[labyrinthe du Temps] Dream Witch dans l'arène. Aie.

Peu à peu, Ed barrait de sa liste les endroits ou elle n’irait plus jamais : l’Allée des Embrumes, Gringott’s, les réunions administratives … et l’école Poudlard. Quand elle était arrivée le matin même, mandatée par le département médical du ministère de la magie, elle avait bêtement pensé que ce serait pour la journée, qu’elle regarderait les dossiers des élèves avec l’infirmière en chef, qu’elle prendrait un café avec l’équipé médicale, que quelques élèves seraient grippés et qu’elle rentrerait le soir même. C’était sans compter avec ces deux espèces de pestes gluantes, visqueuses, baveuses, mononoeunoeil et sadiques de Chewing et Gumm. Encore maintenant, elle les maudissait. Comment avaient ils osé lui faire un coup pareil ???

Elle regarda de nouveau sa main dont la peau normalement si pâle par nature était à présent d’une couleur plus ombre. Le miroir de bronze poli, dont on se demandait ce qu’il faisait dans ce cachot, sans doute le trésor de quelque dame passée ici avant elle, lui renvoyait le visage d’une femme relativement jeune dont les cheveux noirs étaient tressés de manière à former une couronne sur le haut de son crane et dont le reste de la tresse était nouée en chignon. Une tunique longue recouverte d’une stola nouée par un cordon à la ceinture formait son vetement, et une fibule de metal la retenait sur son épaule.
Bref, pas une fille de la haute, mais visiblement pas une esclave des quartiers de plaisir non plus. Et encore moins des mines, sans quoi elle n’aurait pas ces petites sandales. Mais ce n’était pas elle. La fille n’était pas grande, et de plus devait venir des pays de l’autre coté de la mediterranée. En regardant, elle finit par se rendre compte qu’elle n’était pas seule dans le cachot. D’autres femmes y étaient également et la regardait avec curiosité. Sans doute son comportement était il étrange, mais passer de rouquine à fille du soleil, ça n’arrivait pas tout les jours !!

- Ne t’en fais pas Latvia. Nous saurons leur montrer que nous savons avoir autant de fierté qu’un homme libre !

Bon d’accord. Ca n’augurait rien de bon. Ca ressemblait fortement à un « pour l’honneur » avant la fin. Et s’ils devaient mourir avec autant de fierté qu’un homme libre c’est qu’ils … ne l’étaient pas ? Bravo . En revenant en Angleterre, sa première tache serait de faire exorciser les deux parasites. Et si elle mourrait avant, elle tacherait de les hanter.

Un homme vetu d’une courte tunique serrée par une ceinture de cuir et chaussé de sandales entra soudain et ouvrit la porte de la cellule, les conduisant par un long tunnel (un tunnel devait toujours sembler long à un condamné !!) à une large ouverture donnant sur l’exterieur. Ed / Flavia cligna des yeux en portant la main à son front pour faire visière. Après l’ombre des cachots, l’intensité lumineuse l’avait presque aveuglée. Ses yeux de nouveaux habitués au soleil se posèrent alors sur l’équipe d’en face, et un pressentiment lui dit, au vu des filets, tridents, et autres instruments plus ou moins contondant, que la partie ne serait pas forcement équitable.

- Aie …. On est mal partis.

La vieille veille femme qui lui avait déjà adressé la parole se tourna de nouveau vers elle ave un sourire.

- Nous serons peut être les martyrs d’un monde nouvaeu.

- Tant qu’à faire j’aimerai être un martyr vivant …

Ce qui était pour l’instant mal engagé. La reddition était elle autorisée ?

