Il y a des pluies de printemps délicieuses où le ciel a l'air de pleurer de joie.[Pv Jason Lork]

Alors que Menolly dormait encore, la jeune femme se réveilla en sursaut. Son visage était perler de sueur, son souffle court et saccadé. Ses mains tremblaient légèrement, la demoiselle s'extirpa du lit, et marcha lentement vers la salle de bain. Dans la miroir, elle vit son reflet , se frottant les yeux doucement, elle soupira. Puis dans un geste vif, elle mit de l'eau sur son visage. Ferment les yeux, la sorcière chassait les souvenirs de son cauchemar; celui ci revenait depuis quelques semaines et sa commençait à lui taper sur le système nerveux. S'étirant doucement Menolly partit dans la cuisine, prit une nectarine et croqua dedans à pleine dents. Une fois le fruit fini, et le trognon jeter à la poubelle, la demoiselle, alla dans sa chambre prit des vêtements propres et partit se doucher. Menolly appréciait de sentir l'eau chaude sur son corps, c'était très agréable surtout le matin. Une fois séchée et habillée, la jeune femme entreprit de son coiffer et de ce maquiller. En quelques minutes c'était bien sûr fait puisqu'elle n'était pas une fan de son miroir. Un petit coup d'oeil à l'horloge de la cuisine, lui fit remarquer qu'elle avait dormit plus longtemps que d'habitude. Mais Menolly l'avait bien méritée, la veille, elle ne c'était couchée que vers le 8 heures du matin. Soupirant doucement, la sorcière se dit qu'une petite sortie ne lui faire pas de mal. Elle prit alors son manteau gris et l'enfila avant d'attraper ses clefs sur la table. Une fois la porte fermer à clefs et par un sort, Menolly commença à marcher vers ''le chemin de traverse '' . La sorcière avait quelques achats à faire et surtout un grand bol d'air frais à prendre. Une fois dehors, un fin crachin tombait, respirant une grande bouffée d'air, Menolly sourit doucement. Elle aimait bien la pluie contrairement à une majorité des gens qu'elle connaissait. Marchant d'un pas lent et calme, la jeune femme se rendit là où elle avait besoin d'aller. Mais alors qu'elle venait juste d'arriver au chemin de traverse, une grosse pluie se mit à tomber. Menolly aimait bien la pluie mais pas être trempée comme une soupe. Rentrant la tête dans les épaules, pour être protégé par son col de manteau, elle pressa la pas, les yeux river sur le sol. Sur son passage elle du surement bousculer des gens, mais elle ne les avaient pas fait tomber. Après quelques secondes ou, la jeune femme du courir, elle arriva sous la continuité du toit d'une échoppe. Menolly souriait doucement, un de ces sourires franc et naturel que les gens ont quand ils sont heureux. La jeune demoiselle sort la tête de ses épaules et secoua doucement ses épaules, quelques gouttes de pluie étaient tombé sur son visage. Avec un revers de main, elle les enleva. Regardant le ciel, elle allait entendre que la grosse averse s'arrête pour pouvoir reprendre son chemin. S'adossant contre le mur de l'échoppe, elle se mit à regarder le ciel avec intensité, puis tout naturellement, la jeune femme se mit à fredonner un air qu'on lui avait apprit quand elle était petite. Menolly le faisait pas vraiment attention à se qui l'entourait et aux gens qui entraient et sortaient de l'échoppe. Ses mains des ses poches , les yeux rivés sur le ciel, elle ne fit toujours pas attention à un gros groupe de personnes qui sortaient juste de la boutique. La sorcière avait toujours se sourire doux et naturel sur son visage.

[hors rpg] Voilà pour la chanson fredonnée

Spoiler:

[hrpg]

Ce matin, je devais aller acheter des fioles pour des potions que mon professeur m'avait demandé de faire. Mais la pluie était au rendez-vous, et ça ne me plaisait guère car je n'avais vraiment pas envie d'y aller. Un élan d'adrénaline me poussa et dans la fouler je pris mes clics et mes clac et partis pour le chemin de travers. Je ne savais pas vraiment comment y aller, mais suite à la rencontre d'un élève de 7ème année, je pris, comme il me l'avait conseillé, la poudre de cheminette.

Chemin de traverse !

