Repas en fraude (fe Joyce:TERMINE)

Oui, là dessus il avait raison, elle avait une énorme envie de passer une pur nuit de folie en sa compagnie... (Moi aussi je fais de magnifiques rimes) Elle appréciait beaucoup le contact de sa poitrine contre son torse, elle avait l’impression d’être protégée... Et cette sensation là, lui plaisait beaucoup... Son ton franc et tendre lui prouvait qu’il ne mentait pas, qu’il pensait vraiment ce qu’il disait... Joyce, serait-elle tellement irrésistible qu’aucun homme ne pourrait lui résister ? C’est en tout cas ce qu’elle pensait au fond d’elle-même... Et, ces diverses aventures lui en donnait bien sûr la preuve... Mais, elle ne va pas se plaindre pour ça, au contraire, ça aussi lui plaisait beaucoup... Mieux vaut être attirante, qu’être repoussante... (et encore une rime)
Contrairement à l’auteur de Davis, la narratrice de Joyce n’avait même pas fait attention ou son soutien gorge rose été partis se cacher, bien que si Joyce l’aurait remarqué elle aurait sûrement esquisser un petit sourire en coin, en constatant qu’il se mariaient bien avec le tee-shirt du jeune homme, tiens et si on essayait pour voir... On attacherais le soutien gorge de la demoiselle sur le tee-shirt du jeune damoiseau... Juste pour rire... (Oula, mais je m’éloigne du sujet moi, j’arrête...) On aurait put croire qu’un couple royal était là en train de s’embrasser ? Mais on n’aurait pas seulement put le croire... On aurait aussi put le voir... Joyce et Davis n’était t-il pas un couple royal ? Tiens, et petit détail aussi, Joyce avait aussi prit soin d’enlever ses petites chaussettes fines... Mais, même en chaussette, elle n’était pas du tout ridicule... Donc, pas de quoi s’affoler même si elle les avaient gardés.. Puisqu’elle les a enlevées... All is right... Elle sentit avec satisfaction que ses caresses sur ses parties intimes lui avaient procuré un profond désir...

- Je te rassure, je n’ai pas envie de m’arrêter...

En effet la jeune femme était bien décidée à l’emmener au septième ciel... Et si l’on peut dire, elle était vraiment bien partie... Mais voilà qu’il l’embrasser sauvagement, ce baiser eut pour don d’accroître le désir de la jeune femme, tandis qu’il descendait pour toucher ses petites fesses... Sa langue s’enroula encore autour de celle de Davis, pour une inlassable danse langoureuse, intense de plaisir...
Ecoutant à la fois ses désirs et ceux de Davis, elle esquissa un sourire provocateur quand il eut finit de poser sa question, elle ressemblait vraiment à une jeune lionne complètement folle... mais surtout très excité... Elle se baissa un peu et avec ses mains, elle arracha le dernier morceau de tissu qui les séparaient du contact physique absolue, pendant qu’il en faisait autant, sauf qu’elle avait était un tout petit peu plus rapide que lui... Les filles peuvent aussi être imprévisibles... Ses yeux ne purent s’empêchait de... Mater ? Oui, le mot me parait bien adapté, elle était carrément en train de mater... Faut dire, qu’il lui était impossible de s’empêcher de regarder, de mater un tel engin... Elle osa même un baiser très bien situé sur l’animal de Davis... Puis, décida d’aiguiser ses crocs de lionne sauvage en le mordillant doucement, puis sans vraiment faire attention, elle le mordit un peu trop fort, ce qui laissa une légère marque... Une marque de ... d’amour ?

- Oups... Je t’ai fait mal ?

La douleur masculine, elle était a des lieux d’imaginer ce que c’était, mais elle ne serais pas surprise de l’entendre crier, voir hurler de douleur, parce qu’elle est quand même au courant que mordre une telle partie sensible, ne peut pas faire que du bien...
Comme pour se faire pardonner, elle l’embrassa une nouvelle fois, mais cette fois là ou elle lui avait fait bobo... Une sorte de bisou magique... Très tendre et doux...

Oui le couple était comparable à l'union d'un monarque et de son épouse , à la différence peut-être que les deux jeunes gens mettaient plus d'ardeur dans cette confession innocente et pudique dont le seul témoin était la lune et ses étoiles. (Bien qu'il n'y avait aucune fenêtre dans la cuisine précisons le au passage). Les caresses de Joyce était l'un des rares plaisirs auxquelles il n'avait jamais goûté avec cette nuit , et autant dire qu'elle savait comme faire pour susciter l'attention du jeune homme en s'occupant aussi bien de son fidèle compagnon... Ils étaient nus , maintenant totalement nus , cependant ils n'avaient pas froids avec la chaleur mutuelle qui se dégagait de leurs deux corps que la nature (ou plûtot leur parents) avaient merveilleusement résussis. Et la tendre et langoureuse relation qui les liaient l'un à l'autre durant cette soirée était le fruit d'une agréable , et intéressante rencontre. Il déposa ses lèvres contre celle de la jeune femme continuant leur danse érotique. le vert et argent remarqua que la jeune femme fixait avec attention la partie la plus cachée de son physique et fut heureux de voir qu'il lui plaisait . Il vit alors la jeune femme descendre en sa direction , l'embrassait et même le mordillait , une lègère morusre fit tremblait tout le corps du musclé serpentard... Cependant il avait connu des douleurs plus violentes et celle-çi était plus souhaitable à toute celle qu'il avait eu jusqu'à maintenant. Il jetta un oeil sur son engin de peur qu'il ne soit abimé . Bof rien de grave , à part une petite marque bleue qui retrouverait la couleur originelle de sa peau , il fallait juste que cela guérisse. Il dti d'une air calme et tendre pour rassurer Joyce.

- Ca va , je n'ai rien eu ... Je ne croyais pas que tu tenais tant à me dévorer

Ajouta t-il d'un air taquin en déposant un baiser pudique, dans le cou de sa chère et tendre. Mais la demoiselle c'était mis à embrasser de nouveau l'objet afin de se faire pardonner de cet incident. Davis s'enfonça dans les couvertures. Et releva doucement la jeune femme à sa hauteur , mebrassant ses pieds , ses cuisses. Et bien sûr la partie intime de la jeune femme avant d'embrraser de nouveau sa poitrine et de lui donner un baiser de tombeur qui battait facilement ceux de nombreux films moldus. Il se mit à caresser plus hâtivement sa partenaire. Se retrouvant une fois encore au dessu pendant que leurs parties secrètes aller bientôt être secllé l'un à l'autre comme la partie de leur corps , néanmoins avant de partir dans les ténèbres de l'obscurités et dans des actions pas très catholiques. Davis demanda t-il avec des yeux flamboyants qui ferait craquer n'importe quelle jeune femme du même âge voire plus agée que sa compagne.

- Mais au fait tu ne m'a pas dis si ton coeur battait aussi vite que le mien??

Sous les couvertures , leurs physiques faisaient de plus en plus d'action et comme Joyce il aimait cela, il ne regrattait en rien de l'avoir regretter. Et comment regretter de tomber sur la personne qu'on aime même si cela avait été si soudain il fallait l'admettre.

Elle sentit que tout le corps de Davis tremblait, en même temps cette réaction était normale, elle avait touché un point sensible, vraiment très sensible, et en plus il s'était retenu de hurlé à la mort... Il n'est pas humain ce Davis, ou alors il a fait un effort considérable, pour retenir ses cordes vocales... Mmh, a mon avis ça devait être ça... Quoiqu'il en soit, il était vraiment courageux, et ça Joyce l'appréciait beaucoup... Et, visiblement il ne se lassait pas de s'emparer de ses lèvres, et de sa bouche, puisqu'il recommença l'embraquant dans une danse érotique... Bien sûr, Joyce ne s'en lassait pas non plus, elle adorait ça, partir en apnée à explorer sa bouche avec sa langue, ça lui plaisait beaucoup...

- J'aime dévorer... C'est repoussant ?

Son petit air aussi était coquin, et un sourire se dessina sur ses lèvres fines, humides et brillantes, tandis que le couple royal, s'embarquaient dans une tout autre dimension, mais cher lecteur, nous sommes parfaitement sûr que vous comprenez la situation, et donc pas besoin de vous faire un dessin de ce qui va se passer entre ces deux sauvages, alors nous allons procéder à la censure... Mais avant ça, Joyce a envie de profiter un peu de la situation, et des baisers qu'il lui offre sur son corps à présent complètement nue le jeune homme, elle aussi frissonna quand les lèvres de Davis, embrassèrent sa partie plus qu'intime, et aussi quand il toucha sa jolie poitrine, mais inutile de nous attarder sur ce fait, les deux corps n'allaient pas tarder à s'unir dans les liens ~~sacrés du mariage..~~ ( je dis n'importe quoi), dans les liens sacré de leur passion charnelle... ( c'est mieux ) Et ainsi, monter au septième ciel...

- Tu n'as qu'a toucher mon cœur, pour le savoir... Et si mon cœur ne bat pas assez vite à ton gout, dis le moi... Je le ferais battre plus fort pour toi...

Elle prit délicatement la main du jeune homme et la porta sous son sein droit, là ou se situe le cœur pour qu'il puisse en écouter les battements rapides, non très rapides de la jeune femme... Son cœur faisait des bonds vertigineux... Légèrement incontrôlables...
Mais qu'elle jolie phrase qui ressemble à de la philosophie, bravo Joyce, c'est vraiment du joli... non, non Sans déconner c'est trop trop beau ce que tu viens de dire, je suis sûr que Davis, va adorer... N'est pas Davis ? Comprend là comme tu veux, comme tu l'entends, enfait elle veut dire beaucoup de choses, mais Joyce te laisse imaginer ce que tu veux sur ce point, à toi de comprendre ce que tu as envie de comprendre... A toi de l'interpréter comme tu le souhaites...
Joyce ferma les yeux un instant, et les rouvrit ensuite, oh oui, elle était prête pour le moment fatidique, tant attendu... ( Que nous vous laissons imaginer... )
On éteins la lumière et on s'endors Davis ? L'aube approche...

Et l'aube était là , fidèle à son rendez-vous quotidien avec la terre. Mais me direz-vous comment les deux jeunes gens ayant passé une nuit plus qu'agitée mais tellement insolite , pourraient t-ils le savoir??? Tout simplement avec l'aide d'une chose insensible et qui pourtant étaient présents en eux , vous savez ce qu'on appelle une horloge biologique. Nos deux protagonistes s'étaient endormis les uns dans les bras de l'autre , Joyce les bras sur le torse et la tête posée contre l'épaule de Davis lui un bras sur sa poitrine et l'autre derrière son dos dont il aimait la peau dynamique. Sa compagne était vraiment le modèle de femme dont la plupart des hommes aimaient passer la nuit avec. Pourquoi essayer de la cacher c'était un fait? Après tout c'étaient dans leur nature de soi disant "mâle dominant " , n'est ce pas. Mais passons ces quelques métaphores. Lorsqu'il ouvrit les yeux , il sentit la chaleur du corps de la verte et argent. Il était heureux qu'elle soit encore là , car lui ne pourrait plus se passer d'elle. Il réfléchissait aux paroles de cette dernière. Ses paroles voulait-elle donc dire qu'elle l'aimait ??? Qu'elle le considérait autrement qu'un de ses hommes de passages avec qui l'on couche et que l'on jette en leur disant que finalement il n'était pas leur type ou qu'on avait déjà croisé un homme mieux qu'eux... Mais te voilà parti dans des pensées complexes mon ami. Elle vient de te donner l'un des plus beaux moment de ta vie et toi tu doutes??? Non elle ne ferait pas ça.

Davis ne put s'empécher de sourire en la contemplant , elle était très mignone endormie. Et qui se douterait que cette jeune femme si charmante était une terrible séductrice. Etait car qui sait peut-être qu'en le rencontrant elle partagerait les sentiments qu'il avait pour elle. Pour ne pas faire une crise d'angoisse , notre amie donna un léger baiser dans le cou à sa compagne et enleva avec précaution ses douces mains de son torse. Mais ne t'en fais pas Joyce ton prince n'est pas loin juste le temps de te préparer un petit quelque chose et le tour serait joué. Il prit sa robe de sorcier passa un caleçon propre , attiré par un coup de baguette magique et alla parler aux elfes . Quelques secondes plus tard ,il posait doucement sur le lit ,pour ne pas réveiller son amour encore ensomeillé, un plateau contenant des croissants , une tasse de café , un jus d'orange, des serviettes une rose faite maison pour exprimer ses entiments à la verte et argent. Et cette fleur ne ressmbalit à aucune autre , loin des roses habituels de St-Valentin rouges. Celle de Davis étaient en général plus créative et celle à laquelle il venait de donner vie , ou tout au moins la forme et le parfum brillait d'un éclat rivalisant avec le plus beau des saphirs au monde. La rose bleu-or brillait de milles feux , transparente . C'était un spectacle tout particulier qu'il réservait à sa déesse. Il fit apparaître une table de nuit à quelque centimètres de son coté (une bonne trentaine ) pour ne pas qu'au cas oû ils rattraperaient un peu leur nuit d'hier soir , elle ne renverse le café brûlant sur ses sublime corps. Et de nouveau nu , il entra dans le lit. Caressant avec l'un des touchers les plus délicats les épaules de sa reine. Il voulait lui montrer son initiative mais sans la réveiller dans un sursaut , son idée était plus sensuelle. Enfin il vit les cils de sa compagne de soirée et de coeur , se lever progressivement , ses yeux étant un peu engourdis( comme tout le monde ) à son réveil. Il dit d'une voix séduisante et coquine:

- Bonjour , chère gardienne de mes sentiments et de mes nuits.

Tout cela sur un ton naturel. En offrant un langoureux baiser à la demoiselle , vétue tout autant que lui , c'est à dire nue en somme. Il animait la langue de Joyce , tandis qu'elles s'enroulaient et se confrontaient dans un duel d'un moment d'intemporalité.

Il murmura à son oreille.

- J'ai passé une excellente nuit avec toi et je serais prêt à recommencer quand tu voudras car je t'aime.

Déclara t-il d'un tandis que ses yeux se plongeait dans le regard de la jeune femme appuyé à ses cotés , elle était vraiment irrésistible de beauté.

Lumière éteinte, et après plusieurs heures torrides, Joyce s'endormit enfin dans les bras de son prince enchanté, et cela jusqu'à l'aube... Un nouveau jour fut, et un nouveau rayon réchauffait le cœur de la princesse endormie... Enfin pas si endormie que ça, ses yeux étaient encore fermés, mais elle ne dormait plus vraiment... Elle n'avait rien vu de ton son petit manège évidemment, même si elle s'était douté qu'il s'était réveillé à entendre les bruits qu'il avait fait... Il rentra à nouveau dans le lit, la belle princesse ignorait si il était toujours nu, mais elle s'en fichait, sentant les caresses de Davis sur son épaule, elle ouvrit doucement ses paupières engourdies, comme si les rayons du soleil levant, éblouissant l'empêchait de les ouvrir rapidement.. Alors, qu'aucun rayon de soleil ne traversait la pièce, ceci est bien sûr une métaphore... Et se redressa tout doucement, pas encore remise de la superbe nuit qu'il avait passé tout les deux... Dans les cuisines de Poudlard...
Elle se passa nerveusement les mains dans ses cheveux tout décoiffés, et faillit soupirer de désespoir en constatant qu'il y avait quelque nœuds... Mais, elle ne le fit pas, ce que lui offrait Davis était bien trop captivant... Elle avait vu du coin de l'œil : la rose...

