A bas le monde moldu [Fe]

Encore une fois, elle était venue pour rien, dire qu’elle avait pensé que cette sortie lui permettrait de changer un peu d’occupation, en ce moment Poudlard était d’un ennuyant. Trop de Gryffondor à se croire les plus forts, plus assez de Poufsouffle à embêter … Et à ses yeux même les serpentards n’étaient pas très intéressant dernièrement.

La jeune femme jeta un coup d’œil autour d’elle, les gens marchaient dans tous les sens, et la majorité d’eux n’étaient que des moldus. Un sourire méprisant apparut sur son visage, dire qu’ils ne savaient quasiment tout du monde des sorciers, ils n’étaient vraiment que des ignorants qui ne mériter pas d’avoir autant de liberté. Andrea soupira, pourquoi avait t’elle penser que cette fois ce serait différent. Elle savait pourtant qu’il ne fallait jamais croire son père. La serpentard ne se rappelait plus le nombre de fois ou il l’avait quasiment obligée de venir à Londres, pour ensuite la laisser seule à cause de son travail … Déjà qu’elle ne l’appréciait pas vraiment, mais la proposition l’avait tout de même intéressée, c’était une bonne occasion de quitter Poudlard pour quelques jours … Seulement si c’était pour se retrouver perdue au milieu des sans-magies … là, ce n’était plus aussi passionnant.

Si au moins elle avait put se trouver au chemin de Traverse, au moins elle connaissait les rues comme sa poche, mais le monde moldu c’était une autre paire de manche.
Andrea regarda une nouvelle fois au alentour, et aperçut un stand, il y avait de quoi manger, de quoi boire, la sorcière hésita un instant, ce n’est qu’un coup de vent qui le décida à acheter un café bien chaud. Heureusement qu’elle avait pensée à prendre un peu d’argent moldus, quoi que rien que pour voir la tête du vendeur, Andrea aurait aimé sortir des gallions de sa poche.

Les mains autour du gobelet, essayant de se réchauffer, elle se demanda pourquoi elle n’était pas resté dans son lit, quelle idée de se lever, surtout pour une journée comme celle-ci. Au début tout avait fonctionné comme prévu, une bonne journée, si on oubliait la présence de son père. Andrea souleva le café vers ses lèvres, et le liquide brulant, lui donna une furtive impression de chaleur. L’après-midi touché à sa fin, et la température n’allait pas en s’améliorant. La serpentard n’avait pas la moindre idée du chemin pour rentrer mais il fallait bien qu’elle se mette à chercher. Un nouveau coup de vent la fit se mettre en marche plus vite que prévu, se relevant rapidement, Andrea balança d’un juste brusque le gobelet vide dans la poubelle la plus poche … bien évidemment le gobelet toucha le bord, hésita à rentrer à ’intérieur et tomba … dehors aux pieds d’un homme.

Ce fut une dure journée de labeur pour Aaron. Il avait du en effet participer à deux réunions ce matin-même. Deux réunions, ce n'est pas énorme, sauf quand une se trouve en Roumanie et une autre en Egypte. A vrai dire, le temps de transplanage était plutôt long et fatiguant. Et il avait dû négocier à quatre fois d'afillée. Ce fut donc à 18h30 qu'il sortit du Ministère de la Magie, éreinté.

Il avançait rapidement dans la foule des moldus qui menaient leur vie paisible. Un sourire parcourut le visage d'Aaron. Dire que cela faisait maintenant deux ans que tout les matins et tout les soirs, il faisaient ce chemin parmi des personnes qui ne faisait pas partie du même monde que lui. Sans magie, leur vie devait bien être ennuyante. Mais bon, chacun à sa place, et le Mangemort qu'était Aaron n'allait pas plaindre ces stupides moldus.

Tout en étant dans ses pensées, il fendait la foule et regagnait ses pénates, quand un objet tomba et roula sur ses pieds. Il baissa la tête et l'observa, c'était un gobelet, avec encore un peu de café dedans. Il releva la tête, et observa celle qui avait commis l'action. Il la fixait droit dans les yeux, levant un sourcil au passage.

