Une histoire, deux poètes...(FE Matthieu Brenel)

-Où vas-t'on? Il n'y a personne ici!
-Ne t'inquiète pas...

Je pensais fort à une grande sale où nous aurions tous le loisir de discutait. La porte apparut et je fus surprise que Matthieu ne le soit pas. Nous entrâmes et découvrîmes une belle salle avec des fauteuils, une cheminé et quelques bougies, l'ensemble dans une lumière tamisé, il y avait aussi une table avec deux chaises et un repas. En regardant encore, sur une petite estrade s'élevait un grand lit en fer forgé avec un baldaquin, sûrement la résultante de nos deux pensées...

-Je voulais une salle de discutions et toi tu as pensé à autre chose? Je rigolais, je pense que c'était la première fois qu'il m'entendait rire. Dis moi quel âge as-tu? C'est une question bête mais je veux savoir... DIs-je un peu gênée.

Hécate le gratifia d’un autre baiser avant de lui prendre la main et de l’emmener en dehors de la bibliothèque. Un peu surpris de cet « enlèvement » et sans même avoir prit la peine de ramasser leurs affaires, il se laissa guidé par celle qui lui avait dérobé son cœur plus vite qu’un gobelin volerait un sac d’or. Elle lui fit traverser la moitié du château et après quelques minutes sa curiosité l’emporta et il demanda

-Où vas-t'on ? Il n'y a personne ici!

Elle lui répondit de ne pas s’inquiéter et elle s’arrêta quelques instants devant un mur nu. Qu’est ce qu’il aurait aimé être seul en tête à tête avec elle et s’imagina les clichés du diner romantique des histoires d’amour. Perdu dans ses rêves, il ne remarque même pas qu’elle lui fit repasser trois fois dans le même couloir, ni qu’une porte avait jaillit de nulle part. Il fut extirpé de ses pensées lorsqu’il entra dans la Salle sur Demande. Celle-ci avait prit l’apparence exacte de ce qu’il pensait : une cheminée, plusieurs fauteuils qui avaient l’air très confortable, une table et deux chaise où un petit repas les attendaient, le tout plongeait dans une lumière tamisé et chaleureuse venant de bougies répartis un peu partout. Il fut par contre très surpris de voir un lit dans un coin. Puis, sa bien-aimée se tourna vers lui et dit d’une voix douce

-Je voulais une salle de discutions et toi tu as pensé à autre chose.

Elle eu un petit rire franc et chaleureux dévoilant un sourire d’un blanc éclatant, puis elle reprit

- Dis moi quel âge as-tu? C'est une question bête mais je veux savoir...

Lui prenant les mains et l’amenant prés du feu, il dit de sa voix très calme

-J’ai quinze ans et toi ?

-Quinze ans? Pour ma part j'en ai 17!

Je lui sourit, je trouvais cela drôle, il était plus jeune que moi mais déjà tellement beau.

-Pourquoi es-tu partie de Drumstrang?

Il mit un temps à répondre, on aurai dit que ma question le mettait mal à l'aise. Je reprit de vive voix:
-Moi je suis venus à Poudlard parce que j'ai fricoter avec un moldus...

Ca avait eu l'effet escompté, il s'était détendus et avait plongé ses yeux dans les miens! Combien avais-je envie de lui offrir un baiser, un long, un beau, un doux baiser!

-Quinze ans? Pour ma part j'en ai 17!

Après avoir dit cela, elle lui sourit, Matthieu se fichait éperdument de l’âge qu’il les séparait. Après tout l’amour n’a pas de loi. Puis elle reprit

-Pourquoi es-tu partie de Drumstrang?

