merwan n'avait jamais été un gros dormeur. Alors vers six heures du matin,
alors que le soleil n'était pas encore levé, lui ouvrit les yeux. Il se dirigea vers
la cuisine. Avec soin, comme il n'en avait pas préparé depuis que sa petite
soeur était repartie au maroc, il prépara un petit plateau repas, avec du
chocolat, des tartines grillées, du jus d'orange. Il revint dans le salon alors
que Stéphanie se réveillait.

-Bonjour belle endormie...

Bonjour mon ange, comment te sent tu ce matin?

Stéphanie avait passé la plus belle nuit de sa vie, jamais dans son existence elle avait ressentit cela pour un homme, une nuit simple dans les bras de celui qu'elle aimait et la voilà la plus heureuse du monde, mais dans quelques heures elle devrait partir travailler et cela la rendait un peu moins joyeuse mais elle ne voulait surtout pas le montrer à Merwan, elle se mit assise sur le canapé et embrassa le jeune homme.

-Mieux, beaucoup mieux.

En ce moment, il faisait insomnies sur insomnies. Mais cette nuit la il n'avait pas
fait de cauchemars, il avait trés bien dormi et avait bien récupéré.
Il déposa le plateau sur la table en face de la jeune femme et carressa
doucement sa joue tandis qu'elle l'embrassait.

Lorsque leurs lèvres se séparèrent Merwan prit place à côté de Stéphanie
et ils commençèrent à déguster le petit déjeuner qu'avait préparé le jeune homme.

Dis moi que fais-tu aujourd'hui? car si tu n'a pas beaucoup de travail tu
pourrais passer à l'école et peut-être venir me rendre une petite visite.

Stéphanie avait dit cela avec sincérité car elle ne savait pas si elle pourrait tenir toute la
journée de travail sans voir et sans sentir la peau parfumé de Merwan.

-J'essayerai de passer, mais j'ai un enregistrement avec un ami guitariste. Ca risque surement d'etre long, mais je ferai mon mieux. Promis.

Il lui sourit tendrement et l'embrassa sur le front.Une dizaine de minutes plus
tard, ils avaient fini de manger, et la table était débarassée. Merwan alla se
recoiffer puis alla chercher son synthétiseur et sonn harmonica.

Mon ange je reviens dans quelques minutes je vais aller prendre une douche.

Tout en disant ces paroles Stéphanie se leva du canapé et monta les escaliers,
elle se retrouva dans la magnifique salle de bain, elle se déshabilla et se mit sous
la douche l'eau qui coulait sur son visage lui faisait du bien mais plus le temps avançait
plus c'était dur pour elle car elle savait que le moment aller arriver pour elle de partir
et de laisser son bel amant.
Dix minutes plutard l'infirmière redescendit les escaliers avec grâce, elle s'avança
vers Merwan et le serra fort contre elle.

-Prends ton temps.

Merwan ne voulait pas laisser sa belle infirmière. Mais il était
obligé, tout comme elle. Mais c'est sur, ils se reverraient ce
soir la. Aprés avoir rassemblé ses partitions, il serra Stéphanie
contre lui, longuement.

Stéphanie ne voulait pas que ce moment ce termine si vite
alors elle resta aussi longtemps que possible dans les bras de
Merwan et quand elle releva la tête elle vit l'heure sur la sublime
horloge de sallon du jeune homme c'était le moment tant redouté
de l'infirmière, le moment de se séparrer, elle regarda pour la dernière
fois de la matinée le visage d'ange de son bien-aimé et l'embrassa intensément
sur se lèvres pulpeuses.
Après un long et sulfureux baiser Stéphanie dit à Merwan:

Je suis désolé mon coeur mais je dois partir sinon je vais
arriver en retard.

-Moi aussi, je dois y aller.

