Matthieu était resté paralysé out le long des mésaventures. Il ne bougea pas lorsque les deux esprits frappeurs vénèrent le tourmenter, il ne bougea pas non plus quand il apparut miraculeusement à Pompéi. Que se passait-il ? Et pourquoi lui ? Il l’ignorait ! Mais cette époque avait bien vite disparu et le décor de la Grèce antique disparu comme aspirait par un aspirateur Moldu pour faire place à un autre décor. Matthieu jeta un regard interloqué à la nouvelle époque qui serrait son champ de bataille. Toujours décidé à ne pas bouger, il espérait sans doute ainsi ne pas donner à Chewing et Gum se qu’ils désiraient. Il le laisserait ainsi peut être partir. Au moins, il avait l’air d’être dans le luxe. En effet, Matthieu était dans un salon décoré au style de la Renaissance. Le parquet vernis était en harmonie avec les grands rideaux de satin rouge. Des portraits de Lord et de Baron étaient accrochaient sur les murs et chaque meubles en bois offraient un assortiment de moulures et sculptures dignes d’être offert à des rois. En parlant de roi, Matthieu faillit tomber à la renverse. Il avait regardé le canapé couleur rubis avec insistance ornés de bouton d’or et un instant, il se vit. Ce n’était pas possible ! Il…il était roi ? Surement, car il portait une fine couronne d’or avec des vêtements d’un ridicule mais ornés de centaines de fleurs de Lys. Il avait dans sa main un sceptre d’or et il portait une sorte de coiffe ridicule qu’il ôta aussitôt.
-J’ai un mauvais présentement. Si ces deux farceurs d’esprits m’ont envoyaient ici, ce n’est certainement pas pour profiter de mon pouvoir et me rouler dans mon tas d’or.
A peine avait-il dit cela qu’une dizaine de gens richement vêtu eux aussi entraient et coururent les bras levés avec ce même sentiment de peur qui marquait leurs visages.
-Mon roi, pourquoi êtes-vous encore ici i ? Vos bouseux comme vous disiez sont aux portes de votre demeure. Et croyais moi, ce n’est pas pour demander l’heure qu’affiche votre pendule !
-Quoi ?
Mais les gens ne lui fournirent pas d’autre explication et se retirèrent par la porte du fond. Matthieu s’approcha lentement de la fenêtre, un peu anxieux de ce qu’il y découvrirait. Il faillit tressaillir lorsqu’il ouvrit les rideaux. Un millier d’homme se tenait devant son portail en fer où seulement une vingtaine de soldat la gardait. Et ce fut seulement maintenant qu’il entendit leurs cris de rage.
-Mort au roi ! Mort au roi ! Mort au roi !
-Saleté de spectres
Matthieu cherchait dans la pièce un endroit pour sortir discrètement. Peut être, y avait-il un escalator secret ou un une trappe pour se cacher. Mais où ? Les hommes qui se tenait devant la grille arrêtaient leurs cris barbares et entamèrent un chant qui provoquait des frissons au petit Serpentard.
-Quand la lune apparaitra
Ta tête, on décapitera
Ton sang abreuvera
Le peuple que tu exploitât
Rimes pauvres mais Matthieu ne pensait pas que c’était pour amour de l’art qu’il chantait cela. Qu’allait-il faire ? Décidément, Pompéi lui manquait.