Chewing et Gum. Lucinda Fulminait. CHEWING et GUM! Elle ne fulminait plus, non, elle fumait littéralement. A croire qu'à Poudlard il était impossible de se déplacer d'une salle de classe à une autre sans tomber sur une catastrophe, se retrouver piégée par un escalier têtu ou hélé par un tableau bavard: entre Miss Teigne, l'ouverture de la chambre des secrets, Peeves... Ces deux tas gluants et dégoulinants c'était vraiment le pompon. Elle était certaine que Rogue enlèverait 50 points à poufsouffle pour son absence. Et comment allait-elle justifier ça? Excusez moi monsieur, un tas de morve m'a dégouliné dessus et je me suis retrouvé dans la peau d'une grosse brute poilue qui sent mauvais! Comment je suis revenue? Ooooooooh mais en voilà une boooonne question!
Lucinda remua. Ce gros plein de soupe avait dû avaler un demi hippogriffe pour sembler si balourd. Elle se regarda autour une nouvelle fois, prenant de plus en plus conscience de ne plus être tout à fait la fine jeune fille blonde qu'elle aurait dû être. Un seul coup d'oeil sur les deux jambons qui lui faisaient office de jambes et sur la moquette qui recouvrait ses deux énormes bras et elle faillit tourner de l'oeil. Le pire avait été le coup d'oeil sous la tunique précisément sous la ceinture lorsqu'elle avait senti qu'elle était munie d'un détail nouveau!

Nom d'un gobelin trépané...

Elle jeta un autre coup d'oeil et pinça les lèvres en écarquillant les yeux comme une pucelle. Un rire gras s'éleva derrière elle.

Hey!

Le rire s'intensifia, est une grosse brute à la voix de stentor vint s'affaler sur son épaule, la faisant ployer de surprise.

Hey, t'en fait une tête.

La brute lui poussa la joue du poing d'un air bourru.

On dirait que t'as les j'tons vieux frère!

Lucinda rit maladroitement et s'étrangla à moitié en entendant le son de sa voix. C'était pas un chat qu'elle avait dans la gorge c'était toute une chatterie!

Euuuuuuh... naaaaaaaaaaan!
**L'air imbécile, l'air imbécile, l'air imbécile!**

Lucinda tenta de prendre l'air le plus stupide possible, se demandant quel pouvait être le résultat. Se passant la main sur le visage, elle se tortilla le menton en sentant le contact d'une barbe de quelques jours.

**On dirait une éponge de la mère grattesec...**

Lorsqu'un de ses virils compagnons enleva son pagne pour s'enduire d'huile elle détourna les yeux en se levant d'un bon pour aller se cacher dans un coin reculé.

Oh non, oh non, oh non....

Un autre s'approcha pour lui tendre l'amphore, la joue défigurée par une plaie ancienne mal cicatrisée.

Tiens, tu devrais pas trainer Brutus. Le spectacle va commencer.

Lorsque la grille s'ouvrit et que les autres se précipitèrent vers l'arène, Lucinda attrappa la première chose qui lui passa sous la main et tenta d'avancer à reculons en se faisant la plus petite possible, sifflottant en regardant en l'air. Mais un esclave lui colla une dague dans la main et une casserole sur la tête, lui enfonçant d'un coup de poing sur le crâne et le poussa dans le dos.

Ha, ha!

Celui qui lui avait tendu l'amphore lui donna un coup de coude dans les côtes.

J'me demande ce qu'on va avoir aujourd'hui. Du vieux ça c'est sur! Mais j'espère qu'il y en aura un ou deux qui tiendront la route.

Il tourna la tête vers une tribune bien exposée et se frappa la poitrine du poing, imité par tous les autres, le bruit métallique de leurs armures résonnant dans l'édifice.

Ave Pretorius! Morituri te salutant!

Une journée tout aussi ordinaire que toutes les autres, Stéphanie travaillait tranquillement à l’infirmerie, s’occupant des élèves blessés, quand surgirent les frères gluants, Chewing et Gumm, non pas eux ! A chaque fois qu’ils débarquaient à un endroit c’était pour faire des farces pas très drôle, et celle qui allait suivre n’amusa pas beaucoup la jeune infirmière, glissant dans leurs baves gluantes bleu et verte les deux esprits se frappèrent dans leurs mains et pouf, Steph disparut de l’infirmerie.
Mais où était-elle passée ? Et bien assez loin pour tout dire, dans la Rome antique…. Ces deux morveux avaient osé lui faire un coup pareil et bien qu’ils s’attendent à se faire poursuivre une fois qu’elle serait de retour.

