Shima trinqua à côté de la jeune mangemorte puis la tira par la main pour la lever du canapé. Il se sentait soudain rempli de force et il pouvait commencer la visite de Tokyo. Il faisait pourtant nuit lorsqu'ils avaient quitté Londres et le déclage horaire n'avait rien arrangé. Ils allaient sûrement tombés de fatigue tôt ou tard.
Peu de temps après d'être sorti du manoir, il se retrouvèrent dans le centre de Tokyo. Shima fit visiter le métro et les transports moldus remplis de monde. Ils s'arrétèrent à une station et shima entra dans un boutique où il allait souvnet chercher des chocolats. Pour lui c'était les meilleures patisseries du monde...

- Viens !! allons chercher quelques chocolats, ici , tu vas voir , ils sont trop excellent...



A peine sorti de la gallerie commerciale, Nicki pû voir l'architecture de la ville et ses grands immeubles. Ils se balladèrent tout en degustant les chocolats...



Puis shima pris une rue opposée pour se retrouver dans un ancien quartier où les demeures étaient d'époques.

- Regarde ces splendides batisses...

------- Nouvelle Journée ( Réglement d'incrustation au manoir en première page )-------

Quelques jours plus tard shima revanit en compagnie de Dess. Sa chère et tendre. Pour des raisons de sécurité, il lui avait expliqué que le protoloin qu'ils avaient empruntés pour venir ici était protégé par un charme très puissant. En effet, il ne pouvait transplaner qu'une personne à la fois. Ceci dans le but déviter un jour une invasion massive. D'autant plus que l'endroit était un lieu non fréquenté sur les hauteurs de Tokyo, des maléfices très ancien protégaient l'habitation de tout transplanage intenpestif à moins d'un kilomètre du manoir. Shima était passé devant Dess comme à son habitude. Il voulait évité d'envoyer les personnes avant lui ne sachant pas ce qu'il trouverait à l'arrivé. Hiro attentit maintenant l'arrivée de Dess et s'était présenté devant la porte et l'avait ouverte. Dess apparût alors devant lui près du chêne et s'avancait de son pas gracieux...Il l'attendait sur la terrasse de devant et lui dit d'un ton impérieux et chaleureux...

- Bienvenue au Japon mademoiselle.

hj / photos et commentaires du manoir en première page /

Shima haussa le sourcil. Jamais personne ne lui avait donné autant d'ordres en 1 minutes mis à part vous savez qui. Il avait une mission à faire. Il la ferait coûte que coûte. Cependant, il pouvait la conclure en un rien de temps. Il allait donc accepter sa proposition tout en la mettant à l'écart de ce qu'il préparrait. Il ajouta...

- Ecoute Dess. Je ne suis pas prêt à la rédemption maintenant. Mais pour toi je vais faire un geste. Mais je ne te demanderai qu'une seule chose. Evite de me demander trop de chose impossible. J'ai une mission à tenir.

Shima partit l'air furieux vers la bibliothèque. Il en sortit une fiole qui contenait du polynectar. Il y mis un cheveux de lui même dans la mixture couleur boue et retourna vers le salon. Dess l'attendait...La potion était cachée dans sa robe de sorcier...

- Ok je vais le libérer. Et tu sais quoi je vais lui donner une forme un peu plus belle de celle qu'il a en ce moment...Reste là...je reviens...

Shima partit en direction de la cave et retrouva un Filius à moitié souffrant de déshydratation. Il lui donna le polynectar qu'il but en une seule traite. Au bout de quelques instant il se releva et avait pris la forme de hiro Shima. Shima lui lança un nouveau sortilège de l'impérium et lui dit ceci..

- Filius part rejoindre les mangemorts et accomplit la tâche qui doit être la tienne...

Filius partit sans dire un mot et il avait acquiessé de la tête. Juste avant de partir shima lui donna sa baguette de sorcier qu'il avait réparé. Filius partit prendre le portoloin et disparaissa en un clin d'oeil. Hiro retourna vers le salon et regarda Dess d'un oeil mauvais...

C'est bon il est parti. Je l'ai relâché. tu es contente... ?