La question dérangeait Matthieu. Allait-il lui avouer qu’il était un froussard ? Qu’il n’a pas eu le courage d’aider sa propre mère lorsqu’on la torturé et tué ? De n’avoir même pas tenté d’arrêter son assassin. Allait-il lui dévoiler que si son père l’avait mit à Poudlard c’est non pas parce que Dumstrang n’était plus très sur mais parce qu’il voulait l’éloigner de la magie noire. Allait-il devoir lui dire que son propre père le haïssait. Lui dévoilerait-il que chaque nuit il entend les cris d’agonie de sa mère ? Avouerait-il à celle qu’il aime qu’il n’a qu’un seul but dans sa vie, c’est se venger ? Tant de question, que pouvait-il lui dire sans lui faire peur. Mais, il n’avait pas eu le temps de préparer sa réponse qu’elle avait reprit :

--Moi je suis venus à Poudlard parce que j'ai fricoté avec un moldus...

-Quoi ?

Matthieu n’avait put s’empêcher de répondre avec un ton quelque peu indigné.

-Tu veux dire…enfin je…Comment ?

Ses pensées étaient confuses, il n’arrivait pas à rassembler de façon cohérente ses idées puis d’une voix un peu troublé, il essaya de formuler une vrai question mais aucun mot ne sortit. Que voulait-elle dire par fricoter avec un Moldu ? Et en quoi cela a affecté son arrivé à Poudlard ? Tant de question qu’il n’arrivait pas à formuler.

-Tu veux dire…enfin je…Comment ?

J'éclatez de rire. Il avait les yeux ronds de surprise.

-Mon père m'avait mise dans une école de jeune sorcière. Mais l'école était à côté d'un village moldus et un jour en me promenant je suis tomber sur un moldus du nom de Hugo! Nous avons discuté et il a été mon premier amour! Il m'a fait découvrir la poésie, les films, la musique et les baladeur CD! J'avais 14 ans et lui il en avait 16! Quand mon père l'a appris, il ma encore plus détesté! Il ne supporte pas les moldus, pour lui c'est une sous-espèce et encore!!!
Enfin bon! Il m'a envoyé à Poudlard puisque ma mère m'y avait inscrite depuis mon plus jeune âge!

Il me regardait encore! Un visage exprimant la réprobation et le questionnement.
-Qu'est-ce que tu as? Lui avais-je demandé en l'enlaçant par le cou!

-Mon père m'avait mise dans une école de jeune sorcière. Mais l'école était à côté d'un village moldus et un jour en me promenant je suis tomber sur un moldus du nom de Hugo! Nous avons discuté et il a été mon premier amour! Il m'a fait découvrir la poésie, les films, la musique et les baladeur CD! J'avais 14 ans et lui il en avait 16! Quand mon père l'a appris, il ma encore plus détesté! Il ne supporte pas les moldus, pour lui c'est une sous-espèce et encore!!!
Enfin bon! Il m'a envoyé à Poudlard puisque ma mère m'y avait inscrite depuis mon plus jeune âge!

Matthieu avait un peu de mal à comprendre ce qu’elle venait de lui dire. Qu’est ce qu’un film ? et un baladeur CD ? Ca se mangeait ? Mais il avait compris l’essentielle, elle était tombé amoureuse de quelqu’un d’autre. Il se réjouissait intérieurement qu’elle est employée le passé en parlant de son amour pour ce dénommé Hugo. Pourtant quelque chose l’effrayé encore. Son père. Il ressemblait au genre d’homme qu’il ne supportait pas. Qu’est-ce qui se passerait si cela devenait sérieux entre eux ? Devrait-il supporter un père qui prend les Moldus comme des êtres-inférieures ? Puis elle lui demanda ce qu’il avait après l’avoir enlacé.

-Rien, c’est juste que… Quels liens as-tu avec ton père ?

-Mon père? Je te l'ai dit tout à l'heure! Je ne t'en veux pas, avec ce qui s'est passé! Je le hais! C'est tout!
Après un moment d'hésitation je lui posais la question:
-Et toi? Pourquoi cette question?

-Mon père? Je te l'ai dit tout à l'heure! Je ne t'en veux pas, avec ce qui s'est passé! Je le hais! C'est tout! Et toi? Pourquoi cette question?