Elle était blonde, plutôt jolie d'ailleurs. Des yeux bleus perçants, elle était plutôt attirante. S'apprêtant à sortir sa baguette magique, Aaron réfléchit vite et s'abaissa pour ramasser le gobelet qu'il jeta dans la poubelle, tout en observant l'inconnue.

Andrea s’attendait déjà à aller le ramasser, mais a priori, Elle n’aurait même pas à le jeter vu que quelqu’un venait de le faire. Bien qu’elle fût contente de ne pas avoir à le faire, la jeune femme n’aimait pas que les gens s’occupent de ceux qui ne les regardaient pas. Donc quoi qu’il arrive, la serpentard avait déjà décidée qu’elle ne le remercierait pas.

Mais avant qu’elle décide de continuer son chemin, pour essayer de trouve comment rentrer, le visage de l’individu l’arrêta un instant. Une impression de déjà vu, restait à savoir si c’était une bonne chose ou non. On ne pouvait pas dire qu’elle trainait beaucoup dans le monde moldus, à part peut être les discothèques, elle détestait ses personnes sans-magie ; il y avait donc peu de chance qu’elle l’est croisé ici.

En général, la jeune femme s’intéresser peu au gens qu’elle ne connaissait pas, Andrea ne s’attardait que rarement sur ceux qu’elle croisait. Et cela ne concernait pas que les moldus, les sorciers n’attiraient que rarement son attention.
Finalement Andrea retrouva l’endroit ou elle l’avait déjà aperçu, c’était au ministère… En général, la serpentard détestait cet endroit, surtout à cause de son père, mais aussi d’une majorité de sorciers qui travaillaient là-bas, surtout ceux qui travaillaient sur les moldus, mais l’inconnu, avait à l’inverse de ces vieux sorciers décrépis un charisme assez impressionnant, d’où le fait qu’Andrea s’en rappelait.

Mais le plus important dans tous ça, c’est que qui dit Ministère, dit Sorcier, elle avait donc peut être une chance de retrouver le chemin de Traverse, au lieu de rester complètement perdue dans le Londres moldus. Pas timide pour un sou, la jeune femme s’approcha d’un pas décidé, espérant bien qu’il pourrait l’aider.

« Vous pourriez m’indiquer le chemin de traverse s’il vous plait »

Et même si ça ne lui plaisait pas d’ailleurs, Andrea ne voulais pas rester plus longtemps dans cet endroit.

« Vous pourriez m’indiquer le chemin de traverse s’il vous plait »

Aaron regarda la jeune fille d'un air perplexe. Ainsi, elle savait que ce dernier faisait partie du monde des sorciers, de ce monde peuplé de personnes supérieurs à ces ignobles moldus. Elle avait sûrement dû le reconnaître, et l'avoir vu avant au Ministère, car Aaron passait les trois quarts de son temps là-bas. Il aimait beaucoup son travail, et c'était pourquoi il passait beaucoup de temps là-bas. Le social était une de ses principal activité. Il aimait parler, montrer son intelligence.

Il regardait toujours la jeune fille, et un léger sourire s'esquissa sur ses lèvres. Il regarda autour de lui, les moldus affluaient dans tous les sens, bousculant tout le monde sur leur passage. C'était des vrais moutons, des gens indisciplinés qui méritaient une bonne correction de la part de la gente sorcière. Cela ne pourrait leur faire que du bien, mais c'était malheureusement interdit, quoi que certains ne s'en privaient pas quelque fois. Puis, il reporta son attention sur la jeune fille et dit, presque en murmurant :

- Suivez-moi.

