Repas en fraude (fe Joyce:TERMINE)

Mais même si Joyce avait connu des tas d'hommes dans sa vie. Avec une personnalité et un charisme pareil , elle ne pouvaient qu'attirer la compagnie les hommes . Mais n'avait-elle pas le droit de tomber amoureuse d'un homme? Un homme qui ne serait pas que de passage ? Si évidemment , et cet homme c'était Davis qui avait failli mourir devant elle , sans le vouloir car il ne voulait pas partir loin d'elle. Rester à ses cotés , l'aider dans sa vie de femme , l'épauler dans leur vie de couple... Voilà des pensées qui l'avait ramené par nous . (Ben oui Joyce , plus Davis , puis moi narrateur et vous lecteurs ça fait nous.^^). Il vit sa chérie , soulagée , un soupir de réconfort gonflant impérieusement sa poitrine qui sautait aux yeux de son lion d'amour. Ben oui , Joyce était plus que bien foutue. Mieux que les femmes que les adolescent impubères mattent dans des magasines tandis que de fortes surcharges d'hormones les excitent et rend droits leurs engins. Mais ce genre de solitude n'était pas pour Davis (Eh oui , ça vous étonnera peut-être mais son éducation à fait qu'il n'avait pas besoin de cela . Un véritable exemple de maîtrise de ses pulsions). Il préférait la vie à deux , et Joyce serait sa concubine. Ben oui , c'était elle qui venait de lui dire il y à quelques minutes maintenant.(Vous lisez vraiment ce qui est écris dans ce topic??? :heart:) Mais bien sûr que vous lisez. Qui ne suivrait pas une scène autant importante pour ces jeunes amoureux qui ne s'arrêtaient pas depuis tout à l'heure de se faire face et de montrer leurs sentiments l'un à l'autre , tour à tour. D'un geste prudent ellle toucha son coeur pour vérifier que tout allait bien et tout allait pour le meilleur des mondes dans le réceptacle battant d'amour qui alait à un rythme normal (200 coups pour un coeur amoureux au moins. Ben oui les coeurs sans ardente flamme ne vont pas aussi vites. C'est logique). Et ensuite avec un voix relevant d'un peu d'autorité , mélée à une tendresse hors du commun , elle lui interdaisait de recommencer . Et il était d'accord avec elle. Sa phrase était mieux forumulée , car d'une emprunte de gentillesse , ces termes équivalaient "un idiot" ou "crétin" , lmais il été heureux qu'elle n'ait pas usé de ces mots pour pouvait qualifier sa conduite puérile de tout à l'heure. Enfin elle serait purérile pour les autres , mais pas pour eux , c'était leur marque d'amour. Il ferait dorénavant plus attention avant de se servir du baiser mortel pour envoyer à sa bien aimés des vagues de plaisir. Pendant que leurs langues distribuait de grands soins à l'autre. Ben oui quoi , la langue de Joyce se languissait de plus toucher et même entouer la langue de Davis. Tandis que les lèvres brillantes de Joyce , se posaient avec reconnaissance et intérêt sur celles de son amoureux. Il sortit un réplique à faire pâlir les poètes de la terre de par sa simplicité.

- C'est promis . Je ferais plus gaffe en utilisant le baiser mortel... Je ne veux pas t'inquiéter.

Et là leur corps se réunirent pour retriuver la chaleur qu'ils aimaient ressentir au contact l'un de l'autre mais aussi retrouver l'odeur de leur peau. (Si l'argent n'a pas d'odeur , leur peau oui). Et celle de joyce commençait de nouveau à le rendre sôul d'elle ou dépendant ... Car comment rester indifférent face à ce physique plus beau que toutes celles des sportives. Joyce prenait soin de son corps comme son compagnon et notre ami la remercait intérieurement pour cela. Car bien que les bras de sa lionne ne soit pas aussi grands que ceux des professionelles de Tennis. Elle était musclée quand même , loin de l'éarchétype de la demoiselle" je fond au soleil". Les architectures de son physiques étaient parfaites. Notre mai profita du baiser langoureux , oû il retrouvait le goût sucrée de la langue de Joyce , au parfum de miel au quel rien ne pourrait se substituer. Il dégustait sa langue , humph , un délice( c'est un repas métaphorique bien sûr)... Puis sa déclaration étonna Joyce. C'est vrai que sa demande pouvait être incongrue. Mais n'ais-je pas répéter trente-six milles fois que Davis était imprévisible? Encore une expérience venant à le démontrer. Ce serait par l'intermédiaire de Joyce qu'il se désaltérerait. Il se réjouit à cette idée et pour son plus grand bonheur , Joyce s'éxcuta , se disant sûrement que seul du wisky pur feu pourrait l'aider à oublier la dure épreuve qu'il venait de passer. Autant dire qu'en s'asseillant sur ces cuisses , nôtre ami eu des picotements aux lombères. Normal avec cette position érotique. Les jambes contre le bas de son dos. Les bras se resserant autour de sa nuque avant que ses lèvres s'écrasent avec un impact soieux sur la sienne. Puis il but par la bouche de Joyce , tel un petit oiseau recevant la becquée de sa mère , mais Davis n'avait rien à lui envier , c'était bien plus sympa de consommer du whisky en embrassant sa sirène ( car ne l'ais-je pas dis non plus précédément , Joyce avait une voix mélodieuse , ni trop aigue , ni trop grave , Elle avait le beau ton). Et là tout deux ressemblèrent à des poission lune quand Joyce prit la bouteille et la rendit intégralement dans la bouche de Davis en profitant un peu pour en avaler elle-même. Ce qui décalncha un réflexe. Et sans le faire exprès le sexe de Davis donna un grand coup en avant , sans irriter l'engin de Joyce... Puis il se laissa aller dans leur écahnge bucale alcoolisé . Un vrai baiser , dépassant celui des écoliers derrière un coin du mur. Pendant que les mains de Davis atient posées sur ses hanches caressant le nombril et plus en bas , l'appareil reproducteur de sa compagne.

- Il était divin.

Répondit t-il tandis qu'un nouveau baiser les renvoyaient dans un état d'osmose encore plus intensiait par la rapprochement stricte de leur corps et l'accélération de leurs respirations , bien qu'il ne faisait pas beaucoup de mouvements à part bouger , eleurs machoires au rythme du tempo éffrénnée de leurs baisers passionels. Le gôut framboisir né du miel et de la fraise , revenait , enfin ça c'est ce que vous auriez ressentit si vous étiez avec qu'eux et qui plus est à la place de leurs lèvres et langues... Puis le regard sombre de Joyce se fixa dans celui de son lion... Lui proposant de lui enduire le corps d'une huile mangable. Quel parfum prendre? La vanielle serait sûrement la plus délicieuse et potable de rivaliser avec le lait d'amande douce question lubrification. Et puis le gôut ne laisserait pas Joyce sans plaisir , cela l'exciterait davantage.

- Si je pense qu'un massage me fera le plus grand bien... Avec une huile à la vanille. C'est l'un des parfums que j'aime question glace.. Donc n'hésite pas .

Et elle ne se génerait pas , notre ami attendait que les deux mains de son esthéticienne adorée (Ben oui ce sont des produits pour le maintient d'un beau physqiue donc on peut utiliser ce nom non???). Tandis que deux mains expertes débouchait le flacon qu'il avait choisit. Deux mains se posèrent sur son torse. Rien à dire un temps de relaxation avec Joyce valait mieux que des cours... Allongé la tête sur son oreiller , tandis que Joyce était à coté de lui , il était prêt pour le massage. Dans l'idiée d'un donner un en retour à sa lionne , car elle avait autant le droit de lui de profiter d'un peu de détente( même si dans les bras l'un de l'autre , cela était aussi de la détente mais avec plus d'action certes , beaucoup plus d'action et de cris de plaisir).

Et, il l’a dit lui-même (le narrateur de Davis), avec une tel personnalité, et un corps à en faire pâlir les adolescents imberbes, qui ne se rendent même pas compte que les plus belles beauté du monde ne sont pas forcément dans leurs magazines à caractères pornographiques, parce qu’il faut dire aussi, que Joyce n’avait jamais posé nus pour un magazine moldus, bien qu’elle ne fut pas demandé, bien au contraire, mais par principe elle ne s’expose pas pour n’importe qui, et qui sait si ses sales magazines, ne traîneraient pas dans des mains de clochards décervelés, vous voyez ou ce tableau mènent non ? Et pour le plus grand malheur des photographes moldus, la belle avait refusé toutes les offres de ce genre, jugeant qu’elle était trop belle et trop séduisante pour laisser des hommes répugnants mater leurs magazines montrant une silhouette nue de Joyce... Oh que non, personne ne pourrait avoir ce privilège, sauf bien sûr les hommes avec qui elle a couché, mais cela évidemment n’était pas des immondices repoussants, oh que non, elle avait eut droit aux plus beaux hommes, de la planète, et bien sûr Davis en faisait partis, il était même très haut placés, sur son échelle, personnelle... Très très haut, placés... Si l’on peut le dire ainsi...
D’ailleurs ce qu’il venait de répliquer, cette petite remarque à faire pâlir tout les poètes, était d’une originalité rare et envieuse, ce n’est pas comme si il avait dit quelque chose comme : De par mon illustre personne, je te ferais grâce de ne point recommencer cet acte incongru qui a donné naissance au plus profond de ton cœur, un sentiment d’inquiétude qui s’était révélé de ton amour pour moi... Non, ça n’atteignait pas cette ringardise bourgeoise, digne d’un monarque s’adressant à sa maîtresse, non c’était beaucoup plus mignon que ça... Et tellement sincère, de par le choix du vocabulaire simple, il prouvait qu’il lui disait ce qui lui passait par la tête en prenant au sérieux ces paroles, et lui promettant de ne plus recommencer...

- Dans ce cas, tu me ne diras pas Adieu, tout de suite mon amour...

Le corps de Joyce, et le corps de Davis s’unirent encore pour un baiser langoureux, duquel les deux tourtereaux en tiraient profit, et le dégustait comme un repas luxurieux, indispensable à la vie... Car, oui, ce repas de langue leurs étaient indispensable, pour continuer de vivre, ce plaisir dansant, constituait leur bonheur à tout les deux...
Ensuite, dans une positon érotique, elle le fit boire du whisky, par sa bouche, se délectant de mélanger son whisky avec celui de Davis, sans en renverser, d’ailleurs, les deux amoureux semblaient maîtrisés à la perfection ce baiser, pour ne pas en foutre partout, il buvait en même temps qu’il s’embrassait, et la belle jeune femme sentit que Davis prenait beaucoup de plaisir à cela, d’ailleurs la manifestation de son sexe le prouva, Joyce le perçut tout de suite, et eut un sourire très malicieux, elle glissa sa main vers lui, et le toucha de sa main chaude, puis le caressa doucement, tandis que Davis faisait de même, se rapprochant de plus en plus, de sa partie intime, Joyce, continua ses caresses, les faisant plus torrides à chaque mouvement, sentant entre ses doigt, qu’il se tortillait, elle le chatouilla, et il s’agita encore plus...

- Il s’agite beaucoup, dis donc...

Juste après qu’il est dit, il était divin, elle décrocha un sourire des plus heureux, ravie que ça lui est plut, mais ses caresses, lui plairont sûrement aussi, d’autant plus, que Joyce, s’y appliquait beaucoup, et rendait ce moment encore plus excitant qu’il ne l’était déjà, en alternant ses chatouilles, et ses caresses chaudes qu’elle lui prodiguait... Rien que pour lui...
Tandis que ses mains expertes s’occupaient, de l’engin de Davis, sa bouche s’occupait de la sienne, pour lui offrir à nouveau sa langue... Les mains de Davis semblaient aussi avoir trouvé leur bonheur quelque part entre les jambes de Joyce...
Suite à cela, elle lui proposa un massage, qu’il accepta, voulant qu’elle le masse avec de l’huile de massage, à la vanille, aucun problème, elle ouvrit le flacon, et se mit à califourchon, sur Davis, position, qu’elle adorait adopté, et qu’elle trouvait très adapté, pour un massage du torse, versant la quantité suffisante, pour un massage, des plus sensuels, sur le torse de son amoureux, elle commença, à l’étaler partout, du bas du cou, jusqu'au bas du ventre, frôlant l’arrivée, des premiers poils, puis avec ses mains de fées, elle commença son massage, lui caressant le ventre, énergiquement, pour que le massage fasse effet, puis avec douceur pour qu’il profite, ajoutant quelque chatouilles, près du nombril, beaucoup de tendresse se dégageait de ses mains expertes, et elle prit tout son temps pour masser chaque parcelle de son torse, jouant aussi avec les poils qui le couvrait (je sais pas si le torse de Davis est poilu, mais on va dire qu’il est un peu...) aucune ne fut oublié, et elle s’attarda surtout près de son nombril, là ou le ventre est particulièrement sensible, pour décupler toute la douceur et le tendresse dont elle pouvait être capable, le torse de son amoureux était complètement détendu, relax, et il sentait bon la vanille... Prise d’une envie coquine, Joyce, reprit le flacon, et versa une petite quantité de liquide à l’intérieur même du nombril de Davis... Puis, avec sa langue, elle fit le contour de son nombril, et avala le liquide en embrassant et léchant son petit nombril, l’huile de massage à la vanille mangeable, était un vrai délice... Joyce, se passa la langue sur les lèvres, pour ensuite lécher le torse de son amoureux, elle avait presque envie de le dévorer, elle croqua d’ailleurs un peu dans son ventre musclé, mais doucement, elle n’allait pas lui arracher, la peau non plus, elle passa sa langue experte sur ses petit tétons masculins, qui avait un délicieux goût de vanille, et partant du bas du cou, jusqu'à la frontière, entre son ventre et ses premiers poils, elle traça un chemin avec sa langue, qu’elle parcoura très sensuellement, faisant quelques zigzagues, d’ici et là, un petit sourire malicieux au bout des lèvres, puis quand elle arriva tout en bas, elle s’arrêta brusquement, et poursuivit son chemin, passant par les parties intimes de Davis, ou elle s’attarda un peu (soit dit en passant), et sa langue baladeuse, se dirigea vers la jambe gauche, et elle descendit jusqu'à son pied, avec sa main, elle versa un peu d’huile sur ses doigt de pied, et les croqua un à un, prenant son pied, (mdr), puis avec ses doigt, elle lui chatouilla la plante des pieds, oh oui, il ne pourrait pas résister à ça, il allait sûrement exploser, d’un moment à l’autre... Elle augmenta ses chatouilles, en baladant ses doigts sur toute la plante du pied gauche de Davis... Après cinq minutes de tortures, parce qu’il faut dire que ce qu’elle venait de faire, ressemblait à un mélange de torture et de plaisir, auquel elle soumit son pauvre petit Davis adoré... Elle remonta doucement vers son visage, et lui murmura au creux l’oreille

- Alors, mon torturé d’amour, ce massage t’as t-il plut ?

Joyce aussi était bien placée dans les beautés que notre ami, Davis avait pû observer de ces deux yeux(vaut mieux en avoir deux c'est plus pratique pour savoir oû l'on marche et plus trognon pour atirer les filles avec des regards charmeurs.^^ ) sans que les autres soient forcément nues. Mais autant le dire , rien ne servirer à la cacher que Joyce avait pris la première place dans son coeur et que du coup , elle était sa Beauté (oui , avec un grand B , Ca vous dérange tant pis , c'est son état d'esprit à LUI qui compte non??? Mais aussi celui de Joyce, bien sûr). Cupidon avait bien réalisé son coup car il est plus que de simples amoureux , des êtres complétement passionés par leur autre moitié. La parole tu ne me diras pas "Adieu , tout de suite mon amour" , pouvait être ambigüe , voulait-elle le tromper ??? Mais non rassure toi , tu es son lion d'mour et aucun homme avant toi ne lui avait fait autant profiter de son corps . Car même si l'obscurité rendaient certains hommes audacieux , lui il ne lui fallait que la compagnie de sa dulcinée pour l'être , bien qu'il l'était de par l'hérédité de son rang. Qu'esct-ce que vous croyez , il n'y pas que les gryffondors qui sont téméraires , je puis vous assurer que les serpentards le sont tout autant voir plus avec une dose d'implacables pensées ironiques dues à leur maison . Bref avec les élève du repyilien on ne s'ennuye jamais entre les jouttes verbales , et les oppositions physiques. Mais nos deux amis n'étaient pas à donner leur pensées à ces préjugés, non il vaient mieux affaire. Enfermé dans la bulle de leur cusine transfigurée pour l'occasion en un alcôve , oû leurs sentiments se courtisaient. Tandis que leur lèvres et leur langues cédaient aux avances de leur doubles. Puis dans la foultitudes de baisers qui leur arrachait des sons un peu moins puissants que de véritables orgasmes (faut quand même qu'ils se reposent un peu , ce ne sont pas des robots.^^ :heart: ). Le massage ne tarda pas à commencer , et Joyce se mit à l'aise en adoptant une positions plus qu'appropriée et qui au passage semblait lui convenir ( Et qui convenait à Davis , voyant la domination léonine de sa chérie ). Sentant ses douces jambes contre son torse les poils de notre ami se hérissèrent (normal pour un lion d'amour) d'excitations. Il humèrent tous les deux la délicieuse odeur s'échappant du flacon (d'une quinzaine de centimètres) de l'huile de vanille sur lequel était représentait une fleur blanche (devinez laquelle )... Soutenant le regard de sa dulcinée notre vert et argent avant de les fermer se laissant aller à une relaxation qui calmait tout ses sens et les affinaient . Il sentait (sans jeu de mot avec le parfum) les mains se poser avec parcimonie sur son corps détendu , zen , allant du cou , jusqu'au torse , tout en remarquant une sensation de froid au niveau du nombril ( un peu comme la crème qu'on étale sur le ventre des femmes enceintes pour faire de radigraphies et voir comment se porte le bébé , ben là ça faisait à peu près la même chose sur le nombril de Davis.). Un petit contact statique passa même entre son torse et Joyce quand cette dernière (içi cette première pour Davis ... Mais bon hélas cette expression n'existe pas. Dommage :star: ). étala avec délicatesse la crème , huile l'engant , appelez la matière comme vous voulez sur les poils de son torse. (Dites le qu'on pourrait dire sa fourrure avec son profil de roi des animaux , xd). Puis des chatouilles dus à la langue de Joyce firent pouffer de rire notre ami , ben oui les guillis s'était son point faible. Et toute force n'avait t-elle pas son point faible d'ailleurs??? Mais ça c'est une autre paire de manches. Et notre ami était serein , rien ne pouvait leur aiirvait à part que des bonnes choses. Une autre sensation vînt alerter son corps d'un massage fait spécialement à ses pieds. Pour tout autre individus que Joyce et Davis le fait que l'en lèche des oretils serait gaure... Mais chez eux , c'était plûtot sexy , encourageant encoe leur intimité à crôitre entre eux. Houlà elle venait de toucher un autre point sensible les pieds et autant dire quenotre ami sursauta frénétiquement face aux soins apportés à ses deux membres qui lui servait à marcher de toute la journée (aussi bien que les soirées aussi. Avec qui??? Avec Joyce bien sûr pourquoi cette question inutile???). Le fauve de la savane venait de se relever trempé d'huile mais sans un muscle crispé. Avec douceur , il enleva Joyce du bout du lit et murmura à son oreille.

- C'était parfait... Je ne crois pas qu'il existe d'autre mots pour exprimer ce que j'ai ressenti je crois que je prendrais de plus en plus de massages , avec toi. Mais voyons voir si je suis assez fort pour pratiquer un massage profitable pour ma lionne d'amour.

Et oui Joyce , monsieur n'allait pas dormir alors que que tu lui avais insufler une grande part de volupté en prenant soin de son corps en le rendant plus stable. Il fallait bien q'uil s'occupe de toi aussi. Toi aussi tu avais ta part d'action dans vos ébats . Il déposa un baiser langoureux, caressant l'échine de la jeune femme en donnat pleins de guillis derrière la nuque de la jeune femme.

- Quel sont tes huiles favorites , lumière de ma vie???

Eh oui , une déclaration poétique comme il savait en faire, mais elle n'était pas longue au contraire des beaux parleurs ou Don Juan qui ne juraient que par des aventures au lit , sans sentiment , ni morale. Eux brisaient les coeurs , Davis au contraire intensifait leur battements, Et ceux de son coeur ne faisaient que montaient en grade aux cotés de la personne riche de qualités qui étaient avec lui sur ce lit, ce lit fantastique qui leur avait appris à mieux se connaître l'un et l'autre mais aussi eux-mêmes.

J’ose même pas imaginer la tête qu’elle aurait fait, si tu étais borgne mon petit Davis, à mon avis elle serait partis en courant, et ne t’aurais même pas adressé la parole, heureusement que tu as des yeux sublimes... :o Mais passons, ce détail insignifiant, qui va partir en sucette si je continue... Si, elle était sa Beauté, alors il était son Magnifique, (avec un grand M, parce qu’on parle pas de n’importe qui...), ainsi la Beauté, et le Magnifique, s’alliaient à merveille, leur cœurs battant à l’unisson, (j’adore cette expression), et leur pendentif de touchant au contact de leur mouvement, parfois même, le demi cœur se tournait de façon à ce qu’il s’emboîte avec le demi cœur de Davis, mais bien sûr ceci est une subtilité réservé au narrateur, puisque les deux protagonistes, trop occupés à s’occuper l’un de l’autre, et de leurs désirs, ne pouvaient pas faire attention à ce détail... Il aurait été même étrange qu’ils y fassent attention, alors qu’ils se faisaient tout deux des caresses torrides, voilà pourquoi ce genre de choses n’est vu que d’un regard extérieur, réservé aux narrateurs, et aux lecteurs, soit dit en passant... Et, petite précision s’impose quand au Tu ne me diras pas adieu tout de suite mon amour, mais elle voulait tout simplement dire, qu’elle n’allait pas se donner la mort, et que donc il ne pourrait pas lui dire Adieu, bon d’accord c’est peut être ambiguë, mais c’est ce qu’elle voulait lui dire, de toute façon elle ne pourrait pas le tromper tant qu’il la monopolisait pour lui tout seul, et encore, avait t-elle vraiment envie d’aller voir ailleurs alors que son lion d’amour n’est là que pour elle ? Mmh, quel dilemme, et moi je connais déjà la réponse... Nah... Suite à cela, la belle lionne sauvage et complètement dingue de son lion d’amour, lui prodigua ses soins spéciales massage relaxant, digne de la meilleure infirmière du monde, et oui, Joyce avait appris à masser, et le faisait très bien, avec des mains comme les siennes difficile de ne pas détendre un beau corps musclé comme celui de Davis, en même temps... Elle-même se délectait de lui caresser le torse de son huile à la vanille, qui embaumait dans toute la pièce... Et, qui ne le serais pas, prendre possession d’un tel corps, s’est tellement whaao, non y’a pas d’autres mots, il pouvait être sûr qu’elle lui ferais d’autres massages, oh que oui, elle lui en ferais plein, tous plus coquins que les autres, elle lui ferais même des massages sur ses fesses, tiens, mais chaque chose en son temps, elle avait d’abord massé tout son torse, et son ventre, elle s’attaquerais à d’autres parties plus tard, et ne manquerais pas de lui faire profiter de ses mains expertes, autant qu’il le souhaiteras... Elle, elle ne pourrait jamais ce lasser d’un tel plaisir, et savait qu’il ne verrais pas d’inconvénient à cela, son cher lion chéri d’amour adoré... Surtout accompagné de guillis, capable de le faire bondir, il ne peut qu’aimer ce plaisir, qui par les mains de sa lionne, peut être qualifié de sensuel...
La plante de ses pieds et ses orteils y repasseraient sûrement, là, elle lui avait juste offert une petite démonstration, elle pouvait encore faire mieux, mais elle n’allait pas déployé toutes ses manières de torturés par les guillis ou la douceur sur son amoureux ce soir, elle voulait encore lui réservé des surprises pour leur voyage à deux sur son île...Qui serait d’ailleurs bientôt non ? Oui, sûrement... Adieu Poudlard, Bonjour la liberté, même si ça ne durerais pas toute la vie, les bonnes choses ont une fin, mais tant qu’elles n’ont pas commencé, on s’en fous, et on se prépare pour le bonheur, direction le paradis, jet privé, plage, piscine, et tout ça...