- Bonjour... Séducteur

Ces deux mots étaient détachés, elle avait marqué une pause entre les deux, comme si il était complètement séparés, ce qui pouvait être le cas, il fonctionnait très bien l'un sans l'autre... Mais, les deux ensemble, dans une même phrase prononcée par Joyce, c'était pas mieux ? Mmh.. Si, surement, en plus c'était dit d'une façon très naturelle, sans réfléchir, alors c'était encore plus flatteur non ? Même, si Davis lui avait attribué un titre plus révélateur de ses sentiments envers elle... De toute façon, Joyce n'aime pas le matin, alors elle ne cherche pas à dire quoique que ce soit de très charmeur, elle se contente de parler naturellement et cela est mieux que de réfléchir pendant de longues heures à ce que l'on pourrait bien dire de charmeur... Donc, Davis, tu l'excuseras mais, les compliments hyper sensuels, ou recherché, c'est la nuit que ça se passe... Mais, tu as déjà dut avoir un petit aperçu...
Suite à cela, elle eut droit à un merveilleux baiser langoureux, qui lui réveilla brusquement la langue , qui semblait en parfaite forme physique, et s'enroula avec celle de Davis avec fougue et passion...
Un parfait baiser...

- Cette nuit a été plus que merveilleuse, tu m'as emmené au septième ciel... C'était incroyable... J'ai vraiment adoré...

Elle se noya un moment dans son regard, puis son attention se porta sur le plateau qui l'avait apporter, et plus particulièrement sur la rose... Elle sortit du lit, naturellement toute nue, et alla prendre sa rose, elle la porta à son nez, pour la sentir, elle sentait merveilleusement bon, et était vraiment très, très belle... Rien avoir avec les roses rouges de la St valentin...

- Cette rose... Elle est d'une beauté époustouflante... Tu savais que le bleu-nuit-Or était ma couleur préférée ? Davis, tu es un amour...

Elle approcha ses lèvres des siennes et l'embrassa fougueusement, tenant dans sa main, la merveilleuse rose... Certes, elle ne lui avait pas dit Je t'aime, mais ce qu'elle avait dit y ressemblait beaucoup... Et puis, amour, et aussi un sublime mot d'amour non ? (le joli jeu de mot)
Puis, après cet échange entre leurs deux bouches, elle recula tout doucement, et sortit complètement du lit... Elle pensa à une chemise propre, et se vêtit ainsi de l'habit blanc, qu'elle avait fait apparaitre avec sa baguette, elle enfila aussi une petite culotte bleu pale.. Et se remit à côté de Davis... Qui s'était surement rincé l'œil en la regardant s'habiller...

- J'avais juste un peu froid...

Voilà, la raison pour laquelle, elle s'était à moitié habillé, mais cela ne voulait pas dire que Davis ne pouvait pas faire de même... Si, il le voulait, il le pouvait a moins qu'il est envie de prendre son petit déjeuner tout nu... Dans ce cas, libre à lui de choisir...
Puis, d'un mouvement, elle atrappa un croissant qu'elle dirigea directement vers sa bouche avec un petit sourire aux lèvres... Ses yeux rivés sur Davis...

Après la nuit chaude et époustouflante comme l'un comme pour l'autre, ce matin ne pouvait qu'être lui aussi très intense au niveau de leur sentiments et de leurs émotions . Le baiser langoureux de Davis avait réveillé la langue de Joyce , et il le vit bien ou plûtot le sentit bien avec l'enroulement de la langue de cette dernière autour de la sienne. (Nous tenons à vous rassurer sur létat de l'engin de Davis qui après une nuit passée de diverses actions les plus variées les unes que les autres avait déjà cicatrisé. xd). Les mots "bonjour séducteur" lui donnait un petit air amusé , c'était la première fois q'uil couchait avec une femme , et qu'elle femme que Joyce. Il pouvait être assez fier de lui pour avoir emmené sa compagne au paradis. Leur yeux reflétaient l'étrange lien qui les unissait plus q'une amitié sexuelle , c'était vraiment de l'amour qu'on voyait briller dans leur yeux , telles des étoiles filantes en proie à une course éternelle dans l'espace. Quelle ne fut pas sa staisafaction quand il vit que la rose qu'il avait porté à la verte et argent lui plaisait , même mieux que cela la captivait , attirait toute son attention , des roses comme ça elle n'avait pas dû en voir souvent dans sa vie... Vu qu'il s'agissait d'une création soudaine de notre ami. Et la parole de la jeune femme lui toucha le coeur autant q'une autre flèche de cupidon planté dans son organe , muscle battant. Il adora le baier fugueux que la sa petite amie , oui , lui donna . Il pouvait l'appeler comme ça , s'il avait bien compris le mot d'amour qui signifait l'amour alors il pouvait user de ce terme pour qulifier la belle et blonde jeune femme qui lui faisait face. Il déclara d'un air naturel.

- A vrai dire je ne savais pas si elle te plairait , je suis plus qu'heureux , qu'elle te convienne , ma chérie.

Ensuite la jeune femme décida de s'habiller par cause de forid avant de revenir s'installer dans le lit à coté de celui qui lui avait donné l'un des plus magnifiques ,inoubliables , moment de sa vie durant leur précédente soirée. Il déclara d'un faux air inquisiteur et séducteur , en référence à la parole de Joyce , tandis qu'un sourire à faire tomber n'importe quelle femme bien qu'il ne visait que celle qui avait ouvert son coeur et avait pris la première place dedans:

- Tiens tiens , mademoiselle Heir , ne serait-ce pas une excuse??? Après tout il y a une cheminée içi à ce qu'il me semble , pour ne pas que les elfes meurent congelés...

Dit-il avant de rire. Joyce se vengerait sûrement en lui sautant sur son torse ou en l'embrassant avec plus d'ardeur , mais à vrai dire il ne serait pas contre une nouvelle vigueur dans cette situation précise. Il rigola d'un air naturel , d'un rire masculin cristallin sans tomber dans la balourdise se certains rires plus rauques ou même totalement aigu.

- Haha , je plaisantait bien sûr. J'aime te taquiner.

Ajouta t-il en donnant un baiser volé puis poursuivit pour rassurer la jeune femme qui lui avait donné le plus cadeau au monde. Au monde , plûtot de l'univers oui.^^ Prenant un croissant encore chaud , elle le mangea progressivement en observant de bas (jusqu'ou elle pouvait voir avec la couverture recouvrant certaines parties du corps du jeune sorcier , bien qu'elle les connaissaient par coeur maintenant pour leur avoir offert l'extase ) en haut le physique musclé et blanc du serpentard. Un frisson vînt relever quelques poils de sa peua dont ceux de partie intime. Il était temps de la recouvrir d'une protection plus résistante qu'une simple couverture ou qu'un drap. Nu , il sortit de leur refuge de fortune qui avait été le théâtre de leurs divertissement coquin. Ou plûtot de leur attraction commune. Et avec sa baguette atirra son caleçon propre , bleu foncé qui allait de paire avec celui de Joyce même si sa culotte était plus claire. Il était toujours torse nu , mais après tout il aurait encore le temps de s'habiller complétement plus tard. Il retrouna dans le lit prit lui aussi un croissant ,et de ses doigts toucha avec avidité et un air taquin la poitrine de la jeune femme cacahée dans son haut pour lui tirer un rugissement de plaisir , oû plûtot içi une nouvelle expression du fait qu'elle était heureuse qu'un homme tel que lui apprécie son corps. Il rpis ensuite un croissant et déposant ses lèvres avec gentillesse dans son cou déclara et demanda.

- Tu sais qu'hier c'était la première fois qu'une femme me faisait l'amour??? Et je dois dire que tu t'es parfaitement bien débrouillée . Je savais que tu serais plus experte que moi bien entendu mais tu es arrivé à me mettre en confiance en plus d'enporter mon coeur dans ce ballet divin. Merci mon amour.

Ajouta t-il en donnant un autre baiser langoureux à Joyce.

- Ca te dirais q'un jour on aille dans un pays fait exprès pour les amoureux , ensemble ??? Car j'ai envie de les visiter avec toi. Je ne veut plus te quitter maintenant que je t'ai enfin rencontré , toi qui me comprend mieux que personne.

Davis avait une certaine appréhension mais il laisserait le choix à la jeune femme de la destination bien sûr si elle projettait d'aller quelque part en voyage à l'étranger avec lui.

Il ne pouvait pas comprendre lui, il n’est pas une femme, mais cette rose d’une beauté pure et rare était certainement la rose la plus magnifique qu’on ne lui avait jamais offert... Joyce en était littéralement subjugué, oui ce n’est qu’une rose mais peu de rose peuvent atteindre une telle admiration, ou une telle fascination de la part d’un être humain normalement constitué, d’ailleurs les yeux de la belle jeune femme brillaient d’une lueur anormalement forte... Elle ne manqua pas de poursuivre après qu’il eut parlé, de sa voix douce et féminine...

- Cette rose, est la rose la plus belle que je n’ai jamais vue... Je l’adore... Elle est sublime, et me convient parfaitement...

Tiens, tiens, mais c’est qu’il aurait aimé qu’elle ne se rhabille pas le charmant séducteur romantique... Mais, bien sûr Joyce l’avait fait exprès, même si elle était très frileuse elle aurait put attendre avant de couvrir son magnifique corps, mais non, elle voulait faire sa petite hum là je cherche un mot pas trop vulgaire... euh chipie ? Mouais, ça fait un peu gamin mais sinon j’aurais dit emmerdeuse, et là, ça aurait peut être fait un peu trop vulgaire... Mais, c’est sa nature que voulez vous, on ne change pas les gens comme ça en claquant des doigts... Non, et même si vous essayer, Joyce c’est Joyce, et c’est personne d’autre, alors ne la changeait pas... On l’aime où on ne l’aime pas...

- Ce n’est pas du tout une excuse, et tu vas me payer ça...

Elle se jeta sauvagement contre lui, et l’embrassa aussi sauvagement que son jetage dans ses bras, et le fit basculer sur le côté en même temps qu’elle, ainsi ils roulèrent à deux sur plusieurs mètres, et arrivant enfin tout au bout du lit, Joyce la jeune lionne sauvage, se releva plaqua son homme sur le bord du lit (oui, oui Davis est son homme), et pour l’empêcher de faire le moindre mouvement, elle le bloqua avec ses jambes autour du bas de son dos, puis très doucement, pour le faire languir, elle déboutonna sa chemise blanche, et rapprocha son buste de son torse, là ses bras l’enroulèrent, et sa langue pénétra sauvagement à l’intérieur de sa bouche... (Oui, on fait tout à la sauvage...) Il n’eut pas le temps de rire beaucoup, tout compte fait...
Relâchant peu à peu son étreinte, et ainsi lui laisser la possibilité de se dégager, et de reprendre sa position de mâle dominant, parce qu’avec ce qu’elle venait de faire, c’était plutôt elle qui l’avait dominé, le jeune lionceau...
Ainsi il en profita pour se mettre un caleçon, mais Joyce ne reboutonna pas sa chemise pour autant, elle la laissa entrouverte, il pouvait ainsi voir le bout de ses seins...
Et d’ailleurs il ne se gêna pas, pour carrément toucher sa poitrine de ses doigt, à travers le tissus, ce qui provoqua de l’amusement de la part de la jeune femme, qui rugit telle une lionne, imitant à la perfection le fameux rugissement sauvage...

- C’est vrai ? Je suis la première femme qui t’est fait l’amour ? Cela m’étonne beaucoup, mais j’en suis très flattée, tu as un corps divin, et tu m’as prouvé que tu n’étais pas inexpérimenté... au contraire, je trouve que tu as parfaitement fait ton travail d’homme... C’était génial, tu as envie de fêter ça mon amour ? Un enterrement de vie de vierge ça se fête non ?
(Et oui on dit vierge aussi pour les mecs, bien que je connaisse un autre terme, entre gens civilisé on va pas dire puceau mdr...)

Elle le laissa prendre possession de sa bouche tout entière, et y ajouta sa petite note personnelle en lui chatouillant la langue...

- Un pays pour les amoureux ? Tu parles d’une île paradisiaque loin du monde, ou nous serions toi et moi ? Eh bien, j’en connais beaucoup, mais si tu en as envie, je peux t’emmener sur l’île privée de la famille Heir... En l’occurrence, mon île, situé au large de l’océan pacifique... Mes parents étant morts, et mon frère aîné aussi, cette île me reviens à moi et au reste de ma famille... Nous pourrions faire l’amour sous les cocotiers en dégustant des cocktails exotiques...Je t’y invite avec plaisir, le palais est bien assez grand pour nous deux... Enfin je ne vais pas te faire la liste des loisirs que tu peux faire las bas, ça serait beaucoup trop long... Et je pense que tu te fais déjà une idée de ce que c’est... Alors, qu’es que tu en penses ? Tu as envie qu’on organise notre lune de miel là-bas où tu préfères un autre palais plus isolé, au pôle nord ? Et à ce moment là nous ferions l’amour sur la banquise à côté des ours polaire et des pingouins mais le froid je déteste...

Elle l’embrassa tendrement, ferma ses yeux sombres, et les rouvrit peu de temps après pour connaître son avis sur la question...Puis, elle se décala un peu, sa chemise blanche toujours entrouverte...

Visiblement la rose avait encore les faveurs de Joyce. Même si elle n'était pas la seule puisqu'elle venait de montrer dans cette cuisine à quelle point elle aimait la présence de Davis. Chippie, bof ce caratère n'a jamais tué personne , alors le vert et argent lui pardonnait ce trait , elle était Joyce , lui Davis et comme l'a fait remaqrué la narratrice et confidente de Joyce , personne ne pourrait la changer , et lui non plus. Quoique , il n'y aurait que leur contacts (physiques ou non) qui pourraient peut-être faire dévier leurs avis. Et la remarque que le serpentard avait prononcé d'un air coquin avait eu son effet car sa chérie ne tarda pas à lui sauter dessus tel une lionne attaquant un zébu. (Bon c'est vrai que ce genre d'attaque il en redemanderait et puis c'était bien moins violent). Il roulèrent entrainant le replis des draps sur eux , ils les repoussèrent , et le jeune homme se retrouva dominé par sa tigresse favorite. Bin qu'au premier abord , Joyce paraaissait , foride il était arrivé à percer ses défenses et à découvrir son coté câlin. Et il adorait cette qualité chez elle, torse nu , elle ouvrit son chemisier , et là ses deux seins surgirent contre son impressionante musculature. Le baiser langoureux avait ravivé sa soif de désir mais deux fois dans la même journée ça serait peut-être trop non... Quoiqu'ils pouvaient rester habillés pour s'embrasser , ou même ne pas enlever leur bas de si bon matin. Il déclara d'un air naturel quand Joyce lui demanda si c'était vraiment la première fois qu'il couchait avec une femme:

- C'est exact , tu as eu le privilège et l'honneur de m'enlever ma virginité. Et je serais d'accord pour que l'on fête cela. Toi la femme , ma petite amie irrésistible et parfaite.

Il commença à se mettre dessus la jeune femme ses jambes bloquant les siennes tandis qu' avec sa main droite il toucha avec précaution , le visage enchanté de la demoiselle tandis que son autre main il embrasait les cuisse , et caressa avec sublimation les pointes des seins de la jeune femme avant de passer sa langue doucement dans la bouche de la jeune femme en ralantit pour lui faire profiter au maximum de son baiser.