Contente ? Comment Dess aurait-elle pu être contente d’avoir forcé Hiro à commettre un acte salutaire ? Si le prisonnier était sauf, alors oui, elle était soulagée.
Si tu lui as empêché d’atroces souffrances, je suis satisfaite. Je ne désire que TON bonheur, ne le comprends-tu pas ?
Trop d’attente avait miné ses défenses. Elle ne souhaitait plus rien d’autre que d’appartenir à cet homme qui la dominait de toute sa haute stature.
Viens ! implora-t-elle d’une petite voix suppliante.
Elle agrippa le cou penché sur elle, plaqua ses lèvres sur les siennes. Elle se livra, corps et âme dans la plus tendre des luttes, dans ce combat issu de la nuit des temps où nul ne perd ou gagne. La fusion de deux corps, de deux âmes, se résolut dans un tourbillon de sensations époustouflantes que jamais elle n’avait osé imaginer.

Hiro ! Cent fois elle répéta ce nom adoré. Ils étaient faits l’un pour l’autre, se complétaient admirablement. Il était la clé, elle la serrure, de la même porte qui s’ouvrait sur des félicités incommensurables. Ce premier assaut fut violent, brutal. Ils ne mesurèrent pas la passion qui les étreignait. Le second fut beaucoup plus tendre, lent, composé de douceur et de tendresse. Combien en échangèrent-ils ? Dess perdit le compte. Emportée par un déferlement d’émotions, elle ne pensait plus à rien, à rien d’autre que LUI.
Jamais elle n’avait éprouvé un tel sentiment de plénitude. Pas à dire, Mr Shima savait s’y prendre avec la gent féminine. Pour faire décoller sa partenaire, il était… géant. L’amour en lévitation était une expérience inédite, immense, et… inqualifiable.
Les sens apaisés, elle s’éveilla la tête reposant au creux de l’épaule de son amant. Elle ne dit rien, attendant qu’à son tour, il s’éveille.
Elle s'étonna à peine de se trouver dans le lit immense d'une chambre qui ressemblait à un champ de bataille. Dess ne conservait aucun souvenir d'avoir grimpé l'étage. Peut-être y avaient-ils transplané?
Dans la clarté tamisée par de fines tentures, elle admira une fois de plus la musculature saillante de l'homme reposant à ses côtés. Un doigt caressant se promena sur la poitrine qui se soulevait à un rythme lent.
Il y rencontra un objet dur qu'elle observa de plus près: un médaillon.
Sa forme était inhabituelle, elle n'en avait jamais vu de pareil.
* C'est donc ça qui m'a fait mal?* songea-t-elle en louchant sur sa propre poitrine.
Là, comme imprimé au fer rouge, son sein gauche portait la réplique exacte du médaillon de Hiro. Mr Shima marquait-il ses conquêtes tel du vulgaire bétail? Qu'importe, elle était parfaitement heureuse qu'il en soit ainsi. Sauf que...
* Mes affaires? s'énerva-t-elle soudain. Où sont-elles? Je dois prendre...*
L'urgence la poussa hors du lit. Elle s'écarta doucement du bras qui l'enlaçait et glissa sur le parquet. Un drap la couvrant, elle quitta la chambre en tentant de se repérer. L'escalier fut dévalé en silence ; elle pénétra dans le grand salon théâtre de leur première étreinte. Un fouillis de vêtements jonchait le sol, preuve de la frénésie qui les avait investis. Dess commença à récolter un à un ses effets personnels, rangeant ceux de Hiro par la même occasion. Enfin, elle mit la main sur ce qu’elle cherchait : son aumônière. De cette petite bourse en peau, elle sortit deux pastilles, une blanche et une bleue.
* La blanche pour la fertilité, la bleue pour la contraception, songea-t-elle rêveuse.*
La blanche était intacte, bien ronde et lisse. La bleue à peine ébréchée n’avait que peu été utilisée. Elle replaça la blanche dans la bourse, préleva une parcelle de l’autre avant de la ranger également. Elle se dirigea alors vers la cuisine à la recherche d’un verre d’eau. Elle se servit au robinet avant d’avaler sa pilule tout en jetant un œil distrait alentour. Sur le plan de travail en marbre trônait une fiole qu’elle n’avait pas remarquée lors de son premier passage. Qu’était-ce ? Intriguée, Dess reposa son verre vide et s’empara de la petite bouteille dont elle ôta le bouchon. Avec horreur, ses narines identifièrent immédiatement la substance qu’avait contenu l’objet : Polynectar !
Secouée par cette révélation, Dess chancela légèrement.
L’homme… l’homme à qui elle s’était donnée, était-ce bien Hiro ou… une copie ?
Non ! C’était impossible, elle n’avait pas pu être abusée à ce point quoique...
Tremblante soudain de fureur et de crainte, elle courut au salon où elle s’empara de sa baguette. Elle rebroussa chemin jusqu’à la chambre ; Hiro ou qui que ce fût, n’avait pas bougé d’un cil. Elle sauta sur le lit, lui enfonçant la pointe de sa baguette sous le menton :
Qui êtes-vous ? hurla-t-elle, menaçante.