- Oui, j’ai beaucoup aimé aussi, et tu auras droit à d’autres massages si tu es sage... (Et même si tu l’est pas), je t’en réserve déjà, sur d’autres endroits...

Elle lui fit un sourire malicieux, et amusé, tout en fixant en pensant à une partie bien précise du corps humain (hihi...), elle rangea son tube de vanille, et le balança sur le côté, alors qu’il s’approchait, d’elle pour l’embrasser, et la chatouillait, ce qui eut l’effet immédiat, la belle sursauta, sa poitrine sauta presque au visage de Davis, tandis qu’elle n’arrivait pas à retenir son fous rires, elle embrassa Davis, en étant à moitié morte de rire, après le baiser alcoolisé, le baiser fous rire... Très mouvementé, bougeant, actif, et un peu maladroit, elle n’arrêtait pas de reculer, d’avancer, enfin bref il est vraiment horrible ce baiser fous rires, on contrôle rien du tout... Elle s’en remit peu à peu, et donna une petite tape sur l’épaule de son amoureux...

- Ah, bravo, merci, tu as vu maintenant, je t’ai embrassé en étant en plein fou rire... Viens, ici, toi, tu va pas t’en sortir comme ça...

Précipitamment, elle se jeta sur lui, elle engouffra le bout de sa langue dans sa bouche, et lui chatouilla doucement le palais, très lentement, elle enfonça toute sa langue dans sa bouche, et continua de frôler son palais, puis, elle lui mordit doucement la langue... Maintenant, elle prenait possession de sa langue avec ses dents, elle recula doucement, en emportant la langue de son amoureux dans sa chute, elle recula tellement que Joyce tomba en arrière, emportant avec elle Davis qui tomba sur elle, puis elle avança, pour que la langue de Davis puisse retourner dans sa bouche, et au passage l’embrassa comme une vraie petite sauvage... J’espère qu’elle n’a pas oublié de dire, que sa langue lui appartient aussi...

- Je te laisse choisir l’huile, je te fais confiance, après tout c’est toi qui va me dévorer après, prends ce que tu veux... Tu peux même faire un mélange si tu en as envie... Je suis à toi, Davis, Enduis moi de l’huile qui te plait...
Mais dis moi, tu préfères me masser, mes seins et mon ventre ? Ou mon dos et mes fesses ? Dis moi, de quel sens je me mets...

Elle attendit qu’il réagisse, et donc pour le moment, elle était assise, tout près de lui, il pouvait même l’allonger lui-même, si il le voulait, après tout, maintenant il faisait ce qu’il voulait, elle se soumettait à sa volonté, et le laisserait faire... A toi, de jouer mon lion d’amour... I let you take care of me like you want... (Je te laisse prendre soin de moi comme tu veux…) Désolé, je n’ai pas put m’en empêcher, j’avais envie de dire ça…)

Mais voyons la langue de Davis est offerte en options avec son corps. Si tout son corps t'appartient Joyce c'est obligatoire que sa langue aussi, à moins qu'elle ne déclare son indépendace , ce qui m'étonnerait le premier , elle t'appartient donc légitimement. Tout est en règle reprennez vos bisouyages. Ou plûtot içi les chatouilles , car sous le coup des guillis, Joyce se tordait de rire , qui se transforma d'ailleurs en fou rire amenant avec elle son compagnon. Mais cela n'était pas grave ,il n'avaient rien à part peut-être une petite douleur à leur blancs fessiers. Mais comme personne ne pouvait les voir , ce n'était pas grave et puis sous les tonnes de baisers qu'ils se donnaient , la douleur de la chute (qui n'était pas bien grande ) passa inaperçue. Malgré toute l'intensités de leurs gatés (câlins) , il fallaient bien qu'ils en gardent pour leur petite virée en amoureux. Petite ça dépendra de leur volonté après tout ils pouvaient rester des semaines dans un îlot situé au plein pacifiques s'ils en avaient envie après tou. Davis était déjà adulte et joyce n'était dépendante de personne en particulier. Ce serait pour un , un premier signe de liberté. Après tout le monde est vaste non. Même si certains affirment qu'il est petit. Je peux vous dire qu'on à souvent tendance à sous estimer notre planète millénaire. Ainsi il aurait d'autres massages. Voilà une promesse alléchante (surtout pour un animal plein de noblesse tel le lion sans oublier sa femme qu'est la lionne). L'idée d'être massé à d'autres endorits ne le génait pas le moins du monde , cela le rendrait encore plus zen et fanatique de sa Joyce d'amour. Il n'avait donc rien à craindre. Cependant le baiser fou rire l'amusa assez , cela faisait des petits guillis , et avec la langue et les lèvres se touchants d'un rythme saccadé naissait un certain suspens. Et cette atmosphère plaisiat à notre lion. Il dit d'un air motivé.

- Mais tu sais j'aime tout tes baisers. Même s'il est vrai que ce baiser sort assez de l'ordinaire. Mais n'est-il pas à notre image?

Ho ho tu viens de toucher une corde sensible mon ami. Pour vous deux en plus. Mais c'est vrai un couple aussi hardi , on n'en voit pas tout les jours et surtout décoincé dans un lieu aussi stricte que Poudlard encore moins. "Les vainqueurs du couple le plus érotique sont Joyce et Davis"(houlà reprenons le récit là oû il en était). La tappe sur son épaule amusa Davis , pendant un bref (très très bref instant ) , il retrouvait un petit coté masculin disséminé derrière l'amusement de Joyce. Cela lui allait bien. Mais sur le sol le sol était toujours assez froid , bien qu'en pur contraste nos amis étaient (et s'étaient réchauffés mutuellement dans des amusements romains , comprenez coquins) réchauffés. Hum , ce fut le retour du baiser langoureux et un phénomène digne des meilleurs films X se précisa. Une morusre à la langue , ho mais Joyce devenait telle plus sauvage. Il la regarda d'un air de dire , "toi je vais te croquer". Mais avant il fallait qu'il lui rendre un immense service au nom de leur union . Il voulait la détendre et quoi de mieux qu'un massage , il y avait eu droit ( et il ne s'en plaindrait pas , car il avait adoré ) c'était à son tour maintenant. Préférait-il masser le devant ou l'arrière de son corps??? Bonne question même si le vert et argent avait une réelle préférence pour l'avant. Il donna un baiser langoureux à joyce lui mordant le coin gauche de lè lèvre. Petite revanche. Et l'a prit dans ses bras , en se relevant progressivement , telle Achille allant à la guerre de Troye. Sauf qu'à sa différence il serait toujours vivant et allait vers la dimension la plus extraordinaire de l'univers . Les chemins de l'amour. Il déclara d'un air intéressé.

- Je vais te masser tes seins et ton ventre pour commencer .

Il ouvrit le flacon de rose et commença à en prendre une poignée de la substance frigide. En étalant un certains nombre sur le ventre de Joyce. Puis il avança tranquillement ses mains et en fit en éparpilla sur le cou , la gorge (poitrine de Joyce ??? A votre avis d'oû vient le nom soutient gorge) en déposant un baiser sur chaque deux et jouant avec sa langue avec les deux pointe. Puis s'occupa du nombril. Et commença à descendre plus bas , contournant quelques poils du sexe de Joyce. En étalant toujours le liquide d'une cadence soutenue. Les membres de la jeune femme se dilataient , la phase de décontraction s'ammorçait.

- Retourne toi ma chérie.

Et avec des bras experts , il souleva sa compagne , se mettant des extraits du flacon d'abricot sur les mains , passant l'huile sur les épaules , puis la nuque de Joyce caressant sa nuque puis son dos en répondant la douce crème acqueuse sur la colonne vertébrale de la jeune femme , qui ne disait mots et dans les inspirations et expérations montraient qu'elle profitait au maximum de ce massage . Puis vînt le tour des fesses , celles que Davis aimait à pelotter. il posa ses deux mains dessus et commença à les relaxer avec leur propritétaire. Puis il commença à déguster son oeuvre , léchant et baisant l'arrière de Joyce , remmetant jusqu'à ses épaules tandis que de fougeux baisers faisaient encore plus rayonner son physique . Et d'un geste sensuel la retourna , commençant à prendre les points des seins de Joyce à la mordillait sur toute la surface oû la crème était étendue , sauf au niveau du vagin. Là il repris possesion de son esprit et baisa avec lenteur la partie intime de Joyce , faisant tout le contour , posant ses lèvres sur toutes les parcelles de cette forêt qu'il aimait à préserver de la cupidité des autres hommes. Et d'un air coquin , revint se mettre en position. Ouvrant un autre flacon , celui de pêche et en dépaosant sur la bouche de Joyce , laisant sa langue violer son espace vital du goût , sa langue emportant la siennes d'un un tourbillon de salive qui valait meiux que toute celle des autres soit dit au passage. Et avec les mains pleines d'huiles de pèche , prit possesion de ses hanches , amenant ses cuisses à elle sur ses côtes. Un nouveau jeu torride était né. Se caresser avec les mains pleines d'huiles pôur que le tout soit relevé encore d'un zeste d'érotisme... Et encore il n'avait pas d'accessoires fétiches. ^^

Sa langue n'a pas intérêt à déclarer son indépendance, sinon moi je boudes... Mais, elle ne le feras pas, elle est trop gentille, alors moi je boudes pas ( )... Elle appartient à Joyce pour toute la vie, d'abord , et personne d'autre ne l'auras, propriété privé de Joyce Heir, elle devrait le graver sur sa langue non ? euh non, mauvaise idée, ça lui enlèverais toute sa douceur de langue baveuse... que Joyce adore, don non, ne faisons pas ça... Et oui, pourquoi se soucier des cours ou de quoique ce soit, après tout la belle jeune femme presque adulte, bon d'accord pas tellement mais, quand même, s'en fichait pas mal de manquer les cours, elle en savait déjà pas mal, même si elle pouvait toujours apprendre, de nouvelles choses, elle avait un parfait professeur juste pour elle, mis à sa disposition, n'es pas Davis ? Tu serais un parfait pour lui enseigner, ce qu'elle ne sait pas, mais plus tard, quand elle te le demandera, ou quand tu lui proposeras, pour le moment, elle veut profiter de toi, en tant que lion d'amour que pour elle, après on verra pour le prof particulier... Ils ont toute la vie pour y réfléchir... Ainsi, il pourrait passer des semaines sur l'île privée de la Famille Heir... Ne se souciant que de leur bonheur personnelle... Le baiser fous rire, amusa Davis tout autant qu'il amusa la jeune femme, qui le connaissait déjà mais ne l'avait pas encore testé avec son lion d'amour...

- Oui, c'est vrai, il est pas mal... Il nous convient parfaitement, puisque nous sommes uniques, et qu'il est spécial...

Conclut-elle avec un petit sourire en coin, tandis qu'elle le laissa réfléchir sur son massage, il avait l'air vachement intéressé quand même, enfin cela est parfaitement normal, pour un garçon d'être intéressé par une fille aussi belle et séduisante, et sexy que Joyce... Mais avant cela, notre ami le lion l'embrasse et se vengea de sa morsure, en lui mordant la lèvre, Joyce avait adoré son petit geste coquin, qu'il ne lui avait pas encore fait jusque là, et eut un sourire malicieux qu'il remarqua quand il eut juste finis de lui faire... Mais, voilà qu'il la portait pour l'allongeait sur le dos, ainsi il voulait lui masser la partie avant de son corps en premier ? D'accord Davis, fais comme te sembles, ce n'est pas elle qui s'en plaindrait... bien au contraire, c'est même elle qui allait s'en réjouir au maximum...
Elle attendit qu'il prenne l'huile, avec un sourire, et dès qu'il l'appliqua sur son ventre, elle sentit la texture froide et gluante se répandre, instinctivement son corps frissonna, elle avait hâte qu'il commence à la masser... Et en sentant ses mains divines sur son ventre et ses seins, elle n'en fut que ravie, et profita pleinement, de se moment d'intense plaisir, tout son corps se détendit, et elle eut bientôt la force du guimauve... Elle ferma les yeux quelques instants, puis les rouvrit en entendant la voix de son lion d'amour... Il voulait qu'elle se retourne ? Elle s'exécuta donc, à la tâche et se retrouva sur le ventre, son amoureux lui appliqua une autre huile, la belle jeune femme en sentit le parfum, s'était l'abricot, qu'il lui diluer sur les épaules, et la phase décontraction des épaules commença à faire effet... Et il passa aussi sur son dos, sa colonne vertébrale qui se délectait complètement de son massage, Joyce murmurer mêmes des mots comme, mmmh, c'est bon... hhhmm... Que des soupirs de profonde béatitude, ça lui faisait un bien fou... Elle lui murmura au moins une phrase audible et ayant du sens...

- Mmmh, Davis, tu as des mains divines, j'adore ce que tu me fais....

Puis, vint le moment, ou il s'occupa de ses fesses, les caressant, les massant avec énergie, et volupté, et se mit à lui lécher les endroits massés et à déposer des baisers fougueux, le corps de Joyce se laissa transporter par se plaisir, et de nouveaux bruits de firent entendre de sa bouche... Elle aimait vraiment... Elle se laissa retournée, et il lui mordilla le corps, en passant par les pointes de ses seins, et son ventre, encore une fois elle prenait beaucoup de plaisir à le laisser faire... Un frisson de désir la parcourra quand il embrassa sa partie intime... waaah, il était vraiment fort pour lui procurer le plaisir dont elle espérait... Mais, il n'avait pas encore finis de jouer avec les huiles, il en prit une autre à la pêche et embrassa Joyce qui avait ouvert la bouche et contenait le liquide à l'intérieur, elle le versa dans celle de Davis, et les deux bouches s'unirent dans un autre tourbillon aromatisé à la pêche... Un vrai délice... Elle sentit les mains de pêche de Davis qui lui prenait les hanches pour l'attirer davantage vers elle, elle y vit là un nouveau jeu, se caresser avec les mains huilés, sans plus attendre elle saisit le tube d'huile de cerise, et s'enduit les mains, puis caressa le visage de son amoureux, elle lui en mit sur le front, le nez, les joues, les oreilles, la bouche, le menton, enfin toutes les parties de son visage, elle l' embrassa ensuite sensuelle ment, et elle mordilla sa lèvre, au gout de cerise... Elle prit ensuite le tube, et versa une petite quantité de liquide autour des lèvres de Davis et sur les lèvres de Davis, puis elle approcha sa langue, et lui lécha la bouche... Jusqu'à ce qu'elle ne brille plus d'huile de cerise...

- Mmh, tu avais de l'huile de cerise autour des lèvres... C'était mignon comme rouge à lèvres, mais je préfère tes lèvres naturellement colorées...

Elle l'enlaça, et lui caressa le dos avec ses mains cerisées, et déposa ses lèvres au goût de pêches sur les lèvres de Davis... Qui avait retrouvé leur goût naturel, sucré, et délicieux... Elle lui fit un smack, et un deuxième, et un troisième, à intervalle régulier, et finit par simplement déposer ses lèvres contre les siennes sans les embrasser, elle n'ouvrit pas la bouche tout de suite, elle voulait attendre et le faire languir... Allait t-il lui ouvrir lui même la bouche avec sa langue chatouilleuse ? Peut être... Peut être pas...

Qui n'a jamais fait un rêve aussi mignon de s'entre caresser avec sa petite amie d'huiles aromatisante sur ses mains??? Personne ??? (Ne soyez pas hypocrites ... :arrow: ). Mais voilà pour Joyce et Davis qui avaient provoqué le destin pour se donner encore plus de moments intimes , privilégiés , coquins , c'était une autre priorité de leur journée .. Après tout des cours ça se rattrape alors que poursuivre son désir c'est plus complexe. Cependant , nos deux amis l'avaient vite retrouvés avec leurs mians balladeuses , qui se rencontraient souvent avant de donner des petits tappes , châtouilles , caresses , ou même massages au physique magnifique des deux amants. Uniques c'est vrais qu'ils le sont.^^ Avec d'abord une soif de plaisir hors du commun (pour des dieux c'est normal non???) et qui profitaient de leur vie terrestre avec une communication entre eux particulière. C'est à dire se faire l'amour à toute heure de la journée... Quoique là j'exagère un peu... Professeur de l'amour , voilà un beau métier. Enfin comme ma chère collègue narratrice le dis , sur l'île ils pourraient en mieux s'éclater. Se courant après sur un plage dégagés , seuls au mondes , plongeant ensemble dans la mer en petites tenue , tester divers baisers aquatiques... C'était un riche programme qui attendrait les deux serpentards dans quelques jours. Une pause envers le monde qui les entourait , pour ne se concentrer que sur leur objectif principal , couler des jours heureux l'un dans les bras de l'autre.

-C'est vrai . Repas en fraude (fe Joyce:TERMINE) - Page 3 586542

Repas en fraude (fe Joyce:TERMINE) - Page 3 586542

Tout était vrai , tout ce qu'ils ressentent l'un pour l'autre. Tout leurs baisers , leurs tectoniques de langues. Suivie de secousses sensitives (comprenez leur deux fois au lit et leur ennivrement continuel par rapport à la peau de l'autre). Puis vînt le fameux et tant attendu (Par Joyce ) massage . Et là notre vert et argent tenait sa réputation de prince , de lion d'amour , de chérie , de coeur... (Oui car la liste des surnoms est longue xd :heart: ). Ses mains revigorantes , aidait la jeune femme à entrer dans la zen attitude . Une position que beaucoup de femmes lui envieraient , mais qui n'aurait pas le droit à ce traitement , il était réservé en particulier à sa princesse. Et face au haut degré de satisfaction de la jeune femme , il ne pût s'empêcher d'améliorer encore son massage en frottant avec plus d'énergie la peau blanche mais dénuée de défauts corporels. Ben oui, Joyce n'avait aucun bouton , Davis non plus , pas d'accesoires dangereux tels des piercings et entre objets non identifiés coupants et gênant l'autre dans la circulation de milles baisers ou de coups de langue , qui là étaient plûtot des massages de langue , un bouche à bouche salvateur d'amour , se moquant de tout ce qui leur étaient extérieurs. Ben oui je suis sûr que dans cette situation aucune autre personne ne s'occuperaient du sort de bébés phoques en voie de disparition ou autre chose du genre. :mrgreen . Puis ils s'adonnèrent à leurs nouveaux divertissements. Non pas qu'ils s'ennuyaient , ho non pour ça ils s'adoraient trop et se donner trop de plaisir pour cela . Non pour montrer qu'ils sont capables d'innover. Car oui , ils sont un couple de créateurs en voyant tout ce qu'il en fait. Et la nature même de la magie n'était-elle pas de faire apparaître des choses du néant. Hum , en plus d'excellents tourteraux , ils sont aussi d'excellents sorciers. Autant dire qu'au cas oû ces deux là auraient des enfants , ils auraient un lignage stupéfiant. Et les fruits d'un lion et d'une lionne ne pouvait-il être autrement que noble??? Au fait en parlant de fruits nous devrions jettait un coup d'oeil sur Joyce et Davis. Puis un baiser "pêché vint changer leur habituelle baisers goûts de fraise et miel pour les métamorphosaient en baisers "fruits mélangés". DD'ailleurs on aurait eu du mal à distinguer quelle langue appartenait à qui tellement leurs entralecements étaient serrés. Mais ils adoraient ce moment . Le frottement de la langue contre le palais , puis vient le tour des dans et enfin gardons le meilleur pour la fin , la bataille passionée des langues. Puis Joyce avec l'huile de cerise couvrit le visage de son amoureux , houlà , avais-je oublié de dire que ses huiles étaient colorantes??? (Ca m'est complétement sorti de l'esprit). Ressemblant à une écrevisse ou à un appache selon vos préférences , elle se délectait de pouvair lécher tout le visage du vert et argent qui sous des gémissement de plaisir ajouta.

- Joyce tu es une petite coquine... C'est bon hum... Et il est vrai que moi aussi ça m'aurais fait bizarre de me voir avec une huille de cerise sur les lèvres , ressemblant à du rouge à lèvre.
Je te dois une fière chandelle.

De suite une pluie de smacks vînt s'abbatre sur la bouche de Davis mais habitué aux intempéries (plus que désirables) de Joyce , il savoura ses baisers et avec force tata avec sa main la table des flacons et tomba sur l'huile de grosseille ,bon choix. Il ouvrit de force sa bouche avec sa langue et tout en l'embrassant passa de cette huile sur le corps de Joyce, avec ses mains folles de sa peau ... Elle en avait partout et notre ami , se baissa lentement avec vigueur , pour débarraser Joyce de ce beau vêtements sombre qui rendait Joyce plus craquante ... Ils baisa ses pides chatouillant de ses doigts chaque orteil du pied de la jeune femme , pour caresser ses genoux , ses cuisses , son sexe , ses hanches , ses seins , posait sa tête sur son coeur pour l'écouter battre pour lui.... Embrasser sa gorge et l'attirer contre elle. Maintenant ils étaient tous deux violaçés et dans un faux air de naiveté volontaire , notre ami regarda d'un oeil malicieux sa dulcinée.

-Désolé... Je n'ais pas fait exprés.

Que néni monsieur , il espèrait que Joyce lui suaterait dessus pour l'aider à enlever cette tenue fort accomodante pour attirer comme des guêpes en attente de sucreries , les sens de sa compagne agé de seize ans.