Debout à côté d’un grand siège de velours rouge, elle regarda en face d’elle et s’aperçut qu’elle se trouvait dans une arène où la foule en délire attendait avec impatiente que les gladiateurs rentrent et dilapides les esclaves.
Les habilles de Steph ressemblaient plus à ceux d’un homme, levant sa main vers ses cheveux courts, elle comprit enfin qu’elle avait été envoyé en ces lieux sous l’apparence d’un homme. Elle qui ne voulait plus entendre parler de la gente masculine elle avait été servi, un glaive était attaché à son ceinturon et son accoutrement n’en parlons pas. L’empereur sortit de derrière un grand rideau et salua la foule, s’installant dans son siège il attendit. Mais qu’attendait-il donc comme ça ? Stéphanie regarda l’homme qui lui lança un regard noir, elle fit travailler ses méninges et comprit qu’elle était son prétorien, » son garde rapproché » elle un soldat ? Risible !

Puisqu’elle était dans cette situation et devait à tout prit s’en sortir, elle salua son auguste maitre et s’avança en levant les mains devant elle. Si elle avait bien suivit les cours d’histoires moldus, c’était elle qui devait faire le signe pour que les gladiateurs ainsi que les esclaves entrent dans l’arène.
Attendant un instant, elle se demanda si elle n’avait pas fait une bêtise……. Non, ouf, elle fut soulagée en voyant les portes s’ouvrirent sur les gladiateurs qui s’avancèrent au milieu de l’arène. Ils se frappèrent la poitrine dans un grondement métallique et saluèrent honorablement l’empereur.

Stéphanie ne savait plus quoi faire à présent, alors restant debout sur ses grêles jambes d’homme, elle mit sa main à son ceinturon tenant fermement son glaive, elle était là, pour protéger l’homme à ses côtés et ferait son devoir en attendant de trouver une solution pour se sortir de ce guêpier sans se faire remarquer….

Le combat pouvait commencer, le sang coulait de partout, les esclaves s'écroulaient les uns après les autres, s'était un véritable massacre, elle ne pouvait rien faire juste regarder ce spectacle sanglant.

Miam, Miam! Je vois plein de phrases intéressantes à manger. J'espère que vous avez fait des sauvegardes... Bientôt des trucs vont sortir et d'autres rentrer... Il faudra tout replacer

Bon … il y avait surement une raison extraordinairement logique et totalement bonne pour que ce type armé d’un filet et d’un trident la regarde. Après tout elle était quasiment certaine de ne jamais avoir connu de rétiaire, non plus que de thrace ou de mirmillon d’ailleurs. Et vu les circonstances, elle n’était pas certaine de vouloir essayer. IL n’y avait donc plus qu’une chose à faire. Alors que le filet s’abattait sur elle, Ed réussit par miracle à éviter de s’y retrouver empaquetée. Finir en saucisson n’était pas plus satisfaisant que finir en rôti, et finalement l’ex rouquine avait décidé de ne pas finir du tout. Elle sauta donc sur le coté, mesurant de ce fait combien l’invention du pantalon avait été un grand pas pour l’homme, et se mit à courir histoire de s’éloigner et de pouvoir réfléchir. Pas facile d’ailleurs quand autour de vous les coups pleuvaient de tous les cotés, que la foule semblait s’y amuser et que votre instinct de médecin vous disait d’aller voir les blessés.