Puis, il fit volte-face et commença à marcher dans le sens inverse, se frayant un chemin parmi la foule. Ainsi, elle voulait donc se rendre au chemin de traverse. Son apparence arrogante et son froid ne laissait aucun doute à Aaron : elle devait sûrement être une Serpentarde. Si c'était le cas, elle avait tout compris de la meilleure maison de Poudlard et était bien parti pour exceller dans le monde des sorciers. A cette pensée, Aaron repensa à son parcours scolaire, lui qui avait toujours eut les meilleures notes et qui se retrouvait maintenant à un poste important au Ministère, à seulement 22 ans.

La jeune fille devait sûrement s'être perdue et attendait. Mais attendre quoi ? Quel pourcentage de chance y'avait-il pour qu'un sorcier passe par là ? Sûrement moins d'un pour cent. Aaron tourna au coin d'une rue, s'engageant dans une rue plus sombre maintenant, les mains dans les poches de sa veste. Il tourna la tête, histoire de vérifier que la fille était toujours là et continuait son chemin, vers le Chaudron Baveur.

Pendant un instant la jeune sorcière hésita, peut être allait t’il refuser, après tout s’il travailler au ministère c’est qu’il devait être occupé, il devait certainement avoir plus important à faire que ramener une petite idiote qui s’était perdue chez les moldus. Finalement en peu de mots il lui fit signe de le suivre.
La jeune femme fut rassurée de savoir qu’elle allait enfin pouvoir quitter cet endroit, si elle l’avait fait seule, Andrea se serait sans doute débrouiller pour se retrouver encore plus éloignée du chemin de Traverse. Mais vu qu'ils marchaient d'un bon pas , ce ne serait sans doute pas long , meme si elle ne savait pas vraiment la distance qui les séparaient du Chaudron Baveur.

Il n’était pas bien bavard , et étonnamment c’était aussi le cas d’Andrea qui d’habitude avait du mal à s’arrêter de parler , mais peut être était t’elle intimidée , les personnes qui travaillaient au ministère , elle en avait vu une bonne partie , mais c’était souvent en majorité des vieux sorciers bouffi d’orgueil qui ne savait même pas faire leurs travails . Mais cet homme là semblait différent, elle s’en était déjà rendu compte lorsqu’elle l’avait aperçut au ministère, et cet impression était renforcée maintenant qu’elle le suivait.

« Vous travaillez au ministère n’est ce pas ? »

Andrea connaissait déjà la réponse, mais finalement le silence ce n’était pas pour elle. Et surtout la serpentard voulait en savoir plus sur lui. Curiosité mal placé ? Oui c’était certain. Andrea espérait que la question l’amènerai à dire ce qu’il faisait là-bas, qu’elle genre de travail … Sas doute quelques choses d’important elle en était certaine, ou du moins elle l'espérait. Il ne donnait en tous cas pas l'impression d'étre un simple sous-fifre , il avait un air trop sur de lui pour travailler directement sous les ordres de quelqu'un

Aaron continuait de marcher à travers les rues de Londres, en direction du chemin de traverse. Enfin, sa principale direction n'était pas le chemin de traverse, mais le Chaudron Baveur, étape principale pour se rendre dans la rue des commerces magiques. D'ailleurs, en ces temps de guerre, le Chemin de Traverse avait été déserté mais pas tant que ça car beaucoup de sorciers s'y promenaient encore, faisant leurs achats sans insouciances. Peut-être étais-ce parce que le Seigneur des Ténèbres avait disparu, et qu'ils pensaient que le danger était écarté. Ils pensaient peut-être que tout était terminé, que le mal avait été éradiqué de la communauté magique. C'était sûrement ça, de toute façon Aaron ne voyait pas d'autres raisons.

Malgrè son pas rapide, Aaron jetait régulièrement des coups d'œil derrière lui, histoire de voir si la jeune sorcière le suivait toujours. Il savait qu'il marchait rapidement, et il était parfois difficile de le suivre, surtout au milieu d'une foule comme celle-ci. Aaron arrivait à passer partout, se faufilant entre les personnes sans les toucher, tel un félin. Hum, cette métaphore est foireuse, avouons-le. Soudain, il entendit la jeune fille lui poser une question.