Moi, moi, moi, moi je l’ai fait ce rêve, (euh on se calme....) Enfin, ce rêve là, ils étaient en train de le vivre tout les deux, et tout compte fait, il ne rêvaient pas vraiment puisque leurs actes sensuels, étaient bien réels, et appréciés de l’autre, bien qu’ils auraient pût se croire, dans un rêve, ils ne le sont pas...Leurs rêves, deviennent réalité, ainsi ils mélangent, le rêve, la réalité, c’est pareil... Les deux se cherchent, se trouvent, et quand ils décident de s’allier ensemble, ils deviennent un tourbillon sensationnel de bonheur absolu... Joyce et Davis, deux individus, sachant combiner rêve, et réalité... A votre avis, ça donne quoi à la fin ? Mmh, je sais pas, enfin, moi je sais, mais vous, non... Le rêve est omniprésent...
La zen attitude aussi, d’ailleurs, les mains divines de Davis parcoura la peau sublime et nue de la jeune femme, dans des mouvements doux, relaxant, voir même excitant ? Pour le moins, très agréable, et à refaire, si l’envie lui vient à l’idée, Joyce serais ravie de renouveler l’expérience, une autre fois, et balader ses mains sur son lion d’amour... Elle ne manquera pas de se faire plaisir, sur son île, ou elle l’emmènera bientôt, avec elle, sur son beau cheval blanc, avec des ailes, et un moteur, qui s’appelle un jet privé... (xd) Et il volerais tout les deux sur des nuages, tout blanc comme des petites boules de cotons... (là je m’emballe), et coulerais des jours de pur bonheur, au diable les cours, au diable les bébés phoques (même si ils sont trop mignons), et bonjour le paradise, avec Davis... Que de romantisme dis donc... On dirait un épisode des feux de l’amour, mais en dix fois mieux avec un scénario beaucoup plus évolué, et rapide, et fort en chocolat, euh fort en amour et sensation, et sexe, ça à tout d’un rêve non ?
Elle offrit un baiser péché à son amoureux, et le couvrit d’huile de cerise, le faisant ainsi ressembler à un crabe (bah quoi ? c’est un animal rouge le crabe), et s’empressa de lui enlever ce maquillage, même si il était mignon, sa peau normalement colorée, et nettement plus jolie, à regarder, aussi elle appliqua sa langue sur son visage, et ses lèvres, qui étaient restés rouges un peu plus longtemps, le gratifiant d’un petit sourire, et d’une remarque sur ses lèvres couleur, cerise... Ensuite, elle ne vit pas ce qu’il allait se produire, elle l’avait évidemment smacké à n’en plus finir, et l’avait écouté, lui dire qu’il la remerciait, et sans plus attendre, il lui mit de l’huile de groseille, sur le corps, youpi, la couleur, elle fit une mine horrifiée et amusée en même temps... Et ne put évidemment pas résisté à ses baisers, et chatouilles, elle fut prise d’un léger fous rires, et répliqua ensuite, se jetant sur lui, pour le colorer à son tour, de groseille....

- Aaah, mais je suis toute violette, c’est trop drôle Davis, je suis encore plus jolie que je ne l’étais déjà maintenant... Merci... Cette couleur me va super bien, mais elle t’irait encore mieux, tu vas voir ce que tu vas voir, je vais t’en faire voir de toutes les couleurs... (joli jeu de mot...xd)

Elle saisit, d’une main, l’huile de cerise, de groseille, de fraise, et les versa presque entièrement toute sur Davis, et aussi sur elle, ensuite, elle jeta les tubes, embrassa son amoureux, sur la bouche, et l’entraîna avec elle, dans une course folle, avec les draps qui s’enroulaient avec eux, en roulant, comme des tarés, ils atterrirent à l’autre bout du lit, Joyce le ré embrassa, en essayant de contenir son fous rire, les deux corps nus, étaient tout les deux recouverts, d’huile, de toutes les couleurs, on auraient dit qu’ils avaient plongé dans une marmite de peinture de fruits rouges, et en été ressortis, en, en ayant partout... Même dans les cheveux, c’était un vrai carnage fruité y compris sur les draps soyeux du lit, évidemment, mais Joyce savait comment faire disparaître tout ça, à commencer par Davis, les draps on verra après...

- Euh, je n’ai pas fait exprès... (Elle éclate de rire et reprend son sérieux), Tu es trop mignon, Davis, on est beaux tu trouves pas ? On ressemble à des fous...

Elle prit les doigts de son lion d’amour, et les mit dans sa bouche, elle goûta, mélange de fruits rouges parfait, puis elle s’approcha de son visage, elle dévia vers son cou, et déposa ses lèvres contre la peau de son cou, et l’embrassa avec gourmandise, il était d’un goût fruité, étonnamment fort et rouges...

- Mmh, je confirme, tu es délicieux... Très, euuh, rouges... (Eclate encore de rire et prends un air de provocatrice après s’être un peu calmé) Je vais te manger...

Elle, se vautra sur lui comme une limace, collant son sublime corps tout coloré contre le sien, puis approcha sa bouche, et commença à le manger, oui oui, elle le croquait, le léchait, enfin bref elle le dévorait, avec sa bouche... (Bah oui, on dévore pas les gens d’une autre façon, à ce que je sache, c’est comme ça que font les cannibales, alors hein...Sauf qu’en fait elle, ne lui arrache pas la peau, et ne bois pas son sang, c’est pas une tarée, donc y’a quand même de la douceur...)
Elle déposa aussi, des baisers tout doux, et chatouilleux... Elle aimait trop le corps musclé de son homme, pour s’en séparer, il était tout ce qu’il l’y avait de mieux, Joyce se demandait vraiment comme il avait put être aussi magnifiquement bâti, il n’avait aucun défaut, il était sublime... Des corps comme celui là, elle en avait déjà croisé, mais il n’était pas aussi parfait que celui de Davis... Mais comment expliquer cela ?

- Je suis fanatique de toi Davis, tu me fais craqué, surtout violacés comme tu l’étais, tu étais absolument irrésistible, mais ce n’était rien comparé à maintenant...

Par ces mots, elle voulait dire qu’elle le trouvait hyper craquant avec plein d’huile, mais il était encore plus irrésistible au naturel, ce qui est son état normal, donc double compliment, et en plus, un autre petit détail important aussi, je suis fanatique de toi Davis, là, il en faut vraiment beaucoup pour entendre ça de la bouche de la coureuse de jupons la plus réputé de la planète sorcière... Oh, oui, il en faut vraiment beaucoup, mais Davis, est beaucoup... Trop... Craquant... Donc, ça convient bien à la situation... Prise d’une autre envie, de je sais pas quoi qui lui traversé l’esprit, la belle serpentarde, eut un sourire des plus malicieux, et enchaîna avec d’autres jolies mots, tout droit sortis de sa sublime bouche...

- Dis moi que tu m’aimes pour voir...

Elle caressa le visage de Davis, avec ses mains, et plongea son regard dans le sien, elle s’y plongea tellement qu’elle se faisait déjà un film dans ses pupilles, elle aperçut des images, et approcha ses lèvres de celles de Davis, elle les effleura, et recula ensuite, voulant voir le fond de ses yeux, pendant qu’il parlerait... Un sourire heureux se dessina sur le coin de ses lèvres, alors qu’elle essayait de se concentrer pour se fondre dans son regard...

- En plus d’être mon lion d’amour, mon amoureux, mon chéri, mon amour, mon sucre, mon prince enchanté, tu es mon fruit rouge préféré... Que dirais tu d’une autre envolée vers le paradis avec moi ? Il n’est que je sais pas quelle heure, et j’ai envie de toi... Sauf si tu préfères mettre fin à nos activités amoureuses et juvéniles, pour retourner en cours... Je te laisse choisir, tu devrais en profiter... (sourire colgate, encore mieux que hollywood chewing gums)

La belle, saisit sa baguette, nettoya les draps, d’un coup, ils étaient comme neuf, et les deux amoureux pouvaient de nouveau profiter l’un de l’autre, dans des draps propres... Life is wonderful..

Quoi de plus voluptueux que l'abandon de deux corps fringants , l'un à l'autre? Tel Jupiter dans les bras de son épouse Héra . A la différence que Davis était moins volatile que lui . Elle qui avait donné son corps à des centaines d'hommes venait de trouver son coeur, et lui-même s'était trompé en croyant être amoureux d'une autre... Mais il avait trouvé son véritable amour. Amour né d'une rencontre de plaisir de chair ( Ben quoi , dans une cuisine ça serait l'attrait des bons plats , mais avec cette situation ce n'est pas un joli jeu de mot ? Car oui , l'un est l'autre aimait la peau de leur partenaire et içi on pouvait la qualifier de plaisir charnel. Une réfléxion plus décente , certes mais moins amusante . ). En tout cas leur nuit et leur début de matinée se déroulaient sous de bon ospices, de bonnes conditions. J'ai dit bonne j'aurais dû dire exelente , c'est un terme plus représentatif de leur haute affection privée. (Sauf pour nous lecteurs et narrateurs , pensez-y nous sommes assez privilégiés . :heart: ). Sous les baisers endiablés (c'est bien le mot ) de Joyce , notre petit coquinou (alias Davis ) en avait profitait pour enduire sa partenaire , d'huile de grosseilles des pieds à la tête . Et là un fou rire presque convulsif parvenant de la verte et argent , rassura son lion d'amour , elle se prenait à ce jeu . Et elle fit un large bond sur le torse musclé du jeune homme pour lui faire partager sa coloration violacée (pire que des stroumphfs , désolé si l'orthographe laisse à désirer , dur à écrire tout ça). Elle se trouvait plus belle avec elle , ses lèvres n'ont été que plus brillantes , comme tout le reste de son corps qui appelait littéralement le désir de son homme à se révolter afin de lui donnait de succulentes représailles. L'expression "je vais t'en faire voir de toute les couleurs" lui arracher un sourire presque carnassier (évident pour un fauve xd). Il adorerait ce moment . Et l'acte ne fut pas différé , comme promis , Joyce prit plusieurs tubes de crèmes diverses mais toujours fruités et les versa sur le beau physique de son compagnon , qui à poil , ressemblait à un caméléon qui aurait eu un problème de transformisme pour permettre à son corps d'être indétectable... Pour que vous compreniez mieux , je vais vous faire un résumé des taches de couleurs aposées sur le corps entien (et oui même les parties génitales n'avait pas échappé au massacre , si je peux le dire comme ça car massacre il n'y avait aucunement). Il était recouvert , d'une matière dégoulinante , graissée d'un rose criard symbolisant la fraise , la cerise étant plus foncés , un rouge sombre presque couleur sang , un teint violacé avec la groseille ... Bref un Davis multicolore quoi. Seulement il n'était pas le seul pour donner un spectacle aussi intriguant (vu que l'intrigue relève de l'action en générale) , Joyce l'avait vite rejoint dans des roulades venant sûrement d'une carrière de fan de gymnastique. Une facette cachée qui mettait la souplesse de notre amie en valeur , avec des déanchés à faire palir tous les marquis de Sad. Vous bavez devant vos ordis vous autres , pas vrai? Et dans un baiser salutaire avant la galipette historique , ben oui fallait bien des gens pour tenter l'expérience dans un endroit aussi improbable pour faire l'amour.^^ Tandis que leurs langues qui se retrouvaient continuellement dans des loopings terrestres , nos amoureux étaient indétachables. Enfin ,il respirait enroulés dans leurs couvertuires de soie. Davis baisant les seins , puis le cou de sa bien aimée en murmurant d'un air triomphateur.

- De rien ma chérie . La procahine fois je te colorerais encore plus , vu que ça te plaît.

Puis la phrase sur le fait qu'ils étaient fous , le fit rire , en effet , ils étaient la meilleure et la plus sensuelle des incarnations de la folie. Mais içi leur communion n'était-elle pas issue plûtot de l'insouciance de leur jeune âge en accord avec l'état esthétique de leurs membres entiers et jouissifs de leurs odeurs corporels et du contact les liant l'un à l'autre? Bof , après tout ne nous épuisons pas trop avec ce genre de question.Car notre serpentard répondit sincèrement:

- Des fous , oui mais des fous ivres de nos vies et de notre amour. Quel type précieux de fous tu ne crois pas?

Elle serait sûrement de son avis , puis ses lèvres se posèrent sur ce qu'on appelle le cou , irradiant sa peau de sensations vives et inoubliables. Il pouvait bien se vendre tout à elle , elle serait sa propriétaire . Des baisers exquis , donnés avec égalité sur la surface de sa peau de plusieurs couleurs. Autant dire que sans s'en rendre compte , une teinte colorante s'était déposée sur les lèvres de Joyce. Elle était si craquante , hum , il craqua , avançant avec une lenteur calculée au dégré prêt pour passer sa longue sur ses lèvres avant de l'embrasser à plsueiurs reprises pour la débarasser de cette alliance de couleurs pétantes. D'un air provocateur , il ajouta.

- Désolé , tu avais une bouché très alléchante avec tous ses parfums dessus que je n'ai pas pu résisté.

Hou vous voulez le manger avec ou sans sauce mademoiselle? Mais faites donc , faisant fi des manières , ne vous génez pas. Au contraire , Davis se laissera faire pour votre plus grand plaisir et le sien après. Et oui , notre ami était aussi courtois et galant , des qualités rares , brouillés par une soie disante égalité hommes-femmes , mais qui en théorie n'avait jamais été appliqués. Heureusement certains chevaliers servants comme notre perle masculine était réapparus pour lui montrer l'importance que Joyce avait sur sa vie. Et surtout qu'elle est son égal. Des bisous chatouilleux s'en suivirent , une cure dont Davis ne pouvait pas se passer. Il tenait trop à Joyce comme un fumeur en manque de nicotine. Et le fait qu'elle soit fanatique l'excita . Dis donc , n'y aurait-il pas une nouvelle vigueur sexuelle dans l'air? . Nous allons bien le voir. Et là un interdîner commença avec comme entrée une salade de Joyce et Davis à la sauce colorée. Eh oui ,il se léchaient , s'embrassaient son repos , leurs parties intimes se frôlant , leurs cuisses les unes autour de l'autre comme un couple de serpents en pleine reproduction. Leurs langues étaient plus qu'unis , on en voyaient plus le bout... En reprenant un peu sa respiration , Davis déclara avec fougue et passion.

- Et moi , je suis accro à toi , à ton corps , à tes lèvres ... A ton essence même. Je t'aime Joyce.

Le mot qu'elle voulait qu'il prononçe était dit , tout là-dedans était dit. Leurs lèvres s'ffleurèrent , se reculant et réavançant comme des ados pour leur premier baiser à l'abri de géneurs. Ses yeux fixèrent Joyce intensément , lui faisant parvenir son désir d'un seul regard , comme un cobra face à une victime perdue dans le désert qui tomberait nez à nez avec ce reptile. La morsure ne tarderait pas à se faire sentir . Et là leur lèrves s'unirent dans un baiser langoureux . Leurs corps se démenant sur l'autre autant dire qu'ils profitaient bien de leurs jeunesses. Et c'est partie pour une nouvelle salve , pas besoin de réponses , l'acte en lui-même suffirait , il prit avec force et domination , sa petite amie dans ses bras , laserra contre lui. Et lui donna de ces baisers ... Que d'autree filles enviraient même dans leurs rêves les plus fous. Il se coucha sur elle , son sexe effleurant le sien. Et avec une baguette , fit apparâitre un bandeau pour que l'acte soit poussé à ses extrémités.

- Ca te dirais un petit plus pour notre nouvel échange sexuel?

Demanda t-il tandis qu'il avait fait apparâitre une cravache et une paire de menottes à coté du lit au cas oû. Il posa ses mains expertes sur la poitrine de sa partenaire , lui offrant pendant elur échange une petite quantité de sperme au niveau de la liaison protégé de leur corps (ben oui les capottes c'est fait pour ça non???). Le cap de leur plaisir venait encore d'être franchi pour évoluer encore d'un cran.

Jupiter et Héra, quel joli couple en effet, sauf que Jupiter aime bien vagabonder de femme en femme, et tromper sa femme, donc ici le petit Jupiter c’est Joyce, même si là, Davis est plutôt en bonne voie pour la monopoliser pour lui tout seul, il se débrouille plutôt bien en tant que Héra masculin... Oui, il est même très doué...
Le début de matinée s’annonce propice au plaisir, pour nos deux dieux... Oui, oui, nos deux dieux, Joyce et Davis ne le méritent t-il pas ? Oh que si, avec le haut degré de perfection, dont ils disposent tout les deux, on peut les appeler des Dieux, des Dieux de l’Amour, avec un grand A. Quoi ? Ça vous gène toutes ses majuscules ? Et bien, tant pis, elles sont tout aussi importantes que Joyce et Davis... Alors, pas de privations, et en avant pour de nouvelles aventures... (Oula mais je crois ou moi ? Euh, j’arrête) Et à qui ce jeu ne plairait t-il pas ? C’était là un jeu de gamin, de fous, donc trop drôles, on ne vous a jamais dit que plus on est de fous plus on rit ? Eh bien, vous avez la preuve... La belle serpentarde, était enduit d’huile de groseille de la tête au pied, et compter bien se venger de ce terrible affront jouissif que lui avait prodigué son lion d’amour, ce qu’elle ne manqua pas de faire bien évidemment, elle se vengea sur lui, plus qu’il ne le fallait en lui en faisant voir de toutes les couleurs, il ressemblait vraiment à une espèce en voix de disparition pourquoi pas le caméléon ? Même, si il n’est pas en voie de disparition, l’espèce de Davis, l’est... Du moins, elle est unique au monde, alors il faut la protéger, mais compte sur Joyce, Davis, elle te protégeras mieux que quiconque, et encore mieux qu’un bébé poque... Sauf si tu préfères être un schtroumpf dans ce cas, tu sera le schtroumpf le plus protéger au monde... Mmh, alors Davis est un schtroumpf, et Joyce est la schtroumpfette... tu veux être lequel Davis ? Le Schtroumpf Costaud ? Farceur ? À lunettes ? Gourmand ? Bricoleur ? Paresseux ? Grognon ? Poète ? Ou alors, on invente une nouvelle race de Schtroumpf, et tu seras le Schtroumpf Amoureux de sa reine de cœur : Joyce, bon d’accord c’est nul comme nom, mais au moins c’est personnalisé... Unique au monde... Et Schroumpfons une roulade... Joyce princesse, et reine du cœur de Davis, avait emmené ce dernier dans de folle roulade avec les draps, se colorant aussi vu qu’elle était on ne peut plus proche de lui, et de sa crème de schtroumpf... Euh, sa crème fruité riches en groseille, cerise, et fraise, donc riche en rouge... Très beau, d’ailleurs...

- On a toute la vie pour se colorier... Alors, on le refera sûrement, la prochaine fois, qu’on aura envie d’un massage...

Elle lui fit un petit clin d’œil, et écouta la suite de ce qu’il avait à dire, vu qu’elle avait fait une remarque sur le comportements de tarés, au combien précieux, dont ils avaient fait preuve... Ce qu’il ajouta, la fit sourire, et elle répliqua tout de suite après...

- Fous, dans tout les sens du terme, tous de types précieux, quels qu’ils soient, je suis ravie que tu atteignes un degré de folie comparable au mien, mais encore tu ne pas encore vu quand j’ai trop bu... Je deviens la pire des folles...

En effet, elle était de son avis, évidemment, vu qu’elle considérait le fait qu’ils soient précieux sans même être fous, alors c’est valable aussi, si ils sont fous, et encore plus, parce que fondamentalement c’est beaucoup mieux d’être fou que d’être sage non ? Surtout, avec ce degré de folie dont sont capable nos deux amoureux... C’est inévitablement beaucoup mieux...
Tiens, et en embrassant son demeuré d’amoureux, (oui, j’invente de nouveau terme tout le temps pour qualifier Davis, bien que celui là, ait une consonance péjorative, pensé par Joyce, ou sa narratrice, c’est très affectueux) Elle, se coloria elle-même les lèvres, d’une couleur pétante, et sentit alors les lèvres de Davis, et sa langue pour la débarrasser de son magnifique coloriage... Elle l’écouta ensuite, trouver un prétexte bidon, pour l’embrasser, oui, Davis ne fait pas l’innocent et avoue, que c’était l’argument parfait pour justifier de ton baiser...

- Elle était donc si irrésistible que ça ? A voir ta tête, j’en déduis que oui... T’es un vrai coquin, Davis... J’adore ça...

La salade Joyce et Davis, prenait bien de vinaigre, dis donc... Un parfait mélange de virtuose colorée... Préparé les concombres, la salade est bientôt prête... (Euh pardon, je dis n’importe quoi)... Emboîté, l’un avec l’autre, Joyce et Davis, coulaient vers un baiser passionné et fougueux dans lequel leurs langues s’en donnaient vraiment à cœur joie, et s’unissaient tellement qu’on ne pouvait même plus les voir... Deux langues en parfait unisson qui ont un léger problème à se séparer... C’est bizarre ça, on dirait qu’elle sont collés avec de la colle UHU, et qu’elle ne peuvent se séparer que par manque d’air... Ce que ne tarda pas à faire Davis, en vue de proclamer une pure déclaration de folie amoureuse... Joyce la trouva très jolie, mais ne parvenait pas à prononcer un traître mot, elle était trop plongée dans ses pensées, à vagabonder vers des horizons éclairés de désir en regardant les yeux de Davis... Puis, un baiser langoureux mit fin à toute communication verbale, et fit place à une tout autre communication, celle du plaisir... Parce qu’embrasser Davis, en y mettant toute la force qu’une langue peut avoir, ça correspond, à un pur plaisir... Puis il la prit, et l’allongea de sorte à ce qu’il soit en position de domination, donc sur elle, et lui offrit d’autres baisers pour les moins uniques... Il était sur elle, elle sous lui, leurs parties intimes se touchant sans gène, et bien sûr la poitrine de Joyce, posé contre son torse, une petite touche coquine toute douce, posé contre une musculature à en faire baver plus d’une... Mais, ce ne pouvait être le cas de Joyce, qui en avait vu des tas et des tas, et qui en plus, déteste baver, elle trouve ça immonde, donc ne le fait pas, par contre pour montrer qu’elle craque complètement, elle se mords la lèvre, et plus c’est fort, plus elle craque... Logique non ?
Pour toute réponse, la belle jeune femme saisit le bandeau, et banda les yeux de Davis, en veillant bien à ne pas trop serrer, mais à serrer suffisamment, pour qu’il ne tombe pas... Lui laissant le temps de lui offrir sa petite quantité de sperme, tout en lui laissant toucher ses seins... (Merci la capote de Davis... euh pardon ça m’a échappé là...)
Puis, elle tendit son bras, et saisit, les menottes, avec un sourire malicieux qu’il pouvait facilement deviné même si il ne pouvait plus la voir... Rapidement, elle le fit rouler sur le côté, et se retrouva sur lui, c’est mieux pour le menotter non ? (Bien sûr, il n’avait pas essayer de résister, parce que sinon même en y mettant toute sa force, Joyce ne serait pas parvenu à le faire bouger... elle a pas des bras de camionneurs...) Pour rajouter un peu de fantaisie à ce qui allait se passer dans quelque seconde, Joyce fit apparaître une casquette de police, qu’elle mit sur sa tête, et déclara le plus sérieusement possible, tout en gardant un sourire provocateur... L’aveugle Davis, était sous l’emprise de notre nouvelle police girl...

- Mr, Davis Burningham vous êtes un état d’arrestation... Mains en l’air ou jtire, vous êtes cerné, inutile d’essayer de vous échappez...

La nouvelle police girl, alias Joyce, saisit le poignet droit de son prisonnier, et l’attacha avec un barreau du lit, puis fit apparaître une nouvelle paire de menottes, Davis ne pouvait pas prévoir, ce qui allait se passer, donc, une deuxième paire était nécessaire, elle attacha l’autre poignet de Davis, et relia le tout à un autre barreau du lit, son lion d’amour était maintenant totalement à sa merci, attaché et bandé, il ne pouvait plus faire grand-chose, à moins qu’il n’use d’autres objets érotique, en attendant, il était pour Joyce, qui s’était bien sûr allongée sur lui, et poursuivit son petit jeu de police girl...

- Vous avez le droit de garder le silence, tout ce que vous direz seras retenu contre vous...

Elle approcha doucement son visage, du sien, et lui murmura très malicieusement, et avec un air provocateur, elle ajouta :

- Mais, je préférais que tu ne le gardes pas...