Une bouffé d'air chaud, et PAF ! Me voilà au chemin de traverse. Après avoir quitté la cheminée j'essuyai mes vêtements poussiéreux. Il y avait beaucoup de sorciers dans la grande allée principale ce qui m'étonna. J'étais déjà passé devant pas mal de magasins mais toujours pas le magasin de potions. J'étais trempé de la tête aux pieds. Il fallait que je me sèche pour éviter d'attraper un rhume qui ne serait vraiment pas le bienvenue, c'est pourquoi je suis allé m'abriter sous le petit toit d'une échoppe. Un groupe de sorciers venaient de sortir. Je m 'essuyai à l'aide de grands gestes brusques pour faire tomber toutes les gouttes d'eau. Soudain, une chansonnette poussée par une voix tendre et magique se fit entendre dans mes oreilles. Je restais là, ahuri par ce chant mélodieux, j'étais submergé par la tendresse. Je n'osais pas le retourner, mais en fouillant dans mes pensées, je me souvins de cet aire. Ma mère me le chantait quand je n'étais encore qu'un bébé. Plusieurs flashs back assaillirent mon esprit. Je me voyais bébé, ma mère me tenait dans ce bras et fredonnait cette mélodie tout en me berçant. Le sourire jusqu'aux lèvres, je me suis retourné. Devant moi se tenait une ravissante femme perdue dans ces pensées les mains dans les poches. Tout de suite je l'attrapai tendrement par le poignée et je tirai de façon à ce qu'elle se réveille par mis le monde des sorciers.

Bonjour, je m’appelle Jason, Jason Lork, je vais rentrer en 4ème année à Poudlard et je connais cette chanson… Je crois que je vous connais. Qui êtes-vous ?

Menolly était toujours perdu dans ses pensées. Les gens passaient encore et toujours à côté d'elle sans qu'elle y prête attention pour autant. Fredonnant toujours cette douce chanson, cet air la, lui rempaillait de doux souvenirs. Elle se revoyait petite, avec sa mère assise à côté d'elle, toutes les deux chantaient cette chanson. Et son père qui était devant le feu tout en écoutant chanter les deux femmes de sa vie. Elle avait toujours se grand sourire aux lèvres, c'est le bon vieux temps pensa t -elle. D'un certain côté, elle était heureuse de revoir des souvenirs d'elle et de sa famille et d'un autre côté, cela la rendait triste. Elle se disait tous les jours qu'elle ne pourrait jamais le revoir. Et sans voulait de ne pas les avoir protégés. Mais comme lui disait souvent son père, il faut savoir se souvenir du passé, mais pas il y enchaîné. Soudain contre toute attente, une main attrapa doucement son poignet, c'était bien la dernière chose, qu'elle voulait, avoir des problèmes dans la rue. Alors par un réflexe qu'elle avait pris pendant ses années d'entraînement, elle sortit sa baguette, ce n'était peut-être pas prudent avec toutes les personnes qu'ils y avait autour. Menolly n'avait pas vraiment envie de finir amochée.
Son corps fut tiré vers l'avant, alors que la jeune femme tendait sa baguette devant-elle. Le jeune homme qui l'avait tiré vers lui , se présenta alors. Il débitait alors un petit discourt, la jeune femme elle avait toujours sa baguette devant-elle au cas ou cet homme s'avérait dangereux. Il se nommait Jason, Jason Lork . Il était élève à Poudlard , tout comme l'avait été. Il lui parla ensuite de la chanson que la jeune sorcière avait fredonnée quelques minutes avant qu'il ne la ces sise pas le poignet. Fronçant doucement les sourcilles et perdant son jolie sourire, elle le regarda dans les yeux avant de dire.

-Heu...ravie Jason. Et bien c'est une chanson comme les autres, elle vient de ma tradition familiale. A moi de me présenter, je suis Menolly, Menolly Dartigo.

Puis doucement, sans que Jason sans rend compte. Elle retira son poignet de l'étreinte fugace du jeune homme. Et dans un geste vif, elle remit sa baguette dans la poche intérieure de son manteau. Que pouvait bien lui vouloir se jeune élève, hormis lui parler de cette chanson qu'elle fredonnait. Cherchant dans sa mémoire tout en ne quittant pas des yeux Jason. Elle essayait de se rappeler si elle l'avait déjà vue quelque part. Et Menolly savait qu'elle pouvait faire confiance à sa mémoire, si la jeune femme l'avait déjà vue, elle sans souviendrait. Après quelques minutes de réflexion, elle ne se souvenait pas de l'avoir déjà croisé ou vue quelque part. Défronçant les sourcilles, elle sourit de nouveau, la situation était un peu comique quand même. Cela faisait bien longtemps que Menolly n'avait pas été abordé comme cela dans la rue, alors d'une voix qui ne montrait aucuns sentiments elle dit alors.