-Oh, c’est juste que…disons que… « Un amoureux des Moldus» comme dise les Mangemorts sont plutôt détester or d’après ce que tu me dis ton père à l’air de partager ses idées. Je voulais juste savoir si jamais ton père ne m’aimait pas, ce qui se passerait.

Puis après un petit moment d’hésitation, il reprit

-Tu sais, moi aussi je suis presque dans le même cas que toi. Ma mère aussi est morte, enfin je suppose que la tienne aussi vu comment tu en parles. Par contre, du coté de mon père, c’est l’inverse. C’est lui qui me hait.

Sa voix vers la fin avait était trouble, n’osant pas regarder Hécate, il avait peur de se confier et de fondre en larmes devant elle.

-Nous nous Haïssons mutuellement et ma mère est morte en effet!

Je ne savais que dire, mon interlocuteur avait l'air triste, le regard vide. Je le pris entre mes bras et le serras fort.

Matthieu se laissa enlacer par sa chère et tendre. Il lui avait avouée que sa mère était morte et qu’elle haïssait son père comme on dit que l courrier est passé. Alors que lui était bouleversé par ces mêmes choses. Peut être était-ce parce qu’il avait été enfant unique et gaté ? Peut être parce qu’il n’a jamais vraiment eu d’amis avant son arrivé à Poudlard. En tout cas la perte de son père par la haine et celle de sa mère par la mort, avait complètement retourné Matthieu. Ce dernier versa quelques larmes à ses pensées, larmes qu’il essuyat discrétement avant que Hécate puisse les voir.

Le silence régnait dans cet salle illuminait seulement grâce au feu dans l'âtre de la cheminé.
Je me sentais idiote et je sentais une chaleur émanait de Matthieu. Je ne voulais pas changer de position, j'étais bien, tellement bien dans ses bras. Son souffle dans mes cheveux, un souffle doux et qui sentait bon. Mon poète était trisye je le sentais.

-Qu'est-ce que tu as? Je sent que ça ne va pas! Dit-moi, s'il te plaît!

Je sentais son regard et son hésitation mais ne levais pas les yeux vers lui!

-Qu'est-ce que tu as? Je sens que ça ne va pas! Dit-moi, s'il te plaît!

Matthieu profita de son temps de parole pour essuyer discrètement ses larmes avec le pan de sa robe. Il avait en ce moment même envie de tout révéler, de tout dire mais il s’abstint. Il ne savait quoi mais une force l’empêchait de tout révéler, en particulier à Hécate. Pas qu’il ne lui faisait pas confiance mais il avait peur de sa réaction. Il dit alors tout simplement

- Rien, c’est juste que je n’arrive pas encore à digérer le fait que je n’ai plus d’attache familiale.

Resserrant son étreinte, il voulait par cette simple pression lui faire comprendre qu’il voulait la garder dans ses bras.

- Rien, c’est juste que je n’arrive pas encore à digérer le fait que je n’ai plus d’attache familiale.

Je resserrais mon étreinte comme il l'avait fait. Je me rendez compte à qu'elle point une présence masculine avait manqué dans ma vie. Les câlins, les baisers, toutes ses petites attention. J'avais mis ma tête dans le creux sous son épaule. Mes yeux fermé, je respirais son odeur. Il sentait bon. Nous étions debout dans une salle immense, nous étions si insignifiant, ne savant pas depuis combien de temps nous étions ainsi et cela m'indifférais. J'était bien, depuis longtemps, je n'avais ressentie cette sérénité dans mon coeur bien triste et torturé. L'absence d'un père dans mon coeur avait pesé lourd, lorsque j'avais rencontré Hugo tout s'était illuminait puis tout avait cessé d'exister. Matthieu était une renaissance, une deuxième chance et je ne la laisserais pas filée si facilement. Je pensais à ma mère, quelle joie cette histoire aurait-elle pu lui prodiguer?