Davis, pouvait sentir tout le corps de Joyce, en parfait harmonie avec le sien, sa poitrine scotchant la sienne, son sexe touchant le sien, sa bouche touchant la sienne, ses doigt lui chatouillant les poils de ses aisselles, parce que ça m’étonnerait qu’il s’épile, les dessous de bras, vu comme ça fait mal, y’a que les filles pour engendrer un tel supplice... (Mais, oui il faut être belle pour souffrir... Même si il y a des méthodes mieux que les bandes à la cire...)

- Je pense que tu es définitivement à moi, mon prisonnier d’amour...

Elle recula tout en restant allongée sur lui, et son visage sur son nombril, elle l’embrassa furtivement, et fixant ensuite l’entre jambe de son amoureux, intensément, oui, il n’y a rien à dire, les parties intimes de Davis, incarne la perfection masculine... Elle pensait à tout plein de choses en même temps, et il lui était difficile de trancher, mais ce qui avait de sur, c’est qu’elle ne redoutait rien, et qu’elle ferais tout, ce qu’elle est capable de faire, avec un tel énergumène... Elle opta, en premier pour l’embrasser tout le long, sur les côtés, en dessous, au dessus, promenant des fines lèvres, partout, n’ayant pas non plus peur de rencontrer des poils non couverts, qui si on peut le dire étaient sans doute nombreux, mais de toute façon les poils c’est naturel, et normal... (Donc dites pas que c’est dégoûtant, on en à tous en plus... Et ceux de Davis ils sont trop beaux... Nah Si, c’est Joyce qui me l’a dit... Bah quoi ? Entre persos et narratrice de persos, on se dit tout...)
Elle remarqua aussi tout de suite, qu’il y avait un peu trop de couleur qui le recouvrait, enfin qui recouvrait le préservatif, probablement les huiles avaient envahi ce territoire sacré, et elle n’attendit pas pour se mettre à l’attaque, avec Joyce, et les tâches s’évanouissent... (xd) Passant sa langue dans les moindres recoins, du merveilleux sexe de Davis, elle lui enleva toute sa couleur... ainsi, plus de trace de groseille, de fraise, et de cerise, apparaissait, dessus... Joyce, déposa quelque autres baisers, tout en le faisant languir, d’une éventuelle et très probable fe******* ( Je censure le mot, mais Davis, je pense que tu le devineras sans problème... je pense aux petites âmes innocentes moi... mdr)

Oui Joyce et lui étaient des dieux oû des représentants de l'amour selon les noms que vous voulez user pour les qualifier. Néanmoins leurs batifolages (c'est romantique vous ne trouvez pas??? ) étaient sublimes , incroyables , plein de suspens. Qui aurez crû qu'ils s'amuseraient autant ( à part ma chère collègue narratrice et moi , pas beaucoup de lecteurs ). Et part l'éclat de leur passion il montraient qu'ils étaient tous les deux dignes d'éloges en matière d'amour. Vous en avez vu des couples si motivés au lit vous??? On peut donc en conclure que nos amoureux s'aimaient à en mourir. Quel honneur pour eux , de mourir dans les bras l'un de l'autre sans se péoccuper de ce qui les entoure , juste cette volupté pour les acceuillir aux portes du désir , cet atmosphère guilleret. L'amour brille sous la lumière. Et quel show , quel enthousiasme , quelle sexualité débridée. Si si ils osaient des choses que même les couples les plus vieux n'avaient pas tenté dans ce cher vieux monde déjà deux fois millénaires. On aurait pû dire que Joyce était la Cléopâtre de Davis, et Davis son Alexandre (car à vrai dire je ne crois pas que hors Astérix, César se soit intéressé à Cléopâtre , enfin passons la dimension historique). Notre salade de schtroumpfs avançait à grand pas , oû plûtot pour être plus exactes , avec des roulades enfantines. Car même si leur corps appartenait déjà au monde des adultes , leurs esprits étaient celui de deux grands enfants ne pouvant pas se passer de l'autre. A vrai dire , il était vrai qu'ils avaient d'autres bons moments à passer , et d'autres bon massages à s'entre-donner et à pratiquer. Il sourit quand il vit le clin d'oeil qui lui était destiné , elle était adorable , mignone et bein qu'elle est donné son corps jadis à d'autres hommes , on pouvait dire , oui qu'elle était innocente avec lui. Mais il fallait être à la place de Davis pour le savoir. Car Joyce n'était pas comme les filles que l'on croise dans la rue , qu'on matte en se disant "je me la tapperais bien celle là " . Non elle avait sa personnalité , propre la plus charmante que le jeune homme avait rencontré. Sous la glace , s'étendait la chaleur, telle l'aube attendant de pouvoir exercer son hégémonie sur les septs mers, sur toute la terre. Seulement Mademoiselle Hei avait choisi de ne s'offrir totalement qu'à lui, l'homme qui avait eu le plus envie de la connaître et qui avait succombé (de manière métaphorique) à son charme légendaire.

- Alors s'il le faut je serais le traitement spécial inséparble de la plus belle des folles , ou le pire des fous amoureux de son âme seule , qui ne peut que sombrer dans la mort sans elle. Repas en fraude (fe Joyce:TERMINE) - Page 3 586542

Et notre ami loin d'être égoïste (surtout avec sa lionne ) , l'embrassa langoureusement en passant sa langue dans le palais bucale et dentaire de sa majesté . Quoi Joyce n'était-elle pas la princesse , la reine , l'impératrice de son coeur??? Et tandis que les langues se bizouillaient à leur manière. Comment ça des langues ne se bizouilles pas ??? Suffit juste de regarder et de voir que même si elle ne se fricotent pas de la même façon que deux lèvres , elles se font des bisous. (Allala le romantisme est en déclin mais Joyce et Davis vont s'en occuper ne vous inquiétez pas , public. D'ailleurs pourquoi , lisez vous dans les cuisines , c'est privé d'abord. , allez va , je vous fais la fleur d'observer cette scène culte à Poudlard , pour que vous puissiez voir ce qu'est l'Amour ).

Et Joyce adorait son coté canaille . Hou vous irez loin vous deux dans le chemin de l'union amoureuse , c'es moi qui vous le dis. Duo de coquins. ^^ Et les deux langues bélligérantes au sein d'une bouche unifiés , ben oui , leurs lèvres sont presque collés à la glue aussi continuaits de se faire des mamours. Et quel délice? C'était excellent. Comment dire c'est un goût tellement agréable quand ne peut plus s'arrêter. Puis la bandit Joyce , prit le bandeau et le passa doucement sur le visage de ne notre ami , pour faire attention à ne pas lui faire de cicatrices en l'attachant pour qu'il tienne et obstrut la vue du lion. Qui avait de plus en plus d'appétit (A vous de voir quel genre d'appétit mais Joyce devrait le savoir). Bien que dans le noir , on aurait pû croire que le contact soit coupé , il n'en était de rien. Il continuait physiquement , sa peau ferme contre ses muscles , continuait à le chauffer. Puis elle prit avec délicatesse (oui , les femmes sont plus doués que les hommes pour ça aussi.^^) ses mains avant de les passer dans des menottes apparut comme par magie (un peu logique dans un école prévu pour cette matière en plus). Puis il sentit que son visage se rapprochait du sien , et sentit une sorte de casquette contre son front. Il devina suite aux parole de sa colombe (ou de son ange bleu , oui Joyce à plusieurs titres ) qu'il s'agissait d'un képi.

-Oh , mais face à une agent aussi séduisante que vous , l'idée de fuir ne me viendrait pas à l'esprit adjudant Heir.

Vous ne pensiez pas qu'on allait mettre Joyce dans les vulgaires agents ?? Non il fallait un grade pour cette belle blonde qui même si elle ne bavait pas , devait se dire qu'elle poserait bien ses dents sur la chair du suspect attaché aux barreaux du lit. Eh oui nos amis s'amusait bien avec la pratique du bondage (il s'agit de la situation présente , quand l'un des deux partenaires est attaché ). Le silence , l'idée ne l'avait pas frappé (voir l'argument frappant dans le roi lion vous comprendrez mieux le jeu de mots) , avec une beauté extraordinaire comme la sienne , il en profiterait pour délier temporairement sa langue en lui parlant plûtot. :mrgreen . Et leurs corps ne se raidissaient pas (sauf un certain membre de Davis ), ils se cherchaient et s'était trouvés , en s'accouplant parfaitement. Et là des doigts agités vinrent lui châtouiller les aiselles. Il ria alors comme un damné . C'était agréable , comqiue et si craquant qu'elle s'intéresse à tout chez lui. Autant à ses lèvres qu'au bas de ses pieds. Bougeant comme une anguilles sous les doigts fins de sa chérie , il s'abandonna encore plus à elle quand elle calmala fougue des guillis. Hou , c'était vrai il était à elle , prêt à être juger et à prendre la peine capitale qui se traduirait içi en érotisme , et notre ami n'avait pas la tête à s'échapper , au contraire ,il se disait que ce jeu était plus qu'intéressant , il enrichissait leurs actes sexuels. Puis il ne put réprimer quelques rigolades au passage de sa dulcinée au point carrefour , c'est à dire son nombril . Ben quoi c'est un axe principal du corps , hors ses bijoux familiaux non??? Et là il eu droit à son procès des baisers passionés , fougeux , tendres , sur ses abdos , ses hanches , ses côtes , ses fesses , son sexe. Puis une langue experte se charga de débarasser le préservatif de Davis de plusieurs tâches colorés. Mais la langue aventureuse de Joyce lui donna du plaisir ,une envie de lui faire l'amour encore et toujours. Il profitait se laissant faire à ce massage plus bas que précédément et lâcha des interjections , des exclamations des cris de plaisir .

-Oh , Joyce , tu es une déesse... C'est si bon , n'arrête pas , hum c'est... exquis , parfait.

La fellation excitait Davis c'est sur mais dur avec des menottes de prendre la femme que l'on aime dans ses bras , pas grave il la laissait faire. Tant de maîtrise pour une seule femme c'était vraiment inpensable et pouratnt Joyce savait s'y prendre . Le corps de son chéri frémissait de plaisir. Il tatonna sur la table de nuit sa baguette et la trouva en arrivant avec justesse à ne pas la faire tomber . Il allait se défendre ,un peu , après tout , il fallait bien qu'il partage son plaisir avec Joyce non??? Les amoureux ne partagent-ils pas leurs câlins ensemble d'habitudes. Surtout pour des jeunes gens rivalisant avec des dieux. Il agita d'un petit coup sa baguette , lâchant un "ah" joussif , au passage de la langue de Joyce sur son animal .. Et fit apparaître une cravache , noir assez sobre mais efficace pour fouetter n'importe qui. Mais il ne frapperait pas n'importe qui , oh non , Joyce était loin d'être l'archétype de la femme habituelle qu'on croisait tout les jours dans la rue en faisant ses courses quotidiennes pour acheter le pain par exemple. Mais je dévie , je dévie. étant longue d'une bonne trentaine de centimètres, l'objet redoutable n'autait pas mal à toucher Joyce. Et là pendant qu'elle s'affairait avec son pénis. Notre ami , lui donna un grand coup sur les fesses. Un couinnement , un râle de plaisir se fit entendre dans tout l'espace clot de leur literie. Il y allait avec aisance et prudence , il n'allait pas la blesser. Une peau dénuée d'imperfection , il n'allait pas lui donner des bleux . Avec une voix coquine , entrecoupés par l'activité de Joyce , notre ami demanda .

- Ca t'a plu. Tu veux que je recommences Joyce???

Et la serpentarde n'allait sûrement pas refuser de recommencer , leur journée se poursuivrait encoe dans leur échange charnel.

Mais avec Joyce c’est parfaitement évident d’être motivée à ce point, quand on est la coureuses de jupons la plus connue de toutes, et qu’on a eu plusieurs rapports sexuels avec des hommes différents dans la même journée, la motivation est évidemment la clé de la réussite... Mais, j’ai comme l’impression que la coureuse de jupons va se calmer, maintenant qu’elle a rencontré un lion d’amour, assez sauvage et imprévisible pour la satisfaire amplement.... Ses vagabondages ne seront plus aussi fréquents, Davis me parait trop monopolisant et trop séduisant pour qu’elle essaye de le fuir, ou qu’elle aille voir ailleurs... En plus, elle n’en ressent pas vraiment le besoin, Davis a plus que tout pour plaire... Il est beau, mignon, craquant, séduisant, drôle, coquin, imprévisible, rusé, adorable, généreux, attentionné, tendre, musclé, délicieux romantique, et le meilleur pour la fin : il est un dieu au lit... Le genre de mec, tu t’accroches à lui pour qu’il parte, le genre de mec que tu imagines dans tes rêves, celui qui sera toujours là pour toi, et qui ne regardera pas ailleurs, pour voir si il peut se taper une autre dans son lit, pour voir ta réaction... Ou pour s’éclater avec tes nerfs... Non, c’est carrément l’inverse... C’est à lui que tu manqueras le plus, c’est lui qui aura envie de te retrouver le soir, si tu t’es absenté toute la journée... C’est toi qui as pensé à lui, c’est lui qui a pensé à toi... C’est vous deux qui pensez à l’autre, même si vous êtes dans les bras l’un de l’autre... Il te décrochera la lune, pour que tu lui offres ton cœur... Et il a réussi... Il l’a eu... Et toi aussi... Tu l’as eu, et tu peux même te vanter, que c’est à toi qu’il s’est donné pour la première fois... Et la dernière fois, c’est toujours à toi qu’il se donnera...

- Aurais-je affaire au poète amoureux le plus fou de la terre ?

A la suite, de ça, un échange de bouches et de langues, fit son entrée triomphale dans la cour des grands, un vrai baiser, langoureusement exquis, une danse gustative, à travers une bouche qui s’ouvre pour une autre, et ensemble forment le plat le plus délicieux au monde... Joyce lui chatouilla la langue en utilisant la sienne, et s’enroula avec elle, vers un autre voyage de saveurs, on pourrait penser qu’a force de s’embrasser, ils allaient s’en lasser, mais ils ajoutaient tellement de piment, dans la sauce, à chaque baiser, que la lassitude même du baiser, ne pouvait pas leur parvenir jusqu’à la langue... Et puis, je ne sais pas pour vous, mais moi si j’étais embrassée comme ça, je n’aurais pas envie que ça s’arrête...
Une main sur sa nuque, et une autre sur sa joue qu’elle caressa, Joyce poursuivit, son baiser avec la même passion qui l’englober depuis de longues heures... Puis doucement elle recula, et rompit le contact, qui les liait... Elle caressa délicatement la joue de Davis avec sa main, et son autre main passa dans ses cheveux (a lui), puis elle se balada sur son front, son nez, sa bouche, et son menton... Puis ses deux mains, se joignirent ensemble, et se reposèrent sur le visage de Davis, elle lui prit le visage, et colla son nez contre le sien, avec un petit sourire aux coins des lèvres... Elle humidifia ses lèvres, et prépara l’attaque ultime... Attacher Davis... Et son prisonnier d’amour, se laissa faire, et attachés comme il était, il était parfaitement irrésistible... Une myriade de baiser ne tarda pas à s’abattre sur le cou, le torse, et très bientôt les bijoux masculins, d’une extrême excitation, de Davis... Le corps de son amoureux se tortillant, et s’agitant, suite à ses chatouilles, la fit rire... Il était irrésistible à gigoter comme un animal en train d’agoniser... Sauf, que Davis ne représentait pas un pauvre animal sans défense, mais un mâle dominée par sa femelle... Qui n’arrêterait pas de lui donner, du plaisir, ce qu’elle fit ensuite, ne pouvait que l’exciter, et des cris de jouissance, ne tardèrent pas non plus, à fondre l’air... Par contre, elle ne pouvait pas lui répondre, elle était trop occupée à s’afférer à lui procurer des sensations, que personne à part elle n’avait put lui offrir... Elle voulait qu’il atteigne encore le paroxysme de l’extase, et pour ça, sa bouche le lui permettrait, elle tenait entre ses dents, un animal précieux, et au combien parfait...
Ce qui suivit, elle ne le vit pas, mais quand elle sentit qu’il avait pris un instrument tout aussi excitant que les menottes, elle hurla, des aaaaah, et des haaaaaaaan, et des mmmh... jouissifs... Heureusement que personne à part Davis ne pouvait l’entendre, parce que une fille qui crie comme Joyce, je vous garantis que ça peut avoir des facultés très excitantes...

- Mmmh, Vas y.... Fais moi mal... Frappes moi Davis... Frappes moi...

Elle hurlait, ses paroles comme une demeurée, complètement tarée, et très excitée, mais elle décida d’enlever le bandeau de Davis pour qu’il puisse voir la lueur de ses yeux, qui était très provocante, et ivre de désir... Et puis comme ça, il pourrait encore mieux viser, et ne serait plus priver de regarder le corps bouillonnant et sublime de sa lionne d’amour... Plutôt sympa comme traitement de faveur non ? N’oublions pas que Davis est toujours prisonnier...
Joyce se pencha au dessus de lui, et lui laissa libre accès, à son corps frémissant... Elle avait déjà une petite idée de ce qui allait se passer ensuite, mais préféra attendre un peu, avant de lui faire profiter de ce qu’elle ferait incessamment sous peu...

Comment décrire cette vision de deux corps longtemps dressés l'un sur l'autre? En tout cas leurs ébats était loin d'être statiques vu les anguillonades répétés par le torse , les cuisses et autre parties musculaires de Davis et les cris et surasuts de Joyce au contact de la cravache . Une chose était sûr , il n'avait pas besoin d'aller voir ailleurs ces deux là , car il n'en avait nullement l'envie. L'Amour de l'un stasifaisait pleinement l'autre. En plus ils s'entendaient aussi bien dans la vie normale qu'au pieu... Alors qui ne serait pas envieux d'une telle relation entre deux être humains. Car oui , les sorciers sont humains , la preuve comment pourraient-ils avoir des enfants si leurs parties géniatles n'étaient pas ordinaires. Bien qu'ils faisaient tous deux partie de cette classe sociale , nos amis étaient loin d'être des simplets , bien au contraire , avec toutes les activités , les options qu'ils s'offraient lors de leurs ébats. Certes , vous avez raison chère collègue naratrice en affirmant que Davis coucherait seulement avec sa partenaire , maintenant qu'il avait découvert cette femme si extravertie , les autres lui semblaient peu de choses comparé à elle. Vous n'entendrez jamais le vert et argent critiquer la physique d'une belle jeune femme charmante , mais son coeur ne gardea que les plus sublimes éloges pour sa lionne. Il répondit avec un air amusé à sa question.

- Pas au poète amoureux le plus fou de la terre , mademoiselle . A l'amoureux le plus poètique en compagnie de sa muse ce qui différent. Repas en fraude (fe Joyce:TERMINE) - Page 3 586542

Certains diront que ce n'est qu'une affaire de perspective , un retournement de situation orthographique. Moi je pense plûtot que sa vient de son esprit malin... Enfin bon même un narrateur ne connaît pas le millième des possibilités de réaction d'un personnage. Vous croyez donc que je peux prévoir , connaître , posséder totalement , les intentions de ce serpentard... C'est l'offenser en le traitant de marionette. Car en tout créateur vit une part de son persannage. Mais ce n'est ni le moment , ni le lieu de parler de ces problèmes d'auteur/narrateur/protagoniste (Bien que les trois peuvent parfois se perdre ). Puis les doigts chauds et d'une maestria incalculable se posèrent sur le visage du prince. Quoi une princesse couche bien avec son prince non??? Donc ce rang peut lui être légitimement attribué. Hum , quel prestation mes avis. Que ne donneriez vous pas pour ne pas être en ce moment embrassés par Joyce. (Mais vous ne pourrez jamais. ). Et ses crasses sur sa nuque , donne des sensations inoubliables , même quand elles s'arrêtent vous avez encore l'imprégnation de son toucher qui vous fait frémir le poil. Puis ce fut un drôle de contact facial qui se mit en route (ne vous inquiéter , il n'y a rien à voir avec le coup de boule d'un certain joueur de l'équipe français donné sur un joueur italien ) non , celui-là n'est en aucun cas douleureux , plûtot massant , parallèle à leur union pudique (ben quoi , bien qu'ils en auraient été capables , ils n'ont pas fait l'amour devant d'autres élèves après tout, vous savez même les amoureux les plus passionés ont une certaine descence.^^ :@: ). Notre ami était le prisonnière de sa tandre bourreau , qui était à se mettre à genou devant elle , à embrasser ses pieds avant d'être digne et même espérer pouvoir toucher son corps immaculé . Quoi après tout pour lui elle était parfaite , cet adjectif lui va donc à ravir (interdiction de me piquer ce mot , avec cette rigolade , attention je vous surveille vous autres ). Il aimait sentir , son parfum salivaire à travers leurs baisers fous , sentir sa langue picoter sous la sienne , leurs micros fibres jouant telles un orchestre en plein concert . Allez les musiciens hauts les coeurs donnait du rythme pour ses jeuns gens , et leur langues s'animaient pour mieux reprendre leur duos , l'une encore plus attachée à l'autre ne se lassant pas du parfum miel de sa "langue-soeur". Son aniaml devenait de plus en plus tendu , donc comprenez de plus en plus élevé (j'aurais pu faire une vanne avec le tendu , mais je préfére la mettre en réserve , ). Il sentit l'objet précieux en sécurité face aux suçons divins de sa chérie... Sous l'impact d'un oragsme naissant dans la paroi de son sexe , les bras de Davis se relevèrent un tantinet , et firent aper les menottes contre le lit. Des tas de "ohhhhhhhhhhhhhhhhhh" de plus en plus fort résonaient et se perdaient dans l'espace clos de leur lieu sacré. Il vit que les coups de carvache ne laissait pas Joyce indifférent qui avait l'air d'adorer ce petit tapage en règle. Elle en redemandait elle ne serait pas déçue.

- Hum , mais je vais continuer alors , tes désirs sont des ordres chéries , et même des réalités dans notre cas.

Puis la vue de Davis revint miraculeusement ( c'est ça ouais coquinou. ) et notre ami ne tarda pas à apercevoir le pétillement de désir dans les iris de sa blonde partenaire. La jeune femme monta un peu plus sur lui pour faire profiter son corps du plaisir d'être battu , tandis que les jambes du lion s'enroualait autour des cuisses de Joyce. Laissant une entrée plus élargie pour l'animal. Il vînt donner un langoureux baiser à sa dulcinée avant de lâcher le supplice extasant . Un coup sec , vînt frapper les fesses de Joyce tandis que leurs épidermes échangeait des contacts moins rudes . Il augmentait en intesité , mais en pencahant un peu la tête sur le coté , le jeune veillait à ne pas blesser sa compagne , ce serait un sacrilège , un acte impardonnable. Le son des coups augmenaitent son potentiel d'activité sexuel. Il allait bientôt lâcher la sauce. Et Joyce serait une jolie proie (n'oubliant pas que la scène de mise des capottes à été enlevé , car vous l'aurez compris nos amoureux ont aussi des moyens de contraceptions). Son pénis montait de plus en plus vers son vagin. Et la avec une violence inouie mais porteuse d'un désir autant égal , il enfonca son animal dans la partie intime et reproductrice de Joyce. Ses reins se déhanchaient d'une manière presque inquiétante , intenable, avec cette vague de libido. Elle devait sentir le liquide contre la protection caoutchouteuse du préservatif cherchant à s'échapper (mais désolé messieurs spematozoides on ne se promènent pas ce soir). Le lit commença à grincer d'un air étrange.