-Sinon que me veux tu à part me parler de cette chanson !

La jeune femme avait remit ses mains dans ses poches et attendait une réponse de la part de Jason. Doucement, ce fut à son tour de le prendre par le poignet, elle le poussait contre le mur. Alors qu'un groupe à l'air sombre arrivait près de l'échoppe, passait devant eux avec un regard mauvais, avant de renter dans la boutique. Menolly soupira doucement, elle n'avait pas envie d'avoir des problèmes aujourd'hui.

Ménolly m'avait plaqué contre le mur assez violement. J'ai bien vu ce groupe de personnes et j'ai ressenti leur haine dans leurs yeux. Je pouvais aussi lire que Ménolly ne voulait pas avoir de problèmes sur son visage. Malheureusement un des hommes s'approcha de nous. J'entrepris de prendre ma baguette ; voyant ce geste l'homme s'approcha encore plus de nous il avait l'intension de nous parler.

As-tu peur ?

Pris de colère je dégainai ma baguette et criai distinctement :

Expelliarmus !

L'homme fut éjecté dans les aires et retomba par terre brutalement. Sans attendre, je m'empressai de jeter un nouveau sortilège :

Oubliette !

Dans la fouler fouler et la bousculade, j'ai attrapé la main de Ménolly et je lui ai demandé de venir avec moi. Les autres sorciers commencèrent à sortir de la boutique. Ils n'avaient encore rien vus. Je n'ai pas compris pourquoi l'homme encore à terre se souvenait encore de tous les événements. Il attrapa sa baguette et prit de fureur, il lança un des sorts impardonnables : Endoloris ! En un éclair je fus foudroyé par une douleur corporelle affreuse, j'en tombai par terre de douleur. Tous s'agitaient autour de moi, mais la douleur était toujours présente. J'avais mal, très mal...

Ménolly...

Et, dans un dernier gémissement de douleur je perdis connaissance.

Menolly était toujours avait Jason, alors que l'un des hommes c'était approcher un peu plus des deux jeunes gens . Le jeune homme avait commencer à sortir sa baguette, c'était bien entendu ce qu'il ne fallait pas faire, parce que l'ennemie se rapprocha encore plus. Et d'une voix provocante, il demanda , si il avait peur. Jason jeta alors un Expelliarmus, puis un sort pour faire oublier à l'autre homme ce qui venait de sa passer. La prenant ensuite une nouvelle fois par le poignet pour l'emmener loin des autres hommes qui sortait de l'échoppe. Mais bien sûr, le sort ne fit rien du tout, et l'ennemi se relevait sans trop de peine. Menolly avait bien sentit le coup venir, et allait à son tour jeter un sort , mais l'autre homme la prit de court; S'entendant à ce qu'il la vise elle, la jeune sorcière avait ériger un bouclier, mais contre tout attente, il lança un sort sur Jason. C'était le sortilège de doloris, qui frappa de pleins fouet, le jeune homme, celui-ci tomba alors à tette. Il devait souffrir d''une douleur cuisante, Menolly avait déjà eu à faire à ce genre de sortilège la dans le passé. La jeune femme vint alors au près de Jason, avant qu'il ne sombre elle entendit qu'il prononce son nom. Cette scène lui rappelait trop la mort de ses parents, c'était la chose qu'il ne fallait pas faire aujourd'hui, la mettre en colère. Et, la jeune sorcière n'aimait pas vraiment qu'on agresse les gens avec qui elle parlait. Pointant alors sa baguette vers le visage de l'homme qui avait envoyer le sortilège de doloris à Jason, elle dit alors,

Conjunctiva !

Les yeux de son adversaire venait de se coller, alors avant que les autres ne puissent rappliquer, la demoiselle prit dans ses bras le jeune homme. Levant de nouveau sa baguette tout les deux disparurent avant que quelques autres sorts soient jetés. Menolly avait utiliser le transplanage. elle ne voulait pas se lancer dans un combat alors que Jason était à terre. Quelques secondes plus tard, les deux jeunes gens étaient loin du chemin de traverse. La jeune auror avait fait pour qu'ils atterrissent dans une petite clairière non loin de chez elle. Soupirant doucement, Menolly agita doucement sa baguette au dessus du visage de Jason, et un peu d'eau en sortir. Les gouttes allèrent s'écraser contre le visage du jeune homme. La jeune sorcière savait qu'il allait se réveiller et doucement, elle se laissa tomber dans l'herbe, celle-ci était fraiche mais pas trempée. Alors que les brin d'herbes chatouillaient son visage, elle ferma les yeux et soupira une nouvelle fois avant de se relever. Jason commençait un bouger un peu, cela rassura Menolly. Elle qui n'avait pas envie d'avoir des problèmes aujourd'hui c'est rappé comme elle le disait.