Mais Ed avait aussi un instinct de survie. Elle continuait donc à courir en rond autour du gros du groupe de combattants, poursuivie par son rétiaire qui avait apparemment décidé que c’était elle qu’il voulait, et en était au troisième quand son regard se posa sur une espèce de …. Heu … d’homme qui ne faisait rien que regarder. Ce qui n’aurait été pas grand-chose dans la situation actuelle si une étoile dorée n’avait brillé sur sa poitrine. Une très jolie étoile dorée. A peu prés semblable à celle qu’elle-même venait de remarquer sur la sienne (de poitrine). L’anglaise se figea sur place, surprise, oubliant une seconde de trop son nouvel ami. Sentant soudain, ouvrant de grands yeux en voyant le rétiaire si prés. Dans son mouvement, elle se prit les pieds dans sa tunique et se cassa la figure dans une figure que nous décrirons très esthétique pour faire simple.
Le rétiaire, emporté dans on élan, à quelques centimètres de celle qu’il pensait être une esclave venus du Soudan, le pris à son tour les pieds dans la femme qui venait de choir et se cassa à son tour la figure dans la sable de l’arène en poussant un cri.

Ed ne savait pas ce qu’il s’était fait, mais a le voir, ça devait faire très mal. Elle se releva et se dirigea, toujours en courant, vers le porteur de l’étoile et se planta devant, faisant un T avec ses mains pour signifier un temps mort.

- Considérant que je ne suis pas moi et que je porte un marteau, considérant que vous portez une enclume aussi, êtes vous vous et sinon qui êtes vous ? Plus important : comment on sort d’ici en évitant de le faire les pieds devant ?

Oui au point ou elle en était, Ed n’avait plus peur de rien. Le ridicule encore moins que le reste.

Effectivement Lucinda était complètement perdue. La foule hurlait, les gens couraient ou s'abattaient autour d'elle sans qu'elle ne puisse bouger un orteil. Sa mâchoire devait pendre fort peu gracieusement et ses gros jambons de bras restaient ballants le long de son corps. Une fois encore elle s'interrogea sur pourquoi du comment de la chose marmonnant dans sa barbe -pour une fois au sens littéral du terme!- qu'elle allait se faire un bon chewing gum si elle en sortait vivant. Lorsqu'un de ses confrères d'armes la bouscula, elle gémit légèrement et tenta de reculer d'un pas.

"Qu'est ce que tu fous Brutus?!"

**Brutus il te dit d'aller te faire voir chez les grecs!**

Evidemment, elle n'eut pas le courage de dire ça tout fort. Lorsqu'une esclave vint lui causer d'étoile et d'être soi ou non, ses yeux s'aggrandirent de surprise. Elle devait vraiment avoir l'air d'un gros tas stupide. Le temps que l'information monte au cerveau, elle réalisa de quoi elle parlait et tout alla très vite ensuite, du moins selon son appréciation.

"Si je suis moi? Oui! Ou non. En fait je suis toujours moi mais avec la tête d'un autre! Vous essayez de gagner du temps pour éviter que les grosses brutes vous mettent la pâté? Ou alors vous êtes pas vous non p....

Lorsqu'un gladiateur chargea vers Ed' en hurlant, Lucinda attrappa la jeune femme par les épaules et la déplaça comme un paquet pour lui éviter un coup mortel.

"Malpoli! Tu vois pas qu'on cause? Venez!"

Elle lui attrappa la main de sa grosse paluche et tenta de s'écarter des combats, ignorant les grognements bestiaux de ses camarades ne comprenant pas son attitude. Il se mit finalement à courir en la tirant derrière elle.

"Lucinda! Ravie de faire ta connaissance! Et toi c'est comment ton petit nom?"

Il ne vous reste que jusque mardi pour vos 4 rp...

Mais que ce passait-il en bas dans l'arène ? Une esclave était en train de discuter tranquillement avec un gladiateur. Bizarre tout ça et ce qui était encore plus bizarre c'est que quelque chose brillait sur leurs poitrine, de là où Stéphanie se trouvait elle avait du mal à voir ce que ça pouvait être.
Jetant un coup d'œil à l'empereur qui avait aussi constaté les deux personnes qui ne s'affrontaient pas comme les autres, la jeune infirmière toujours sous la forme d'un homme se prosterna devant l"empereur et dit :

Majesté, je vais aller constater par moi même ce qui se passe ! Veuillez m'excuser.