On pourrait très bien parler de symbiose amoureuse, entre Joyce et Davis, une éternelle passion dévorante, qu’ils entretiendraient tout les deux, à leur manière, bien respective, qui je pense vous avez amplement eu le temps de remarquer... Mais cela encore pourrait paraître trop simple, parce que l’amour est trop complexe pour être définis par de simples mots, mais si vous voulez une petite idée de ce que c’est, vous n’avez qu’à laisser vos yeux le voir... Et ils le verront, oh bien sûr ils pourront peut être se dire que ce n’est que de l’amusement, et que ça ne ressemble pas vraiment à de l’amour, mais ils se tromperont, moi je vous le dit... Parfois, il faut se méfier des tours que notre imagination peut nous jouer, et ne pas se laisser trompé par l’infaillible trompe l’œil... Moi, je vous confirme que si ce n’est pas de l’amour, ce n’est rien, et rien est synonyme de néant, et le néant ne représente pas deux humains s’unissant dans les liens sacré de l’amour.... Donc, c’est de l’amour... De l’amour, de la passion, et peut être plus...
Son petit air amusé, la fit pouffer de rire, il était craquant, et ce qu’il dit ensuite, eut pour effet de la faire sourire jusqu’au oreilles...
Elle répliqua tout de suite après, prenant le même petit air amusé que lui... Approchant de plus en plus son visage du sien...

- D’accord, si tu préfères... Dans ce cas j’aime ta façon poétique d’être amoureux de moi...

Elle continuait de s’occuper de son lion d’amour, tout en lui parlant, parce que même si la plus part des couples perdent l’usage de la parole quand il sont en préparation pour l’acte ultime, ou quand ils se retrouvent simplement nus, dans les bras de l’autre, ce n’était pas le cas de Davis et Joyce, ils pouvaient très bien se glissés quelque mots, de temps à autre, sans pour autant qu’ils soient lourds, ou soûlant, ou encore inutile... L’échange, dans un couple est quand même important, même si je suis d’accord, il ne faut pas qu’il envahisse tout, tout le temps non plus... Sinon, ça devient un cocon démoniaque soporifique... (c’est n’importe quoi ce que je dit... faites pas attention...) Mais si c’est pour se priver d’amuser son partenaire, alors il n’y a plus d’originalité dans le dit « ébat amoureux sexuels »... Vous avez déjà essayé de faire l’amour en étant plié en 4 ? A mon avis, ça doit être marrant, et légèrement incontrôlable... Mais ça devrait pouvoir se faire, toute façon avec Joyce tout est possible, vous n’avez pas besoin que je vous le dise, pour savoir qu’elle est capable des pires folies du monde...
Toujours attaché mais ayant retrouvé la vue, Davis était toujours aussi excitant, et la belle et jolie bonde jeune femme, ne pouvait pas rester insensible, à tant de plaisir, et ses cris ne firent qu’augmenter le désir qu’elle avait de lui sauter dessus comme une sauvage... Et quand il lui donna le deuxième coup de grâce sur les fesses, elle aussi hurla et des gémissements de plaisir se firent entendre, tellement inqualifiable, que même des Aaaaah, ou mmmh, se serait même pas assez explicite, vous n’avez qu’a imaginer... Le coup avait été plus fort que le premier, et cela avait eut un impact sur la jeune fille, sa peau avait quelque rougeurs, dues au choc, mais rien de grave, le genre de petites traces rouges qui partent vite, mais cela était parfaitement normale, et elle n’allait pas le blâmer pour cela, sa peau restait toujours aussi belle de toute façon... Alors, elle ne s’inquiétait pas... Par contre si il lui abîmait complètement la peau, elle n’aurais pas la même réaction, et il aurait fait un aller simple pour l’enfer, sans passer par la porte du paradis, mais ce n’était sûrement pas dans les attentions de son charmant lion d’amour, alors tout aller pour le mieux, et ce qu’il lui prodiguait l’exciter plus que ne l’inquiétait... Ses jambes enroulaient autour de ses cuisses, et son animal joyeux de s’offrir un voyage direction le vagin de Joyce, montait de plus en plus en sa direction, et ne tarda pas à s’enfoncer à l’intérieur avec une violence étonnante de désir... Dès qu’elle le sentit, des nouveaux cris, se firent entendre, et elle ne tarda pas à sentir le liquide qui s’en échappait, mais qui ne pourrait pas aller plus loin... Et ses hanches, suivirent le mouvement, faisaient grincer le lit d’une manière anormale, sous les gémissements et les cris de jouissance, produit par Joyce... Et au milieu de tout ça, elle réussit à hurler, comme une sauvage, complètement folle de désir :

- Daviiis.... T’arrêtes pas... Continues...

Et il continua jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus... Et vu qu’il l’avait déjà fait plusieurs fois ce matin, ça ne pouvait pas durer des siècles, Davis n’étant pas un surhomme... Il fallait bien reprendre son souffle... Ils n’étaient pas non plus des machines à faire l’amour... Quoique.. nan, nan quand même pas... Après ce moment, plus qu’intense de plaisir, Joyce plongea son regard dans celui de Davis... Toujours, dans la même position, entouré par ses jambes...
Elle s’avança vers lui, tout proche de son visage, et avec un sourire des plus malicieux elle lui dit :

- Que dirais tu de t’attacher avec moi maintenant ? Tu as été suffisamment infidèle avec les barreaux du lit...

Sans lui laisser le temps de comprendre, ou elle voulait en venir, elle la partie des menottes qui le rattacher au lit, et enferma ses poignets de l’autre côté... Ainsi, elle se retrouvait menotté avec son lion d’amour...

- Voilà, maintenant on est attachés ensemble à vie...

Elle prit ses mains avec les siennes ses doigts enroulés avec ceux de Davis, et le fixa de nouveau dans les yeux, elle était sur lui...

- Ta prisonnière de menottes te plait au moins ? Parce que je ne sais pas comment on va faire pour se délivrer... Je crois qu’on va devoir rester attaché comme ça toute la vie... Moi sur toi, ou toi sur moi... Sauf si... Tu nous délivres de mon enchantement avec la clé... Et que tu trouves un moyen d’enlever la glue extra forte qui va bientôt nous coller la bouche tout les deux...

Avec un petit air malicieux, elle approcha sa bouche de la sienne, et l’embrassa, la colle n’était qu’une image, mais cette colle est la plus redoutable de toutes les colles, invisible, et complètement inséparable... Entre deux baisers, elle réussit à ouvrir la bouche pour parler de nouveau :

- Avoues, que ça risque d’être difficile... Si je t’embrasse en plus non ?

Il n’eut pas le temps de répondre, qu’elle eut déjà collé sa bouche contre la sienne... Et cela pour très très longtemps... en plus, d’être attachés par les poignets, Joyce et Davis, étaient attachés par la bouche... Je te laisse te délivrer tout seul de son emprise Davis... La diablesse peut se montrer envahissante de temps en temps...
Maintenant, toute possibilité de parole leurs étaient impossibles, Joyce monopolisait tellement la bouche de son lion d’amour, que si il voulait parler, il fallait qu’il recule sinon, il ne pourrait pas... Et elle ne briserais pas le contact, même en reprenant de l’air, sa bouche frôlait toujours celles de Davis, et la chaleur qui s’en émanait, ne cesser jamais de toucher ses lèvres... Elle arrêta un moment, de prendre totalement possession de sa bouche, et se contenta de la toucher tout doucement... Tellement doucement, qu’elle parvenait à provoquer des chatouilles, et des frissons.... Et très délicatement elle recula, et amena ses mains sur son cou, et bien sûr les mains de Davis atterrir aussi sur son cou, vu qu’ils étaient toujours attachés...

- Alors une idée pour nous sortir de là ?

Les frottements des baisers donnés pas les deux jeunes personnes qui se trouvaient dans la cuisine montraient leur extase réciproque. En effet , à chaque baiser correspondait un sourire. Ben quoi vous n'allez pas me dire que quand vous embrassez votre petite amie vous lui faites la gueule? En tout cas c'était tout bonnement impensable pour Joyce et Davis qui s'éclataient trop à se faire l'amour et à être amoureux l'un de l'autre. Accordant une confiance totale à son partenaire. Par l'ajout d'un nouveau sourire sur le visage de sa douce , le vert et argent compris que sa réplique lui avait plus. Et comment n'aurait-elle pas pû lui plaire , alors qu'elle était véridique. Il l'aimait oh que oui. Rien n'y personne ne pourrait briser ce sentiment qui sommeillait au fond d'un petit quelque chose qui s'appelle coeur et qui bat comme ça. . D'après la suite que pris la tournure des événements , les compliments de Davis n'était pas la seule chose que Joyce recevait à coeur joie. Les coups de cravache la rendait de plus en plus féroce. Et dans son regard , notre ami ne put réprimer l'image , l'ombre d'un fauve qui s'allait avec son mâle , qu'il soit dominant ou dominé dans leur position , là n'était pas la question. La vrai interrogation était de voir la satisfaction intense de sa petite amie brillait au fond de ses délicates mais fondantes pupilles. Qui faisait epnser à une petite fille prise en faute quand elle le fixait d'un air malicieux. Et dans ces instants là , Davis ne se privait pas de la prendre sur ses genoux , mais pas à la manière d'un père. Plûtot d'un amant amouraché de sa duchesse . Les coups du mini fouet excitait la jeune femme qui bramait de jouissance. Et même plus (et affinités ) quand le sexe de Davis la pénétra. Et là nos deux amis tels des serpents se mirent à bouger scabreusement dans des cris de plaisirs.

- Oh , mais ne t'inquiète... Pas. Je ne me passerais pas de toi pour rien au monde ma chérie.

La taille de l'animal avait facilement dû tripler voire quadrupler durant leur intermèdes . Du coup , il eut l'impression d'exploser de désir lorsque son pénis se permit d'inviter le vagin de Joyce dans un coin se situant aux intersections des entrejambes du couple. Ils gémirent en même temps.

- Oh.... Hahhhhahahaha , hummmmm.

C'est vrai que son contact avec les barreaux du lit n'a rien de convenant .^^ Il obéit donc aux propositions de Joyce , lui déposant un aiser sur le nombril avant qu'elle ne s'attache avec lui.

- Ho , je n'ai pas l'intention de décoller nos bouches . Ni de te fuir. Au contrait Joyce , tu es la personne avec qui j'ai le plus envie de rester sur cette terre.

Les mains liées ensemble les doigts jouaient entre eux. On avait l'impression de voir une mélée avec tout ses doigts les uns assemblés aux autres. On voyait difficilement à qui appartenait tel ou tel doigt. Mais bref nos amis en était à une autre phase , celle des baisers et leurs doigts ou qu'ils se trouvent ne les dérangaient pas. Le seul truc c'était les menottes. Heureusement la baguette de Davis était à portée de main.... Quoi vous pensiez vraiment q'uil a prendre la clé alors que dans leurs ébats elle était passé sous le lit??? Non ,il n'allait pas se transformer en serpent pour la récupérer , il était trop content de profiter de cet instant qu'il adorait trop , son instant privilégié de petit ami seul avec sa dulcinée. Leurs langues se couraient après comme une sorte de "chat" coincées entre le palis et le gosier des cous des deux individus. Sachant que Davis acceptait toujours ses invitations buccales et vice versa. Dur , non... Avec une baguette en peut faire des choses et avec une dextérité déconcertante , notre ami brisa les menottes en touchant les fins bracelets de métal chauffé par leurs contacts. Il la regarda d'un air vaguement coupable et excité.

- Désolé mais j'ai trop envie de toi Joyce.

Cette fois se fut lui qui approch son visage doucement du sien , en posant ses doigts sur sa nuque , tandis qu'elle s'ocupait de sa nuque ... Rien de mieu que d masser sa compagne durant des baisers. Puisses doigts descendirent sur ses fesses , avant de flirter avec ses hanhes , pour jouer avec ses deux seins bombés . Rie à direil profitait de ce moment , oubliant tout le reste. Puisil referma une énième fois les couvetures. Sachant que pour lui et elle se serait leur dernière fois de la journée. Il approcha son visage à cinq centimètres du sien son visage , son cou relevant on menton , tandis que sa main droite jouait avec ses chveux , ses cheveux qu'il touchait presque avec obsession. Mieux Joyce était son obsession. Il demanda d'un sournois...

- Et si on le refaisit encore une fois. Je sais que ce sera sûrement la derière salve de la matinée , mais j'ai encore l'envie de me retrouver dans tes bras. Je ne peux pas me passer de toi.

Et les couvertures se refermèrent une dernière fois sur eux , tandis qu'ils s'épanchait l'un sur l'autre dans un corps à corps au ralenti avec des "smouich" s'échappant des couvertures. (ben oui vous n'avez jamais remarqué ce bruit lors du contact de deux bouches ??? Qui plus est avec la langue??? ). Leurs maxilaires allaient gonbader dans les champs frais remplis de papillons d'amour.

Censure

Un baiser = un sourire, plutôt jolie comme équation non ? Au moins elle a le monopole d’être véridique en ce qui concerne les deux lions, enlacés depuis leur réveil... Et puis, c’est craquant de sourire en même temps d’embrasser son chéri, ou sa chérie non ? Au moins, ça prouve qu’ils aiment ça, et qu’ils sont heureux dans ce qu’ils font avec l’autre... C’est vrai, c’est trop l’éclate d’embrasser en souriant... Même si embrasser n’est sûrement pas la seule chose dont Joyce étai capable de faire en souriant... Une multitude de choses, que vous n’êtes pas prêt d’imaginer... Enfin, si mais il vous sera difficile de le répertorier toutes... Vous, vous ferez juste une idée, quand vous y aurez passé 3 mille ans, mais même après cette longue période, il n’est pas sûr que vous arriveriez au bout de vos peines... La vie réserve un nombre incalculable de surprises, et on est pas tous capable de les recevoir...
La férocité de la belle jeune femme de faisait qu’augmenter sous les coups de cravache de son lion d’amour, elle qui était féroce de nature, ce qu’il faisait la rendait plus folle encore... disons en clair, que même après, elle était toujours aussi excité... C’est qu’il savait bien s’y prendre le petit Davis, qui ne s’était jamais donné à personne auparavant... Il est même vraiment très doué, pour un inexpérimenté du rapport... Enfin, si l’on peut le qualifié ainsi, puisque qu’avant sa rencontre avec mademoiselle Heir, il était plutôt réservé sur la question... Et rien que cela constituait la fierté de Joyce, elle était ravie qu’il se soit donné entièrement qu’a elle, ça faisait vraiment de lui, sa proie... Son petit Davis d’amour, que pour elle.. Ahaa, tant pis pour vous les filles, mais celui là, il n’est que pour elle... Et ça m’étonnerait qu’il veuille connaître ce qu’est l’amour avec l’une de vous... Elle est beaucoup trop bien... Et vous dépasse largement, à un tel point qu’il est difficile d’en voir la fin... Essayez de le rendre amoureux d’une autre, c’est perdu d’avance... Mes pauvres...
Assise sur ses genoux, elle l’enlaça de ses bras, mais il devient protecteur le lion d’amour de sa Majesté... Trop mignon, Joyce se colla à lui telle une petite fille avec son papa, qui a besoin d’un câlin pour survire... Sauf que cette image était fausse, en vue de l’âge de nos deux tourtereaux, il lui était impossible d’être la fille de Davis, mais elle restait son amante, sa chérie, sa lionne d’amour, sa reine des cœurs, et bien d’autres surnoms tous dédiés à elle, et uniquement elle... (Donc nous piquez pas nos surnoms les autres, ils sont que pour nous... Nah... xd)
Tiens, tiens mais depuis tout à l’heure, elle avait surtout regardé le visage de son adoré de lion d’amour, mais elle n’avait pas fait attention à la chose qui grossissait de plus en plus, situé entre ses jambes, mais ce petit détail n’était qu’un simple détail, puisqu’elle le sentit entrer en elle, et l’engin déambulant était d’une taille et d’une grosseur à couper le souffle... Le truc, tu hallucines complètement...Bon d’accord c’est pas la première qu’elle voit, (la petite obsédé), mais c’est de loin l’une des plus impressionnantes, dans le genre fantasmatique, et excitante...
Et quand il se fut terminé de ce moment de pure folie, entre les deux amoureux, Joyce put cette fois, admirer l’engin de ses yeux... Et ne put retenir un cri d’extase... Elle ne trouvait même pas les mots, pour décrire cet état dans lequel elle était en matant à mort ce bijou masculin... Et dire qu’elle n’avait pas put le rencontrer plutôt... C’est vrai, avant ça elle n’avait jamais entendu parler de Davis, et encore moins de ces sublime parties génitales... Le petit cachottier, n’allait pas crier ça sur tous les toits, on l’aurait cru pour un taré en plus, et pas que ça...(un petit pervers aussi mdr) Donc, le petit cachottier de Davis, n’avait jamais attiré l’attention de Joyce autant que maintenant ? Non, ça serait méchant de dire ça, je dis ça pour lui, donc on oublie, mais jamais pareille sensation ne s’était emparée d’elle... (Tu peux être fier Davis)

- Dis moi Davis, il est énorme ton engin de rêve... Je dois vraiment l’exciter pour qu’il se mette dans un état pareil...

Tout en parlant, elle le détacha et s’attacha ensuite avec lui, entouré avec les menottes tout les deux, le bisous sur son nombril laissa place à un petit frisson des plus agréables, elle aimait bien qu’il embrasse son nombril comme ça à l’improviste comme si il s’était dit juste avant, attends j’ai envie de te faire un bisous sur le nombril, bouge pas trop vite... Craquant...
Mais au bout de quelque instant, Davis réussit à prendre sa baguette magique, et à user de son savoir, pour les détacher tout les deux... Facile, mon cher Davis... un peu trop facile...
Dès qu’il eut dit, qu’il avait trop envie d’elle, elle lui sourit malicieusement et lui donna une petite tape gentille sur l’épaule en ajoutant avec son ton plein de malice, reprochant et un peu sournois...

- C’est ça... Espèce de tricheur...

L’embrassant encore, en lui caressant la nuque d’une main, elle laissa son autre main se balader sur le dos de Davis... Alors que lui profitait de ses fesses, ses hanches et enfin sa poitrine énorme... (mdr) nan on va dire sa poitrine magnifiquement proportionnée, obsessionnelle, et généreuse... En gros, le genre de poitrine que toutes les filles aimeraient avoir... Mais désolé ce genre de perfections n’existe que pour Joyce... Un jouet pour n’importe quel homme, enfin là il était plutôt pour Davis, qui se les aient bien appropriés... Hein Davis ?? Ouais, ouais fait pas l’innocent on sait tous, que tu les veux que pour toi...

- Dis tout de suite, que tu as envie de moi tout court Davis...

Elle s’engouffra sous les couvertures que Davis ferma sur eux, et une nouvelle fois ce matin, ou en ce début de matinée, ils recommencèrent à se donner l’un pour l’autre....

Censure...

Après ce dernier moment d’extase, et de pure folie auquel s’était adonné les deux jeunes adultes, décidemment complètement fou l’un de l’autre, ils finirent par émerger des couvertures... Et à reprendre leur souffle... Joyce prit la parole en première...

- Davis, j’ai jamais fait l’amour autant de fois en une matinée avec le même homme... Tu es sérieusement obsédé mon amour....

Doucement, elle se décala de lui, et essaya de retrouver les fringues de son lion d’amour, pas facile avec tout le bordel, qu’il avait foutus tout les deux, bravo les artistes... A quatre pattes sur le lit, elle se mit à fouiller un peu partout, et finit par retrouver le tee-shirt de Davis enroulés avec un de ses soutiens gorge... Evidemment... Elle prit les deux, et s’approcha de Davis... Elle se colla à lui, et elle lui mit son tee shirt par la tête, il n’avait plus qu’à mettre les bras... En caressant ses épaules, et lui en levant ses bras, il réussit à mettre son tee shirt, bien qu’il aurait put le remettre tout seul, cette scène allait clore leur ébats amoureux, par un rhabillage de l’autre... Elle prit son soutien gorge et le tendit sous les yeux de Davis... Il n’avait qu’a le prendre, et à lui mettre, mais allait t-il y arriver ? Attention, Davis c’est super compliqué, et c’est la que tu vas voir, que c’est plus simple de l’enlever que le mettre... Mais je te laisse faire, tu n’as pas eu de mal à l’enlever, voyons comment tu te débrouilles.... Ne lui met pas à l’envers sinon, elle risque de se foutre de toi...

- Tu me le mets ? Où c’est trop dur pour toi ?

Elle approcha son buste de lui, elle était prête à ce qu’il lui s’applique à la tâche...

- Sauf, si tu n’as pas envie de te séparer de cette vue tout de suite...

Un sourire coquin, dessinée au bout de ses lèvres... Il pouvait aussi choisir de lui remettre sa petite culotte d’abord, mais dans ce cas, il fallait qu’il la cherche... Et ça prendrait sûrement un peu de temps... Mais la sublime poitrine de Joyce resterait en exposition plus longtemps... A toi de choisir, Davis...

Exitable , c'était bien le mot pour qualifier l'effet que faisait Joyce sur le membre musclé en angle droit des bijoux de Davis. Cette réfléxion bien que rigolote était pourtant d'une vérité pointilleuse. Il n'eut aucun mal à ajouter à cette affirmation , avec un air sincère les termes suivants.

- Mais Joyce , tu sais bien que pour moi tu seras toujours exitante , car je t'aime princesse . Et cet engin augmenté par le désir que tu me prodigue avec suite en est bien la preuve.

Encore une phrase tarasbiscotée me direz-vous. Pourtant il faut des hommes comme Davis et des femmes , pour sauver le genre lyrique , en pleine perdition dans un monde ou l'amour rime avec sexe et oû les entiments n'ont plus de raison d'être. Ainsi donc Joyce et Davis était deux rares spécimens de la race humaine capable de transformer leurs sentiments en de sublimes pas de danse, comme une mazurca (danse du XIXéme siècle , bien connu dans l'aristocatrie italienne) ou une danse plus conventionelle nommée la valse. Bien que les rapports enflammés entre leurs physiques avait aussi des airs de sambas. Bref , leurs bouches , épaules , hanches , cuisses... S'accordaient tels de légères et pourtant au combien symboliques symphonies comme celles de Mozart ou Beethoven. La leur était celle de leurs nuits , de leurs déclarations mutuelles d'amour l'un pour l'autre. Ils étaient l'Amour incarné ... Les agents d'Eros. Puis la tricherie de Davis pour détruire les menottes à l'aide de sa baguette amusa de plus belle Joyce. Et puis il n'avait pas envie de quitter son ange , pour trouver un stupide bout de métal qui l'aurait éloigné de sa dulcinée. Etre dans ses bras était mieux qu'être par terre à l'ignorer dusais-je quelques secondes. Tiens tiens la camraderie en plus des sentiments de Joyce revenait à la charge , la petite tappe sur l'épaule lui donna encore plus l'envie de se ne noyer métaphoriquement avec elle dans les différents draps qui recouvrait le lit qui avait été le théatres de folles autant que juvéniles actions sexuelles. Tricheur , bof bof , plûtot un être inséparable de celle qu'il aime , ce serait plus juste . En amour tout les coups était permis et Davis ne reviendrait pas sur le fait que ce mini-brûlage d'étape n'était pas pour mieux les rapprochait encore. D'ailleurs ne l'avait-il pas fait exprés , notre petit être plein de malice?(enfin , petite pas tant que ça. ). Il était fan des caressent dans le dos savament distribué par sa lionne d'mour en plus des baisers qui les tenait en haleine tous les deux et qui était magnifiques , liant leurs bouches dans un instant de délice , se moquant des autres. Seul comptait pour lui , Joyce , Sa Joyce. La personne qui lui avait déclaré sa flamme et lui avait fait don d'un pendentif en demi-coeur , oû ne cessait d'être enregistré leur doux moment de solitute par rapprot au reste du monde. Avant qu'il ne vienne à sombrer dans les surfaces exigües et satiné du lit , Davis déclara avec un sourire de franchise.