Dess était si rayonnante à l'idée qu'il puisse libérer son prisonnier. Mais ce qu'elle n'avait pas vu, c'était que le gobelin était partit en ayant pris l'apparence de hiro. Quoiqu'il en soit, la suite des événements furent plus agréables à vivre. Les corps d'hiro et de Dess s'étaient engagées dans un corps à corps torride à son début. Au fur et a meusure que les heures avançaient il devenait de plus en plus doux avec sa Déesse. Ils avait déjà trouvé quelques points sensibles de la jeune femme lui permettant un aussi intense plaisir que lui même avait procuré en sa compagnie. D'ailleurs, c'était bien la première fois qu'hiro tenait une forme aussi olympique. La musculature de shima étant mise à l'épreuve il n'avait cesser de se mancer dans accrobaties presque périlleuse. Elle lui avait laissé ouvrir les portes des rêves les plus secrets. Le mélange du bonheur et de l'exitation, sentant même le souffle de Shima en pleine effort dans son mouvement de va et vient qui n'en finissait plus. Presque toutes les pièces du manoir avaient été visité et certains endroits s'en souvenaient même. Elle avait crié son nom des dizaines de fois, ce qui le faisait sourire la transperçant ... de son regard azur.
Au petit matin, Dess s'était levé et hiro était encore dans ses rêves. Il aurait voulu que ce moment de félicité durent toute la vie sans s'arrêter. Mis à part que le réveil fût un peu brutal... Une baguette sous le menton le réveillant, il voyait Dess avec des yeux à demi fermés comme lorsqu'on réveillait quelqu'un avec le soeil en pleine face...

- Dess : Qui êtes-vous ?

Hiro : Et bien qui veux-tu que ça soit !!! C'est moi !!!

Shima ne savait quoi pensé. Que devait-il faire. Dissiper son attention et la faire valser d'un coup de rein hors du lit pour qu'il puisse attraper lui même sa baguette. Il s'était réveillé en plein cauchemard. Se demandant si l'ordre du phénix n'avait pas fait irruption dans son manoir. Shima ne broncha pas, regardant Dess droit dans les yeux...

- Mais qui a-t-il ? que Fais-tu ?

Shima ne voulait pas...Shima ne voulait plus...Il s'était presque juré de ne plus le faire...mais il entra dans son esprit...Il lut ses pensées les plus noires et il savait maintenant qu'un seul geste de sa part...un seul mouvement et elle n'hésiterait pas à le tuer. C'est donc comme ça qu'elle le considérait !!! Shima devenait fou de rage...son sang bouillonnait...son teint devint cireux...ses yeux blanc injectés de sang...un autre visage apparût soudain...et ce n'était pas l'effet du polynectar qui ne fasait plus effet...mais pour celui qui connaissait réellement Hiro Shima ...depuis le restaurant ça faisait deux fois dans la même soirée qu'il avait pris cette apparence. Et là, prouvait bien qu'il était bien l'homme qu'elle recherchait...Lui le fidèle bras droit du seigneur des Ténèbres, celui qui ne redoutait pas le combat, celui qui avait déjà tués mainte et mainte fois...Mais il avait une faiblesse : Les femmes !! Et encore une fois la preuve en était donné. Elle le tenait là, en joug prêt à lui lancer le sortilège impardonnable peut être...

- D'accord !!! Mais je te préviens tout de suite, la prochaine fois que tu me mets cette baguette sur moi de cette façon....Je.... puis il commença à réciter la prophétie...... -Celui que deviendra l'un des plus puissant bras droit du seigneur des ténèbres approche....Il naîtra de la force des démons qu'il invoquera à trois reprises....MOLOCH, BAALBERITH et EURONYME le marqueront comme leur égal...Mais son pouvoir s'achevera de la main de sa descendance. Celle-ci naîtra de l'union de deux êtres des forces du mal...

Il la regarda de ses yeux remplis de haine. La haine d'être pris au piège comme un chasseur traquant sa proie. Pour une fois , il était de l'autre côté de la barrière, et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'aimait pas ça. Maintenant il tourna le visage de côté pour ne plus la regarder..Car il savait qu'il regretterait de finir sa phrase...valait donc mieux pas qu'il la finisse...

Sa baguette était tombée... Shima se releva l'air renfrogné... il sortit des draps... nu ... et pris sa baguette qui était posée sur une petite commode en bois un peu plus loin dans la chambre... il se retourna ... fixa Desdémone ... et dit ...