Calme, ce mot, je l’avais oublié. À vrai dire, je ne me souvenais plus de ce qui s’était passé. J’étais allongé dans une herbe fraîche, j’entendais les oiseaux chanter et le ciel était bleu. Il n’y avait aucun nuage. Mes premières pensées étaient : je suis au paradie, mais la présence de Ménolly me fit reprendre mes esprits. La violente bagarre dans le chemin de traverse et cette chanson. Comment pourrais-je l’oublier. Peut-être étions-nous tous les deux morts. Qu’elle subtilité…
Doucement, je me suis relevé et j’ai regardé autour de moi. C’était une clairière. Comment sommes-nous arrivés là ? En réfléchissant un peu, je me souvins que dans l’un des livres de la bibliothèque, on y parlait de transplanage. Je ne savais pas grand-chose là-dessus. La clairière était magnifique et sans limites. On pouvait identifier plus d’une dizaine d’espèces différentes de plantes. Je n’étais pas mort, mais je commençais à m’inquiéter pour Ménolly. Allait-elle bien ? En regardant à coter de moi, je vie la jeune femme allongée, elle me regardait. J’étais très gêné car je ne voulais pas l’embarquer dans cette histoire. Malgré tout je pris la parole :

Je suis désolé… Je ne voulais pas t’embarquer là-dedans. Mais... Je suis sûr de te connaître. Où et quand je ne sais pas. Ce n’est pas un hasard si tu connais cette chanson ? Je pense que tu es…

Je n’eus pas le temps de finir ma phrase, quand des visions encombrèrent mon esprit. Je me voyais chez moi. Ma mère préparait le dîner et mon père lisait le journal dans le salon. Trois personnes entrèrent par effraction dans la maison. Mon père, les ayant entendus, sorti sa baguette et s’approcha du hall d’entrée. Il n’eut rien le temps de faire. Il fut foudroyé par un éclair verdâtre. Ma mère s’empressa d’aller au salon, quand elle subit le même sort. Mon cœur battait à vif allure. Tout devint noir et mes yeux s’inondaient de larmes. Etait-ce vrai ? Je ne savais pas, mais si cela était vrai, je devais agir.
Bouche bé, je fondis en larmes. Après quelques minutes je repris mes esprits et regarda Ménolly droit dans les yeux.

Je… Je crois que mes parents sont mort…

Le visage pâle, je restais inexpressif. Comme si toutes vie autour de moi avait disparut.

Menolly était toujours à côté de Jason, elle s'était doucement relevée et n'avait pipée mots. Respirant doucement, elle restait un moment accroupit avant de sa rasseoir. Le jeune homme lui c'était réveillé comme l'avait prédit Menolly. La jeune femme regardait toujours le jeune élève , quand celui -ci pris alors la parole. Et sur son visage, la sorcière voyait bien qu'il était désolé, mais il avait aussi une autre expression que Menolly n'arrivait pas à déchiffrer pour le moment. Écoutant ses paroles, la demoiselle ne dit rien pour le moment, elle préférait le laisser vider son sac, elle sentait au fond-elle qu'il en avait besoin.

Je suis désolé… Je ne voulais pas t’embarquer là-dedans. Mais... Je suis sûr de te connaître. Où et quand je ne sais pas. Ce n’est pas un hasard si tu connais cette chanson ? Je pense que tu es…