Il l’enlaçait toujours, fermant les yeux pour savourer ce contact si doux. Il n’avait jamais ressentit cela et ce demandais si jamais il éprouvera encore une telle sensation. Soudain, il se figeât. Il regardait maintenant Hécate serrée contre lui et comprenais l’horreur de ce lien qu’il l’unissait à elle. Il avait un but dans la vie, un plan macabre où il serait soit victime soit meurtrier. Il voulait tuer celui qui lui avait prit sa mère. Il était prêt pour cela à aller loin dans le bien mais le chemin de la magie noire était plus tentant. Matthieu était perdu dans ses réflexions. Que faire d’Hécate ? Certes, il l’aimait, il l’aimait même du plus profond de son cœur mais est-ce qu’elle, elle l’aimerait encore après avoir commis ce crime infâme. Pourrait-elle supporter de le voir plonger dans le mal et l’horreur pour assouvir sa vengeance ? Et même si oui, comment serait Matthieu après cela ? Tuer quelqu’un, plongeait ainsi dans la magie noire, ne change t’il pas un homme à tout jamais ? Aimerait-elle l’homme qu’il deviendrait ? Plus, il réfléchissait, plus il comprenait que cette amour était voué surement à l’échec. Cependant, il aurait voulut la garder, lui cacher ses projets. Pendant un moment, il pensa même oublier ses plans de vengeance. Mais une voix résonnait dans sa tète : « Tu as été lâche CE jour là. Soit courageux aujourd’hui et poursuit tes ambitions. Soit courageux et quitte la pour son bien ». Il desserra son étreinte et essaya de parler.

-Je ne crois pas…

Il tremblait. Il souffrait terriblement. Pourquoi fallait-il que maintenant qu’il avait trouvé autant de bonheur, il doive ainsi y mettre à terme. Il l’aimait mais là n’était pas la question. Il devait se venger : par honneur…par principe…par amour.

-…je ne crois pas être l’homme qu’il te faut !

Il tremblait encore plus. Il aurait tant voulut qu’elle l’agrippe, qu’elle le retienne, qu’elle arrive à lui trouver des excuses pou rester avec elle. Mais comment le pourrait-elle. Elle ignorait tout. C’était d’ailleurs surement mieux ainsi. Quoique…

-…je ne crois pas être l’homme qu’il te faut !

-Quoi? non, non, tu n'as pas le droit! Tu n'as tous simplement pas le droit! Pas après... Les larmes coulèrent toutes seules. Je le tenais par la robe à la taille! Il ne pouvait pas!

-Non je ne veut pas! Ca me tuerait! C'est ça que tu veux? Je ne le supporterais pas Mathieu, j'ai perdus tant d'être chère à mon coeur! J'ai besoin de toi, de ta présence à mes côté, de ton parfum, de ta voix, de tes mains pour me rassurer! Je sais que tout s'est déroulé trop vite mais, mais, mais voilà! Mon coeur a explosé en milles morceaux lorsque tu ma récitait ses vers et que tu m'as attrapé par la taille dans la bibliothèque! Mon amour est sincère et je n'ai jamais aimée autant! Tu es l'homme... de ma vie!

L'évidence m'avait frappé comme un poignard! Il était celui que j'attendais, celui dont ma mère m'avait prédit l'arrivé! "Celui que tu aimeras ne seras pas forcément bon, ma chérie, mais il te combleras de bonheur comme personne ne l'aura fait et ne le feras! Lorsque tu le rencontreras tu le sauras tout de suite! Ne le laisse pas partir, mon coeur! "

-Tu es celui que j'aime, celui sans qui je ne pourrais vivre! Si tu pars, je ne pourrais vivre! Ma vie sans toi n'a aucun sens! Depuis le moment où tu t'es assis à la table, tout a commencé, la boucle s'est commencé! Je ne peux pas, je ne veux pas que tu parte!

Il l’avait écouté tout du long. Il se connaissait si peu et pourtant comme pour elle, le lien avait l’air si intense, si fort. Il comprenait que même s’il l’avait voulut, il n’aurait pu le briser. Mais, si elle voulait de lui, il fallait qu’elle sache.