« Vous travaillez au ministère n’est ce pas ? »

Aaron se tourna légèrement, histoire de regarder la jeune fille. Il ralentit son allure, pour qu'elle le rattrape et qu'Aaron puisse se trouver à son niveau. En effet, ce serait légèrement plus simple pour parler. L'idée qu'Aaron s'était faite quelques minutes auparavant était bien confirmé, elle avait du le voir au Ministère de la Magie. Il tourna à droite à un carrefour, s'engageant dans une ruelle où la circulation avait largement diminué, ne laissant que quelques moldus aux alentours. Ils étaient bientôt arrivés, dans cinq ou dix minutes maximum. Aaron tourna la tête vers la jeune fille et répondit :

- Diplomate chargé du commerce international au huitiéme étage - Ministère de la coopération magique internationale - , oui.

Il lança un bref sourire à la jeune femme qui marchait à côté de lui et se concentra sur le chemin. Il tourna cette fois à gauche et il reconnut la rue. Il étaient maintenant à trois rues du Chaudron Baveur.

Voyant qu’il ralentissait, Andrea le rattrapa en quelques pas, elle attendait qu’il lui réponde. S’il faisait d’ailleurs, elle pouvait déjà être contente qu’il lui permette de retrouver son chemin. Mais s’il ne lui avait pas répondu, la jeune femme aurait été frustrée, c’était désagréable de soupçonner quelques choses mais de ne pas en avoir la confirmation. Il était du ministère, elle en était certaine, mais après tout il y avait encore des possibilités qu’elle se trompe, par exemple elle aussi se trouvait au ministre mais n’en faisait pas parti … Cependant la jeune sorcière avait du mal à imaginer qu’elle pouvait se tromper.

Finalement il lui répondit, un sourire apparut sur le visage de la Serpentard, elle ne s’était pas trompée, ravie d’avoir eut raison, Andrea suivit le diplomate d’un pas léger. Il ne lui en fallait pas beaucoup pour être fière d’elle, d’ailleurs elle le savait, mais il arrivait aussi à la jeune femme d’être très exigeante avec elle, surtout dans certain domaine, la métamorphose en faisait parti. Dans cette matière, ce qu’elle faisait ne la satisfaisait jamais, elle en devenait carrément perfectionniste. Mais là, sur un sujet qui n’était pas vraiment de la plus grande importance, la jeune fille ne se gênait pas pour être contente de sa mémoire.

De plus même si elle ne savait pas totalement en quoi concernait le travail de cet homme, elle trouvait déjà le titre en lui-même prometteur. La jeune femme qui jusque là voulait travailler n’ importe où sauf au ministère, commençait bien à s’imaginer que cela n’était peut être pas si mal. Son père avait soi-disant travaillé dur pour arriver au ministère, mais elle n’était pas son père, la Serpentard avait confiance en elle, ce genre de responsabilité et de prestige lui plaisait déjà …

« Vous en êtes arrivée là comment ? »

Le respect de la vie privée, la discrétion, non, la jeune femme ne connaissait pas vraiment, toujours direct, elle posait les questions qui lui venait à l’esprit et se débrouillait toujours avoir des réponses.

Lorsque Aaron renseigna la jeune fille sur le métier qu'il exerçait - au Ministère de la Magie - un sourire accompagné d'un air de satisfaction apparut sur son visage. Elle semblait fier d'elle, c'était tout de même assez bizarre. Mais il ne s'en soucia pas et continua à marcher d'un pas rapide, traversant Londres à une vitesse plutôt hors-norme. Ils étaient maintenant à moins d'un kilomètre du Chaudron Baveur, leur destination. Aaron se demandait d'ailleurs pourquoi est-ce qu'il avait accepté d'accompagner la jeune fille, alors qu'il ne souhaitait qu'une seule et unique chose, qui était de rentrer chez lui et de s'asseoir, après cette journée épuisante. Mais le fait de rencontrer une sorcière au beau milieu de plusieurs centaines de moldus lui avait fait oublié cela.