Menolly sourit doucement, il était clair et nette qu'elle en avait vue d'autre. En tant qu'auror, elle s'était retrouvée dans des situations plus périlleuses que celle-ci. On aurait pus dire en quelque sorte que c'était une balade de santé. Souriant doucement, elle resta alors accrochée aux derniers mots de Jason. Pourquoi ne finissait-il pas sa phrase, que voulait-il dire, cela titillait les sens que la jeune femme. Qu'elle lien pouvait-il y avoir entre eux, sachant qu'elle ne se souvenait pas de l'avoir déjà vue, et ça elle en était sur et certaine. Contre tout attente Menolly allait répondre, quand elle vit alors l'expression qu'avait pris le visage du jeune élève de Poudlard, elle connaissait trop bien cette expression la. Ce qui ne la rassura pas du tout, que pouvait-il bien voir ou imaginer. Elle savait une chose, il ne fallait pas le toucher pour le moment, c'était le mieux, à faire. Par reflex, elle sortit sa baguette, on ne savait jamais ce qui pouvait arriver. Il fallait parer à toutes éventualités, c'est-à-dire une ensorcellement ou autre. Menolly trouvait que cela durait un peu trop longtemps et allait se décider à le secouer pour qu'il revienne à lui. Soudain ses mots tombèrent comme une sentence;

Je… Je crois que mes parents sont mort…

Après avoir prononcé ses mots, il devint tout pâle. Menolly compris alors ce qu'il avait vue tout à l'heure, c'était la mort de ses parents. La jeune femme, eu alors le coeur qui se serra violemment, elle savait ce que Jason pour ressentir à cet instant. Elle même avait perdu ses parents, et cela ne faisait pas si longtemps que cela. La demoiselle, était mieux placée que quiconque pour savoir ce que ressentait Jason. Doucement, elle s'approcha de lui et le pris dans ses bras, le serait fort, puis elle le relâcha et lui dit alors.

Tu es en sur, reste calme et reprend tes esprits ! Et si ce que tu dis est bien vrai, alors il vaux mieux éviter d'y aller. Je sais que c'est dur à entendre, mais s'y cette ou ces personnes ont pus tuer tes parents, il(s) ne feront qu'une bouché de toi ! Et croit Moi Jason je suis placée mieux que personne pour savoir ce que ça fait, j'ai perdu mes parents moi aussi !

Menolly avait raison et elle le savait. Petit à petit, la demoiselle prenait conscience du lien qu'elle pouvait avoir avoir avec ce jeune homme. Hors-mis le fait que tous deux connaissaient cette chanson qu'elle fredonnait, il y avait maintenant le fait qu'ils avaient tout les deux perdus leurs parents. La jeune femme se leva alors doucement, s'il avait raison, elle ne savait pas vraiment quoi faire l'emmener chez lui, nan ça c'était le dernier recourt qu'elle devait pendre, se dit Menolly. Respirant lentement, se frottant les yeux, elle,ne savait pas trop quoi dire à Jason. Regardant Jason dans les yeux, elle lui dit alors de nouveau,

Il faut vraiment que tu restes calme, et explique moi ce que tu as vu et ce que tu voulais me dire tout à l'heure, cela ne servirait à rien d'un aller maintenant. Sous l'emprise de la colère rien ne marche , c'est clair !

Le ton de Menolly c'était fait plus dure, elle connaissait plutôt bien la réaction des jeunes sorciers. Ils fonçaient sans réfléchir aux dangers qu'ils pouvaient encourir .

Je n’avais pas vraiment écouté ce que me disait Ménolly. J’étais submergé de chagrin. Elle m’avait pris dans ces bras. Cela geste me réconforta un peu, mais je n’arrivais pas à accepter cette vision. Ménolly m’avait aussi dit que ces parents étaient morts, je me sentis mal alaise. Parler de ces parents lui ferait sûrement du mal… Non ! Ensuite, je n’ai rien retenu d’autres. Je me posais bien trop de questions. Je voyais bien que Menolly ne savait pas quoi dire. Mais elle ne pouvait rien faire. Si mes parents étaient morts, je me devais de les venger. Pourquoi mes parents ? Après mûre réflexion, j’ai fini par comprendre l’engrenage, et j’eu une véritable révélation sur ma famille. Ce n’était donc pas un hasard si Ménolly connaissait cette chanson. Elle s’est transmise de génération en génération. Ménolly était de ma famille, j’en étais sûr maintenant. Je la regardais attentivement. Les derniers mots de Ménolly restèrent gravés dans ma mémoire.
« Il faut vraiment que tu restes calme, et explique- moi ce que tu as vu et ce que tu voulais me dire tout à l'heure, cela ne servirait à rien d'un aller maintenant. Sous l'emprise de la colère, rien ne marche, c'est clair ! » Elle voulait que je lui raconte ma vision. J’ai hésité car, mon cœur brisé, ne me donnait plus la force de parler. Je ne le quitta pas des yeux, j’inspira un grand coup, puis, enfin je lui raconta ma vision.