- Je ne serais pas contre aller sur cette île . Ton idée est géniale et romantique . Et j'accepte avec joie de m'y rendre à tes cotés. Un peu plus de soleil ne nous fera pas de mal je pense et puis disons le j'éxécre le froid . Donc les pingouins et les ours polaires devront immigrés pour nous voir faire l'amour, mon coeur.

Il posa sa tête sur sa poitrine , son regard un peu plus abaissé que le sien du coup mais relevait ses yeux en fixant ceux de la jeune femme. Il murmura

- Tu as des yeux magnifiques..

Et en laissant cette opinion subjective s'avançait , il demanda d'un air malin.. Il avait envie de lui dire tout ses secrets surtout l'un d'entre eux... Après tout elle serait ammené à partager la plupart de ses cations et elle devait savoir ce petit détail.

- Joyce... Je dois t'avouer que je suis un animagus. C'est peut-être incroyable de te l'annoncer comme ça , mais il fallait bien que je te le dise. Etant donné que tu es la femme que j'aime , je devais te le dire pardon si c'est assez dérangant d'amener ça comme ça.

Le petit déjeuner avait été vite oublié , mais à la limite le serpentard pouvait s'en passer. D'ailleurs Joyce semblait ne pas s'en soucier non plus.

Ils s’en donnaient à cœur joie, les deux tourtereaux, oh que oui, et on peut dire que Davis, avait vraiment apprécié son intervention sauvage qui lui avait donné Joyce, sourire malicieux au bout des lèvres, en fait elle était loin d'avoir froid, le contact de sa peau contre celle de Davis, l'avait largement réchauffé... Elle sentit alors une intense sensation de chaleur l'envahir progressivement... Et d'un geste, elle enleva sa chemise et la lança plus loin... Elle était désormais en petite culotte devant sa proie favorite... Qui ne pouvait bien sûr pas s'empêcher de fixer ses yeux sur la magnifique poitrine de Joyce, mais ne faisons pas trop d'éloge, on en a déjà fait...

- Alors, tu es content de ta première fois, je suis ravie que ce soit moi qui en aie profité... Mais ça ne sera pas la dernière je te l'assure...

Son baiser au ralentit était très profitable, la jeune femme y prit du plaisir, et comme lui, l'embrassa très lentement, enroulant sa langue avec la sienne à la vitesse d'un escargot, lui faisant profiter le gout de sa salive, mélanger à la sienne... Quelle merveilleuse saveur...

- Parfait, nous partirons donc dès que ça sera possible, et les ours et les pingouins immigreront pour nous voir à l'œuvre... Ils ne manqueront pas une telle chose, les pauvres animaux...

Un sourire ironique se dessina au coin de ses lèvres, elle avait là dévoilé qu’elle en avait rien a foutre des animaux polaires qui crèvent, à cause de l’activité humaine, et que si il voulait faire quelque chose d’intéressant de leur vies, il valait mieux qu’il meurent ou qu’il viennent admirer le couple Davis Joyce sur leur île paradisiaque à faire l’amour à n’importe qu’elle heure... Ce qu’il viendrait faire évidemment... Non, enfin peut être pas, Joyce n’aime pas que des animaux la regardent...

- En effet mes yeux sont magnifiques, mais les tiens sont très beaux aussi...

Elle était blottit contre lui, son corps contre le sien, et entendit ce qu’il venait de dire, elle trouvait ça merveilleux et n’y voyait aucune objection...

- C’est fantastique.... Davis, ne... t’inquiètes.... pas.... ça... ne... me... déranges... pas... du tout, mais... en... quoi... tu.... te... métamorphoses... ?

Elle parlait en même temps qu’elle l’embrassait, posant ses lèvres contre les siennes, reculant pour parler, puis reprenait encore ses baisers, si bien qu’elle n’était pas sur qu’il ait bien compris... Avant qu’il ne réagisse, elle l’entraîna contre elle, et lui offrit un baiser langoureux de la mort... Un baiser, encore pire que l’asphyxie, il était intense, très intense, un baiser passionné, qui combiné son amour pour lui, son désir pour lui, sa passion pour lui et qui duré un temps indéterminé... C’était ce qu’elle appelé le baiser de la mort, ainsi elle le poursuivait jusqu’ a ce qu’elle n’ait plus du tout d’air, et qu’elle soit obligé de suffoquer, elle l’emmena donc vers le baiser de la mort, et ce la jusqu’à presque crever par manque d’air...

- Han... han.... han.... han.... han….. Je t’aime trop Davis...

Sa respiration était saccadée, et son cœur battait comme jamais il n’avait eut l’occasion de battre, mais elle était complètement folle, elle aurait put mourir... Mais non enfin elle contrôlait parfaitement la situation, enfin ce baiser il était pas près de l’oublier le petit Davis, et elle non plus d’ailleurs, c’était vraiment un vrai baiser de la mort...
Un quart d’heure passa, et la jeune femme put enfin respirer normalement, c’était la durée à attendre, pour que tout redevienne normal...
Elle attendit que Davis s’en remette aussi, et elle décrocha un sourire amusé

- Ceci, était un baiser de la mort... J’espère qu’il ne t’a pas tué, je l’avais fait qu’une fois quand j’étais plus jeune, et j’ai faillis en mourir, et là encore j’aurais put si je ne t’avais pas lâché les lèvres à tant... Tu... vas bien ?

Sa question était peut être stupide, mais elle regardait son visage blanc comme un linge, et elle eut peur, jouait t-il la comédie ou pas du tout ?

- Davis ?

Le massage de Davis avait marché. Il avait atteint son but , bien que caressait le corps de la jeune femme était devenu son sport favori ( plus que le Quidditch , après tout il n'y a pas que ça dans la vie). Et ils s'apprêtaient à rejouer de nouveau leur amour charnel ??? D'ailleurs tout amour n'est-il pas corporel. Vous pourrez essayer de trouver , mais même le sentiment et enfermé dans un physique ce qu'il fait que par nature il est charnel. Mais arrêtons de parler philosophie. Il aimait cette brillante , voire même étincelante affection le toucher de ses rayons. Et le baiser progressif et ravageur du jeune homme réveilla le désir de la jeune femme et le sien sa propre envie de la déshabiller. Les traditions aux oubliettes... Et d'ailleurs oû était-il dit qu'on avait pas le droit de coucher ensemble dès le matin. Hein??? Le sourire ironique de Joyce fit éclater de rire notre ami , à vrai dire il n'était pas en mesure de réfléchir sur la disparition des animaux ce matin , il était trop occupé à embrasser Joyce et à lui prodiguer sa protection dans un sensualité débordante. L'idée que des animaux les obersvant en pleine activité le fit encore plus rire. Après tout , s'ils ne les dérangeaient pas ça aller. Quoique après tout , non, seuls c'était mieux , ils pouvaient être plus tranquille et cela augmenterait d'une manière exponentielle leur libido.

- Content , tu veux dire totalement comblé par ton expérience et toute la générosité avec laquelle tu t'es occupé de moi... Et je suis l'homme le plus heureux du monde en sachant que cet événement pourrait se reproduire. Et puis si les animaux nous observent ça leur donnera sûrement des idées entre eux.

Ses yeux lui convenaient , ceux de Joyce le faisait carréement fondre. il aimait les fixer , et les observait avec toute la concentration dont il pouvait faire preuve. A cette vérité, il laissa Joyce se blottir contre lui et posa ses odigts usr fesses , remontant avec lenteur le long de son dos. Telle une petite bête s'étant perdue sur une terre inconnue. Sauf que là , le corps de Joyce lui était assez bien connu , et il ne se lassait pas de voir ses formes si tentatrices. Et là il eut le droit à un front non réglementaire de baisers. Mademoiselle Heir , cela s'appelle de la concurrence déloyale mais notre protagonsite aurait sa revanche dans quelques minutes, se laissant aller à ce délice qui était augmenté par tout ses sens... Et il eut en cadeau un baiser à n'en plus finir , il se regardait d'un oeil heurex , fermant et ouvrant leurs paupières au fil du baiser qui unissait leur langue , leurs salives , et leur être entier , faisant monter la chaleur d'un cran. Le monde pourrait sombrer dans les ténèbres que Davis s'en moquerait , il ne bougerait pas le petit doigt , à part pour répondre aux exigences sexuelles et amoureuse de sa partenaire. Le je t'aime trop qui précédait ce baiser , fit battre son coeur d'un bond , c'était sa manière à elle de lui déclarer sa flamme et Davis la trouvait très poétique et ne pouvait s'mpécher d'admirer Joyce. Quelle inégalable sensation ce baiser. Cependant , étant donné qu'ils allaient manquer d'oxygène il fallaient bien qu'il rompe l'alliance des deux bouches. Cela avait rendu notre ami un peu plus blanc que d'ahbitude mais ce n'était pas grave. Il se releva doucement et déshabilla férocement la demoiselle , l'enfermant dans les couvertures baisant toutes les partires de son corps les uns après les autres que ça soit ses fesses , ses seins , son nombril , sa partie intime , son cou , ses lèvres... Il déclara en pleine action ses paroles coupées par ses baisers distribués sur le corps de son illustre muse.

- Quand ... Je me transforme ... C'est... En .. Boa. Et... je dois... dire ... que ton baiser... de la mort... Même s'il ... est... Risqué est génial... Merci de me l'avoir donné.

Déclara t-il en embrassant pendant de longues très longues minutes le physique plus que séduisant de la jeune femme , disons pour faire court un physique à tomber par terre. Afin qu'elle soit récompensée de sa gentillesse , et qu'elle profite un peu de ses actes d'engagment en se reposant de leur langoureux baiser mortel.

Non, mais de là à laisser des animaux polaires les regarder en plein activité sensuelle, sur leur île de rêve, c’était peut être un peu abusif, qu’ils aillent crever là ou il sont, on a pas besoin d’eux... Et puis, Joyce n’avait pas vraiment envie de voir débarquer des ours, des pingouins, ou encore des phoques admirait sa façon de faire l’amour... Non, sincèrement elle se passerait bien de ça... Et puis, Davis aussi non ? En plus ça le faisait rire, ce qui eut l’effet d’élargir le sourire de la jeune femme, il était encore plus craquant quand il riait...

- Qu’es que tu crois, je ne fais pas les choses à moitié... Et les animaux ne sont observerons pas, ils crèveront là où ils sont quand il en sera décidé pour eux... C’est un fait, et je crois qu’ils s’exciteraient un peu trop en nous voyant nu tout les deux...

Suite à cela une longue séries de baisers s’en suivirent, de la concurrence déloyale ? Ah ouais, tu n’a pas l’air de ne pas y prendre plaisir mon petit Davis... Et puis tu auras ta revanche, mais pas tout de suite, d’abord un baiser de la mort... Et ce fut après cela, que Joyce constata qu’il n’avait rien, et qu’il allait même super bien, elle le regarda furibonde, prête à l’égorger, mais bien sûr elle l’aimait trop pour ça...

- Espèce de crétin... Tu m’as fait peur... Je croyais que tu étais en train de mourir, j’ai failli avoir une crise cardiaque, ça va pas de me faire ça...

Ces mots étaient prononcées alors qu’il la déshabillait férocement, il la prenait par les sentiments, et ça devenait trop difficile de lui en vouloir, elle essaya de garder son air boudeur le plus longtemps possible, mais il la fit craqué en embrassant son corps si magnifique... Elle se mordit la lèvre pour essayer de bouder malgré elle, mais elle n’y parvenait pas... C’était trop dur...
De plus, il commençait à lui donner des baisers en même temps qu’il parlait... Irrésistible...

- C’est pas juste... Je peux pas t’en vouloir si tu me fais craqué...

Elle croisa les bras, elle était dégoutée d’avoir perdue aussi vite, et aussi facilement, c’est qu’il savait trop bien s’y prendre... C’était absolument pas juste... Son petit air boudeur l’a rendait encore plus craquante, et surtout hyper mignonne... Elle le laissa embrasser son corps séduisant, et se re mordit la lèvre inférieur pour ne pas faire de même, il ne fallait pas qu’elle le regarde c’est tout, après c’est bon, elle pourrait peut être tenir, et ne pas être trop tenté... Mais comment résister à une telle tentation ? Comment ne pas avoir envie de s’approprier ce corps délicieusement masculin ? Comment ne pas avoir envie de le dévorer ? La belle jeune femme était au dépourvue... Elle ne pouvait tout simplement pas, se faire à l’idée de bouder, pour une chose aussi bête pendant longtemps... Non, non c’est trop impossible, surtout quand un dieu embrasse votre corps divinement bien...
Cédant à ses désirs qui l’envahissaient depuis quelques minutes, elle cessa sa comédie ridicule et embrassa à son tour le torse du jeune homme, des baisers sensuels, et envoutants... Elle en avait trop envie, et s’était retenu pendant trop longtemps... Et son envie se faisait ressentir dans ses baisers fougueux et tendre, et fous, chatouilleux et sauvages, et passionné, et même langoureux... Ainsi que très nombreux, et oui elle l’embrassait à n’en plus finir: tout son torse était couvert de baisers...

- Mmh... Tu restera mon boa préféré... tu me montreras de quoi tu à l’air transformé ?

Son accès de joie repartit de plus belle en entendant la réponse de Joyce. Après tout c'étaient vrai qu'avec leur façon si divine de faire l'amour , les animaux en voyant cela coucheraient sûrement tous ensemble et engendrerait des drôles de bestioles hybrides. Il valait mieux qu'il meurent en restant ce qu'ils étaient sans regretter leur vie car après tout eux n'étaient là que pour se reproduire. Alors que les deux jeunes gens pourraient poursuivres , leurs doux touchers et baisers sur leurs surfaces sans forcément avoir d'enfants... Pratique l'intelligence humaine non??? Il répondit d'un air excité et un légérement moqueur.

- Et puis ça ne se fait d'observer deux êtres issus de la perfection... Ce serait irréspectieux pour nous.

En reprenant son souffle ... il entendit que sa chérie s'était inquiétée pour lui... Après tout il n'avait pas répondu tout de suite à son interrogation. Il fut donc traité de crétin , mais il comprenait le sens de cette parole , elle tenait à lui et ne voulait pas le perdre, c'était normal. Et avec son air de boudeuse elle était encore plus sublime. S'en suivit la longue série de baisers éparpillés sur tout le corps de la jeune femme , pour la faire débouder et lui donner un avant goût du paradis , avec des palpitations , des chatouilles né de ces baisers presque dévorants... Il était en adoration face à elle , oû plûtot contre elle plus précisément car depuis tout à l'heure il s'occupait de lui arracher des interjections sensuels visant à montrer son contentement face à aux soins tout particulier qu'il lui prodiguait. Puis ce fut à son tour de consentir aux embrassades que Joyce lui donnait. Mais avouons le , Davis ne pouvait rester de marbre face à cele, c'était avec une gratitude et disons le une envie de la faire basculer dans le lit et de lui faire profiter d'une autre ballade , disons romantique , avec des câlins ,poutous , baisers , smacks... dans le cher lit qui avait acceuilli jadis leurs amours. il n'en pouvait plus , plaquant la jeune femme dans les couvertures , il entra à son tour dans l'espace étroit et arracha son caleçon . Son engin rencontrant celui de Joyce , ils refermèrent les couches succesives de soie dorées sur eux. Tandis que leur silhouette sous les couvertures se démenaient pour l'apothéose de leur nouvelle hausse de désir... Des couinements se faisaient entendre de leurs part.. L'instant torride avait recommencé. Donnez-vous en à coeur joie , amusez vous bien les enfants.

CENSURE.