-Hécate, comprend moi bien…

Il cherchait se mots puis reprit

-Je dois faire quelque chose de noir et si tu veux rester avec moi, il ne faudra pas que tu m’en empêche ! Comprends-tu ?

Puis, il décida à dire la vérité.

-J’ai entendu ma mère mourir et moi au lieu d’aller à son secours, je me suis terré à l’abri. C’est d’ailleurs, je pense pour cela que mon père me hait. Je dois réparer mon erreur, me venger, quitte à…LE rejoindre.

Il avait dit cela rapidement et n’osait pas regarder Hécate, ayant trop peur de sa réaction.

Mon sang s'était glacé mais les mots de ma mère me revinrent à l'esprits! Elle veillerait sur moi et j'étais sûre qu'il n'aurait pas besoin d'aller LE voir! Je m'en persuader au fond de moi, tout du moins!

-Je... j'hésitais puis repris d'une voix clair dur et assuré... Je m'en contre fiche! Que tu es besoin de lui tant que tu as plus besoin de moi! Je serais à tes côté! On ne peux pas briser la boucle! Je le sais, c'est ainsi! Je t'aiderais si il le faut et te vengerait si tu n'es plus et te rejoindrais dès que tout sera terminé! Je t'aime, je t'aime et je t'aime! Je ne peux le nier et toi non plus! C'est ainsi!

-Je... je m'en contre fiche! Que tu es besoin de lui tant que tu as plus besoin de moi! Je serais à tes côté! On ne peut pas briser la boucle! Je le sais, c'est ainsi! Je t'aiderais s’il le faut et te vengerait si tu n'es plus et te rejoindrais dès que tout sera terminé! Je t'aime, je t'aime et je t'aime! Je ne peux le nier et toi non plus! C'est ainsi!

Comment pouvait-elle s’être liée ainsi à lui. C’est ce que Matthieu se demandait. Et qu’est-ce cette boucle dont elle parlait tant ? Mais peu importait. Malgré ses projets, elle l’aimait et elle voulait rester avec lui. Regardant maintenant le diner qu’il les attendait, il se retourna vers sa douce, l’embrassa et dit d’une voix douce.

-Je sais que c’est passer du coq à l’âne mais si on allait profiter de se merveilleux repas pour avoir un diner en têt à tête ?

-Je sais que c’est passer du coq à l’âne mais si on allait profiter de se merveilleux repas pour avoir un diner en têt à tête ?

Son baiser me rassuras. Oui, j'avais fin.

-Oui, en plus ça à l'air très bon! Ne le gâchons pas. Dis-je amoureusement!

Nous arrivâmes prés de la table, mon poète tira ma chaise je e posais, puis il la ramena vers la table! Il s'assit en face de moi! J'avais besoin de contact constant! J'avais peur qu'il m'échappe! J'étirait mon bras et pris sa main lorsqu'il se rassit!

-Je ne sais pas si je pourrais sortir de cette salle sans te suivre! Dis-je amèrement, l'air grave.

Oui, en plus ça à l'air très bon! Ne le gâchons pas.

Ils s’avancèrent vers la table et Matthieu tira la chaise pour permettre à Hécate de s’asseoir. Certes cela pouvait paraitre vieux jeu, mais il était plus du genre à faire ce genre de petites attentions. Puis, à peine assit à sa propre, elle mit sa main sur la sienne. Content de ce geste affectueux, il plongeât dans ses yeux d’un marron doux où il cru perçait une nuance d’émeraude. Puis, elle prit la parole :

-Je ne sais pas si je pourrais sortir de cette salle sans te suivre!

Au lieu de tourner son regard vers la porte, il le tourna vers le lit et dans un sourire.

-Qui sait ! Avec la présence d’un lit, on arrivera peut être pas à se retirer et on succombera à la tentation de partager cette nuit ensemble ! plaisanta-t-il.