Dans mon esprit, tout s’assombrit. Je me força à parler et je raconta à Ménolly que j’avais subitement apparut dans le maison de mes parents, ma mère réparait le repas pendant que mon père lisait le journal. Tout était calme. Je pouvais me balader dans la maison, mais personnes ne pouvaient m’entendre. Ce paisible silence fut brisé par l’entrée fracassante de trois hommes. J’avais bien vu qu’ils n’étaient pas là par hasard, il avaient un but. Pendant que je racontais tous ça à Ménolly, je me suis rappelé l’histoire dans le chemin de traverse. L’homme qui m’avait lancé le sortilège doloris, je le reconnus dans la scène. Cela m’avait mis en colère au plus haut point. J’avais envie de le tuer. Je continua quand même mon récit, les hommes munis de leu baguette entrèrent dans le salon et,… Je n’avais plus la force d’en dire plus. Je m’excusa au près de Ménolly quand une autre vision m’apparut.

Cette vision était encore plus sombre que la précédente. Comme si j’étais plongé dans les ténèbres. Mais on aurait dit que c’était du présent. Effectivement cette fois-ci Ménolly était dedans et moi aussi. À vrai dire c’était à ce moment même. Trois nuages noirs fonçant à vif allure vers le sol s’écrasèrent et donnèrent place à trois hommes. C’était eux ! Ils allaient apparaîtrent dans la clairière. C’étaient des mangemorts. Cette traînée de poussière noire ne pouvait qu’être l’œuvre d’un mangemort. Pourquoi nous pourchassaient-ils ? Aucune idée. Ma vison s’arrêta lors d’un combat sanglant. Nous n’étions pas triomphant. Je pris la main de Ménolly pour lui dire de partir. Mais c’était déjà trop tard… La vision c’était réalisée. Comme prévus les trois mangemorts étaient belle et bien arrivés. Je sortis ma baguette. Il y allait encore avoir un combat mais cette fois ci impossible d’y échapper. Ménolly et moi nous mettions de dos.

Confringo !

Une flamme gigantesque frappa de plein fouet un des mangemorts. Le mangemort avait été surprit par ce pouvoir, mais ce n’était pas finis :

Stupéfix !

Ainsi une bataille sans merci allait avoir lieu.

Alors que Menolly regardait toujours Jason, elle se dit que à son avis. Le jeune homme n'avait pas vraiment du écouter ce qu'elle lui avait dit, et d'un certain côté elle comprenait tout à fait. Elle aussi avait ressentit cette douleurs affreuse quand elle avait apprit la mort de ses parents. La jeune femme savait très bien que cela allait être très dur pour lui de lui raconter ce qu'il avait vue, surtout si cela concernait ses parents. Mais c'était très important, aucun pour trouver le lien qu'y les unissaient que pour l'aider . Fixant toute son attention sur le jeune homme, Menolly écouta alors attentivement, ce qu'il lui disait, ca vision était étrange. Cela laissa alors supposer que le jeune élève avait du avoir un liens très fort avec ses parents. Jason cependant ne raconta pas sa vision jusqu'à la fin. Menolly compris ce qui était arrivée à la fin de ces images dans sa tête, son coeur se serra pour le jeune homme. Puisque ses parents avaient été tué comme les siens, elle devait l'aider par n'importe qu'elle moyens. Mais elle devait l'aider. La demoiselle sourit tristement devant les excuses de l'élève, mais elle ne voyait pas pourquoi il s'excusait. Alors que la jeune auror allait dire quelque chose, elle vit de nouveau cette étrange expression, se marquer son le visage de Jason, elle compris donc qu'il était encore en train de faire une vision. La jeune femme fit un nouveau lien entre la mort des parents de Jason et les siens, ils avaient été tués surement par le même groupe de personnes. Ce fut alors comme un clik dans sa tête, repensant alors au fait qu'elle lui avait dit que cette chanson était une tradition familiale. La demoiselle chercha alors très loin dans ses souvenirs. Ceux qui remontait au temps, ou elle n'était encore qu'une petite fille chétive qui ne voulait pas sortir dehors par peur de se faire mal. Elle avait bien changée depuis, quand soudain se fut comme un flash. Elle se revoyait pendant les fêtes de noël. Il y avait des étiquettes avec le nom des gens et elle se rappelait d'avoir demander à son père qui était les Lork. Celui-ci lui avait répondu que c'était du côté de sa mère, et qu'ils ne viendraient surement pas.
Mais il n'avait pas dit pourquoi à Menolly. Alors qu'elle était encore plongée dans ses pensées , elle sentit que Jason la prenait de nouveau par le poignet et qu'il cherchait en l'entrainer quelque part. Cette action l'avait ramenée sur terre, alors que trois mangemorts arrivaient.
La jeune auror soupira doucement, elle savait tout à fait ce qui lui restait à faire, la seule chose qui pouvait la déranger c'était que Jason était là. Ce n'était jamais bon de se trouver dans un combat contre les mangemorts. Alors que Menolly se mettait dos au jeune homme pour protéger ses arrières. Celui-ci avait déjà visé l'un des ennemis qui venaient d'arriver. Le sort qui avait jeté était puissant , mais d'un certain côté cela n'étonna pas la jeune sorcière. Alors qu'un mangemort allait l'attaquer avec un sortilège doloris, elle agita sa baguette et dit alors