Après ce moment d'intense excitation , de folie charnelle , d'amour osé ... Nos deux amis pas très habillé se reposait un peu de leur coup d'éclat ou de maître si vous préférez. Reprenant doucement leur respirations , tournant l'un ver l'autre leur têtes en se souriant , mains dans la main tandis qu'il se laissait aller à un baiser langoureux d'une bonne dizaine de minutes. Presque un baiser de la mort , mais vu leur état de fatigue il valait mieux qu'ils y aillent un peu plus soft/mollo sur ce cours privé de langue ( vous avez compris la blague j'espère. :mrgreen ). N'ayant rien dit face à la question de la femme qui avait pris possession de lui tout entier il dit d'un air tendre.

- Je vais te faire une démonstration de mon don.

Et nu , son corps blanc devint noir , sûrement dû au fait qu'avant quand il se transformer c'était en portant sa robe de sorcier . De ce fait il avait pris l'habitude de devenir un serpent de couleur sombre (même si le noir n'est pas censé être une couleur... xd) . Et quel espèce de reptilien mes amis , l'une de plus dangereuse et pourtant fascinante , celle des boa. Au coté de Joyce reposait un Boa long de deux mètres , les écailles autant noir de jais que la plus obscur des nuits. Ceux les yuex du reptile avec les pupilles plus dilatés montrait qu'il s'agissait de Davis. Sans cela impossible de le reconnaître. Il s'approcha sous cette fière apparence (tout de même il faisait honneur à sa maison bien que ce pouvoir lui soit venu d'une piqûre de serpent qui faillit le tuer rappelant le au passage , rien à voir avec les hisoires de descendants de Serpentard... ) et glissa sa langue sur la joue de la jeune femme , en s'enroulant autour d'elle , sans forcer afin de ne pas l'âbimer c'était son amour et il ne lui ferait pas de mal. Puis quelques minutes plus tard le froid , qui avait coulé dans son corps redevint la chaleur que Joyce appréciait , son corps humain reposant sur celui de la jeune femme. En passant sa main sur ses lèvres comme pour lui suggérer un "chut" , il donna un pieux baiser à sa dulcinné avant d'arriver à sortir les mots suivants.

- Alors que penses-tu de cela? Ca ta plu j'espère en plus , d'avoir fait maintenant deux fois l'amour ensemble?

Il était contre son corps et personne ne pourrait l'y déloger , il était trop bien avec elle pour esquisser un seul geste de départ. Et entre nous quitteriez-vous les bras d'une déesse.

Il avait donc bien compris que c’était indécent de la part des animaux de les regarder en pleine action... Elle en été donc ravie, parce qu’elle n’aurait pas aimé qu’il est eut ce fantasme, légèrement bizarre et si l’on peut le dire, pas très intime, et comme il l’avait suggéré irrespectueux, ils étaient donc sur la même longueur d’onde... C’était parfait...

- Tu as parfaitement raison...

Après ses longues embrassades qu’elle lui dédiait, rien que pour lui, elle ne pouvait évidemment plus bouder, et puis même elle en exprimait plus le besoin, il était à elle, elle était à lui... Les deux corps s’emboîtaient à merveille, un parfait exemple de couple parfaitement uni... Bien qu’ils ne furent pas mariés, les deux individus de sexes différents, s’alliaient pour former un amour et une passion sans bornes... Alors pas besoin de bagues...
Sentant qu’il n’en pouvait plus, (elle non plus d’ailleurs) elle le laissa prendre possession une nouvelle fois, de son corps de déesse, et il l’emmena au septième ciel... Pour la deuxième fois, en moins de 24heures, euh 12heures, mais non même pas, combien de temps avait t-il dormi ? 6heures, tout au plus, donc il ne s’était passé que 6heures, entre leur première fois et leur deuxième fois... Bon aller, on va dire 7h, le temps de se réveiller, et se s’embrasser... Et bien, leur désir n’est pas près de s’éteindre... Ce fut alors, une deuxième fois, l’apothéose...
Et Joyce s’en donna à cœur joie... Et Davis aussi visiblement...

Après ce moment de pur excitation, les deux amoureux, avaient soufflé, le bel homme l’avait épuisé, mine de rien, reprenant son souffle petit à petit, elle se prépara à sa métamorphose, tout en l’embrassant langoureusement comme il l’avait pris l’initiative...
Puis, peu de temps plus tard, le corps de son homme, se transforma en reptile impressionnant, et effrayant... Si, il ne s’agissait pas de Davis, Joyce aurait sûrement hurlé à la mort, et se serais enfuis, en courant à tout vitesse, pour fuir le monstre, malgré elle, elle sentit un frisson lui parcourir la colonne vertébrale, c’était tellement gigantesque, magnifique, froid, vraiment hyper impressionnant, la belle serpentarde en profita pour caresser la peau froide et venimeuse du boa, et sa langue contre sa joue, la décontracta complètement, cela la chatouilla même, et elle en rit... Elle lui tira la langue, et le serpent en fit le même, et les deux langues se touchèrent une petite seconde, heureusement que la langue du boa de Davis n’était pas en mode venin, j’attaque... Sinon, je ne donne pas cher de l’état de Joyce... Mais, la belle était totalement charmée, et très impressionnée, c’était la première fois qu’elle voyait un serpent d’aussi près, et qu’elle le touchait... Elle en resta subjugué, jusqu’au moment ou Davis reprit forme humaine...

- C’était Whaoo, je n’avais jamais vu, une chose pareille, tu étais effrayant, et très impressionnant, avec ça tu éloignes un troupeau de buffles en rute, sans problème... Par contre, je préfère le goût de ta langue, tel que je te vois maintenant...

Elle déposa ses lèvres tendrement contre celle de Davis, et poursuivit un sourire malicieux au bout des lèvres :

- Deux fois, ce n’est pas assez, on recommence ?

Bien sûr, elle savait que si ils recommençait encore une fois, ça serait la mort assuré, direction la morgue, ils n’étaient pas du tout en état, la belle était quand même épuisé, et elle savait que Davis devait l’être aussi, par conséquent, refaire l’amour une troisième fois, serait du suicide... Blottit dans les bras de son prince enchanté, elle fit un magnifique sourire, avant de l’entraîner sous les couvertures, et se reposer...

- Je peux dormir dans tes bras ?

Sa question, était posée de la manière la plus mignonne au monde, ses petits yeux était suppliants, et son petit air, était à faire tombé à la renverse, au aurait dit une petite fille de 6 ans qui a terriblement besoin d’affection et de câlin... Mais, tout cela était entièrement voulu... Et elle le faisait exprès, bien que son attitude était naturellement bien jouée...
Allongée et contre lui, il ne pouvait pas faire abstraction du regard qu’elle lui faisait... Elle tendit ses bras et les déposa autour de son cou, avant de dormir on fait un câlin non ? En même, temps elle posa très délicatement ses lèvres contre les siennes, mais sans l’embrasser, elle étaient juste posé dessus, juste pour ne pas perdre le contact doux et chaud de ses lèvres, et si il fallait qu’elle meurt tout de suite, au moins elle serais encastré avec son amoureux, et lui toucherais les lèvres, mais ceci n’est qu’une image, il est bien sûr évident qu’elle n’allait pas mourir tout de suite, voyons Darling, je suis immortelle...

Et oui même sans être mariés il existait des être capable d'être en parfaite symbiose. Et Joyce t Davis faisaient partie de ces êtres extraordinaires qui pouvaient même parfois se comprendre sans mots. Mais le dialogue étant important dans un couple ils n'hésitaient pas à se parler , même en passant une nuit de rêve l'un au coté de l'autre. Après le cours échange traitant des animaux et de leurs projet réalisable d'aller sur l'île privée de Joyce qui entre nous devait être magnifique tout comme sa propriétaires , avec des noic de cocos à souhaits , un sable doré et brûlant , une mer belue-vert transparente , et des cases pour se reposer , et occassionellement faire l'maour avec sa partenaire. Ce week-end serait innoubliable , incroyable et profitable pour les deux tourteraux. Et après leur explosion d'envie ... Deux fois dans la même journée , même si nos amis n'étaient pas prêt d'arrêter , leur corps eux même s'ils s'intégraient bien l'un à l'autre leur signifiaient qu'il avait besoin d'un break ou d'un temps mort . Reprenants leurs respirations , Davis se laissa subjuger et envahir par les baisers d'un qualité innimitable par sa petite amie. Il ne tarda pas à se transformer en boa , réduisant quand même ses pouvoirs en enlevant temporairement le venin qui coulait d'habitude lors de sa métamorphose. Sous cette forme il était encore plus sensible aux caresses de Joyce , et ses rétines brillaient d'un air d'amour encore innégalé par les hommes qu'avaient dû connaître la demoiselle auparavant dans toute sa carrière de séductrice. Le fait que sa langue touche sa peau la fit rire... Elle devait être certainement moins rapeuse que celle d'un mammifère mais quand même. Néanmoins cela n'était pas désagréable pour Joyce qui n'hésita pas à approcher sa langue de celle de Davis-serpent et à lui faire parler un coup de langage... Si ce terme n'était pas un néologisme pour expliquer cette action. Le prince adora encore plus sa noble guide . Il sourit face à sa réaction... C'était vrai que c'était impressionant , en effet il s'était lui-même fait peur quand ses pouvoirs était encore à l'époque incontrolables mais depuis ça allait mieux et il s'en portait bien.

Puis la remarque suivante de Joyce le fit vivement régir posivitement , bien entendu:

- Je ne serais pas contre une troisième fois , mais il me semble qu'hélas avec la nuit précédente et ce matin ,nous soyons au bord du rouleau. Mais on pourra recommencer après un temps de repos.Qu'en pense-tu??

Il était vrai que ce matin , ne serait pas assez pour récupérer. Au pire il pourrait se retrouver dans la salle sur demande , ou même dans sa chambre pour renouveller cet exploit créateur de tant de bonnes sensations et d'attachement. Il savait que Joyce comprendrait l'allusion. Sa princesse , ne tarda pas à revenir dans ses bras , blottit contre ses membres musclés , demandant si elle pouvait dormir dans ses bras.

- Bien sûr que tu peux , après tout ce corps t'appartient à toi comme à moi maintenant . Dors , après tout notre amour compte plus que quelques cours manqués.

Il se frotta contre elle , son nez contre son nez (bisous de chat ,non???) et posa ses lèvres contre les siennes , même s'il ne s'embrassait pas ils aimaient mettre leur bouche lu'ne contre l'autre pour ne pas oublier qu'il était en compagnie de la personne qui comptait le plus pour elle au monde. Pour lui c'était elle. Et pour elle c'était lui. Il chanta une petite chanson endromant habiteullement les enfants pour bercer l'élue de son coeur , alors que lui même commençait à vaciller. Tout deux étaient maintenant dans les bras du dieu du sommeil Morphée. Bien en sécurité dans leur couvertures ils se reposaient avec sérénité. Il étaient maintenant comme deux inséparables , l'un n'allant pas sans l'autre.

Qui a dit qu’il fallait obligatoirement être marié avec quelqu’un pour être en parfaite symbiose avec cette personne ? Personne, ne la dit, et personne ne le dira jamais... tout simplement parce que cette phrase n’existe pas, sauf peut être dans les esprits primitifs.... Mais, disons le, Joyce n’était absolument pas prête pour le mariage... et encore moins avoir des enfants, soyons logique à 16 ans, on peut pas avoir une telle envie, sauf si on est complètement fou, ou je sais pas, trop mature dans sa petite tête décervelé...
La métamorphose boa l’avait très impressionné, et ce qu’il dit la firent sourire un instant, ainsi il en redemander, mmh, mais c’est qu’il est vraiment craquant quand il s’y met... Enfin, pour le moment, ça va pas être possible, Joyce est peut être une dangereuse bombe sexuelle, elle reste humaine, et la fatigue la surpris au tournant... et au dépourvue... Mais dormir dans les bras de son amoureux, ça ne pouvait pas être déplaisant, au contraire...

- Je me jetterais sur toi, quand on sera plus en forme

Déclara t-elle, un sourire malicieux au bout des lèvres, ce qui voulait dire, dès que l’on sera en pleine forme physique, je t’en referais voir de toutes les couleurs, mon petit lionceau sauvage... Elle le regarda, encore éveillé, et répliqua à sa deuxième réplique, un sourire coquin dessiné sur ses lèvres...

- D’accord, alors ton corps m’appartient à vie, il est à moi toute seule... Jusqu’à ce que mort s’en suive... Tu es à moi, et pour moi, et avec moi, et sur moi, et en dessous de moi, et à côté de moi... et en face de moi... En clair, tu m’appartiens pour l’éternité mon ange...

Et en clair, aussi il n’avait pas le choix, il n’avait pas le droit de répondre par la négative en disant qu’il ne lui appartenait pas, oh que non, il ne pouvait plus reculer, maintenant qu’il avait avancé vers les profondeurs du cœur de démon angélique de la princesse...
Son chant, la berça et doucement elle ferma les yeux, endormis avec son prince, dans les bras l’un l’autre, la vie leurs semblait paisible et calme, la belle jeune femme était d’une beauté hors normes aux côtés de son amoureux... Et c’est ainsi qu’ils s’endormirent, pour de longues heures, enlacés sous les couvertures de leur lit royal...

Puis, après ces longues heures de sommeil, la belle se réveilla très doucement, et se frotta légèrement les yeux, et très délicatement, elle s’enleva des bras de Davis, en veillant bien à ne pas le réveiller, et le laisser dormir encore... Après tout, lui aussi été fatigué...
Elle fit apparaitre avec sa baguette, un autre petit déjeuner, pour le moins appétissant, avec du café, du thé, du jus d’orange, du chocolat chaud, des croissants, des pains au chocolat, du beurre, de la confiture, et deux bols de céréales... (Parce qu’il faut dire que ce qu’avait préparé Davis avait été renversé, et en plus c’était froid) Dans un petit coin du gigantesque plateau, la belle jeune femme avait disposé une petite boite noire, dans laquelle, se trouvait un pendentif en argent, représentant la moitié d’un cœur, l’autre moitié bien sûr était accroché au cou de Joyce, gravé dessus il était écrit en tout petit et en lettres manuscrites : Je t’aime trop... Mais ce n’était pas tout, en ouvrant par une petite ouverture la forme du demi-cœur, un petit miroir de souvenir y était incrusté à l’intérieur, David n’aurait qu’a pensé à un souvenir avec Joyce, et il le verrais, pour le moment Joyce avait mis par défaut la folle nuit d’amour qu’ils avaient passé tout les deux... et une écriture de fille, bleue ornée l’illustration avec les mots : Pour que tu ne l’oublies jamais... Le demi cœur de David, pouvait soit s’accrocher en collier, soit s’accrocher en bracelet, ou encore en bague, la belle jeune femme ne savait pas quels bijoux il préférait, aussi elle l’avait ensorcelé, de sorte à en pouvoir changer la forme, et la taille, ce qui était permanent était juste le je t’aime trop, tout le reste était modifiable... Aussi, le cadeau ne pourrait que lui plaire... Il pouvait le modifier à souhait... Elle glissa le plateau juste à côté, et embrassa Davis très doucement pour qu’il se réveille en douceur, elle posa ses lèvres contre les siennes, les pressa doucement, délicatement, et tendrement pour qu’il puisse en profiter et pour ajouter une touche de douceur, sentant qu’il relevait la tête progressivement, elle prolongea son baiser pour un baiser plus fort, et plus sauvage... Ne lui laissant même pas le temps de dire quoique ce soit...Sans rompre complètement le contact qui les liaient, juste en étant à moins d’un centimètre de sa bouche, et lui murmura gentiment

- Alors, bien dormis ? J’ai fait apparaître un nouveau petit déjeuner, le tien était très bien, mais je crois qu’il a finis en charpie... Et, je t’ai apporté un cadeau...