-Ahha , tu lis en moi comme dans un livre ouvert Joyce. C'est vrai j'ai tout simplement envie de toi.

Simple et pourtant efficace , car nos deux tourteraux passèrent bientôt ensemble leurs têtes en dessous des couvertures pour mieux rechercher l'affection et les caresses subliminales et amoureuses de l'autre.

Censure

Pentelants de sueurs , et encore affalés dans les draps (ben oui essayer de faire plusieurs fois l'amour d'affilé et vous verrez si à la fin vous êtes encore capable de bouger le petit doigt. ) , Joyce et Davis reprenaient peu à eu leurs esprits l'un à coté de l'autre , le bras serrant soit le torse, soit les hanches de l'autre (suviant l'angle de vue que vous préférez observer). Bref le tableau d'un couple , d'un couple admirable et respecté . Puis sa chérie lui confessa qu'elle n'avait jamais fait autant l'amour avec un homme qu'avec lui. Cela remplit son orgueil, il était heureux d'avoir pû donner plus de satisfaction qu'un tiers individu. Pourquoi parce qu'il était son homme et qu'il n'avait rien à voir avec les autres hommes, il était différent p^lus proche de Joyce en étant très protecteur. D'un air amusé il dit.

- Oui obsédé par toi mon amour. Et comment ne pourrais pas l'être tu es tellement mignogne . Et surtout chaleureuse. Mais peut-être aussi que je t'ai donné plus d'attention que les autres hommes non???

Oh oui , elle était arriver à faire fondre son coeur . Cupidon ne les avaient pas du tout ratés eux. A vrai dire combien de fois avait-il fait l'amour??? Heuh , je ne sais plus... A près tout je ne compte pas les ébats de deux jeunes moi. :heart: . A vous de trouvez . Et puis même si Davis avait créé un nouveau record en donnat un immense océan de plaisir à sa compagne , c'était la sensation qui primait sur le reste. Puis la jeune femme sortit nue du lit encore une fois (eh oui n'oubliez pas les fois précédentes ) et semblait chercher ses affaires. Mais ce fut celles de Davis qu'elle prit chose étonnante mais qui remplir de joie le regard du serpentard. Il était plus important qu'elle même. Voila une déclaration indirecte que peu de personnes ne vous donnent aujourd'hui. Enthousaiste , notre ami se laissa faire , comme un petit garçon incapable de mettre corectement son tee-shrit mais il préfrait que ce soit sa princesse qui l'habille plûtot qu'une mère imaginaire . La tête passa d'bord , un peu perdu dans le couloir du vêtement souple , puis il retrouva la sortie . Ne restait plus qu'à enfiler les bras , ce qui fut relativement vite fait. D'une couleur rouge , le tee-shirt , se mariait bien avec le soutien gorge noir que sa dulcinnée lui tendait pour l'habiller. Cependant il pris son temps avant de s'approcher de Joyce pour lui enfiler le soutif de dentelles. Avant de les remettre dans un endroit bien à l'abri notre ami , passa ses deux mains sur les siens de Jyce , les massant avant d'ajouter d'un air rieur.

-Tu comprends je ne pouvais pas les quitter sans leur dire un aurevoir.

Aurevoir et pas adieu . Vous êtes témoins??? Car des soirées ou des matinées au lit il y en auraient d'autres évidemment pour les amoureux. Il posa doucement le soutien gorge à l'endroit , la forme des seins se moulant avec douceur sur le haut de ses sous vêtements. Il fallait bien passait les bonnets afin que les pointes de la poitrine de Joyce ne soit pas à l'étroit , confiné par un soutien gorge trop serré. Il calqua avec maitrise , l'avant du soutien-gorge sur la poitrine riche de sa partenaire. Allant se placer dans son dos , mettant parfaitement les bretelles , restait à les emboiter avec se qui serait le dos , sur le modèle de Joyce il y avait un scrath , ce qui était plus facile à mettre. Après deux minutes d'affairage , Davis était arrivé à enfiler le soutien gorge sur la poitrine de Joyce. Etéant toujours derrière elle il souffla ses quelques mots.

- Maintenant il faudrait m'aider à mettre mon caleçon , chère mademoiselle charitable.

Dit-il un sourire coquin sur le visage. Après le défi du haut des sous vêtements pour Davis , c'était à la déesse de se plier au sien , plus dur . Car l'engin du vert et argent n'était pas encore calmé et parfois avec une caresse ou un contact de Joyce il se réanimait avec vélocité. Le linge risquerait d'accrocher . L'affaire sembalit plus complexe , mais notre ami faisait pleinement confiance à Joyce qui n'aurait pas de mal à lui mettre au bout de quelques minutes. ( Ben oui un animal commeça c'est dur à dresser ). Sauf qu'étant sa dompteuse , sa petite amie aurait autant de talent que lui-même pour l'amdouer et l'enfermer dans sa cage de tissu.

- Mais Joyce, tu sais bien que pour moi tu seras toujours excitante, car je t'aime princesse. Et cet engin augmenté par le désir que tu me prodigues avec suite en est bien la preuve.

- Je n’en doute pas une seule seconde Davis...

Ce qu’elle lui répondit était nettement moins « tarabiscotée » que ce qu’il lui avait dit, mais pourquoi chercher compliquer, quand on peut être simple ? Question, qui n’aura pas de réponses, mais dont on devine tous la réponse... La tricherie de Davis pour enlever les deux paires de menottes, était certes une tricherie, mais au-delà de ça, un acte d’amour, ainsi le mignon petit lion, ne voulait pas quitter sa lionne et chercher une vulgaire petite clé, comme ça sonne romantique, l’amoureux tellement épris de sa belle, qu’il ne peut plus la quitter, ainsi la chose prenait une autre forme, et à l’égard de Joyce il devenait, un inséparable tricheur romantique, oui oui on garde la notion de tricheur, parce qu’il en est un quand même, et puis parce que c’est mieux ainsi, suivit de romantique ensuite, et précédé d’inséparable pour compenser le nouveau titre qu’elle lui attribuait d’office... Un petit malin, qui sait comment s’y prendre pour obtenir les faveurs de notre demoiselle, parce que si il brûlait les étapes, en agissant comme un sorcier, c’était obligatoirement pour se rapprocher plus de Joyce, et repartir dans de folles contrées, direction l’amour, en première classe...

- Un livre ouvert à la page où commence, un tout nouveau, nous deux...

Emergeant des couvertures, elle avait parlé la première, et lui avait suivit le pas, juste quelques secondes plus tard, attendez il faut le temps de reprendre un peu son souffle, et ses esprits, oui oui ses esprits, difficile de retrouver la réalité, quand on part à ce point vers presque ce qu’on pourrait appeler le paradis... Les nuages... Le nirvana...

- Mignonne, chaleureuse... C’est tout ce que tu trouves à dire... Monsieur l’obsédé sexuel... (Elle sourit, et se précipite sur sa bouche pour qu’il n’est pas le temps de répondre, elle l’embrasse furtivement, et recule d’un centimètre... ) Je ne sais pas, tu sais j’ai beaucoup d’attention, tout le temps... Mais j’aime la tienne, plus que tout... (Elle l’embrasse encore, lui tirant un rapide smack... couinant, d’un bruit spécial, le bruit de deux bouches qui se touchent...Joyce adore ce petit bruit... Elle recommence...)
Mon amour... (attention, ça c’est un vrai mon amour, pas un faux, un trop mignon, craquant... xd )

Mon amour, elle n’avait ajouté que ces deux mots, au combien significatifs, en regardant dans les yeux, son lion d’amour, qui semblait avoir apprécié qu’elle ajouta ça, après l’avoir ouvertement traité d’obsédé sexuel, en même temps elle était très très mal placé pour dire ça, mais que voulez vous, elle aime taquiner, donc elle ne s’en prive pas... Et puis si on peux plus taquiner, ce n’est pas une vie qu’on a, c’est un enfer...
Elle lui tendit ensuite son sublime soutifs noirs, mais le petit davinounet, préférait faire un petit rallongement, du côté de la poitrine, généreuse et parfaite de Joycounette...
Ses deux mains, ne se privèrent pas pour en profiter, une dernière fois... Ce matin... (aha je vous ait fait peur hein ? XD La dernière fois de leur vie, n'est pas encore arrivée... )

- Tu les aimes hein ? Avoues le mon chéri, qu’ils te plaisent énormément... T’es complètement obnubilé...

(Elle parle de quoi à votre avis ?)

Son lion d’amour, maîtrisa à la perfection le rhabillage, du fameux soutien gorge, plaquant doucement la surface de tissus sur la pointe de ses seins, sans appuyer comme un malade, et à ce moment là lui faire mal, (bah oui, c’est super sensible cette zone...) Et finit par attacher le scratch fermement, pour ne pas qu’il se détache, enfin ça ne risquer pas, celui là était neuf, enfin elle l’avait bien sûr fait exprès, Davis aurait eut du mal avec des agrafes, enfin, peut être pas, mais elle n’avait pas envie de lui compliquer plus la tâche, à son lion d’amour, jusque là, il s’en était bien sortit... Maintenant, c’était à son tour de jouer...

- Donne moi, ton caleçon... Je vais le dompter moi ton animal sauvage...

Elle entraîna Davis avec elle, et il se retrouva allongée sur le dos, Joyce à califourchon, sur lui... Il lui donna son caleçon, qu’elle prit avec un sourire malicieux, doucement, elle baissa tout son corps, en frôlant, celui de Davis, lui offrant les dernières caresses, que son corps pouvaient offrir au sien, en le touchant tout partout... Même les parties intimes du lion, furent frôlées par celle de Joyce, donc elle n’y allait pas à moitié, la sauvage lionne...
Une fois arrivée, à la pointe de ses orteils, elle les chatouilla, et fit glisser le tissu noir, le longe des jambes de Davis, passant en même temps ses mains, pour prolonger ses caresses... Puis, avec l’agilité d’une chatte, elle glissa le caleçon, jusqu'à ce qu’il arrive tout prêt de ce qui sera recouvert, en même temps elle approcha son visage, et regarda Davis, un sourire malicieux au bout des lèvres...

- Tu veux que je lui dise au revoir ?

La belle jeune femme, embrassa doucement l’animal sauvage, qui n’avait pas finit de se tortiller, elle déposa quelques baisers, et posa le prit avec sa main, il était nerveux... De son autre main, elle ramena le caleçon, et avant de le refermer sur les parties intimes et sensibles de Davis, elle les caressa et les embrassa une dernière fois... Puis, elles disparurent, derrière une couche de tissus noirs... Il y avait même un petit bouton, qu’elle prit soin de fermer avec sa bouche... Oui, elle sait tout faire avec sa bouche...
Elle rampa jusqu’à Davis, et s’allongea sur lui, ventre contre ventre, jambes contre jambes, et bouche contre bouche... Elle déposa encore un doux baiser, en caressant sa délicate nuque masculine...

- Je ne pense pas qu’il se soit calmé... Mais, je dois t'avouer quelque chose... Je ne suis pas douée pour calmer ce genre de chose... Et il fallait bien que je lui dise au revoir...

Elle continua de l’embrasser, tout en souriant malicieusement, elle n’avait pas tord là-dessus, elle était complètement nul pour calmer ce genre de spécimen, non son truc c’est plutôt l’exciter, après, le calmer, c’est mission impossible 4... Elle lui fit des petites chatouilles derrière la nuque, et finit par reculer, et passa une main sous le tissu noir, encore une petite fois, décidemment, elle aussi elle était obnubilé... Il était tout chaud, tout dur, et tout aussi excité qu’avant...
Sentant que Davis, allait craquer, et qu’elle aussi, et que sinon, elle se jetterais encore sur lui, pour lui faire l’amour, encore une fois, elle enleva sa main, après si on la laisse faire, elle va faire n’importe quoi... Elle attrapa, le jean bleu foncé de Davis, et le lui enfila tout comme son caleçon, en frôlant ses jambes de ses doigts, et ferma le bouton ainsi que la braguette avec les dents... Elle lui remit aussi la boucle de sa ceinture, et finis par l’embrasser fougueusement, avant qu’il ne procédé à son rhabillage à elle... Il était presque tout habillé, mais il fallait qu’il s’occupe d’elle maintenant... Et pour cela, il devra l’enlever de sa position califourchon, dominante... Enfin il ne devrait pas avoir de mal, maintenant qu’elle le regarde avec impatience...

- Je te laisse finir de me rhabiller cher Davis de mon cœur...

Sa petite culotte est aussi noire que son soutien gorge, mais elle a des petites bordures en dentelles roses, tout le long... Elle met le bout entre ses dents, et la fait tomber entre les mains de Davis... Il n’a plus qu’à lui enfiler... Comme il le souhaitera... Mais lui fait pas faire le grand écart non plus Davis... Sauf si tu en as super envie, elle souple, donc ça ne pose pas de problème technique (mdr)

Un tout nouveau nous deux... Quel homme n'aurait pas voulu entendre ces mots plus représentatifs qu'un simple "je t'aime". Là ça équivalait à cette expression multipliée par mille (au moins. ). Une douce perspective de vie amoureuse s'offrait à eux , sans accoups... C'est le mal qu'on leur souhaite. Avec un air coquin , notre ami vint taquiner les lèvres de la damoiselle superbe qui était à ses cotés.

- J'aimerais bien savoir quel nom pourrais sonner le mieux pour ce livre ??? Que pense tu "D'une ivresse mal cachée aux creu de tes bras??? ".

Un titre emberlificoté , certes , mais qui résumait avec un certains charmes , leur nuits d'amour sans nulle autres pareilles. Puis vinrent d'intimes insinuations lancées par Joyce sur un air amusé. Monsieur l'osbsédé sexuel... Eh oui il était plus que vrai que notre ami avait était ébloui par leurs divers contacts corporels. Mais il avait trouvé une maîtresse dans ce genre. Et quelle maîtresse. Sa chérie , sa Joyce d'amour. Plusieurs baisers de sa tendre vinrent éveiller une nouvelle fois son envie de câlins. Il l'avait pour lui tout seul , la femme qu'il aimait , pourquoi ne profiterait-il pas de ses instants de folie affective , ou amoureuse , passionelle? A vous de trouver l'adjectif qui correspond le mieux à la situation. Son attention était à son paroxisme. D'un regard luisant marron se refléatant dans les propres yeux de Joyce , il ajouta.

- Dans ce cas je ne te priverais pas d'autre fois de cette même attention dont j'ai fais preuve hier et ce matin mon amour.

Il avait eu le droit à son amour , quel terme bénit , pas trop complexe , mais qui représentait bien les mouvements du coeur de la verte et argent pour son lion civilisé. Et il n'avait pas pu répondre autre chose que le même mot... C'est étonnant ça... Non juste le reflet des propres sentiments de la jeune femme qui vivait aussi au sein de son organe battant. Vous savez celui qui tient le rôle de pulser en permanence votre sang pour que puissiez vivre tranquillement sans vous préoccuper de votre corps? Trop perdus dans vos tintantes et tonitruantes pensées. Son coeur aurait même pû lui crier qu'il l'aimait , mais il n'avait pas envie de rompre les oreilles séduisantes et corruptrices de lionne . Ben quoi la rendre sourde , n'est pas vraiment mieux que de trop mordre sa peau non??? Puis la demande expressive de la jeune femme sur le fait qu'elle devait se rhabillait ranima ses sens et d'une main cachotière il s'occupa avec tact et délicatesse de la poitrine de la jeune femme avant de refermer sur les deux formes circulaires (situées dans la partie haute du corps de Joyce) un soutien gorge noir mettant en valeur , la poitrine bombé de sa petite amie. Puis à sa demande à lui cette fois , Joyce alla chercher son caleçon. Il la gratifia d'un de ses mystérieux sourires , dont il avait la maîtrise pour l'encourager , car l'affaire serait plus dure que pour un soutien gorge. Allongé de force par sa reine , Davis se laissa faire. De son coté, l'animal semblait prêt pour une cavalcade , monté en piqué , l'animal n'était pas prêt à être capturé sans certains soins. Il faut dire que le toucher de Joyce l'avait excité cette pauvre bête sexuelle , du coup , il faudrait un certain nombre de dispositions pour le réintégrer dans sa prison de textile . Sous le coup des chatouilles de la jeune femme , réalisées avec une maestria non égalée , notre ami eut tendance à se déhancher sur les cotés. Puis elle se mit à la hauteur de son visage avec un faux air presque suppliant notre Davis déclara.

- Oui , s'il te plaît ça serait triste de la laisser partir sans un aurevoir après tout ce q'uil nous à donner ensemble.

Avouez que vous n'auraiez pas vu cela sous cet angle , mais comme je vous l'avais dit , Davis est imprévisible. Ben oui , il avait donné des intenses moment de jouissances à Joyce , en s'en donnant aussi avec son appendice familial propre à tout les hommes. Et aussitôt dit , aussitôt fait. Joyce ne tarda pas à offrir à son hôte un baiser , propre à faire rougir Davis , tellement il était procurant de désir. Mais pas rougir de honte , au contraire d'envie libidineuse , ou hormonale . Elle avait attrapé le révolté (hein devinez qui est entre les mains de Joyce???) de manière à ce que son propriétaire n'en patisse pas , des ongles de sa compagne , qui aurait pû éraffler la carosserie du bel étalon brun , fidèle à notre vert et argent. Puis deux parties plus basses de la morpholgie du jeune sorcier de dix-huit ans eurent aussi le droit à des tendres cadeaux buccaux frais et appatants. Et là ce fut le drame... Non je rigole , il s'agit plûtot d'un raccompagnement des invités à al porte d'entrée. Sauf que là la porte était synonyme de caleçon. ^^ D'ailleurs , un petit bouton ferma le chemin qui menait aux bijous rares de Davis, toujours avec les lèvres ultrapros de Joyce. Oui elle savait tout faire. Et cette partie de la personnalité de sa chéri ne le dérangait aucunement , elle mettait du piment dans leur couple. Eh oui ,elle aussi devait dire un aurevoir journalier aux parties intimes de Davis. Pour cela la vie est dure . . Comme un père attentif à la ssanté de sa fille , Davis la souleva par dessous ses bras pour la ramener dans ses bras , elle était prisonnière de ses doigts qui n'étaient pas volumineux , mais souples et agiles.

-Je ne pense pas non plus que notre ami soit calmé , pourtant il le faudra du fait des motifs dont sera peinte notre journée... Le temps de prévenir les miens , d'organiser notre escapade romantique. Mais on aura le temps de voir cela toute la journée. Pour le moment , je suis avec toi et je compte bien y rester ma puce.

Puis un vent bleu vint toucher la tête de notre ami... Un ovni peut-être ??? Non juste son jean moulant avec légereté son séant. Le pantalon bleu ne resta pas longtemps sur le crâne solide de son possesseur. Joyce l'enfilait déjà aux bas de ses jambes. Une tornade de rapidité et de sensualité. Si , si , ça existe . Un baiser fougeux , hum , l'un comme elle en avait le secret ... Encore une petite danse des lèvres .^^ Après un léger bruit et froissement des lèvres complices , Davis devait habiller sa princesse. Elle n'allait pas allé dans les couloirs en culotte quand même. Quoique là elle ne l'avait pas encore , il serait donc déçant de la lui remettre. Mais les règles de la bienséance avait-elle vraiment une importantce pour un couple qui avait fait l'amour dans une cuisine. Bof , c'était surtout pour ne pas que d'autres se jette sur elle, bien qu'elle n'hésiterait pas à les repousser , innatégnable par l'amour donné par son compagnon félin(et même reptile s'il le voulait). Il décida donc de rendre un hommage à la toison blonde qui lui faisait face avant de la cacher aux yeux (souvent mal placés) du monde. Le regard pétillant , il vint à la rencontre des petits poils gardant la partie reproductrice de Joyce , pour leur donner des baisers langoureux , relyés par une langue aventureuse , telle un célèbre archéologue chercahnt une statuette sacrée en pleine jungle amazonienne. Bien que celle de la serpentarde fut plus acceuillante et sans danger pour lui. Un frisson parcourut , le corps de Joyce qui ferma ses jambes sans le vouloir autour de l'espace étroit , le visage Davis restant esclave de cette douce vision. Après un moment de détente , il regarda Joyce d'un air riolard et ajouta.

-Avoue que tu voulais me faire prisonnier afin que je te donne encore de beaux instants de plaisir.

Puis avec un bras , il massa le dos de sa dulciné tandis qu'avec l'autre il s'emparait de la culotte noir . Il prit sa place de domination et là , toucha avec amusement les doigts de pieds la princesse. Juste revanche non??? Puis remonta plus doucement , ses mains contre les cuisses de la jeune femme pour lui faire profiter de ses caresses encore , il l'a vit fermer les yeux de satisafction. Avant de prendre la route , il décida d'oiffrir une dernière salve de caressa au denière crré poilue du vagin de Joyce. Il n'allait pas partir sans le remercier tout de même des moment enthousiastes et heureux qu'ils avaient passé à s'accorder??? Ainsi , tout le monde eut droit à son dû. Puis Davis enfile avec aisance le pantalon noir de Joyce. Décidement tout était sombre question vêtement , ou presque en contraste avec la couleur foncée azuréenne du jean de Davis. Mais attendez , il restait à Joyce à mettre son haut. Mais doucement Davisne l'oublierait pas il le ferait en temps voulu. D'un air faussement étonné ,il demanda.

- Je me demande ou sont bien passé tes escarpins ma princesse???

Et la princesse ne tarderait pas à lui dire ou ils se toruveraient pour que son prine puisse parer ses garcieux pieds , de cette envellope protectrice permettant aux femme de marcher avec des talons. Il avait envie d'entendre aussi sa Joyce d'amour l'interroger sur le pourquoi d'un non intérêt soudain pour le recouvrement de sa poitrine. Juste que Davis voulait s'en mettre encore plein les mirettes . Il ajouta en riant...

- Mais Joyce n'aurait tu pas oublié un truc??? Il me manque soudainement mes chaussettes.

Pas très érotique certes , mais les chausettes ont tout de même leur importance. Après tout.

Il ne lui fallut que quelques secondes, pour remarquer que ce qu’elle venait de lui dire, lui plaisait, elle n’avait même pas besoin de lui demander, il lui suffisait de regarder au fond de ses yeux, de voir son sourire, et son air coquin, puis d’entendre ses paroles... Mais, il fallait aussi avouer que ça lui plaisait aussi, rare étaient les phrases regrettables prononcées par sa bouche, de toute façon... Il lui taquina les lèvres, et elle titilla les siennes, en caressant sa joue, délicatement rasée...

- Mmh, c’est très... poétique ce que tu suggère... Romantique aussi... J’aime bien...