Reculant toujours tête baissée, Steph se dirigea vers les escaliers, les descendants le plus rapidement possible, elle arriva enfin près de la porte qui menait à l'arène essayant d'attirer l'attention des deux personnes qui portaient, elle le voyait à présent, une étoile sur la poitrine.

Stéphanie savait qu'elle ne devait pas se montrer dans l'arène et donc du faire des pieds et des mains pour se faire remarquer.

Hé ! Vous deux là, que faîtes vous ? La bataille s'est par las-bas et puis vous devriez vous battre au lieu de papoter ainsi.

Voyant leurs visages grave, la jeune femme se demandait bien ce qui n'allait pas, elle croisa le regard de l'esclave qui regardait son torse, Steph baissa les yeux sur son armure de fer et vit qu'elle aussi avait également une étoile dessus. Bon puisqu'elle n'était pas vraiment de cette époque et qu'elle n'était pas un homme non plus, elle se doutait à présent que les deux autres ne devaient pas être non plus ce qu'elles semblaient êtres, c'est à dire une esclave et un gladiateur.

Les deux personnes s'approchèrent d'elle.

Je ne suis pas celui que vous voyez devant vous, je suis Stéphanie de Monaco ! Nous allons devoir trouver une solution pour retourner d'où nous venons.

Si on le prenait pour une folle et bien tan pis, de toute façon elle avait sur elle sa baguette et serait toujours s'en servir au cas ou la garde venait.

Boooon d'accord. ils en avaient envoyé combien se faire trucider les deux chewing gum mâchouillés??? En fait, en y réfléchissant, Ed se rendait bien compte que la seule qui risquait de se faire trucider, au début, c'était elle. Mais le temps de discuter avec Lucinda le gladiateur, puis l'arrivée de Stéphanie le tribun, les autres combattants avaient fini les négociations avec les condamnés et commençaient à se demander ce qui se passait. La jeune femme sentait sous son chiton la présence rassurante de sa baguette, c'était déjà ça même si c'était franchement bizarre.

Ed allait répondre quel était son nom quand l’avancée des autres gladiateurs lui fit décider de d’abord quitter les lieux.

- Dites, ça ne vous dirait rien d’aller voir ailleur ce qui se passe ? Ce n’est pas que je n’ai pas confiance, mais à la base je suis sensée passer au fil de l’épée ou de n’importe quoi d’autre qui coupe plus ou moins et je ne suis pas tentée. D’autant que vous risquez d’y passer aussi. Il y a quoi derrière cette porte que vous avez emprunté pour venir ici ?

Elle retourna un regard inquiet vers leurs sympathiques camarades de jeu tout en poussant, pour peu que la petite esclave qu’elle était devenu le puisse, les deux hommes dans le couloir.

Lucinda se laissa bousculer d'un air penaud et tenta de ne pas s'emmêler les pieds, regardant tour à tour Edwyna et Stephanie d'un air complètement ahuri.

"Je sais pas ce qu'il y a et je m'en fous! J'ai pas envie qu'ils fassent sortir un autre truc genre des lions pour finir les coriaces!"

Alors qu'un gladiateur s'apprêtait à donner le coup de grâce à une vieille femme tremblante, Lucinda enleva sa sandale et la balança en pleine figure du type qui secoua la tête, oublia sa proie et lui lança un grognement hargneux.

"Ok. COUREZ!"