Après ses paroles, et en étant si proche de sa bouche, elle ne put s’empêcher de l’embrasser langoureusement, lui réveillant la langue, qui avait dut s’endormir pendant leur sieste...

- Mmh... mon... ange... il... faut... qu’on... mange.... si... on...veut... pas... faire... de... l’hypo..gly...cémie...

Ses paroles étaient encore une fois saccadés, à cause de ses baisers trop nombreux, mais elle adorait faire ça, l’embrasser, l’embrasser, et essayer de parler en même temps, c’était dur, mais peu importe, elle aimait trop sa bouche pour pouvoir s’en séparer comme ça... Mais, leurs estomacs n’allaient sûrement pas tarder à crier famine...

- J’aime ta bouche

Ces trois mots étaient sortis tout seuls de sa bouche, alors qu’elle s’était enfin décidés à ne plus entrer en contact avec ses lèvres... Sa bouche constitué bien sûr tout, la langue, les lèvres, les dents, les gencives... Enfin tout...

Un sourire scintillant (ouah mieux que Holywood chewing-gum) s'installa sur le visage du jeune homme , c'est vrai qu'ils avaient abusés sur ce coup là. Mais après tout ils recommenceraient sûrement à braver l'interdit .. Et depuis quand une relation entre garçon et fille était-elle interdite , d'abord c'était fait pour cela qu'un homme et une femme s'unissent avec amour dans de beaux draps dans un lit assez grand pour deux. Avec quelques gouttes de sueur, nos amis avaient finalement repris un peu plus leurs esprits et leurs souffles. Il rigola quand Joyce fit la remarque sur son corps ... C'était lidée qu'il se faisait de l'appartenance éternelle.Il ajouta d'un faux air négligant:

- Puisque je te dis que je t'appartiendrais , ça veut dire à tout moment , toute la vie , jusqu'à mon dernier souffle si tu veux être rassurée ma chérie.

Puis fatigués ils s'étaient endormis dans leur temple doré tenant à de fines couvertures et draps. Sans bruit pour les déranger, les elfes semblaient s'eêtre montrés discrets pour ne pas déranger les jeunes gens. Et au fond , c'était bien... Pour le moment ils avaient piqué un petit somme enlacés l'un à l'autre , leurs respirations régulières s'accordant en unisson. Et quoi de plus sympathique pour une femme de ne pas avoir un petit ami ronflant à ses cotés??? Et bien figurez-vous que Davis n'avait pas ce défaut non plus. Il était vraiment fait pour Joyce. Le jeune homme n'avait pas senti la jeune femme s'éloigné dans son sommmeil pour leur rapporter un petit déjeuner qui n'était pas du tout frugal , au contraire il était riche en aliments avec des beaux croissants tout chauds , fumant encore , du café noir , du thé anglais (What else?), du chocolat , des pains au chocolat ... Bref tout ce que le vert et argent aimait. Quand on vous disait que Joyce était une femme de rêve , ce n'était pas pour rien la preuve , en plus d'être forte pour donner son amour à son prince , elle arrivait à faire apparaître de bons petit plats pour son damoiseau. Alors la vie était absolument parfaite . Mais la véritable surprise n'était pas cela , c'était la petite boîte noire avec dans son contenu un pendentif modifiable selon les préférences de son porteur. Un beau cadeau , un cadeau d'engagement . De premier engagement pour être plus précis , car même si le mot engagement rimait avec "mariage " dans la plupart des sociétés , il pouvait servir de sorte de passage montrant que d'autres heureux événements sans besoin de sacralisation pouvait se dérouler entre nos deux protagoniste. Et si lui se marirait ce ne serait qu'en accrod avec la jeune femme si elle lui posait la question. Tel la belle au bois dormant , (avec les rôles inversés :heart: ) , la june femme se pencha au dessus du visage du jeune homme avant de lui faire don d'un terrible kiss . Qui finit par le réveiller doucement comme elle le souhaitait , et sa langue avait bien sûr permis à la sienne de cette pétrifiction partielle durant son repos. Et le serpentard ne s'en plaigna pas. Les lèvres de Joyce près des siennes , il se releva avec lenteur et écouta ce qu'elle avait à lui dire. Bien dormi... Voyons Joyce avec toi , ce mot était trop simple , il s'était excellement assoupi à tes cotés, voilà qui venait àprouver ta nature de déesse. Petit déjeuner, chouette , car un petit mal de ventre vînt lui dire qu'il commençait à souffrir de la faim , et dans une cuisine ça serait le comble tiens.^^ Le sien , ah oui , maintenant qu'il se souvenait il avait ceratinement fini au sol , le par terre devait être assez glissant et il n'en voulait pas à Joyce , leur action sauvage l'avait amené au paradis une seconde fois comment pourrait-il lui en vouloir après cela. Un cadeau , il tourna la tête en direction du plateau après avoir suivi le bref regard de sa compagne allant dans ce même sens. Pour ne pas faire tomber le plateau de cuivre , il décida de la porter et de le poser doucement sur ses genoux (logique me direz-vous) et pris avec délicatesse la boîte sombre ... Elle n'avait quasiment pas de poids , ce qui voulez dire que l'objet à l'intérieur n'était pas lourd. Par contre il devait valoir cher. Posant les doigts sur le fin écrin de la boîte , il l'ouvrit et vit un pendentif en forme de demi-coeur . C'était un cadeau mignon . Il l'adorait déjà. Fou de joie il pris dans ses bras avec aisance et maîtrise pour ne pas renverser le plateau , sa petite amie et lui asséna de multiples baisers , fous , langoureux , brûlants , passionés , demi-mortel ... Et sur le fin bijoux en argent était gravé la phrase favorite de Joyce je t'aime trop qui équivalait à un je t'aime , mais il préférait de loin sa formule , c'est vrai des je t'aime simples c'est redondant. Alors que là par une phrase originale elle exprimait tout de même ses sentiments à son bien aimé. Il pris précieusement son cadeau et ouvrit l'intérieur . Un miroir à souvenir , il savait ce que c'était , il ne se fit pas prier (même s'il était divin) pour mettre le souvenir de leur nuit torride dans ce collier , car c'était comme cela qu'il voulait le porter , il le sentirait contre son coeur et la phrase " pour que tu ne l'oublie jamais " resterait gravé à jamais dans sa mémoire. Pour toute son éternité humaine. Il couvrit sa petite amie d'encore plus de baisers langoureux en couvrant son corps de caresse et les yeux brillants par l'émotion déclara doucement avec fierté , tendresse et sur un ton protecteur.

- Merci , ma chérie , c'est le plus beau cadeau que l'on m'a fait juqu'à aujourd'hui.

Une larme perla de sa joue , pas une de peine ,une de joie , il plogea sa tête dans le cou de sa dulcinée , vraiment ce cadeau le touchait du plus profond du coeur . Il s'entendaient si bien leur histoire balayerait sûrement celles des autres tellement elle serait incroyable et son cadeau voulait tout dire , elle voulait rester à ses cotés. En effet l'idée du demi-coeur était avant tout pour réunir les deux parties , non??? Et l'autre déclaration insolite le fit trembler de bonheure. J'aime ta bouche , voilà ce qu'il aurait pû dire également. Il se contenta d'une simple phrase mais qui avait un sens profond .

- Moi aussi Joyce .

Et oui il ne devit pas non plus tomber en hypoglycémie ses pauvres jeunes , quoi. Il pris un bol de chocolat chaud et commença à en boire un peu calmant son estomac.

- Oh fait quel jour sera le mieux pour notre voyage ,à deux???

Demanda t-il d'un air un peu plus dégagé , en caressant le dos de sa bien-aimée.

Ouah, c’est vrai Davis ne ronfle pas, enfin elle a déjà du le remarquer, mais ouah, alors là, c’est une vrai qualité, des plus agréables, et tellement rare (disons le, la plus pars des hommes ronfle plus que fort, et sont semblables à des trains dans une gare...) Mais, si Davis ne ronfles pas, il gagne alors encore plus d’estime... Il est vraiment fait pour Joyce, et pas était... (xd)
Ils n’avaient qu’a déguster ensemble un bon petit déjeuner, et finir en beauté leur superbe nuit par une série d’embrassades, mais d’abord elle voulait connaitre son avis sur ce qu’elle lui avait offert, et elle ne tarda pas à l’avoir, il était vraiment content, et ça lui plaisait beaucoup, Joyce avait vraiment assuré, alors... Elle en fut ravie, d’ailleurs c’était le premier cadeau matériel, qu’elle offrait à un garçon, et oui elle avait offert son corps mainte et mainte fois, mais un cadeau tel que celui-ci, elle n’y avait jamais songé avant, c’était toujours et tout le temps les hommes qui la couvrait de cadeaux, jamais elle, mais ce matin, elle en avait décidé autrement, oh oui, elle avait décidé d’offrir un cadeau à son prince enchanté... Quelle initiative, charmante d’ailleurs... Il, semblait vraiment comblé par son cadeau, ce qui charma d’autant plus la belle jeune femme, qui lui fit un sourire des plus mignons, et sincère, et grand...

- Je suis ravie, qu’il te plaise... Je porte le même autour du cou, il y un J gravé dessus... Mais je viens d’avoir une idée...

Elle détacha son pendentif, et avec sa baguette, elle grava à la suite de son J, ces deux caractères, & D, ainsi son pendentif en forme de demi cœur, portait l’inscription suivante, J&D, ce qui signifiait Joyce et Davis... Plutôt mignon non ?
Elle le remit autour de son cou, et laissa Davis, regardait ce qu’elle venait de rajouter, et lui sourit joyeusement... Elle vit qu’une petite larme avait perlé sur sa joue, et en fut d’autant plus émue... Elle caressa son visage d’ange avec ses mains... Puis, lui fit un baiser papillon, en frottant son petit nez contre le sien, comme il l’avait fait auparavant... Un sourire accroché au bout des lèvres, elle finit par déposer un petit smack sur ses lèvres, et recula lentement...

- J’en ai aucune idée, mais dès que possible, peut être le week end prochain ? Ou alors on attends les vacances, ou on sèche les cours, pour partir tout de suite...

Elle l’enlaça son amoureux de ses deux bras, et attendit un peu qu’il réagisse, après tout ils avaient tout leur temps, si ils ne se précipitaient pas en cours... Et puis c’est quoi quelques heures de cours, face aux deux tourtereaux s’aimant comme deux amants perdus... (Enfin pas si perdus que ça...)
La belle tourna un bras et prit un croissant, elle l’engloutit vite, et en prit un deuxième, elle mit l’extrémité du croissant dans sa bouche, et proposa l’autre à Davis, ainsi il dévorerait tout les deux le même croissant, et leur lèvres se toucheraient à la fin, un des jeux préférés de Joyce... Et le croissant engloutis par les deux vert et argent, leur bouche s’unirent pour un nouveau baiser duquel ils ne se lassaient pas...
Ensuite, la jeune femme s’attaqua à un pain au chocolat, qu’elle dévora sauvagement, sous les yeux de son bien aimé, et but un verre de jus d’orange, puis deux, et trois, elle crever de soif la petite, enfin elle mangea un bol de céréales, tout en, en donnant à Davis, par la bouche, encore un de ses jeux favoris, qui consistait à nourrir l’autre par la bouche, bien sûr elle lui offrait un céréale, un peu mouillé par sa salive, mais il restait quand même mangeable, et croquant, sinon elle ne le ferais pas... Et en plus, il avait le merveilleux goût de sa bouche, que Davis commençait à bien connaître... Un chocapic au goût de la bouche de Joyce, c’est bon non ? A moins que tu préfères une autre sorte de céréales, Davis... tout le monde n’aime pas les chocapic, mais c’était ce qui était venu à l’esprit de la belle serpys, sans qu’elle ne réfléchisse, et puis si on commence à s’intéresser à toute la gastronomie moldue, on est pas sortis de l’auberge...

Et ce cadeau avait vraiment ému notre ami. Sa joie était indescriptible tellement il était heureux et comme un petit félin ronronnant après avoir eu sa dose d'amour , il fit plein de câlinous à sa petite ami partout. Il aimait bien toucher son ventre , sa poitrine , son cou, ses lèvres , sa joue , à lui mordiller les lobes de ses oreilles qui étaient très jolies . Un vrai lionceau (Oui c'est une dédicassa au roil lion xd... :heart: ) parcourant les atouts majeurs de sa compagne. Et qui aimait se perdre dans le labyrinthe des sensations satinées que lui donné sans réserve Joyce. Interessé par son pendentif (ben oui c'est pas tout les jours qu'une jeune femme , de plus une incarnation divine vous offre un si beau cadeau que celui là), il en regarda minutieusement la surface et s'apperçut qu'un D ornait le dessus. C'était si mignon , elle avait pensé à tout.

- Tu viens encore une fois de me combler d'amour impérissable.

Pour la peine , il embrassait fougeusement chaque centimètre carrée de sa peau. Il l'aimmait , elle l'aimait , c'était prodigieux. Un amour comme cela c'était si exceptionnelle et né d'une simple rencontre , d'un simple regard d'un simple jeu. Rien à dire ça valait mieux que toutes les rencontres tartignoles d'autres tourtereaux. Son sourire était la seule chose qui arrivait à le contenter lui aussi , à lui montrer qu'il était utile , indispensable à quelqu'un et pas à n'importe qui elle en particulier. Il se détache d'elle quand elle prit sa baguette , visiblement elle voulu rajouter quelque chose à son oeuvre qui avait extasié les yeux couleurs noisettes de son chevalier servant( qui était loin d'être en armure , sans glaive... sans armes à part sa rose qui avait fait fondre les dernier remparts du coeur de la jeune femme, et l'amour mes amis , n'est-ce pas le plus beau des combats au monde??? Si .) . Quelques secondes après son intervention , un & et un J apparurent à la suite de l'initiale de son prénom. Il en fut stupéfait de bonheur. Cette sincérité dans ses sentiments , c'était quelque chose , qui vous marquait , vous emerveillait; Se jettant littéralement sur sa petite amie. Il lui donna le plus doux , le plus irrésistible des baisers. Ouvrant et fermant ses lèvres pour permettre que ceux de Joyce les touche et s'y accrochent , avec lenteur leur langue jouant sur un tempo moins rapide qu'auparavant mais qui donnait plus de sensations aux jeunes gens. Le baiser papillon , vint les entourer d'une aura plus forte de tendresse. La réponse de Joyce à sa question l'amusa. Fuir à la sauvette était un perspctive plus qu'amusante et qui avait son petit charme. Les cours il n'en voyez pas le bout sans elle , il vaiat envie de tout et tout de suite. Du moment qu'elle était avec lui et prête à enfoucher sa blanche monture. que de métaphores décidement , je me laisse aller à un fort lyrisme , voilà ce que c'est d'être un narrateur-poète à ses heures. Il dit enfin en sortant de son baise plus que profitable qui faisait frémir sa peau toute entière.

- Partons vite... Mais il faudrait qu'on organise notre départ avant cependant. Que dirais-tu de deux jours , le temps que je dise par une lettre que je ne rentres pas cette semaine à la maison. Et puis il faut que je renouvlele ma garde robe , pour être habillé comme il se doit pour aller dans ce lieu paradisiaque. J'aimerais que tu m'aides à les choisir pour pouvoir me les enlever une fois là-bas.