Il lui sourit tendrement, et se détacha a contre coeur de ses bras. Le jeune
perse se dirigea vers la tete et prit ses instruments. Il enfila une veste en jean
gris et sortit dérriere Stéphanie. Ils devaient partir chacuns de leur coté
maintenant. Il l'embrassa une dernière fois.

-A ce soir...

Le jeune homme disparut.

Et voilà Merwan était partit et Stéphanie regarda encore l'endroit d'ou il avait disparu et à son tour elle tourna sur elle même et transplana au plus près de l'école.

Lorsque Merwan réapparut dans l'allée, il était vraiment dans un sale état.
Il avait refusé l'aide de son ami pour rentrer. Parce que la maladie reprenait
encore une fois le dessus sur lui. Le transplanage n'arrangea rien. Il n'arretait
pas de tousser et il pleurait. Oui il pleurait. Il finit par s'écrouler, inerte, devant
la maison.

Après une journée de travail avec bléssures et maladie imaginaire, Stéphanie transplana devant la maison de Merwan, elle était si heureuse, mais lorqu'elle s'avança vers la porte elle apperçut le corps de son amant étalé sur le bitume , elle courra vers lui et lui prit le poux, il était très faible et avait du mal à respirer,elle essaya de le relever mais le jeune homme était inconcient c'est alors qu'elle ouvrit la porte de la maison avec un Alohomora et tourna sa baguette vers Merwan et le fit léviter grâce au sortilège Locomotor Merwan, le jeune Perse lévita derrière Stéphanie et tout les deux rentrèrent dans la maison.
L'infirmière déposa Merwan sur le canapé du salon et fit apparaitre son patronus, un magnique cheval, elle lui confia un message pour son amie médicomage qui connaissait mieux la maladie du jeune homme qu'elle même. L'animal s'envola par la fenêtre et disparu dans la lueur de la nuit qui tombait.
Pendant ce temps Stéphanie s'approcha de Merwan et essaya par tout les moyen de le réveiller:

Merwan je t'en pris reprend conscience, ouvre les yeux si tu m'entends ou bouge juste un peu tes doigts allez.

Elle tenait les mains de Merwan entre ses doigts.

Merwan n'entendait pas la voix de Stéphanie. Un violent mal de crane faisait
bourdonner ses oreilles. Quelque chose empechait l'air de passer dans sa
trachée. C'est alors qu'il commenca a cracher du sang, c'était vraiment une
crise violente, qu'il faisait.
Le jeune perse était pale et inerte, comme glacé, comme un ange. Il semblait
dormir tout doucement.

Stéphanie vit bouger Merwan mais lorqu'il commença à vomir
du sang là elle se leva d'un coup et courra vite dans la cuisine
pour chercher les médicaments du jeune homme, elle regarda
partout autour d'elle mais elle ne vit rien qui ressemblait à ce
qu'elle cherchait elle leva alors sa baguette et la fit tourner
dans ses mains à toutes vitesse c'est alors que plusieurs boîtes
de cachets vollèrent vers elle, elle les attrapa en plein vol et
rejoinit le salon ou Merwan se trouvait toujours allongé.
L'infirmière regarda les notices et prit un des médicaments
qui fairait sûrement effet à l'état de Merwan.
Elle lui mit dans la bouche et essaya de lui faire avaler mais
rien ne se produisit alors la jeune femme prit l'iniciative de
lui faire du bouche à bouche, elle avait apprit cela de son
amie moldue, c'est alors que le jeune homme ouvrit les yeux,
ils étaient vitreux et ses pupilles étaient dillatés.

Merwan mon coeur s'il te plait réponds moi, ne
me laisse pas comme ça dans l'attente, ne t'inquiète pas je ne
te laisserai pas partir, on va se battre bats toi avec moi aller!!!!!

Merwan ouvrit inconsciement les yeux, mais il ne vit meme pas Stéphanie
penchée sur lui. Il referma ses pupilles pales instantanément, un petit souffleir
se perdit dans l'air soudain éttoufant. Il eut trés froid. Son coeur se glaca,
Merwan ne bougeait pas, ne donnait aucun signe de vie. Etait il parti ?