Ses bras se posèrent automatiquement, sur les épaules de Davis, et son corps se rapprocha aussi progressivement, pour être collé à celui de Davis, d’une inséparable façon... En fait, Joyce avait tout simplement envie, d’un câlin, un vrai câlin avec son lion d’amour, oui un moment de tendresse aux creux de ses bras... Qu’elle voulait partager avec son homme... Son Davis, à elle... Ses mains se baladèrent dans son dos, et finirent sur ses hanches, en dessous de son tee-shirt, la bouche de la jeune fille mordit doucement le cou du jeune homme, et ses lèvres lui offrirent un baiser tout doux... Le petit bruit du smack, se fit d’ailleurs entendre... Elle reproduisit le même geste, plusieurs fois, et inonda son cou de baisers, tendres, doux, frais, agréable...

- Tu sais que j’adore quand on me dit ça... Tu es trop craquant Davis... Mais je vais m’occuper de toi aussi... Et je ne pense pas que tu manqueras d’attention de ma part...

Elle aussi, eut droit au terme au combien représentatif de leur amour mutuelles, et en fut ravie, mais bien sûr le dire à chaque fin de phrase, ne rime à rien, sauf si on est fanatique de ce mot, et bien que Joyce le trouve parfaitement adapté pour son lion d’amour, elle aime aussi le changement, et utiliser le même mot tout le temps, constitue du vocabulaire routinier, et donc lassant, alors voilà juste la raison pour laquelle elle ne le dira pas toutes les deux secondes, mais ça ne l’empêche pas de le penser, et oui elle pense haut et fort que Davis, est son amour... Et je crois, qu’il a dut le remarquer... Son cœur, aussi aurait put le crier... Même si, un cœur ne parle pas, il aurait transmit le message au cerveau, et les cordes vocales auront parlé... Mmh, elle lui réservera ça, pour leur voyage en amoureux, là elle pourra crier comme une vraie folle, et tout le monde l’entendras, proclamé tout son amour, pour Davis... Bien qu’il n’avait pas besoin d’une telle démonstration pour le deviner, elle prévoyait déjà un élan de folie criant de vérité...
Vint à cela, leurs rhabillages respectifs, après que Davis se soit occupé de son soutien gorge, elle s’occupa à merveille, de dompter l’animal coriace, et gesticulant de Davis... Elle mit plusieurs minutes, parce qu’elle voulait lui dire au revoir, et qu’il était particulièrement difficile à attraper, mais avec sa maîtrise totale, cela ne lui posa pas énormément de problème... L’animal, fut enfermé dans sa cage de tissus... Les au revoirs furent tragique.... (mdr) Mais, il le fallait, ils ne pouvaient pas resté indéfiniment dans les cuisines de Poudlard, à se faire l’amour.... Eh oui, la vie est dure, mais ce n’était qu’un simple au revoir, et sûrement pas un Adieu définitif, donc évitons de pleurer tous en chœur, ce n’est pas la fin du monde...
Elle se sentit ensuite soulevé, par des bras, musclés, et toutes part, comme si elle n’était qu’une plume volante, il faut dire, que la musculature de Davis, était impressionnante, de volume... Et que même si Joyce, avait un corps magnifique, parfait, complètement dénué de défauts, elle n’en restait pas moins, plus légère que Davis, et bien oui, même si elle a des muscles, ils sont pas très impressionnant face à ceux d’un homme aussi magnifiquement musclé que Davis... Alors, il la souleva tranquillement, et la ramena sur ses cuisses... Elle se retrouva donc enfermée, entourée par les bras et les mains, de son amoureux.... Amusée, Joyce ne perdit pas de temps, et répliqua tout de suite après, avec son air coquin...

- Tiens, j’ignorais que jusqu’ici que j’étais ton otage personnel... Tu comptes me libérer ? Où je suis condamné à passer le reste de ma vie, avec un ravisseur dont je suis littéralement amoureuse ? (Approche sa bouche de son visage, et l’embrasse amoureusement, dans un danse au ralenti, passionnément folle de douceur féminine... en clair, du baiser 100% Joyce, unique au monde et inimitable désolé les filles, mais il n’y a que moi qui puisse offrir ce genre de baisers, si superbement décrit... )

Le jean de Davis, se balada un peu dans l’espace, au milieu des étoiles, ovnis, et autres création du cyber intergalactique monde des étoiles... (j’arrête mon délire) Et s’installa confortablement sur les jambes de Davis, en les enveloppant de sa couche textile bleu, toute douce... (j’avais dit que j’arrêtais...) Il était pratiquement habillé, mais quelques petits détails étaient encore à régler, la finition...
Alors, qu’elle se trouvait encore toute nue, décidemment Davis avait réellement envie d’en profiter le plus possible, en ne se pressant pas le moins du monde, parfait Davis je retins ta lenteur voulue... Elle va te déshabiller, en moins de deux secondes, tu vas voir... Non, non, quand même pas, mais tu verras, tu verras...
Il eut donc la grâce, de la vêtir de sa petite culotte... Mais avant ça, il eut besoin de faire une dernière expédition, digne du plus grand archéologue, et sa statuette en or, il la trouvera, d’ailleurs, il en profita pour balader sa langue, et de l’embrasser langoureusement au passage, dans des au revoirs, larmoyants de désirs, pour lui, et pour elle, parce qu’il n’était pas le seul à profiter de la situation, Joyce ne pouvait bien sûr pas resté insensible, à ces traitements de faveurs, que lui prodiguait son archéologue préféré... Un frisson de plaisir, s’empara de tout son corps, et sans le faire vraiment exprès, quoique moi je pense que si, un petit peu quand même, elle ferma les jambes, emprisonnant la tête de Davis, qui pouvait profiter encore plus profité de la douce vision qu’il avait devant lui...Elle répondit après, s’être détendu, et qu’il eut parlé... Avec l’air le plus innocent possible, mais c’était un peu dur, étant donné qu’il était certain qu’elle l’avait fait exprès, mais c’est pas grave c’est une bonne actrice...

- Non, non, je ne voulais pas te faire prisonnier... Tu te trompes lourdement mon chéri... Et tu n’as pas du tout touché en plein dans le mille...

Elle sentit une main de Davis dans son dos, alors qu’une autre allait enfin lui mettre ce petit morceau de tissu, lui permettant de recouvrir sa partie intime... Elle se tortilla, en sentant ses chatouilles, venant de ses doigts de pieds, administré par son lion d’amour, et ne put s’empêcher de s’esclaffer, et de pouffer de rire, parce que cette zone, était encore une zone des plus sensibles, de son corps... Ses mains se baladant sur ces cuisses, le firent doucement frémir, et elle ferma les yeux, trouvant ce traitement, plutôt satisfaisant...
Il lui donna encore quelques douces caresses, superbement placés, la faisant languir de ses caresses, remerciant ainsi le territoire le plus sacré de la jeune femme... Elle était presque complètement recouverte... Son jean noir, ne tarda pas non plus à immerger des draps, ou de là ou il était, et à se placer sur les jambes, les fesses, et la petite culotte de Joyce... Lui laissant donc, plus que son haut, et ses chaussures... Qu’il ne tarda pas à mettre, faisant bien sûr semblant d’oublier, qu’elle était toujours en soutien gorge...

- Ils sont justes à côté de toi, idiot...

Idiot, était peut être un terme un peu fort, mais quoiqu’il en soit, prononcé par Joyce dans ce contexte, il était bien sûr affectueux, et témoigner du fait qu’elle avait parfaitement remarqué qu’il retardait au maximum, le rhabillage du haut de la jeune femme... ainsi, idiot prenait une tournure ironique, et absolument pas méchante... t’inquiètes pas Davis, elle va te le faire remarquer... Mais, pour le moment, elle fait comme si, elle n’avait pas fait attention à ta préférence pour ses chaussures, plutôt que son haut...
Il lui mit donc, ses magnifiques escarpins, munis de petits talons, hauts, et déclara ensuite, qu’il avait les pieds dépourvus de chaussettes...

- Attends, je vais te les mettre moi tes foutues chaussettes...

Mais ou étaient t-elles ? Une chaussette ça se perd facilement, et avec tout le dérangement que leurs ébats amoureux, avais causés, les chaussettes de Davis, avaient dut se cachés dans un coin bien loin, et bien perdu... Mais, en fouillant, retournant les oreilles, arrachant presque les draps, Joyce finit par les trouver, sous l’œil, ravie de Davis, qui pendant ce temps là avait put la regarder, sous toutes les coutures, seulement vêtu de son soutien gorge, concernant la partie haute de son corps...

- Les voilà... Tu avais fait exprès de les mettre là bas ou c’est une pure coïncidence, si elle était soigneusement disposée toutes les deux, au même endroit ?
(Elle lui tira un smack, et s’apprêta à lui mettre ses chaussettes...)

Elle se pencha en arrière, et partit en direction de ses pieds, comme un missile, elle lui chatouilla la plante des pieds, le plus doucement possible, pour qu’il sente bien les chatouilles, le parcourir, sans retenues... Puis après quelques secondes de tortures, très tendre, (xd), elle lui enfila sa première chaussette, puis vint la deuxième, ses deux pieds étaient maintenant recouverts tout les deux, de tissus...

Tout en restant dans cette position, elle lança un regard malicieux à Davis... Un regard qui voulait tout dire, mais elle ne put s’empêcher après quelques secondes, de bouger, et de lui sauter dessus...

- Dis moi, Davis tu peux m’expliquer, l’absence presque totale de tissus recouvrant ma poitrine, et mon ventre s’il te plait ? (Elle lui re tire un smack d’une dizaine de secondes...)

Ses paroles étaient arrivées à toucher le coeur de Joyce. N'y avait-il que ses pieds de sensibles , certes , non , heureusement que le coeur l'est aussi , sinon comment se rendre compte qu'on est amoureux... Remarquez ça serait bizarre que nos pieds battent à pleins régimes pour indiquer qu'on craque littéralement pour une personne du sexe opposé . Le titre du livre s'était tranformé en réalité , et il ne fallut pas attendre moins de dix secondes pour que Joyce vienne s'introduire entre les bras puissants de compagnon de vie.^^ Une bonne quinzaine de smack unifia de nouveau le terrain de jeu des lèvres et de leurs amies langues pour une partie de baisers relaxant doux au parfum de miel-fraise , tel une glace consommée ensemble en plein ciel bleu sous les monuments magistraux d'Italie... Quelle belle vision... Seulement ils étaient encore à Poudlard , situé dans une région du Royaume-Uni. Mais leurs perspectives de voyages devenaient de plus en plus réalistes du fait qu'il partaient tous les deux pour un endroit charmant et innoubliable dans deux jours. Avec une joie qui ne pouvait être dissimulé notre ami caressant les agraffes du sous-tif de sa chérie... Puis ensuite le bas de son dos, pour faire jouer avec abilité tous ses doigts sur ses petites fesses fermes, il ajouta.

- Je dois t'avouer que j'affectionne également ce titre... Encore plus quand il est mis en pratique.

Les affirmations suivantes , lui donnèrent encore plus l'envie de rester enlacé avec sa Joyce d'amour (bien que comme vous pouvez l'imaginer , il ne la quitterai pour rien au monde ). Enfin l'heure du rhabillage arriva , sonnant avec elle la fin des festivités pour le moment ... Car des moments aussi incroyables , ils en vivraient d'autre et cela grâce à un seul sentiment l'amour mes amis... N'est-ce pas la meilleure chose qu'un coeur puisse ressentir quand il est partagé par un autre? Autant dire que même si la jeune femme adorait s'amusait avec l'animal de Davis , il fallait bien le prendre avec des pincettes pour le ramener chez lui ... Des pincettes , aie , ça doit faire mal quand j'y pense... Pauvre bête... . Rassurez vous il n'est pas blessé (si on l'xompt d'une ceratine morsure précédent dûe à l'exaltation grandissante qu'avait Joyce en début de soirée lors de leur première fois à tous les deux... Pour elle sa première fois avec lui , vu qu'elle en avait eu d'autres avec d'autres hommes et pour lui sa première fois au sens propre du terme). Donc de ses doigts délicats et qui pourtant pouvaient se montraient dotés d'une sacrée force.. Le fauve brun fu ramené dans son zoo , afin qu'il se repose après plusieurs heures de travail. Même si pour le moment il tournait en rond face aux barreaux de sa cellule prévoyant sa prochaine évasion , prât à retrouver sa lionne blonde... (Belle métaphores pour exprimait l'idée des deux parties intimes de Joyce et Davis , n'est-ce pas???). De son coté son propriétaire , jubilait en capturant sa petite amie dans ces bras , ses jambes coinçaient entre les siennes. Son otage personnelle... Plûtot sa dulcinée personnelle...^^ Ben oui quoi , une dulcinée ne peut-être que personnelle , du moment que vous ressentez quelque chose pour elle. Ce que les dragueurs de mauvaise condition ne pourront jamais comprendre.

- J'opte pour la seconde solution ... Mais toi serais tu prêt à me suivre partout ou j'irais fidèle comme une ombre??? Même si , sur ce point je te rassure... Tu es autant brillante que moi dans le domaine de l'amour.

Eh là en réponse au 100% baiser de Joyce , Davis ouvrit avec plus de naturel , quelques recoins de ses lèvres pour permettre à Joyce et à lui-même d'en profiter encore plus. Maintenant il y avait un baiser 100% Davis offert à sa chère et tendre ... Profitez promotion sur tous les produits... Désolé , c'était l'hisoire des pourcentages... . Bien que Joyce le savait elle avait l'hégémonie du corps de son fidèle serviteur de coeur. Puis Davis fit un tour du coté de l'animal de la plaine dorée de Joyce , lui donnant des baisers à éveiller le désir de la belle au bois dormant , endormie pendant 100 ans quand même... Pour dire la qualité des baisers distribués , offerts de notre homme. Et là , sous le coup des assuts répétés de la langue du vert et argent , les jambes de Joyce se refermètent sur son cou... Pas très prtaique pour le cou , mais il était servi pour faire profiter sa lionne d'amour de ses services d'amant. Il redonna aussitôt une deuxième tournée de baisers sensationnels à sa compagne , qui une fois zen , réouvrit la porte de sortie afin que Davis puisse respirer.... L'excuse n'étant pas convaincante , il savait parfaitement que sa chérie essayit de lui dire en fait qu'elle avait apprécié son traitement par une expression négative.

- Merci , Joyce , même si je vois à tes yeux que tu as relativement bien profité de ses baisers , placés au bon endroit.. Tu sais que me faire prisonnier de ton corps n'est pas une punition , pour moi c'est plûtot le reflet de tes sentiments.

Les jeans ne tardèrent pas à s'enfiler sur les jambes de leurs possesseurs d'origines. Des caresses s'invitèrent au gala des deux tourtereaux afin que chacun d'eux puisse dire aurevoir à l'une des parties favories du corps de l'autre. Ce jeu de rhabillement par l'autre avait mis Davis encore plus de bonne humeur ,qu'il ne l'était déjà en s'étant réveillé avec sa femme. (Pour elle son homme ). Oh oui , lui aussi aimait bien jouer la comédie , même si sa lionne verrait clair dans son jeu. De quoi mettre plus d'humour dans leur relation tellement riche en gamineries ... Mais l'amour est bien synonyme de jeunesse normallement??? Enfin c'est la représentation qu'on donne du dieu Eros le plus souvent donc ces gamineries les améneraient aussi à plus s'aimaient , donc à s'amusaient entre eux , à respecter l'autre , donc à devenir ensuite plus adulte. Quel chemin étrange la vie , n'est-il pas??? La question des chaussettes étaient bien sûr pour détourner la question , du " Pourquoi ne pas m'avoir plus habillé ?". Interrogation auquel il aurait le droit plus tard et à laquelle il répondrait. Les yeux lumineux , notre mai ne se lassait pas du spectacle du corps finement bombé en avant de Joyce recouvert par son soutien gorge , flirtant à merveille avec son jean de même couleur. Sa taille mince creusant des hanches fines mais musclés (bien loin d'hanches d'anoréxiques . Bien que je n'ai rien contre elles, juste pour établir la comparaison avec Joyce). En attendant il avait eu la réponse à la question sur la localisation des escarpins qui se trouvait à ses pieds. Mais bon après tout il ne pouvait pas tout faire non plus. Il la regardait donc ,il ne pouvait voir les chaussures. Après la remarque amouraché de sa princesse. Davis les chaussa aux pieds de la jeune femme , il fit attention à ne pas faire entrer brusquement les orteils de sa lionne afin de ne pas la blesser et déposa avec une attention manifeste , son talon pile au bout de la chaussure... On aurait crû qu'il avait fait ça toute sa vie notre Davis. .

Et l'ultime quête commença , celle des chaussettes perdus. En plus ça sonne bien (désolé , commenteaire pourri de narrateur :arrow: ). Profite en bien Davis , tu as le droit à du rab de mattage de poitrine de Joyce. Bien que ses femmes étaient toutes aussi moulante dans l'espace confiné du pantalon obscur de la jeune femme. Dur choix... Et vous messieurs que préférez vous chez une femme??? Mais la perle dans tout ça c'était avant tout son visage , même si le reste du corps ne l'avait pas laissé indifférent , c'était d'abrod son visage angélique qui l'avait attiré , pour le mener ensuite au paradis.

- Je dirais une pure coïncidence afin que ma Vénus ne vienne les offrir à son Apollon.

-Et aussi , avant qu'elle l'embrasse bien entendu...

Déclara t-il tandis que leurs lèvres se rapprochaient l'une de l'autre , chauffant , voire bouillonantes de passion pour leurs alters egos. Leurs langues , vinrent rafraichir l'incendie qui s'était déclaré dans les palais en contact. Et là commença quelques secondes plus tard , quand le visage de Joyce se retira progresssivement du sien un supplice chatouilleux. Car Davis n'avait pas beaucoup de résistance en cette matière. Et sa dulcinée prenait un malin plaisir à le torturer... Mais était-ce de la torture. Non une séance de bonheur , plûtot. En effet même si son rire était nerveux sous les chatouilles , Davis ne s'en plaignait pas , il gardait ce moment dans sa tête. Tiens un souvenir à rajouter dans le pendentif argenté que Joyce t'a fait cadeau , ça serait sympa , non ??? Tu n'es pas d'accord Davis ??? Bien sûr que si , c'est ce qu'il me semblait . Restant en arrière avec une figure malicieuse , voire suppliante. Davis pouvait encore mieux contemplait son trésor. Il ne sont pas tous fait d'or et d'argent et notre protagonsite partagait cet avis. Avec une douceur calculé , il se laissa faire , et accepta sans condition le smack de Joyce... Pourquoi le refuserait-il ??? Il passa une main sur son nombril , comme pour lui signifier ses prochaines paroles.

- Je voulais m'entrenir en privé avec ton nombril ma chérie , lui aussi va me manquer durant ses quelques heures de séparations.

Puis il baissa sa tête en direction du dit nombril , le touchant d'abord du nom comme pour lui donner un baiser papillon , avant de lui donner un bisou affectueux dessus. C'était un symbôle , celui qui avait fait que Joyce était en vie aujourd'hui , qu'elle avait pû naître , et il le remerciait de cela. Il murmura ceci.

-Merci , pour elle et pour moi , petit nombril que j'adore.

Puis avec un clin d'oeil , il fixa intensément Joyce avant de la prendre doucement dans ses bras , et de la serrer fort contre lui.

- Je t'aime Joyce. Et chauqe jour je prendrais soin de toi.

Puis il passa enfin débardeur de Joyce , Blanc ... Qui faisait un sacré contraste avec le bas de la jeune femme.Posant avec lenteur sa main dans le creu de celle de sa petite amie. Davis déclara en soupirant , en commémoration des heures passées dans ce lieu bénni:

- On devrait y aller maintenant , non???

Le lit , leur lit , celui oû c'était déroulé leurs ébats n'allait pas tarder à disparaître. Attendant la décision de Joyce , Davis lui donna un dernier regard , accordant tout le reste de son temps à la vue de celle qui partagerait ses bonheurs et ses peines.

Sensibles cœur, mais seulement parce que tu le rends sensible Davis, sinon il ne le serais pas, il serais comme tout les cœurs de ce monde, normal, battant à vitesse programmé par le corps, en somme un cœur ordinaire, avec un soupçon d’originalité quand même, parce que Joyce n’est pas n’importe qui, et que son cœur non plus... Il présente des symptômes étrange et unique, au monde, il peut être chaud, bouillant, froid, glacial... en somme, c’est un cœur lunatique, et unique...
Effectivement, les pieds ne sont pas idéalement placés pour obtenir un tel rôle, aussi primordial que faire battre un cœur... Donc, heureusement que ce ne sont pas à eux que cette noble tâche est attribué, eh oui, le petit cœur tout chaud de Joyce, bat à vitesse normal pour une jeune fille craquant pour un jeune garçon, qui est bien sûr pas non plus n’importe qui, c’est quand même Davis, son lion d’amour, et pas un banal garçon d’un soir... Sous les myriades de smack, tous prodiguait par notre déesse enchanteresse, Davis eut envie de prolonger, et d’offrir un vrai baiser langoureux à sa lionne d’amour, soit elle n’allait pas refuser une telle invitation gustative, et ouvrit légèrement sa bouche, pour laisser sa langue s’enroulait encore avec celle de Davis, ajoutant un délicieux parfum de miel, à sa langue fraiseuse... Suite à cela ou pendant ce baiser fruité, il caressa avec élégance les agrafes de son sous tifs, puis le bas de son dos, et enfin ces fesses, petite et fermes, très bien proportionnées... Elle sourit malicieusement, quand il lui avoua aimer aussi ce titre mais plus quand il était mis en pratique, évidemment Joyce était d’accord, et pas besoin de s’appeler Merlin l’enchanteur, pour le deviner, ou le sentir... Joyce est suffisamment expressive je pense, et quand elle aime quelque chose, on le sait... Pareil, pour ce qu’elle n’aime pas d’ailleurs, elle s’est se montré très clairs, quand à ses goûts, et préférences, ainsi que ses dégoûts, et autre détestable chose...
Les au revoirs des parties intimes, furent tristes, et déchirant, mais il fallait bien qu’il s’habille, et là-dessus, il est évident que Joyce adore celle de Davis, l’ensemble génital et reproducteur, de son lion d’amour, lui plaisait énormément... A la folie, une vrai petite coquine, cette Joyce...Mais ce n’était qu’un au revoir, pas non plus un Adieu, donc pas de panique Joyci chou, tu le retrouveras, le petit euh énorme fauve dans sa cage de tissus...
Amoureusement enlacée dans les bras de son amoureux, l’idée d’otage personnelle lui était tout de suite venu à l’esprit, mais en y réfléchissant, dulcinée personnelle n’est pas mal non plus, et plutôt véritable en ce qui la concerne, elle et Davis...

- Mmh, je savais que tu préférais la deuxième Davis... En même temps, moi aussi je préfère être ton otage, ou si tu préfères ta lionne d’amour... sauvagement adorable et amoureuse de toi...