Du culot , voici ce qui pouvait encore augmenter son attraction. Ben oui ,elle avait réveillé instantanément les cotés rebelles du prince et Davis était content que se soit elle qui devait retirer l'épée du rocher de ses sentiments profonds. Mais l'heure était à la décontraction mes amis et les deux amants s'en donnaient à coeur joie. Le petit déjeuner était encore une occasion de montrer son attachement , son lieu à l'autre. Le coup du baiser volé était classique mais toujours efficace et le jeune homme se laissa prendre au jeu. De ses yeux perçants , et pénétrants , ils observa Joyce commencer la première partie du croissant en attaquant l'autre. Petit à petit l'écart entre leurs bouches était de plus en plus moindre. Leurs lèvres se touchèrent mélangeant les excitantes éfluves de leurs corps , tandis que leurs langues bougaient en tout sens comme des hystériques en quête de médicaments et ils étaient leur propre solution dans un glousemement de plaisir les organes du goûts étaient l'une sur l'autre , la première protégeant la seconde dans un contact permanent et protecteur. Enfin il se nourrièrent de plusieurs autrs patîserries , deux-trois pains au chocolat venait d'être englouti par Davis afin de lui redonner de l'énergie après tout les exercices spéciaux que lui et Joyce avaient fait en double dans leur lit de luxe. Et quoi de meiux pour un prince et sa princesse? Et l'autre jeu commença ,nourrir l'autre par labouche se fut Joyce qui commença avec une souplesse de langue inclassable. Un chocapic au goût de miel , c'était délicieux. Prenant la jeune femme par la taille , il la fit se coucher , se plaça en califourchon sur elle (chacun son tour.^^ ). et approcha avec pudeur son visage du sien , avec une céréale similaire à ceux des paquets de samcks en vente dans les commerces moldus. Sa langue passa avec précision sur celle de Joyce , on aurait pû croire qu'il faisait cela depuis des années.

- Tu aimes???

Demanda t-il , intéressé de conaître la réaction de sa partenaire sexy( qui plus , toute nue en plus).Mais un détails sembalit avoir échappé à la serpentarde. En mangeant avec bonne humeur , une petite moustache de chocolat s'était posée un peu au dessus des lèvres de Davis . Mais elle tournerait sûrement ce petit détail en un moment d'intense plaisir que seule elle pouvait lui faire partager.

La belle se laissa emporter dans ses câlinous, pour les moins sauvages, digne du plus mignon de tout les lionceaux, oh oui, Davis mérite bien ce titre, il le porte si bien, que l’on penserait presque que ce mot à été conçu et créer pour lui... Non, mais c’est vrai j’exagère pas, il a vraiment l’air d’un lionceau quand il se met dans ces états, et il est vraiment trop mignon, Joyce lui sourit, encore un magnifique sourire, elle adorait quand un homme se mettait dans un tel état qui prouvait qu’il était heureux, et pas n’importe quel homme, non là, elle pouvait même nommé Davis... Son tendre amant... Son prince enchanté, son amoureux... son petit ami, son homme, et son lionceau préféré...

- Tu sais, que tu ressembles à un lionceau, et que tu es terriblement mignon ?

Ses baisers fougueux, ne faisaient qu’accroître le propre bonheur de la belle jeune femme, il sait super bien s’y prendre le jeune lionceau... En plus il la chatouille, eh oui, Joyce est très chatouilleuse, et ses baisers la firent rire aux éclats, elle n’en pouvait plus, c’était trop, il la chatouillait tellement...

- Aaaaah... Mais, tu me chatouilles, c’est pas juste... Je vais me venger...

Elle se précipita sur lui, et lui mordilla le cou, et le caressa, d’abord le torse, elle s’attarda sur son nombril, et osa même balader ses mains sur les parties sensibles de Davis, tout en pensant qu’il ne pourrait pas résister à une telle chose, il serait obligé de craquer... Et ça sera tant mieux pour Joyce... Nah...
Puis contente de s’être venger, et après avoir changé l’inscription de son pendentif, elle le laissa se jeter sur elle, à son tour, l’embrassant, jouant avec ses lèvres, et sa langue... Retrouvant des sensations tant appréciées... Mmh, oui, embrasser Davis et se faire embrasser par Davis procurent des sensations très agréables, en plus son petit goût de fraise, est délicieux, la belle l’embrassa avec gourmandise, elle avait envie de retrouver le goût de fraise dans sa bouche... Elle adoré tellement ce goût...

- D’accord, deux jours devraient suffirent, tu préviens tes parents, et moi je t’emmène dans ma boutique préférée de lingerie féminine, et masculine... La vendeuse me connaît bien, et puis il y a vraiment un choix gargantuesque, tu n’auras qu’à en choisir quelques uns pour moi, et j’en choisirais pour toi... Qu’es que tu en penses ?
Tu devrais avoir une petite idée de mes mensurations non ? Où, tu veux que je t’aide un peu...

Elle décrocha un sourire malicieux, plus malicieuse que Joyce, tu meurt, rien qu’a écouter ses mots, on se fait une idée de ce qui peut bien se passer dans sa petite tête, de séductrice, et puis on perçoit aussi un certain vocabulaire... Ce qui prouve que mademoiselle n’a pas été élevé complètement chez les fous, encore que ses années à l’orphelinat ne l’on pas aidé et question vocabulaire, elle en a appris des pas mal, de sortes qu’elle est tout à fait capable de sortir un *** de bordel de merde, en pleine conversation, ce qui fait toute la richesse de sa culture bien évidemment... Par contre, je sais pas si elle serais capable de prononcée des phrases comme par exemple : Vas y batard, traite pas ma mère ou jte défonce... ou encore, t’as un blempro mec...Va te faire enculé, j’ai pas envie dme faire killer par mon daron... Ou autres sympathique petite insulte, bien connue des moldus, non là je crois que ça serais légèrement abusif... quoique on pourrait essayer pour rire, enfin non... ça ne lui irait tellement pas, elle princesse issue de la bourgeoisie sorcière, non ce n’est peut être pas une bonne idée... Enfin nous verrons... :

Le petit déjeuner des deux tourtereaux est beaucoup plus intéressants, que le langage qu’utilise Joyce, alors revenons en au fait... Son amoureux, la coucha et se mit à califourchon sur elle, ce qui l’excita encore plus, et elle se laissa nourrir, la langue de Davis était aussi souple que la sienne, donnant un goût de fraise au petit céréales, délicieux, Joyce le croqua, entièrement, et en profita pour poursuivre le jeu avec la langue de Davis, sans céréale par contre, mais c’était juste pour profiter encore de sa langue tellement merveilleuse, et délicieuse de son homme...

- C’était délicieux, j’ai beaucoup aimé... Non, mieux que ça, c’était grandiose... mmh.. J’aime tellement le goût de ta langue, tu me la fais goûter encore ?

Sans lui laisser le temps de réagir, elle attrapa le même céréale que Davis avait pris, et le coinça entre ses dents, elle approcha son visage de celui de Davis, et déposa le céréale dans sa bouche, et dégusta une nouvelle fois sa langue si fruité et sucré... Mais se reculant un tout petit peu après la dégustation de langue de Davis à la fraise, ses yeux aperçurent une petite moustache de chocolat au dessus des lèvres de son chéri...
Elle passa sa langue sur la surface chocolatée, pour la lui enlever, et en profita pour l’embrasser une fois qu’elle eut mis sa langue à l’attaque... Elle s’attarda exprès, sur le coin de ses lèvres, pour que le plaisir dure plus longtemps, et sa langue repassa une deuxième fois, alors que le chocolat avait disparu... Elle fit même un tour complet sur la bouche de Davis, alors qu’aucune trace de chocolat n’était présente à cet endroit...

- Tu avais du chocolat au dessus les lèvres...

Affirma t-elle pour lui expliquer son geste, mais elle voulait aussi qu’il comprenne que le chocolat aurait put être un prétexte, pour qu’elle passe sa langue sur sa bouche, et elle l’aurait fait même si il n’avait pas eu de chocolat, la preuve elle l’avait fait deux fois...
Elle observa le visage de son amoureux, pour voir si il avait aimé, mais elle ne put s’empêcher de lui demander, comme il l’avait lui-même fait, quelques minutes plus tôt, elle voulait jouer la maligne...

- ça t’a plût ?

Quelle question, évidemment qu’il a aimé, mais elle voulais l’entendre de ses lèvres, et le voir de ses yeux et de son sourire, si il avait envie de sourire, bref, elle voulait la totale... Toujours en dessous de lui, elle l’enlaça de ses deux bras... Leurs deux corps nus, se touchaient...

Jouer la maligne ??? Alors qu'elle l'était de par sa nature . Vous sous estimez Mlle Joyce Heir chère narratrice et qui plus est collègue. Mais ce genre de petit déjeuner est tout à fait appréciable . Et de par sa présence , Joyce mettait beaucoup de piment dans leur relation et ce qui le faisait le plus craquer , elle osait faire épanouir leurs scènes d'amour, amour que chacun portait l'un à l'autre de part des prouesses sexuelles époustouflante , des dons de baisers hors du commun, des jeux très osés... Même avec des choses qui semblaient banales. Mais voilà nos amis étaient en train de se faire un avenir en or de par leur relation fusionnelle et leur dons à rendre la vie plus belle. De se faire un cocon de sentiments amoureux , oû ils pourraient tous deux évoluer l'un avec l'autre. Et leur flamme n'en serait que plus immense. La comparaison avec le lionceau le fit rire... C'était vrai qu'il devait être mignon dans cette tenue de nudité totale. Avec son petit air de canaille.^^ Il fut aux anges en sachant que ses baisers chatouillaient sa compagne et lui donnait du bonheur et surtout du rire. Il était bien placé pour faire des guillis aux gens , ayant une petite soeur elle aussi très chatouilleuse , il savait comment si prendre pour faire craquer une demoiselle dans des éclats phénoménals de joies... Sauf que cette fois , c'était avec des baisers. (Ben oui Davis ne trâine pas dans des affaires incestueuses que coriyait vous??? Hein.... ). Eh bien que la vengance était censé être un plat qui se mange froid elle était plûtot assez bouillante , vu que Joyce ne perdit pas un instant pour sauter sur son prince et le mordre dans le cou.(Attention , le pauvre va être scarifié si ça continue xd) , hum ce qu'il adorait ça... Cette sensation de fraîcheur sur sa peua avec ce doux parfum sucrée s'échappant des lèvres de sa serpentarde préférée. Et se fut au tour de Davis de céder face aux chatouilles car vous me croyrez ou non , lui aussi ne resistait pas à cette torture. Sauf qu'avec Joyce , il avait envie que ça ne s'arrête jamais.

- Ha ha , toi ... Tu ressemble à une vrai lionne ...Cherchant son roi... Et je crois que tu l'a trouvé. Ta vengeance me fait du bien .

Dit-il d'une voix entrecoupée sentant les mains de Joyce sur des parties bombées de son corps en cohabitation avec son animal de compagnie. Elle aimait, bien s'occupait de cette partie là du corps de Davis. La belle bouche de Joyce avec ses dents blanches (oui ,même si elle fume , après tout fumer n'empêche pas de se laver les dents... Un préjugé en moins , un ), ses lèvres écarlates plus douce que du pollen... Et ce goût de miel irrésistible , hum , c'était à tomber à genoux devant elle tellement c'était bon. Il répondit d'un air enthousiaste à la proposition de Joyce.

- Je dois dire que ton idée de choisir des fringues l'un pour l'autre est super. Mais étant donné que tu es parfaite je ne suis pas étonné.

Déclara t-il avec un ton enjoué et un sourire malicieux , malin , joueur , voire même (c'est possible chez un homme ? ben oui semble t-il) raccoleur. Il regarda de près pour deviner ,les mensurations de sa petite amie:

-Je dirais un 95 C avec cette poitrine plantureuse et ces fesses fermes , et attirantes me guiderais vers du 38.

Avait-il deviné juste??? Suspens and surprise. Nous verron ce détail de taille suite à la réponse de Joyce. Après vînt l'insertion de la céréale dans la bouche de Joyce et cette dernière avait bien appréciée mais ce qu'elle aimait c'était vraiment que leurs langues se touchent et profitant aussi du goût de la langue de Joyce avec cette salive ayant le parfum de glucose notre ami fut plus qu'excité mais avec toute l'énergie qu'ils avaient mis dans leurs échanges olés olés , ils ne pouvaient pas recommencer pour le moment ,pas grave quand ils se retrouveraient pour la troisième fois ça n'en serait que plus majestueux.

- Sans problème .

Répondit dit , suite à l'interrogation de sa chérie. Il caressa la nuque de la jeune femme lui donnant un baiser papillon et ouvrit sa bouche passant avec délicatesse sa langue dans la bouche de Joyce entreouverte tandis queleurs lèvres se fermaient pour permettre le petit duel des langues , ou si vous plus que romantique qu'épique , on pourrait dire leurs slows. Et ce fut le moment si délicat du léchage de moustache. Pardon pour l'expresion mais c'est pourtant le fait que l'on voit tous. .

- Merci de m'avoir enlevé ce chocolat alors. Je crois que ça mérite une récompense. Et j'ai bien apprécié je ne serais pas contre un deuxième tour de langue autour de la bouche et qui plus est sur mes lèvres pour qu'elles n'oublient pas le goût de tes savoureux baisers qui me font complétement fondre.

Oui , il avait comprit le prétexte , voilà pourquoi il passa avec une certaine maîtrise , sa langue sur les lèvres de Joyce , sur tout les contour en lui souriant en se dégageant tel un bandit après avoir fait un rapt , on aurait pû croire que Robin des bois était à sa place après avoir volé le Shérif de Nottingham. Sauf que là c'était Davis qui voulait étonner Joyce de par un acte calculé qui préparerait la contre attaque fracassante de la jeune femme à coup de grands baisers. Et Davis caressa les parties sphériques du physique de la jeune femme , posant sa tête entre en eux d'eux , commençant par doner des coups de langue au sein droite puis gauche . Voulant encore faire monter le désir de la jeune femme. Remontant avec langueur sa tête , il demanda en restant à cotés de la jeune femme en caressant cette fois ses cuisses.

- Je voulais savoir... Accepterais-tu que je vienne habiter avec toi sur ton île??? Car je ne peux laisser la femme que j'aime trop à des arborigènes qui voudraient me l'enlever.

La perspective de vivre dans un pays étranger ne lui faisait pas peur. Tant qu'il serait avec Joyce , il serait sans peurs et sans reproches.

Eh, mais n’importe quoi, je ne sous estime pas du tout Joyce, alors là, tu vas me payer cette absurdité, complètement fausse... Sa malignité n’est pas un état constant, même si elle l’est très souvent, elle change, donc est lunatique, et à ses humeurs, comme la plus part des gens, tu me touches, jte bouffe... Et même, Joyce est la meilleure des malines du monde, quand elle le décide...
Et là, ça fait mal... ( faut toujours que je déborde...je sais...)
Mais passons, là n’est pas la raison de cette réponse, nos deux protagonistes, sont plus intéressants, vive le sexe... Etant doués tout les deux pour les chatouilles, il ne fut pas difficile de mener l’autre à des frissons... Joyce jubilait... Elle était ravie de constater, qu’elle pouvait aussi le chatouiller, bien qu’elle aurait aussi accepter le fait qu’il ne soit pas du tout chatouilleux, seulement ça aurait été injuste et moins drôle... Et la vengeance se mange toujours chaude avec Joyce... Ainsi, elle fait l’exception à la règle, en plus d’être parfaite, elle est unique au monde, et professionnellement apte à la malignité... Maître, en l’art du baiser mortel, langoureux, passionné, amoureux, tendre, doux, enfin tout les baisers du monde... Du smack, au baiser mortel, un sacré rayon... Oh oui, tous testé et approuvé par Davis... (Mais ce n’est pas lui qui s’en plaindrait...)