« Vous en êtes arrivée là comment ? »

Décidément, cette jeune fille était bien curieuse, elle avait même le don d'aborder des sujets assez personnels, mais cela ne dérangeait en rien Aaron, qui esquissa un sourire. Il était assez ravi de narrer son parcours scolaire, tant il était bon. Ils n'étaient maintenant plus très loin du Chaudron Baveur, l'enseigne se voyait à vue d'oeil. Aaron jeta un regard à la jeune fille, et répondit, d'un ton solennel.

- Hum. On va dire que je vaut 10 Aspics Optimal, ainsi qu'une license en droits magiques avec une mention optimal.En général, les personnes qui sont à mon poste ont une expérience déjà élevé, et de la bouteille, dirons-nous.

Il esquissa un sourire en regardant la jeune fille, et continua son chemin. Le Chaudron Baveur se trouvait maintenant en face d'eux deux, et Aaron poussa la porte d'entrée, laissant entrer la jeune fille en première. Le bar n'était pas remplie, mais pas vide non plus, car l'ambiance sonore était plutôt élevé. Aaron se dirigea vers le bar, et serra la main de Tom, un sourire aux lèvres. Il entama une légére discussion avec, puis cinq minutes plus tard se retourna vers la jeune fille et dit :

- Vous voulez boire quelque chose ?

Allait t’il répondre ou au non …tel était la question. Il y avait de grande chance qu’il est était à Poudlard, peut être même à Serpentard qui sait …oui, elle en était quasiment sur, il ne ressemblait en rien à ces idiots de Gryffondor, non il avait l’air de valoir mieux que ça. Ce n’était pas non plus un Pouffsouffle, non, ça c’était certain … Andrea ne le voyait pas se faire marcher sur les pieds, il semblait avoir bien trop de force de caractère pour être dans cette maison. A la rigueur il aurait put être un bleu et bronze, et avoir énormément travaillé pour réussir … mais sans savoir pourquoi la jeune femme s’enleva cette idée de la tête … elle le voyait très bien en Serpentard … il était difficile pour elle d’imaginer quelqu’un avec autant de charisme venant d’une autre maison que la sienne.

- Hum. On va dire que je vaux 10 Aspics Optimal, ainsi qu'une licence en droits magiques avec une mention optimal. En général, les personnes qui sont à mon poste ont une expérience déjà élevé, et de la bouteille, dirons-nous.

Une léger sourire ébahi apparut sur le visage d’Andrea, elle avait donc encore une fois eu raison, c’était un poste important. Elle ne savait pas encore le niveau de difficulté que pouvait avoir les Aspics, elle n’avait même pas encore passée ses buses … On ne pouvait pas vraiment dire qu’elle aimait passer des examens, mais elle se savait capables de les réussir … à l’inverse, elle ne se ferait une idée de sa capacité à passer les Aspics qu’après avoir passé les épreuves de cette année.

Ils arrivèrent enfin dans un endroit que la jeune femme connaissait, même si la Serpentard ne le fréquentait que rarement. Finalement elle n’était pas si loin que ça, pourquoi fallait t’il qu’elle est un sens de l’orientation si exécrable…

- Vous voulez boire quelque chose ?

Elle n’avait pas vraiment soif, mais on ne refuse jamais une invitation … du moins en général …

« Non, merci «

C’était bien rare qu’elle répondre de cette façon, en temps normal le « non » seul aurait largement suffit, après la politesse n’était pas vraiment dans ses habitudes. Et puis n’étant jamais venu réellement, elle avait peur de commander n’importe quoi. Elle ne voulait en aucun cas paraitre ridicule et c’est pourtant c’est qu’elle fit … en voulant se déplacer pour laisser passer un client, la jeune serpentard se débrouilla pour en bousculeur un autre, qui envoya valser son verre sur le diplomate.

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