-Protego !

Puis quelques secondes plus tard elle ajouta en visant toujours le même adversaire

-Incarcerem !

Puis tournant une nouvelle fois sa baguette, celle de l'ennemi vola alors dans les aires avant de se planter dans l'herbe elle dit alors à Jason

-Je crois qu'on va voir pas mal de boulot, hien cousin ?!

Menolly eu alors un petit sourire, comment aurait-elle pus savoir que ce matin en se levant, elle allait rencontrer quelqu'un de sa famille. Sur les trois ennemis qui les avaient attaqués, il n'en restait plus que deux .

J’avais bien entendu cousin. Ce mot était sorti de la bouche de Ménolly. Ce fut comme un flash, pendant quelques instants, je me souvins d’un événement qui c’était passé lors d’une fête de noël avec ces parents. Ces parents parlaient d’une famille. Leur nom était Dartigo. Alors que nous mangions une soupe des hommes étaient arrivés. Ils avaient en leurs possessions. Ils étaient venues leur parler d’un sujet. Une certaine personne voulait que mes parents soient sous son ordre. Je n’avais pas compris beaucoup de mots. Je n’arrivais pas à replacer les noms des personnages. Dans la conversation, j’entendis le nom Dartigo et notamment ces mots :

- Ne faites pas la même erreur que votre sœur, chère dame. Je crains fort que les Dartigo ne soit plus dans la capacité de nous aider…

Mes parents, bien entendu, mes parents refusèrent. Dans mon esprit tous ce remis en ordre. Je ne sais toujours pas pourquoi nos parents ont été tués. Mais ils sont mort. Prit de rage j’avais bien l’intension de tuer ces maudis mangemorts.

-C’est vous ! C’est vous qui avez tué mes parents et ceux de Ménolly ! Vous allez payer ! Endoloris !

Pour la première fois de ma vie, j’utilisais le sortilège Doloris, j’étais hors de moi. Peut-être cette action me ferait aller à Azcaban, mais je ne le regrettais pas. Pendant que Ménolly se battait contre les deux autres mangemorts sans trop de difficulté, je regardais souffrir le dernier mis à terre de souffrance. Il me suppliait de l’achever. Je n’attendais que cela. Toute la haine accumulée depuis le début de mon existence sortie. Je n’avais qu’une seule idée le tuer…

Avada…

Je me tu un instant. Je commençais à me rendre compte de ce que je venais de faire et de ce que je m’apprêtais à faire. Le mangemort disparut en un éclair. Je regrettai un instant de ne pas l’avoir tué. Il en restait encore deux. Un des deux mangemorts voulut lancer un des sort impardonnable sur Ménolly. Mais je réussit à le contrer :

Expelliarmus !

L’homme était désarmé. Je fus pris par un élan de haine assez horrible. ET ces deux mots sortir de ma bouche :

Avada Kedavra !

Une lumière verte sortie de ma baguette. L’homme voltigea dans les aires. Je m’effondra par terre. Et c’est à ce moment que je me suis demandé ce que j’avais fait… J’étais un meurtrier.