- Donc, j’ai trouvé mon roi lion... Tu ne peux donc pas être un lionceau, tu es mon lion, et moi je suis ta lionne... Tant pis, si métamorphosé tu ressembles plus à un boa...

La belle bouche de Joyce, et ses dents blanches qui s’alliaient parfaitement avec les dents blanches et la bouche de Davis... (Je précise quand même, qu’en plus de se laver les dents, Joyce utilise la magie, pour l’éclats de ses dents...Et ainsi, ne pas avoir des dents de fumeuses... même si elle fume...ahaa.. )
Et ça me parait difficile de tomber à genoux, si tu es allongé Davis... (xd) Mais soit, c’est très flatteur ce que tu dis, donc on va faire abstraction de ton manque de logique masculine... (Oula, méchant, oui nous aussi les filles ont un côté matcho...)
Mais, elle le laissa contempler sa jolie poitrine, de très près, et répondit ensuite à sa supposition exacte, en décrochant un sourire limite vexée...

- Pff, tu as encore raison, c’est pas du juste, tu le fais vraiment exprès... Tu triches...

Même, si il avait deviné juste, elle ne pouvait pas s’empêcher de penser qu’il avait fouiner dans des tas de soutien gorge pour avoir trouver juste, et qui sait si il n’a pas regarder la taille de sa petite culotte aussi, pff c’est vraiment pas du juste... Je suis pas d’accord... (mdr)
Suite à cela, elle lui lécha la bouche, et les lèvres, ce qui lui avait apparemment plut...

- Je te l’ai enlevé parce que tu avais l’air ridicule... Et que j’avais envie de le lécher ta bouche... Et t’embrasser...

Puis, son homme lui fit la même chose, en trois secondes, et demi... La belle, furibonde, bondit sur son lion(ceau), et le poussa sur le côté, là, c’était insuffisant, à son goût, et nul...

- Trois secondes, ne me suffisent pas...

Agressive, la petite Joyce... Non, mais là, elle n’est pas contente... C’était peut être idiot de se mettre dans un tel état, mais il ne l’avait que presque effleurée, et s’était tout de suite éloigné, alors qu’elle s’était attendu à autre chose de sa part... Quelque chose, de mieux... Aussi, elle n’avait pas put s’empêcher de se mettre un tout petit peu en colère... (Attention, elle n’est pas non plus en train de péter un câble, elle est juste un peu en froid, et n’a pas vraiment apprécié qu’il s’éloigne aussi vite... Alors qu’elle aurait justement voulue, que ça dure... C’est tout...)
Suite à sa demande, elle détourna le regard, se retourna, et ne le regarda même pas... Elle avait même envie de mettre une chemise, et un jean, pour qu’il n’est plus le loisir de la regarder nue, mais là, c’était peut être trop abusif... Elle resta donc nue, lui faisant la tête, à l’extrémité du lit, elle était donc assez loin, pour qu’il ne la touche plus... Elle enfouie même sa tête dans l’oreiller (pour mieux bouder) et ne dit rien... N’importe qu’elle fille, se serais sentie débile, et conne de bouder que pour un truc aussi crétin, mais pas Joyce, elle ne se sentait jamais conne de toute façon, alors autant bouder, pour bouder... Et cette fois, elle n’allait pas craquer tout de suite... D’abord, elle avait enfouie sa tête dans son oreiller, alors il ne pourrait pas l’embrasser, et avait eut l’idée de mettre en deuxième oreiller sur sa poitrine, nah, il ne lui restait que ces fesses, et son dos à embrasser...

- He oui c'est comme ça. Mais que serait un lion sans sa compagne???

Ajouta t-il d'un air coquin. Tout était fait pour que ces deux là soient sur la même longeur d'onde si j'ose utiliser cette expression bien qu'il n'y avait aucne radio dans les locaux du collège Poudlard bien évidemment. Le fait que la jeune femme avait lécher ses lèvres avec une certaine dextérité lui avait procuré une grande sensation de profond bien-être. Et comment ne pas l'être en compagnie de sa Joyce adorée??? Oui , oui , Joyce , ne trouve pas d'excuses on sait bien nous , spectateurs que c'était un prétexte pour lui apporter une dose de plaisir suplémentaire. Mais il était vrai (vu que Davis n'avait plus aucune trace de choclat au dessus des lèvres ) qu'avec cette moustache cacaotée , ce jeune homme faisait vieillot , heureusement que tu lui a rendu son aspect d'origine chère déesse. Car notre ami à un prestige et un charisme à défendre. Deux autres traits de caractères qui s'emposaient au regard des gens qui croisaient le physique vénusien de la verte et argent. La petite contre-attaque de notre fauve n'avait pas suffit à sa belle. Pas assez de longueur??? Cependant il fallait dire que le fait qu'ele le pousse sur le coté le vexa , mais il prit sur lui. Sa peine à elle bein qu'aux yeux des autres était insignifiante ne l'était pas pour lui. Et son coté grognon la rendait encore plus séduisante. Le fait que certaines personnes la considère comme une peste ne lui faisait ni chaud , ni forid ce n'était pas son avis à lui: elle voulait juste plus de câlins de son homme , une chose assez naturelle même pour Joyce qui savait se démarquer du moule habituelle de la femme coincée. Ilfut assez étonné de la voir si distante , mais Davis une femme en colère , c'est comme ça souvent lunatique mon vieux , crois en mon expérience de narrateur. :heart: Le fuyant presque , elle se plaça à l'autre extrémité du lit, en posant sa tête sur un oreiller et protéger sa poitrine à l'aide d'un deuxième oreiller. Allala , se sentant coupable de ne pas lui avoir donné assez d'mour. Notre ami s'avança doucement de sa partenaire et se mit à s'allonger sur elle lui massant avec insistance ses épaules , puis sa colonne vertébrale , jusqu'à descendre jusqu'au noble postérieur (sans dire le mot "miches" qui enlève tout de suite le coté romantique de la scène)de la demoiselle. Elle boudait toujours. Mais attend ton beau prince va trouver le moyen de se faire pardonner. Il donna une série de baisers sur les deux fesses de Joyce , qui semblait bouger sous cet étrange rite . Mais ce n'était que le début ne vous arrêter pas de bouder tout de suite mademoiselle Heir ce ne serait pas amusant...

-Excuse-moi si je ne t'ai pas donné assez de baisers... Je vois bien que je t'ai déçu et je veux me faire pardonner. Prépare toi car une forte quantité de plaisir va t'envahir , ma lionne d'amour.

Murmura t-il à son oreille en arrivant avec sa force à enlever l'oreiller qui l'empcéhait de voir le visage de Joyce retournée. Seulement s'attendait t-elle à ce qui allait suivr. Car l'animal caché et poilu de Davis s'agitait de plus en plus contre la peau frêle et délicate de sa tourterelle. De plus ne plus proche d'éclater de désir , Davis se mit à l'action pendant que son sexe allait dangereusement vers les fesses sa chère et tendre. Et ce fut le coup de grâce pour réveiller notre amie bougonneuse.Tandis qu'un orgasme strident retentissait dans toute la salle.

CENSURE.

Un peu essouflé après s'être démené à l'arrière des reins de la jeune femme notre ami la retourna et lui demanda.

- Ca c'était la première étape. Voici la seconde.

Il la prit contre lui posa sa main droite sur l'un des seins et le massa de façon circulaireafin de lui faire passer le feu dans ses veines , à elles. Il s'avança et cette fois , fit le tour desa bouche et léchant ses lèvres pendant un quart d'heure , quinze minutes d'extase pour lui et pour elle. Et voulant à tout prix lui montrer qu'il tenait à ele il lui donne le plus langoureux des baisers. Tant pis s'il devait mourir dans ses bras , tant qu'elle serait fière de lui. Vous l'avez compris il tentait le baiser de la mort. Sans respiration... C'était un baiser d'un autre monde innacesible au commun des mortels ,seulement son visage devnait de plus en plus pâle , tandis queson coeur palpitait de plus en plus fort menaçant presque de s'arrêter . A la fin du baiser notre ami , avait la tête qui tournait , étonnat pour quelqu'un d'aussi résistant que lui. Il avait voulu lui montrer à qu'elle point il l'aimait , seulement il partait dans les pommes... Trop d'entraînement l'avait conduit à ses limites. Trop de frustration avec la colère de Joyce... Il ne pouvait le dire tandis que son corps decrispé tombait au ralenti sur des couvertures d'un faites des plus beaux rayons de lumières... Le dieu allait peut-être quitter sans le vouloir celle à qui son coeur était le plus fidèle serviteur.

Sa remarque la fit sourire, à ce moment là, elle n’était pas encore cachée sous ses oreillers, aussi il put le voir, elle trouvait ça drôle, mais surtout très vrai...

- Le lion n’est rien sans sa lionne, donc tu n’es rien sans moi, et moi je suis moins que ce que je suis sans toi... parce que la lionne a besoin de son lion...

Elle ne voulait pas dire, je ne suis rien sans toi, parce que se n’était pas tellement vrai, et puis, la sincérité a toujours fait partis de son jeu, alors ce n’est pas menti qu’elle allait contredire ce principe là, qui fait d’ailleurs toute la richesse de son caractère et de sa personnalité... Et puis, au moins ça avait le mérite d’être original comme déclaration, Davis pouvait la contester, si il le voulait, la belle n’est pas contre l’argumentation... Mais sa deuxième phrase parce que la lionne a besoin de son lion, était nettement plus mignonne, elle suggérait que Joyce avait besoin de Davis, ce qui était vrai... Encore une fois, très sincère dans tout ce qu’elle dit...
Mais quelques longues minutes suffirent à transformer la lionne en sauvagerie boudeuse, et elle se camoufla derrière deux oreillers, un pour le visage, et en autre pour sa poitrine, et hop je me retourne... Nah La belle, était donc dos à lui, en position de : boudeuse professionnelle...
Mais ce que lui murmura son lion d’amour, eut le don de commencer fortement à la débouder, c’était trop mignon pour qu’elle reste insensible, elle faillit ouvrir la bouche pour lui dire, mon animal sauvage, tu me déçois pas, tu es trop craquant, tais toi et embrasse moi, mais rien ne sortit de sa bouche, et en plus il lui piqua son oreiller, celui qui cachait son visage, tant pis, au moins l’autre protège sa poitrine...
Mais ce n’est pas pour autant qu’elle se retourna, oh que non, certes sa tête était légèrement relevée, mais elle n’allait pas se laisser faire comme ça... Enfin, si, dès qu’elle sentit l’animal de Davis contre sa peau, elle sentit un frisson la parcourir, et dut se mordre douloureusement la lèvre, pour éviter de gémir tout de suite, mais il ne comptait pas s’arrêter, et était vraiment décider, aussi dès qu’il entra en contact avec ses fesses, plus que dangereusement, la belle ne put se retenir longtemps, et elle ne tarda pas à gémir de plaisir, en s’accrochant au lit, et à hurler le prénom : Davis, dans toute la pièce, et si il ne l’avait pas insonorisé , de sorte à ce que personne ne puisse les entendre, on aurait entendu crier la jeune femme, à des kilomètres...
( Mais trêve de précisions, je crois que le mot Censure, est adapté... sinon on va choquer tout le forum, avec nos textes érotiques...)

Davis réussit à la retournée, décidément elle ne pouvait rien faire, il prenait le dessus sur elle, et ça ne servait à rien de se débattre, enfin si, mais là tout de suite, elle en avait pas vraiment envie, voilà pourquoi elle n’avait pas vraiment envie de faire de la résistance, mais si ça avait été le cas contraire, croyez moi, Davis n’aurait pas put la retourner comme un filet de bœuf, oh que non, il aurait dut se battre, et se déchaîner, pour éviter de se faire mordre ou griffer, mais ce n’étais pas le cas, ici même, et dans l’instant, alors passons, c’était juste à titre d’information...
Elle ne put non plus résister à la caresse au plus profond de son sein droit, la main de Davis était chaude et douce et elle massait vraiment bien, le corps entier de la belle jeune femme se réchauffa sous l’effet de son massage... Elle avait l’impression que du feu traversé ses veines, mais cette sensation était très agréable... Elle se mordit la lèvre encore une fois, mais moins fort que tout à l’heure, tout en fixant son bien aimé, elle prit sa main, et déposa un baiser dessus, puis il passa ses lèvres pendant un quart d’heure sans s’arrêter sur sa bouche, mmh, il tenait vraiment à se faire pardonner, il était trop mignon.... Elle ne put qu’apprécier son geste et le laissa prendre possession de sa bouche s’attendant à un simple baiser langoureux... Mais quelle ne fut pas sa surprise en constatant, qu’il poursuivait, jusqu’au baiser mortel, alors qu’il n’a pas prit sa respiration... Joyce en revanche ne manquait pas d’air, elle en avait prit avant son baiser, mais ne s’attendait pas à ce qu’il poursuive aussi longtemps...

- Davis, tu es fou... t'es fou allié... Tu me fais peur, arrêtes... Mon amour...

La première fois qu’elle l’appelait mon amour de toute leur rencontre, mais elle le pensait, oh mon dieu elle le pensait au plus profond, de son cœur... Elle le regarda, complètement dépité, en constatant que son cœur partait vers les abîmes du paradis... Oh non, Davis ne la quittes pas... Elle t’en voudra à mort si tu fais ça...

- Davis, non... Ne meurs pas... Je t’interdis de mourir...

Mais son corps se décrispé, il était pâle comme un linge, elle sentit alors deux larmes chaudes coulaient sur ses joues, c’était la première fois de sa vie, qu’elle pleurait de tristesse...
Doucement, elle posa son oreille contre son cœur, et écouta, puis instinctivement, elle lui fit des massages cardiaques, énergétiques, et du bouche à bouche pour le ramener à la vie, elle fit même apparaître une aspirine, médicament moldus, au cas ou il avait envie de faire disparaître une douleur quelconque, elle continue, et lui donna de l’air par la bouche, beaucoup d’air, tellement d’air qu’elle se surpris elle-même à avoir autant d’air... Mais d’où lui venait tout cet air ? Etait ce l’amour qui lui donnait de l’air ? Où, était-ce le monsieur de l’air, le dieu de l’air qui voulait l’aider en lui donnant plein d’air dans ses poumons...Au bout de plusieurs longues minutes, elle sentit que Davis revenait peu à peu, à la vie, elle lui enfourna l’aspirine de force, et se précipita contre lui pour lui faire un câlin, même si il était allongée peut importe, elle s’allongea sur lui, et mit ses bras autour de sa nuque, et embrassa doucement ses lèvres, et son cou... Elle s’en voulait un peu quand même...

- Davis, je suis folle de toi… Et j’ai vraiment envie que tu viennes habiter avec moi sur mon île… Mon lion d'amour...

Elle réussit à sourire, son lion d’amour, lui avait fait peur, et sa remarque était là pour calmer un peu le jeu, et essayer de détendre l’atmosphère, elle espérait qu’il soit suffisamment en forme pour comprendre ce qu’elle avait dit, et qu’il ne replonge pas dans la mort, ou dans un espèce d’état d’inertie effrayant... Elle le couvrit de bisous, tous plus tendre et doux les uns que les autres sur sou cou, sa nuque, ses épaules, et son torse...