- Accio mes vêtements !!!

Il attrappa au vol toutes ses affaires une à une et fit une boule qu'il mis sous son bras. Il pensait au serment inviolable. Il savait qu'il ne pouvait pas quitter de lui même Dess. Le voulait-il d'ailleurs. Peut être en cet instant de rage, qui commençait doucement à s'apaiser, il le voulait. Mais il savait qu'il regretterait son choix plus tard. Ne jamais parler trop vite. Tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler. En fait cette expression est un peu nul puisqu'il ne comptait passer pour un trisomique devant Dess mais lui servait plutôt de réfléchir avant de dire une chose que l'on regretterait. Cependant, le fait d'avoir été pointé par une baguette le rendit encore nerveux. C'est un sacré réveil pour un sorcier. C'est comme s'il se trouvait comme là, nu, sans vêtement, devant une foule de spectateurs qui décideraient de son sort. Il avait exprimé une certaine honte. Encore une fois, la plus grande de ses faiblesses, peut être la seule qu'il ne puisse jamais combattre, avait eu raison de lui. Shima se retourna, ouvrit la porte de la chambre, s'arrêta au bord de la porte et dit d'une voix basse ...

- Fais ce que tu as envie de faire. Je vais prendre une douche. Ca me remettra sans doute de ces émotions.

Hiro ne pouvait être plus clair. Il ne lui avait pas dit de partir. C'était elle qui devait décider de son sort. Soit elle l'attendait, soit elle le rejoignait sous la douche, soit elle quittait le manoir. Mais dans tous les cas, il ne fallait surtout pas le brusquer d'avantage avec une baguette sous le menton.

Hiro ne parla pas du tout comme elle l’avait escompté. Dans sa rage, l’avait-il seulement écoutée ? N’avait-il pas perçu les échos de sa profonde détresse. Il n’avait rien compris, n’avait pas fait l’effort de la comprendre. Il s’était levé, avait récupéré ses vêtements puis avait déclaré… aller prendre une douche !
Effondrée, Dess considéra cette attitude comme une fin de non recevoir. Tassée sur elle-même au bord du grand lit, elle resserra machinalement le drap qui n’arrivait pas à la réchauffer.

* Il ne me dit pas de partir mais c’est tout comme. Ce fidelitas doit lui peser. Sans ce serment, il m’abandonnerait, c’est clair. La vie sans lui n'a plus de sens. Je sais ce qui me reste à faire*

Comme un automate, elle se leva, traversa la chambre et descendit. En arrivant, elle avait remarqué une pièce d’eau sur un côté du bâtiment. Dehors, elle ne dut pas chercher beaucoup pour se retrouver face au bassin traditionnel qui ornait ce genre de demeure japonaise. Divisé en trois parties harmonieuses, un lac s’ouvrait devant elle. À la couleur sombre, elle repéra le plus profond et s’y dirigea fébrilement.
Raidie, elle contempla l’onde paisible qui l’appelait. Là serait l’oubli. Son drap serait son linceul. Elle avait fait un beau rêve, idyllique mais utopique. Changer Hiro… devenir sa femme, porter son enfant… tout cela tombait… à l’eau.
La respiration saccadée, Dess s’approcha davantage du rebord. Une vaguelette sournoise vint lécher ses orteils nus provoquant un recul horrifié. C’était atrocement froid !
Perdue, Dess tourna successivement la tête entre le lac et la maison. Ici…. Un bain glacial au milieu des algues et poissons ; là-bas, une douche chaude en compagnie de…
Le galop d’une gazelle n’était rien en comparaison aux bonds qu’effectua Dess dans son repli affolé.
* Il n’est pas trop tard, il n’est pas trop tard ! se répéta-t-elle au long de sa course*
Dans la chambre, elle perçut le bruit d’un ruissellement d’eau. Elle se dirigea vers la porte qui donnait sur la salle de bains, l’ouvrit. Hiro, telle une statue de dieu grec, lui tournait le dos, acceptant sans broncher la pluie cinglante déversée sur ses épaules massives. Elle admira la musculature parfaite dont les reins s'ornaient d'un splendide tatouage de serpent.
Le drap de Dess tomba, elle s’avança sous le jet :
Y a-t-il une petite place pour moi ici… et dans ton cœur ?
Elle n’attendit pas la réponse pour se coller au corps offert qu’elle étreignit de toute son âme. La joue plaquée contre l'épine dorsale de son aimé, elle n'osa plus bouger.