100% baiser de Joyce, avec 100% baiser de Davis, ça fait 200% de baisers follement tarés... Oui, oui, vous avez bien lu, et aucune promotion n’est négociable, ne me demandez pas de savoir compter, c’est comme ça, et puis c’est tout... Joyce et Davis, ça fait 200... Et pas 50 on divise pas par deux le baiser, on l’additionne, comme ça, ça fait deux fois plus de plaisir.... Tout le monde est content non ? (C’est n’importe quoi ce que je dit...Bref)
Sous les baisers langoureux, de son chéri, Joyce eut le reflex de fermer ses jambes, et ainsi le faire prisonnier de son corps, tout cela sans lavoir fait exprès bien sûr... Jouant la carte de la parfaite innocence, Davis compris bien évidemment qu’elle l’avait d’abord fait exprès, et que ce n’était que pour profiter encore plus, de ce qu’il lui faisait... Il recommença donc à lui offrit des baisers sensationnels, et se détendant, doucement, il put enfin sortir de son emprise, et respirer normalement...

- Et ils disent quoi mes sentiments à ton avis ? Je n’ai pas relativement profité de tes baisers Davis... (Sourit jusqu’au oreille)... J’ai tout simplement profité à la folie ton traitement... tu enlèves le relativement.... Et tu trouves.... Je t’aime comme une dingue...
(Sourire triomphant...)

Elle put ensuite, habiller Davis de son jean, sans oublier de lui donner les dernières caresses de la matinée, et certainement pas de la journée, là il ne faut pas déconner, ce n’est qu’un au revoir matinal, et ensuite ça sera un bonsoir nuptiale... Recouverte de son jean, et de ses chaussures, qu’il avait prit soin de très bien lui mettre, avec la délicatesse et la précision digne d’un grand chausseur des temps modernes, bravo Davis, Joyce se mit donc en quête des fameuses chaussettes perdues, en batifolant à travers les draps, renversant la couette, les oreillers, pour enfin trouver LA paire de chaussettes de son chéri, soigneusement alignés l’une à côté de l’autre...Par pur hasard évidemment...

- Mais oui, et tu as oublié de dire que c’était aussi une pure coïncidence qu’Apollon, matte encore plus longtemps la poitrine de sa Vénus... (Lui tire la langue comme une petite fille...)

- Non, avant qu’elle ne se jette sur toi, pour te voler ta bouche qu’elle aime à la folie...

Sur ces dernières paroles, elle vint se jeter sur son lion d’amour, et l’embrassa avec une passion presque suicidaire, mais surtout incendiaire, bouillonnante, et folle... Sa langue s’entremêlant avec folie avec celle de Davis, mmmh, elle en raffolait de ce baiser... Et se retirant progressivement de son étreinte tant désiré, elle lui enfila ses foutues chaussettes, dans un suplice de chatouilles, des doigts de pieds, à la plante, elle ne laissa aucune parcelle de son pieds en paix, et elle sentait le corps de son chéri frémir, sous la torture heureuse qu’elle lui infligeait, avec un petit sourire... Et enfin, deux grands tissus, en forme de chaussettes (si, si je vous assure), vinrent recouvrir les deux pieds de Davis...
Elle se vautra ensuite sur lui, pour lui offrir un autre smack... Et lui passa ses mains sur son petit nombril...

- Tu as de la chance, il n’est pas trop pris par ces rendez vous, en ce moment...

Elle lui fit un petit sourire coquin, et vit qu’il baissait son visage pour embrasser son nombril, d’un baiser papillon, et ensuite d’un baiser affectueux, tendre et doux, qui éveilla quelques chatouilles... Son ventre frémit...

- Ahaa... tu le chatouilllleeeuuh..

Elle se blottit dans ses bras, et se laissa envelopper, par ses muscles, puis elle le repoussa, et recula un peu, en fixant le bas de son ventre...

- Attends, moi aussi je veux lui dire au revoir, à ton nombril...

Elle le poussa encore un peu, et souleva son tee-shirt, aperçut enfin le nombril de son chéri, parsemés de quelques poils ventraux... Et déposa sa bouche dessus pour l’embrasser tendrement...

- A bientôt petit nombril de Davis...

Elle remit ensuite soigneusement son tee-shirt, et retourna dans ses bras, en le serrant fort contre elle... Il avait dit qu’il l’aimait, et qu’il prendrait soin d’elle, chaque jour...
Ce qui lui décrocha un petit sourire, et lui donna envie de l’embrasser, cette fois dans le cou... Puis il proposa de partir, de s’en aller, ce qui était une sage décision, puisqu’il avaient encore plein de trucs a faire, avant de s’envoler vers les tropiques...
Néanmoins, Joyce, à l’esprit décidemment très sauvage, et compliqué, refoula sa demande, en faisant basculer Davis sur le lit...

- Pas tout de suite...

Lui murmura t-elle au creux de l’oreille, alors que sa bouche se jetait sauvagement contre la sienne, et que ses mains s’en allèrent dans son dos... Elle roula avec lui, de l’autre côté du lit, et il se retrouva encore en dessous d’elle, elle recula progressivement tout en se levant, et jambes tendus, elle se releva... Se recoiffa un peu les cheveux, d’un geste magique de la main, et lança un petit clin d’œil à Davis, qui était resté allongé...

- Maintenant, on peut y aller, on a une montagne de trucs à faire avant de partir je te rappelle... Alors, faut pas qu’on traîne trop dans les cuisines, pour ça il faudrait que tu arrêtes de m’exciter comme tu le fais, maintenant... Sinon, je vais te déshabiller en deux secondes, sans que tu comprennes ce qui t’arrive, et on sera obligé de rester là, toute la journée... T'es prêt Davis?

Sous les éclairants baisers distribués l'un à l'autre par les deux amants , leurs coeurs brillaient en harmonie (métaphoriquement parlant bien sûr. ). Battements contre battements , ils entendaient le rythme éffréné de leur organe vital individuel rechercher son double. Et sous ce contact , nos deux amoureux ronronaient d'affection , physique et sentimentale. Les caresses généreuses données au partenaire , l'envie d'en donner d'autre à son équipière constituait un cercle vicieux, d'ailleurs là , qu'on pouvait qualifier de cercle érotique ( ben quoi c'est toujours "Eros" l'amour en grec). Les deux fauves humanisés s'amusaient à se perdre dans les mille calins offerts par l'autre. Et leurs lèvres ne pouvaient se décoller les unes des autres telles des siamoises qui auraient passé toute leurs vies attachées ensemble. "Ensemble" , quel mot beau mot pour représenter l'idée de "couple" . Et justement notre couple ne pouvait exister sans Joyce et Davis pour le composer . Le sourire aux lèvres lors de leurs langoureux et bouillonant baisers transcrivait le désir d'être tout le temps l'un à coté de l'autre , profitant de chaque instant . Instant qui paraissait interminable pour qui trouvait l'amour sur son chemin et ne voyait pas le temps passer , sa mémoire conservant à tout jamais le visage , l'expression de bonheur partagée par l'être aimé . Içi Joyce , la dulcinée par excellence de son lion d'amour. Après de rapides adieux matinales (Vous pensiez donc que nos amis n'allaient pas se retrouver le soir de la même journée??? Hein , avouez , eh bien vous vous trompiez lecteurs ) presque larmoyants , lancés par l'un et l'autre à sa partie intime opposée ... Les deux jeunes gens se lancèrent dans une lutte gamine de bizouilleries exibitionistes. Le regard des autres... Pff , là ils s'en moquaient parfaitement , tout ça leur passait au dessus de la tête en ce moment. Le soleil éclairant ces doux et joyeux héritiers , qui créeraient sûrement une autre génération digne de ce nom. Soit dit en passant en détournant l'expression , c'est une digne génération , digne de leur nom à eux... Les autres n'avaient cas faire tout leur possible pour faire de belles lignées. La principale qualité qui toucherait sûrement la leur serait qu'elle naîtrait d'un amour passioné entre deux personnes. Dire qu'il y a des gens qui n'ont que des enfants que par une relation sexuelle d'un soir... Enfin passons et retournons non pas vers le futur , ni le passé , mais vers le présent. L'allusion au titre " Une ivresse mal cachée dans tes bras" (qui pouvait aussi relater leur rencontre de la veille ) , leur fit montrer leur belles dents blanches s'échappant d'un sourire à faire pâlir les pubs de dentifrice.^^ Prisonnière des bras de Davis , Joyce ne s'en lassait pas pour autant , elle aimait bien être blottie au chaud contre sa peau , sentir sa délicieuse odeur , qui sort du four... Désolé petite blague d'auteur. Sentir son odeur masculine , la sienne , ses effluves personelles. Ce qui devait être edenien comme parfum vu que comme sa chérie , le vert et argent prenait soin de lui. En plus de prendre soin d'elle dans un lit et même en dehors. ( Ben oui sa petite amie on en prend soin tout le temps messieurs. ). Otage ou lionne d'amour , dur de choisir. Mais un être que l'on aime , qu'importe son nom ou surnom on l'aime , un point c'est tout.

- Quelque soit le titre que je te donne mon coeur , tu es toujours ma Joyce d'amour. Même si c'est avec joie que je t'acceuille les bras ouverts.

Hein , hein , vous aimez jouer sur les mots mon cher. Mais il était sûr que sa princesse comprendait l'allusion discrète à leur position actuelle. C'est à dire l'un dans les bras de l'autre (mieux qu'un chauffage , point de vue chaleur de groupe ). Vint une cascade de baisers , hydratant l'épiderme des tourteraux , resserant leur lien d'un corde invisible mais intelligible , celle de l'amour ou plûtot pour eux l'Amour. Et avec leur 200% de baisers autant dire qu'ils étaient servis dans la recherche de leur article préféré , le baiser : Car ils peut prendre diverses formes , langoureux , brave(ou de la mort ) , volatile , smack ... Bref un panel de possibilités inépuisable dans leur plaisir. Puis voulant en quelque sorte rendre hommâge à sa déesse en lui faisaint une offrande buccale. Il descendait vers la terre sainte de son appareil reproducteur pour l'adorer et en profiter pour embrasser la partie basse de son ventre. Il vit les deux jambes se rapprocher l'une de l'autre , comme un exploratuer voyant des parrois se resserer pour le prendre au piège. Fait comme un archéologue avide de sa découverte et de l'objet de ses rêves. Seulement il n'y laisserait pas la vie , trop content d'être parvenu à son but , il recommença son plus joli péché. Ce geste aussrant sa liberté car les cuisse se détandirent brusquement comme pour voir s'il allait bien. Sa lionne n'allait pas tuer son mâle qu'on ce dernier lui offrait des moment propices à sa forêt personelle. La réponse de Joyce à sa remarque fit grnadir le sourire franc et faussement sage qu'il gardait à l'occasion , pour faire balançe au regard innocent de Joyce comme une enfant prise en faute , ou qui mettait au point un mensonge pour expliquer son véritable comportement.

- Alors nous sommes tous deux dingues ma chérie.

Ensuite s'ensuivit un tête à tête avec la partie génitale du jeune homme. Joyce observait son animal de compagnie en ayant du mal à s'en séparer. Un peu sauvage mais tellement affectueux quand on s'y habitue. Certes , il fut reconduit dans son caleçon puis d'un jean protégant la propriété privé du serpentard. S'enchainaâ ensuite plusieurs actions , le fait que Davis remette son soutif à sa petite amie, qu'il lui mette ses escarpins... Mais tout compte fait , notre ami était à 95 % habillé (en comptant les chaussettes ajouté à la robe de sorcier). Un spectacle sublime , pour un homme de rester immobile , un coude sur le lit en observant le physique avantageux de sa petite amie . LA paire de chaussette perdu fut vite retrouvé , le lit un peu en bataille , quelques plumes sortant de l'oreiller sous les ébats violent et intenses qu'avaient eu nos amis à plusieurs reprises ajoutée à la recherche des fameuses chausettes. Bref , il avait deux-trois coussins sur le sol un peu dans tous les sens, des couvertures retournées , dont la dorée était avachie comme un fétard cassé en deux après une soirée à consommer trop d'alcool ou de produits qu'on peut fumer légales , ou illicites à vous de juger. Les paroles de Joyce l'amusèrent , et elle n'avait pas tort , on pouvait dire qu'il l'avait prévu ce moment , petit cachotier va. En plus l'animal sembalit se réveiller en un pic extrême , ses cris appelant sa moitié. De grâce calme tes désirs mon cher. Avec ironie , il s'aperçut que son acte n'était qu'un prétexte pour que Joyce se jete sur lui. Elle n'avait pas perdu toute son excitation non plus. D'ailleurs , quand on est avec celle qu'on aime on ne la perd jamais.

-Bouche que j'aime aussi.

Ajouta-tila vec un faux air désinteressé car la suele chose qui pouvait l'interesser de toute manière içi c'était Joyce... Incroyable l'estomac de notre vert et argent restait de marbre face à la nourriture??? Oui car son coeur était le maître incontesté de son corps avec son cerveau pour guider ses moindres gestes.

Et là une envolée de Joyce sur son homme si fit apercevoir (Par qui??? Par nous voyons.^^) . Après s'être jeté sur son petit ami avec légéreté et envie. Nos deux amis se retrouvèrent propulsé en boule sur le lit... Comme deux lions se battants pour voir qui aurait le dessus sur l'autre. Et ce fut Joyce la grande vainqueur... (vainqurice , ça n'existe pas à ce qu'il me semble... ). . Et Davischou devait avouer sous la torture corporelle des pieds qu'il aiamit pourtant ce genre de moment. Ses pieds ne restèrent pas sans reste face aux caresses de Joyce , ses jambes commençant à bouger un peu vers la gauche tandis que ses abdos respiraient avec avec attraction face au comportement minaudant de la jeune blonde. Le visage de sa reine , ne tarda pas à se poser sur ses lèvres pour lui faire profiter d'un baiser chaste , annonciateur de moments de coquinerie (Notez le contraste ). Et Davis ne put résister à l'idée d'aller voir une partie importante du corps de Joyce , celui qui l'avait relié jadis à sa mère et lui avait permis de vidre. Il donna des baisers répétés sur son nombrils , tandis que quelques soubresauts indiquaient que sa propriétaire craignait ses coups de langues qui lui infligait de sévères mais méritées chatouilles. Ainsi il fit minde de ne pas entendre ce que lui disait sa compagne afin de faire dureur la douce torture quelques minutes de plus. Il fut étonné du flux et du reflux de la jeune femme entre ses bras , mais il ne tarda pas à avoir la réponse à son regard interrogateur. Elle voulait dire aurevoir à son nombril. Une vengeance de guillis en somme , donnée avec amour. Quel admirable supplice. Un baiser suffit souhaiter une bonne matinée et après midi au dit nombril . Car le soir leur réserverait bien des surprises. Ce baiser lui donna un frisson de bonheur. La bouche de Joyce était devenue plus fraîche en se détachant un peu du corps de son lion d'amour. Pour faire un clin d'oeil à sa remarque , il affirma.

-Ne t'inquiète pas tu le verras , bientôt , très bientôt.

Mais avant de dire quoi que ce soit , il fut poussé avec force et détermination sur le lit par la serpentarde alors qu'ils ne tarderaient pas à partir. Soit , mademoiselle voulait son dernier instant de plaisir. Se laissant pousser tranquillement avec un sourire malicieux . Un dernire baiser allait clore cette matinée tandis que les amins de la jeune femme touchait ses omoplates tandis qu'il caressait , le dessous de son tee-shirt à elle. Le bruit d'impact ou de rencontre , des lèvres se faisaient entendre , pendant cinq-six minutes se fut ainsi , la fougue de deux jeunes gens ne pouvant être facilement retenue.

- Je pense que nous pourons bientôt y aller ma puce. Mais avant il ne faudrait pas que tu oublie ta robe de sorcière avec ta baguette dedans.

Car oui , avec toutes leurs parties de jambes en l'air les deux élèves avaient pliés avec soin l'uniforme de leur lycée magique. Laissant leurs baguettes dedans après les avoir usées pour faire apparaître divers objets dans la salle dont leur lit. Passant sa robe noire , Davis sortit sa baguette en faisant disparaître le lit... Les elfes de maisons n'étaient plus là , sûrement en train de s'affairer à nettoyer toute l'école. Dix heures sonnantes indiquèrent clairement que les cours avaient commencés depuis deux-heures , soit ce n'était pas grave , ce qui comptait c'était qu'il ait été avait elle et qu'il continuera à marcher à ses cotés , main dans la main. Yeux dans les yeux. Avec un air malin , il déclara.

- Il ne te reste plus qu'à mettre ta robe de sorcière avant de partir Joyce... Je ne voudrais pas que des préntendants ne viennent nous géner en voyant ce que tu leur cache habituellement. Comprenez les tenues moulantes de la jeune femme.

Dit-il en plongeant son visage dans le cou de sa partenaire pour lui donner un bref baiser. La jeune femme fut secoué d'une onde de désir. Mais il faudrait attendre ce soir mademoiselle Heir.

Enlacés avec un lion d’amour, ce n’était pas banal comme situation, et encore moins quand le lion d’amour, représente l’homme dans les bras de Joyce, au moment, même on l’on peut lire ces lignes… C'est-à-dire Davis Burningham… Enfin, il est clair que rien n’a encore fait preuve de banalité depuis le début de leur rencontre. Si bien, que l’on pourrait se demander, mais comment font-ils pour être en harmonie parfaite depuis de longues heures sans jamais se lasser… Ils ne connaissent pas la routine, parce qu’il savent comme l’éviter, il n’ont pas besoin de jouer au échecs pour passer le temps, leur désir, leur passion, leur amour l’un pour l’autre, est plus fort que tout… Mais, il n’y a pas que ça, il y a aussi, de la complicité, Joyce sait qu’elle peut échanger de vrais échanges verbaux avec Davis, et lui aussi… Elle peut le taquiner, gentiment tout en restant elle-même, sans que lui s’énerve comme un idiot pour rien… Parce qu’il la comprend, et peut être parce qu’il l’aime aussi… Chose essentielle dans la vie d’un couple, se comprendre, s’aimer, rire, et ne pas se lasser de l’autre… Sinon, toute passion s’envole avec le reste, et le couple se détruit… enfin, inutile de s’attarder, sur ce fait, Joyce et Davis, sont un couple nouveau, enrichissant qui n’a pas fini de s’épanouir, dans les joies de la vie… Joyce ne pourrait pas se passer de Davis, et Davis ne pourrait pas se passer de Joyce… ça marchait dans tout le sens, à l’envers, à l’endroit, sur le côté, derrière… blottit contre la délicieuse peau de son lion d’amour, elle ne pouvait que trouvait ce moment paradisiaque… Mais, qui ne tarderais pas à prendre fin, comme toutes les bonnes choses… (Vous remarquerez la subtilité de ma transformation de phrase)…

- Et toi, tu es mon Davis d’amour… A moi, et à personne d’autre…

Elle lui fit un petit clin d’œil, et lui tira la langue comme une petite fille, qui trouve qu’elle a parfaitement raison, juste pour lui signifiait que maintenant, il était vraiment à elle, qu’il le veuille ou non, et pour longtemps… Elle lui sourit aussi, en ayant perçut ce qu’il avait dit, sur leur position actuelle, quel petit malin, ce Davis… Alala… Leurs baisers rafraîchissant, et tellement passionnant, leur arrachant encore un soupçon de folie désireuse d’être partagé avec l’autre… Davis, ne se priva pas non plus pour descendre, plus bas, afin de donner une dernière slave de baisers matinaux, à sa Joyce chérie… Délicate intention, qu’elle trouva coquine, et tendre, et somptueusement agréable… Cependant, il lui fallut rectifier les dires de son Davis d’amour…Avec un sourire, très taquins…

- mmh… non, je suis plus dingue que toi…

Leur rhabillage était maintenant en phase terminal… Davis, était pratiquement complètement habillé, et Joyce aussi, après avoir eut le privilège d’être vêtue de son haut, elle était aussi habiller que son chéri, ce qui rendait la partie un peu plus équitable… Le chose dressée derrière deux barrières de textiles, ne semblait même pas calmer, et continuait de se redresser… Comme si, il n’avait pas eu sa dose… Non mais oh, faut dormir aussi… (xd) Mais cet appel à la charge ne la laissa pas indifférente, et lui donna encore plus envie de se jeter sur Davis…

- J’espère bien que tu l’aimes, c’est quand même elle qui t’embrasse je te ferais remarquer… Mais, j’aime trop la tienne aussi et tu le sais très bien…

Une roulade sur le côté lui permit de se retrouver en position de vainqueur au dessus de Davis, et elle ne manqua pas de lui offrir un baiser sur cette bouche qu’elle aimait tant et tant embrasser, avec un sourire ravageur aux lèvres… Joyce, aimait trop profiter de cette position de domination, en embrassant l’heureux dominé… Complètement craquant, soit dit au passage, il n’y a pas que Joyce qui est complètement craquante dans cette pièce… Un terrible au revoir, s’en suivit encore une fois, Davis s’occupa à merveille de son nombril et Joyce, qui vous le savez déjà est très chatouilleuse, ne put s’empêcher de se tordre dans tout les sens, bien que cette torture de baisers, était pour elle un pur moment de bonheur, qu’elle ne tarderait pas non plus à faire profiter Davis… Son nombril à lui aussi, allait lui manquer… Alors, il lui fallait un au revoir digne de ce nom… Lui qui était moins chatouilleux qu’elle, craignait moins, la douceur infinie de ses lèvres… Mais, elle sentit que son baiser lui avait procuré un agréable frisson…
Oh oui, elle ne lui disait pas Adieu, juste au revoir, et ce soir elle le retrouverait… en fait, elle le quittait pour mieux le retrouver…
N’ayant pas tout de suite envie de quitter définitivement ce lit, la belle demoiselle aux cheveux blonds entraînât de force son lion d’amour, sans pouvoir s’en empêcher… Ses pulsions était trop fortes, et Davis beaucoup trop irrésistible…
Mais elle était consciente, qu’il ne fallait pas qu’il tarde trop, aussi leurs derniers échanges ne durèrent qu’un temps…

- Pff, tu m’arrêtes pour me dire que je dois mettre ma robe de sorcière ? Tu n’as rien trouvé de mieux comme prétexte idiot ?

Un petit reproche qui voulait tout dire, mademoiselle avait encore envie de rester tranquillement avec son Davis d’amour… Et ne surtout pas partir… Mais, il le fallait bien… Il fit disparaître le lit, et Joyce se vautra littéralement dans les bras de Davis, simplement habillée de ses habits moldus… Sans se soucier le moins du monde de sa robe de sorcière…

- Je n’ai pas du tout envie de la mettre… Je vais rester comme ça toute la journée, et tu vas devoir supporter que les autres me regardent… Mais moi je ne regarderais que toi…

Recevant le baiser du jeune homme dans le creux de son cou, elle fut secoué un frisson des plus agréables, signe que Davis lui faisait beaucoup d’effet avec sa bouche… Simplement avec sa bouche… Elle posa sa tête sur son épaule, et déposa ses bras autour de son bassin…Juste pour quelques secondes…
Et soudainement, se retourna et fonça en courant direction la porte des cuisines, en emportant Davis par la main…

- On sort des cuisines, une bonne fois pour toutes… Tu me suis ?

Un petit sourire malicieux se dessina autour de ses lèvres… Plein de complicité… Les deux amoureux ne tarderaient pas à quitter l’endroit où ils avaient eut leurs premiers ébats… Les fameuses cuisines de Poudlard… Endroit un peu saugrenue, pour faire de telles choses, mais c’est ce qui fait le charme de nos deux protagonistes… Faire ce que personne ne fait, à n’importe quel moment, sans se soucier de quoi que ce soit… En gros, la belle vie… Et tant mieux… Quand on est jeunes on profite de la vie… A pleine dents… C'est normal non ?

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