Le coeur de Merwan ne battait presque plus, son souffle était inexistant, son corps
commençait à refroidir, ses yeux tournait dans ses orbites, est-ce la fin de sa vie?
La fin de son amour avec Stéphanie qu'il venait de rencontrer? La fin d'un bohneur
qu'il commençait seulement à goûter?
Non Stéphanie ne le permettrait pas, non elle ne le laisserait pas partir comme un
rêve, elle voulait vraiment tout faire pour le garder prêt d'elle, tout faire pour qu'il
vive, alors elle prit sa baguette et le regarda avant de faire ue chose qu'elle devait à
tout prit faire.
L'infirmière lança alors un sortilège qu'elle avait inventé, un sortilège pour guérrir les
maladies moldues.

FRUTILOMINESS§§

Un éclair d'une couleur bleu se dirigea droit vers Merwan et lorqu'il l'atteint Stéphanie
éclata en sanglots, elle ne voulait pas voir ce qu'il se passait.

Soudain, merwan fut secoué trés violamment. Et son coeur se remit a battre normalement, le bourdonnement dans ses oreilles disparu, son mal de gorge
et la boule qui l'empechait de respirer aussi. La maladie était toujours trés
présente, le sortilège n'avait pas marché correctement. Mais sa violence
l'avait réanimé. Il était vraiment incapable de parler pour le moment. Il se
contenta de soupirer et de serrer la main droite.

Stéphanie était toujours en pleurs mais lorqu'elle sentit la main de Merwan serrer la
sienne, elle releva la tête et vit que le jeune homme était réveillé et allait un peu mieux
que les dernières minutes passé.
Elle se releva, lui sourrit et s'approcha lentement de lui pour voir le fond de ses yeux
et son visage d'ange, elle ne croyait pas ce qu'elle voyait, un homme un peu pâle mais vivant qui
respirait et qui la regardait.

Tu es.... tu es vivant je croyait vraiment que je t'avait perdu.

Et voilà que l'infirmière se remit à pleurer mais cette fois c'était des larmes de joies,
elle ne voulait pas trop le secouer alors elle se mit juste assise à côté de lui et le regarda
intensément.

Merwan cligna plusieurs fois des yeux et essaya de calmer les battements de
son coeur malmené. Il inspira doucement et expira calmement, puis il referma
les yeux avant d'aller blottir sa tete sans rien dire dans le cou de la jeune
femme, il y déposa quelques baisers trés frais.

Stéphanie était ravi de cet élan d'amour de la part de Merwan elle le
serra fort dans ses bras et se laissa faire, elle adorait les baisers de
son homme et ferma les yeux pour mieux apprécier ce moment.
Après quelques minutes d'extase, la jeune femme regarda Merwan et lui dit alors:

Comment te sent tu à présent tu sais que tu m'a fais la peur de ma vie?

-Un peu...mieux.

C'était vrai, il semblait moins sonné qu'il y a quelques minutes, mais toujours
dans les vapes, et les yeux toujours aussi absents et vitreux.
Il serra doucement la main de Stéphanie dans la sienne, et referma doucement
ses paupières.

Repose toi un peu, je vais faire quelque chose à manger pour que
tu puisse te rétablir un peu mieux.

Stéphanie lacha doucement la main de Merwan l'embrassa sur le front et se leva
du canapé, elle se dirigeat vers la cuisine et après plusieurs sortilèges bien accomplit,
la jeune infirmière revint dans le salon avec un plateau sur lequel reposait deux assiettes
de pommes de terre rôties, accompagné d'une sauce onctueuse sortie du bout de sa
baguette, du pâté en croûte et de la salade.
Stéphanie alla mettre le plateau sur une petite table de salon situé juste devant le
canapé et embrassa à nouveau Merwan pour qu'il ouvre ses yeux et qu'il manges un peu.

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