L'esclave ainsi que le brut gladiateur, n'étaient autre que des personnes venu comme Stéphanie du monde magique, elles avaient dut se faire avoir par les deux baveux, mais pour le moment pas le temps de tergiverser il fallait agir et c'est ce que fit le gros coteau, il enleva sa sandale et la lança à la tête d'une autre gladiateur qui abandonna sa proie et fonça droit sur eux.
Il était temps de courir le plus vite et le plus loin possible, malheureusement les trois sorcières tombèrent sur les gardes de l'empereur, si elles ne faisaient rien, elles allaient se retrouver toutes les trois au centre de l'arène en train de se défendre contre des gladiateurs ou pires contre des fauves.
Il fallait la jouer subtile, si Steph pouvait convaincre l'empereur que les deux autres n'étaient pas ce qu'il semblait être ce serait gagné !! Non impossible, là elles se feraient écartelées, les gardes les encerclés à présent il n'y avait aucun échappatoire.

Poussées devant le maitre de cette région, elles étaient toutes trois agenouillées devant lui, tête baissée, l'infirmière regarda en coin les deux autres, elle avait eut une idée lumineuse, sa baguette était accrochée à sa ceinture et il ne lui manquait que quelques centimètres pour l'atteindre. Essayant de faire diversion devant l'empereur, elle réussit à poser sa main sur son morceau de bois magique, dans quelques instant les sorts allaient fuser.

C'était une bonne chose de jeter des sortilèges à des gens qui ne connaissaient pas ce genre de chose, mais une fois fait, qu'allait faire les trois sorcières ?
Une question qui trouverait sa réponse u peu plus tard, pour le moment il s'agissait de sauver leurs vies et ce n'était pas en se regardant dans le blanc des yeux qu'elle y parviendraient.

Psst ! Prenez vos baguettes...... Nous allons faire diversion, je vais faire apparaître du brouillard, pendant que vous les ligoteraient..... A trois on y va.... Un, Deux....TROIS !

Le sort de Stéphanie fusa et un brouillard épais fit son apparition, elle chercha la main de ses deux acolytes et se rua vers la sortie, pendant que la pagaille régnait, elles prirent la poudre d'escampettes et se retrouvèrent en un rien de temps en dehors de l'arène, mais ce n'était pas fini pour autan, il fallait mettre le plus de distance entre ces dangereux personnages et eux.

Zaaaaaaaaaaaaaap! Ch'ui là!...Vous pensiez que je vous avais oubliées!

Ah, que nenni, mes belles...Ils sont tout mignons vos post...minuscules aussi parfois!!! Tut!Tut!Tut!...Mauvais ça...

M'enfin...j'y ai quand même laissé un peu de ma bave sulfurique dessus...ça fait un problème parfois...ça efface...et j'écris ce que je peux à la place...
[labyrinthe du Temps] Dream Witch dans l'arène. Aie. 709694

[labyrinthe du Temps] Dream Witch dans l'arène. Aie. 709694

À vous de trouver...
Mais on se grouille...Z'avez du retard!!!

Dans le poste d'Ed ce n'est pas " Latvia" mais "Flavia"

Dans le poste de Lucinda "une dague dans la main et une casserole sur la tête," ce n'est pas ça mais "une dague dans la main et un casque sur la tête"

Dans le poste de Stéphanie "debout sur ses grêles jambes d’homme," ce n'est pas ça mais "debout sur ses jambes musclées d’homme,"

Dans le poste de Ed " Considérant que je ne suis pas moi et que je porte un marteau, considérant que vous portez une enclume aussi," ce n'est ça mais " Considérant que je ne suis pas moi et que je porte une étoile, considérant que vous portez une étoile aussi,"

Dans le poste de Stéphanie "je suis Stéphanie de Monaco !" ce n'est pas ça mais "je suis Stéphanie !"

Euh... pareil! cherry

C'était un peu vache les deux dégoulinants de nous faire tout relire depuis le début! Mériteriez qu'on vous colle sous une table avec une tripotée de crottes de nez!

» Les pires amis de... Pharaon ( labyrinthe du temps)
» I had a dream!!!!!!!!!!!!!!!!!

[labyrinthe du Temps] Dream Witch dans l'arène. Aie.

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