- Je suis désolé, je ne voulais pas que tu meures moi... Tu m’en veux vraiment ?

Première fois aussi, qu’elle était vraiment désolé, dis donc que de première fois, en ce jour, elle prit un air de gamine prise en faute, qui était parfaitement mignon, mais qu’elle n’avait vraiment pas l’habitude de prendre, rare sont les moments ou elle s’excuse, en même temps alors c’est dur... Tu l’excuseras Davis non ? (Si tu dis non, je te démonte... mdr) Mais cet événement à vraiment bouleverser son petit cœur, et sans le faire exprès, Joyce prit conscience qu’elle avait vraiment besoin de son lion adoré... Et surtout qu’elle ne voulait pas qu’il meure... Elle avait besoin d’être rassurée, d’entendre sa voix, d’écouter son souffle et son cœur battre à nouveau, de sentir ses caresses, ses baisers... Qu’il lui murmure des mots d’amour, et qu’il ne meurt plus jamais...

(Petit retour en arrière , Wink

).

La réponse de Joyce sur le fait que la lionne n'était rien sans son felin de mari (Même si Joyce et Davis n'étaient pas époux) n'était que trop vrai... L'un ne pouvait vivre sans l'autre pour satisfaire leurs inclinations (leurs passions en somme). Et quel sentiment admirable que l'amour??? Ce sentiment qui vous rend invincible , qui vous fais déplacer des montagnes qui vous aide à vous améliorer vous et votre conjointe(oû conjoint selon l'orientation sexuelle du lecteur ). Puis le moment cruel arriva celui qui cassait , ou semblait briser quelque chose dans leur relation de couple aussi exemplaire. Joyce boudait et notre ami lui avait donné un moyen de la faire débouder. Mais la demoiselle étant retournée il ne pouvait observer si son franc repentir marchait. Il tenait à se faire pardonner de cette inatention passagère qu'il n'avait pas eu mais que la jeune femme , avait eu l'impression de voir. Mais l'animal de Davis contre les fesses de Joyce décoinça cette sintuation envenimée dirons nous , tandis qu'il offrait encore des minutes de plaisirs à sa petite amie. Puis deux des mains de la jeune femme se cramponèrent à la tête du lit faite d'un bois aussi solide afin qu'elle ne cède pas sur le coup de l'excitation né dee de la scène érotique des deux tourtereaux (Vous n'avez jamais vu un couple d'oiseaux faire l'amour??? Moi non plus remarque... ). Puis il entendit par la voix singulière de sa partenaire proclamant son nom que la situation avait subi un revirement . Et il en était assez fier. Fier de prouver qu'il tenait à elle , Joyce la seule et unique femme irremplaçable qu'il avait eu la chance ou si vous voulez l'opportunité de croiser sur sa route. Puis il l'avait plaqué en mettant son visage en face du sien avant qu'il ne soient tout les deux envahis (ou habités ) par des ondes violentes de plaisir , Davis en caressant le corps somptueux ( et içi la poitrine) de la jeune femme.Puis un geste prouva qu'elle l'avait pardonné , un baiser , un simple baiser , c'était ce qu'il fallait pour toucher son être. L'essence de son être même , d'être né pour l'aimer. Mais il vit remarqua la réaction de surprise qui passa à travers les pupilles de sa bien aimée. Il était vraiment imprévisible. Tant pis s'il risquait d'y passer. Il jouerait le tout pour le tout comme on dit dans les jeux de hasards moldus. Sa vie était de rendre la sienne plus rose en lui donnant sa flamme. Mais le baiser de la mort drainaît sa respiration. En effet sans oxygène , il commençait à sombrer vers un monde noir , dépourvu de joie et de peine , il n'y aurait rien. Un espace vide de sens. Il était là libéré de sa chair, corps qui devait sûrement gîre à coté de sa lionne. A cette pensée , il ressentit un fort sentiment de froid l'envahir? Un instant , comment pouvait t-il penser dans cette spirale ténébreuse infini... Alors il sentit ses doigts bougeaient .. Il n'étant pas mort. Il pourrait rester dans ce monde avec Joyce. Il vit que sa compagne faisait tout pour le ramener à la vie bien qu'il ne soit en aucun cas décédé. Ses yeux s'ouvrir sur le visage coupable de sa petite maie. Coupable de quoi , d'avoir voulu plus de baisers. Pour lui elle n'y était pour rien juste qu'il avait forcer sans tenir compte des paroles que lui avait pourtant donnés sa lionne sur ce baiser dangereux. Une rafale de mot pleins de sans parvaint à ses oreilles refonctionnat de nouveau. "amour" , "t'interdis de mourir" , " folle de toi" , "tu viennes habiter avec moi sur mon île", "Lion d'amour". Elle voulait qu'il vive avec elle??? Mais c'était la nouvelle la plus heureuse qui lui était venu d'entendre au monde. Et elle l'avait appelé mon amour. Chose qu'elle n'avait pas fait mais le pendentif qui chauffé par leur contect lui rappelait bien cette déclaration. les yeux dans les yeux de sa chasseresse. Il vit des larmes couler sur ses joues. Elle pleurait et pour lui , il avait vraiment dû l'inquiéter. D'ailleurs il s'était lui-même effayé se prommetant de ne plus la mettre dans un tel état. Sa main droite se posa sur le visage de sa dulcinnée beaucoup plus coloré que le sien , vu qu'il était encore pallot et avec une tranquilité déconcertante , l'essuya , la débarassant des ces perles de regret. Il ne lui en voulait pas. Des baisers vinrent célébrer son retour dans le monde qui l'avaît vû naître, celui des sorciers. Les baisers de Joyce lui firent beaucoup de bien tellement qu'il bougeait de par la quantité impressionante d'amour qui en découlait.

-Viens içi ...

Lui dit t-il d'un air plus tendre encore qu'avec ce léger incident qui avait quand même faillu lui coûtait la vie. Et d'un voix plus chaude encore , il ajouta.

- Comment-veux tu que j'en veuilles à la femme qui vit en permanence avec moi.. A cet endroit.

Déclara t-il , souriant avec plus de décontraction que d'ordinaire , en déplaçant la main de Joyce sur son coeur.

- Je ne t'en voudrais jamais , c'est de ma faute si j'ai failli y passer , un point c'est tout. Je n'ai juste pas écouté mon corps. Je tenais tellement à te prouver à quel point je t'aime... Pardon de t'avoir fais peur mon amour. Et bien sûr , j'accepte avec joie de vivre avec toi.

Et oui , tout s'arrangeait pendant que des rêveries de vie commune embrumait l'esprit du jeune homme. Même s'il devait faire la vaiselle (chose qu'il ne faisait jamais... Par égard au rang dans la société masculine à laquelle il appartenanit) , il n'hésiterait pas à acomplir cette tâche accompagnée de l'ange qui l'avait sauvé. Et les paroles se faisait de plus en plus rassurante tandis qu'il gratifiait le corps de Joyce de baisers langoureux à diverses endroits du corps. Il la rapprocah de lui , tandis que par pure coïncidence ( c'est ça , oui c'est ça ...), sa chérie se tenait à califourchon sur lui. Il la déposa lentement sur lui-même lui donnat un baiser audacieux , lui rappelant le gôut de sa bouche dont elle ne pouvait pas se passer.

- Je sais que tu ne m'aurais jamais souhaité ce qui vient de m'arriver. Je suis sincère car je crois en toi , ma lionne .

Puis d'un air parfaitement remis , il dit :

-Et si nous continuons notre petit déjeuner avec un petit verre de whisky avant de continuer la journée.Car elle sera dur pour nous. Je ne veux pas être séparé de toi , maintenant que tu viens de me faire la plus belle déclaration que tu ne m'avais jamais faite auparavant.

Et d'un coup de baguette deux verres apparurent , tandis qu'une bouteille de liquide d'un jaune vif apparaissait sur le plateau argenté que sa dulcinée lui avait apporté précédément.

Han... mmhppff... Juste le temps de se remettre de ses émotions, euh oui, Davis avait faillis y passer quand même, le pauvre fou, mais son geste inconsidéré prouvait à quel point il l’aimait, et rien que pour ça, le belle ne pouvait pas le traiter d’idiot ou encore de crétin, parce que son acte était vraiment trop dément, il avait mis sa vie en danger rien que pour elle ? Fallait vraiment qu’il se passe un truc bizarre dans son cœur, pour qu’il fasse un truc aussi fou, oh oui il fallait vraiment qu’il tienne à elle comme un taré pour s’asphyxier d’amour, cet acte héroïque et complètement fou avait rendu la belle un peu patraque, et il avait réussis à la faire pleurer, ce qui est quelque chose d’encore plus dément que son baiser de la mort, (non je déconne... enfin si... enfin non... on va dire approximativement égal... xd), elle qui ne pleurait jamais, qui n’avait même pas pleurer en apprenant la mort de ses parents, et de son frère aîné, qui rappelons le, s’est donné la mort à cause d’elle, eh là, son lion d’amour avait faillis y passer, et elle, elle pleurait... Oh, oui il se passait un truc pas net dans sa petite tête, et dans son petit cœur, un truc pas net du tout.... Un truc, tout bizarre, qui fait trop peur... Oulala, je crois que ça s’appelle, l’amour, mais oui, c’est ça, elle est amoureuse de Davis... Non, vous avez bien lu je vous assure, le belle tortionnaire sans cœur, est amoureuse de Davis Burningham... Mais fêtons ça, les amis... champaaagne...

-Viens içi ...

Enfin, il parlait, ses premiers mots lui demandait de venir ici, d’un coup, elle en fut plus que rassurée, il n’était pas mort, il n’était pas mort, il n’était pas mort... Quel soulagement, (si, si, je vous assure, alors là, c’est trop bien, son lion d’amour n’est pas mort, mais rendez vous compte... C’est prodigieux... Euuh, faut que je me calme, en tant que narratrice, je suis un peu trop excité je pense, je fais peur... bon stop...)
Elle écoutait ses paroles, et toucha son cœur qui battait de nouveau à la normale, bien que son visage était encore un peu palot, elle était plus que rassurée...

- Davis, tu n’es pas obligé de mourir pour me prouver que tu m’aimes... Même si c’était une très belle preuve d’amour, tu n’étais pas obligé d’en arriver là... Ne le refais plus...

Sa dernière phrase, était formulé comme un ordre, elle l’interdisait formellement de recommencer à lui faire peur, et à la faire pleurer, ah non, une fois pas deux, faut pas déconner... Elle dégusta sa bouche, et enroula sa langue autour la sienne avec douceur, elle ne comptait pas l’asphyxié tout de suite...

- C’est simple tu recommences, je te boudes à vie, et tu ne pourras rien faire pour m’empêcher de ne plus bouder, tu as intérêt à prendre cette menace au sérieux, parce que sinon, tu pourras me dire Adieu...

Toujours à califourchon, sur lui, ou plutôt complètement allongée contre son corps athlétique, elle l’embrassa plus fougueusement que la dernière fois, lui prouvant elle aussi, qu’elle tenait à lui... Et surtout qu’il n’avait pas intérêt à recommencer un truc aussi dément que de mourir, par asphyxie... Mais ceci, ne voulait pas dire qu’il n’aurait pas le droit à d’autres baisers de la mort, non, bien sûr qu’il en aurait d’autres, mais tout les deux seraient encore en vie après...
Elle se décala de lui, l’air abasourdis, par ce qu’il venait de dire...

- Tu viens de mourir, et tu veux boire ? Tu es sûr que tu vas bien mon amour ? D’accord, mais tu ne boiras que par ma bouche...

Elle prit une coupe, et but une gorgée, en se rapprochant plus de lui, et s’assit sur ses cuisses, les jambes autour du bas de son dos, les bras autour de sa nuque, et sa bouche contre la sienne, elle l’embrassa, et lui ingurgita un peu de liquide par la bouche, recula son visage, but encore une gorgée et la repartagea avec son amoureux, il ne put même pas se servir lui-même une coupe, elle monopolisait la bouteille, elle remplie comme ça sa coupe plusieurs fois, et lui donna par l’intermédiaire même de sa bouche, deux coupes entières de whisky pur feu... Puis prit par un élan de folie, elle prit la bouteille et versa une quantité phénoménale dans sa bouche, et dans celle de Davis, elle ressemblait à un vrai poisson, avec ses joues enflées, enfin Davis aussi donc, on se moque pas, ensuite elle embrassa son amoureux, le liquide passait dans leur gorge au fur et à mesure que le baiser s’intensifiait... Ainsi, elle lui faisait découvrir le vrai baiser alcoolisé...
Quand, elle eut but tout le liquide ambrée, et embrasser suffisamment (donc énormément) son lion d’amour, elle le fixa intensément de son regard sombre, et lui murmura alors que ses lèvres n’étaient qu’a un centimètre des siennes...

- Qu’es que tu as pensé du vrai baiser alcoolisé ?

Juste après, elle l’embrassa tendrement, et cessa pour lui laisser le temps de répondre, puis sourit en l’embrassant encore... Cette fois, sa bouche ne s’ouvrit pas, et ses baisers ressemblaient un peu à des baisers de débutants, qui n’osent pas mettre la langue, mais ce petit jeu ne dura qu’un temps, sous le désir et l’envie de prolonger son baiser, elle ouvrit doucement sa bouche, et pénétra sa langue à l’intérieur de celle de Davis, delà, elle chatouilla son palais, et ses gencives, et finit par rencontrer sa langue au tournant d’un carrefour, (xd) et s’enroula avec elle, pour une nouvelle danse endiablée... Se délectant de son goût aromatisé à la fraise... Elle ne se lassait jamais de gouter à sa langue, elle l’aimait vraiment beaucoup trop, en fait elle était accro à la langue de Davis... Euh, ça se soigne docteur ? J’ai bien peur que non mademoiselle, c’est un désir que vous ne pouvez pas contrôler, aussi il vous ait difficile d’arrêter, c’est une trop forte envie, et vous ne savez pas renoncez au plaisir, aussi il vous est donc impossible, de cessez d’embrasser votre amoureux, mais demandez lui, je doute que cela lui pose un quelconque problème... Alors, continuez, et vivez votre vie... Merci, docteur, pour votre intervention... Mais c’est moi qui vous remercie... (stooop je débooooorde...)

- Davis... J’ai envie de t’enduire le torse d’huile de massage... Tu n’as pas envie d’un massage ?

Doucement, la belle sortit encore une fois sa baguette, et fit apparaître une collection d’huile de massage, impressionnante, toute avait un parfum spécial, elle les présenta toute à Davis, et lui posa encore une question...

- Laquelle tu préfères ? Il y en a la fraise, à la pêche, à la cerise, au miel, à l’orange, au citron, à l’abricot, à la vanille, à la rose,... Elles sont magiques, de par le fait qu’elles sont mangeables et très efficaces... Une fois que je t’aurais enduis d’une de ces fameuses huiles, je pourrais te dévorer le torse... Et tu profiteras aussitôt des biens faits naturelles, de ces huiles... Alors qu’es que tu en penses mon lion d’amour ? Ça te détendrais non ? Je te trouve un peu pâle...

Elle ironisait, encore, et encore, parce que Davis, n’était plus vraiment pâle, il avait reprit des couleurs, et étaient plus flamboyant que tout à l’heure...

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Repas en fraude (fe Joyce:TERMINE)

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