-Non, je te parle sérieusement! Même si ce que tu dis ne me déplairez pas!
Je le regardais, puis repris:
-Vraiment! En quelques heures tu es devenus la personne la plus importante à mes yeux et à mon coeur et j'ai peur que si l'on se sépare se soit pour toujours, je sais que c'est une peur irrationnelle et complètement débile mais je ne sais pas moi même pourquoi je ressent cela.

Il avait enlevé la cloche et un dîner des plus somptueux se présentait devant nous. Un faisant aux oranges sur un riz antillais reposait sur le plateau d'argent. Il y avait une seconde cloche plus petite, où se trouvait des haricots verts au cas-où, mais je n'y toucherais pas ce soir.

-Ca à l'air tellement bon! Je te sert?

Matthieu rougissait comme il n’avait jamais rougit de sa vie. Elle lui déballait ses sentiments avec une facilité déconcertante. Il ouvrit les cloches pour y découvrir un fabuleux repas. Les elfes de maison (tout du moins, il le soupçonnait) s’étaient surpassés.

-Ca à l'air tellement bon! Je te sert?

-Non laisse je vais le faire.

Il prit le gros couteau en argent et coupa la pièce maitresse avec plus ou moins de réussite. Après avoir servit Hécate et lui-même, il se rassit et commença à déguster. La volaille était tendre et le riz délicieux. Cependant, le fait de manger obliger Hécate et lui à se servir de leurs deux mains. N’ayant plus de contact, chercha à en crée un autre. Il essaya avec un peu de mal à faire du pied à sa douce. Mais bon, il ne savait pas comment si prendre et préféra arrêter de peur de la gêner.

Il me servit avec justesse, il n'y avait ni trop de viande, ni trop de riz. Puis d'un coup je sentais une chose me "caressait" la jambe! J'explosais de rire! Je trouvais son geste mignon, il s'avait que je ne supportais pas ne plus être en contact direct et il essayait de me rassuré! Je réussit à passer mon pied derrière le siens!
Il rougit.

-Voilà! Ne rougit pas petit poète, je trouve ce que tu as essayé de faire très gentils! Merci! Je pris mon couteaux et ma fourchette et commença à manger. C'est délicieux! J'aime beaucoup le mélange de cultures.

-Voilà! Ne rougit pas petit poète, je trouve ce que tu as essayé de faire très gentils! Merci! C'est délicieux! J'aime beaucoup le mélange de cultures.

Il rit malgré lui

-Je comprends mieux tes sentiments pour moi. Mon père est d’origine Islandaise mais il se dit anglais et ma mère est d’origine chinoise mais elle se disait venir de Bulgarie. Je suis le résultat d’un sacré mélange.

Il réprima un fou rire qui lui faisait mal aux côtes et s’étouffa à moitié avec son riz.

Je rigolais avec lui. Il avait raison, il était un mélange de culture à lui tout seul mais mes sentiments pour lui n'émanait pas de ce mélange culturel. Il était bon au fond de lui, il était poète, il n'avait rien contre les moldus, il était différents de autres Serpentard même si il voulait se venger à tous prie, c'était quelque chose que je concevais sans problèmes. Si j'avais été dans sa situation, j'aurais agit de la même façon. Je l'aimais aussi pour toutes ses attentions qu'il m'avait porté depuis quelques heures. De sa compréhension envers ma peur irrationnelle qu'il me quitte si il n'y avait plus de contact entre nous. Il s'en amusait mais été tout de même sérieux et la comprenait dans un certains sens. Je ne cessais de l'admirer au point que mon repas refroidissait à grande vitesse. Quatres heures s'étaient déroulés depuis qu'il s'était assis à côté de moi et voilà que je ne pouvais plus vivre sans lui! Le coup de foudre existait donc? N'était-ce qu'une illusion? Non, j'en était certaine, tous cela était vrai, réelle et authentique!
Nous nous aimions...

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