La pluie martellait les vitraux du Lard Rock Café, et Derek était assis à une table ronde, posé près d'une des cinqs fenêtres de la petite salle carrée. Il y avait, diposé sur les tables, des affichettes disants : "Menu à 14 morning". Il ne fut que rigoler d'un trait sur le papier, et regarda au dehors des petits vitraux blancs, où l'on ne voyait plus rien à cause de la pluie. Elle martellait les vitres de ce Café, depuis à peut-près 1 heure, et rien ne disait qu'elle pouvait s'arrêter un jour. Depuis 50 minutes Derek était bloqué dans ce Café, et personne n'était venu pour lui demander, s'il voulait quelques choses. Leur menu spéciale à 14 morning, ne l'interessait pas pour le moin du monde, et le bout en serait plus confortable. Il changea de côté pour regarder les murs rouges, qui se disposaient sur toute la surface du Café. Bien que le rouge soit très beau, sur des murs plus fonçé à l'ordinaire, cela ne lui plaisait guère. Heureusement que une touche de bleu, marquait les toilettes pour hommes, et aussi pour femmes. Il se leva doucement et remarqua, que personne ne leva la tête de son journal, qui s'intitullait : "La Gazette du Sorcier". Normal que tous les gens du Lard Rock Café lisent cela. Dans les articles de cette semaine, il y a pleins de photos du Café, et les pris augementes à la rage. Bien que ce ne soit que la première fois que Derek vient ici, quelques personnes l'on interrogé, et lui on demander son avis sur le café. Bien sur il n'aimait pas mentir, mais sur ce coup là pour la presse, ça ferait un choque. Il se leva complètement et remarqua, quelques yeux se lever puis se rebesser, en attendant que les reportères arrivent. Derek prit vite ses jambes à son coup, quant-il vit tous le monde se lever, et aller ouvrir la porte vitré. Il s'enfuit aux toilettes comme une vielle chaussette, et se retrouva le nez dans un lavabo, prit d'asseau par quelques personnes folles. Derek souffla et une buée blanche, sortit de sa bouche crispée. Il n'aimait pas du tout les intervwiew. Et si quelqu'un decidait d'aller aux toilettes, le remarquait et lui posait des questions. C'était en plus le pire endroit pour cela : des toilettes publics. Rien qu'à l'odeur il était sur, que personne ne pourrait venir ici, même pas le Président mais toute était possible dans une vie politique. Il remarqua une petite fenêtre en haut d'une porte, et grimpa sur les W.C, pour attraper la poignée de la fenêtre. Il l'ouvrit et sauta dehors, sous la pluie et ne remarqua personne, qui pourrait le retrouver pour le questionner. Il était fier de lui, mais la suite ne lui disait rien de bon. Il se retrouva nez à nez, avec une jeune femme qu'il connaissait, et qu'il adorait en amour. Son nez touchait le sien, et leur bouche était collé. Il était devenu rouge, et ne resentit plus rien dans son corps, sauf son ventre qui le dérengeaient fortement.