Alors que Menolly était toujours dos à Jason, venant de découvrir que c'était son cousin, elle avait un léger sourire aux lèvres. Elle n'en revenait toujours pas elle même, elle qui avait pendant longtemps écartée de toutes relations avec sa famille. Celle-ci resurgissait d'un coup. Alors qu'elle était concentrée sur son combat contre les deux mangemorts qui lui faisaient face,elle ne prêtait pas attention à Jason. Elle savait qu'il pouvait ce défendre tout seul, et ci vraiment il avait besoin, elle interviendrait. Soudain la voix du jeune homme retentit alors dans les aires, Menolly sentit son coeur faire, un bon dans sa poitrine, mais elle réussit cependant à ce contrôler. Par contre, elle ne savait pas du tout si Jason, lui allait réussir à se contrôler, elle aussi à sentit cette envie de tuer ceux qui s'en étaient prit à ses parents, quand elle avait apprit qu'on les avaient tués. Même si le lien, entre les mangemorts qui avaient attaqués ses parents et ceux qui les attaquaient la tout de suite, ne lui était pas venu tout de suite à l'esprit. Ils restaient ses ennemis. Alors que son cousin lançait un nouveau sort, la jeune femme eu alors un mauvais présentement. Elle n'aurait pas pu dire quoi, mais elle sentait que quelque chose allait mal se passer . Alors que la jeune auror jetait un léger coup d'oeil à Jason, elle sentit son coeur se serrer alors qu'il avait prononcé le premier mot du sort qui donnait la mort, puis il c'était arrêté. Mais la demoiselle n'eu pas trop le temps de se préoccuper de ce que fait Jason, car une autre attaqua la toucha, serrant les mâchoires, elle essaya de réprimer le douleur. Se combat allait surement donner du fil à retordre à la jeune femme, alors qu'elle immobilisait un autre ennemi, celui qu'elle avait mit sur le carreau tout à l'heure revenait à la charge. Après quelques minutes, elle réussi à s'en débarrasser, malgré qu'elle eu quand même pas de problèmes, vue que semblait vraiment enrager suite au sorts qu'elle lui avait lancer avant. Soudain contre toute attente, Jason lança un avada kedavra. Les yeux de Menolly s'ouvrirent grand, elle n'en revenait pas, comment avait-il pus faire ça. Mais elle ne pensait pas au point technique et apprentissage mais au côté du fait qu'il venait sûrement de tuer un homme. La jeune demoiselle ne pus rien dire, puisque le jeune homme s'effondra alors sur brutalement. La jeune auror allait se pencher pour l'aider, mais le fait qu'il y avait encore des mangemorts dans les parages l'en empêcha. Ce qui étonna le plus alors la jeune sorcière c'est qu'elle vit alors les ennemis repartir comme il étaient venu, dans une poussière danse et noire. Menolly se dit que la perspective de mourir ne leurs avaient pas plus du tout. Puis se retournant doucement, elle se pencha alors au dessus de son cousin. La jeune demoiselle était tiraillé entre son devoir d'auror et celui d'être sa cousine. Le secouant légèrement, elle lui dit alors même , s'il n'avait pas les yeux ouvert, la jeune femme savait qu'il pouvait l'entendre.

-Jason tu rend compte de ce que tu viens de faire ! Tu t'est abaissé au même niveau que tes ennemis. J'espère juste que tu ne prendra pas de mauvais chemin mon cousin ! Même si je suis auror, je vais te laisser une chance, retourne à Poudlard c'est là-bas qu'ils décideront de la sentence à prendre !

Doucement, Menolly s'approcha de son cousin et le prit par le bras, elle venait de faire le chemin inverse de tout à l'heure. La demoiselle était un petit secouée mais ca irait surement mieux dans quelques minutes. Puis doucement, elle prit Jason, qui était encore dans le paumes, l'adossa alors à un des murs de l'échoppe qui donnait pas une petite ruelle. Agita sa baguette au dessus de sa tête, de l'eau tomba alors sur son visage. Elle ne pouvait rien faire de plus, ses connaissances en soins étaient très limitées. La jeune auror n'avait jamais penser à compenser cela, mais elle se jura qu'elle allait le faire. Par reflex, elle prit quand même le poux de Jason. Menolly se tenait debout devant lui, elle attendait qu'il se réveiller pour pouvoir partir en suite. Le visage de la demoiselle avait à présent une expression fraude et cassante, cela était totalement écarté du beau sourire qu'elle avait en debout de journée. Même si cela ne pouvait se voir , Menolly était en conflit avec elle même, d'un côté il y avait , sa famille et de l'autre son travail. Mais elle ne pouvait tout de même pas emmener son propre cousin à Azkaban

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» Renaissance du printemps [Fe]
» L'aube d'un printemps [Gabrielle W.]
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Il y a des pluies de printemps délicieuses où le ciel a l'air de pleurer de joie.[Pv Jason Lork]

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