Achat d'un nouveau costume (FE : Juliette)

Avançant à regrets dans le chemin de traverse, un homme au visage sombre, au passé encore plus et au nuit infiniment encore plus, se mêlait dans une foule lasse, déconnectés de la réalité. Chaque individus, chaque Sorciers marchaient dans leurs bulles sociales, ne laissant personne s’approcher à moins de dix mètres presque et vivant à loisir, en sans contentant, dans une société de consommation faisant croire à ses brebis effrayés que l’achat entraine le bonheur, pour noyer leurs idées, leurs honneurs à quelques gallions le kilo. Là où quelqu’un voyait des hommes vivant, Victor voyait des engrenages bien huilés, des pièces d’un mécanisme parfait et rodé. Le gouvernement avait réussi. Il avait fait d’hommes pensant, agissant, ressentant, des pièces sans vie, sans doute, sans rébellion.
Comment cela était-il arrivé ? Comment des êtres s’étaient transformés en chose ? Qui avait réussit le pari délicat de transformer le qui en quoi, de changer l’homme en donnée et non en pensée, de passer de l’unité de mesure d’êtres-vivants à société ? Plusieurs hommes et femmes s’étaient mit à cette besogne à vrai dire et c’est pour cela que chaque soir, Victor s’amusait à mettre ce masque, mettait sa maigre vie en suspens, en danger… Il ne pouvait plus le toléré
Mais pour l’heure, il avait besoin d’un bon tailleur noir, présentable et imposant. Quand on représente une idée, un cauchemarde pour certains, l’effet théâtrale de la chose en était primordiale. Heureusement pour lui, venant d’une famille noble, l’argent n’était pas un souci, loin de là même. Mais ne vivant presque plus en société, n’ayant presque plus de lien avec les vivants et le reste de ce qui compose une société, Victor ne savait où s’adresser.

-S’il vous plait, auriez-vous l’amabilité…

Il avait demandé à une passante qui fit mine de ne pas le voir et continua son chemin. Le visage si dur et si marqué de l’homme lui faisait-il à ce point peur ? Il teinta une seconde fois l’expérience et cette fois on lui répondit

-Pourriez-vous je vous en prie me guider. Je suis vraiment un agneau égaré et j’aimerais de ce pas allez me fournie un costume

-Mais très certainement. Continuez tout droit puis la seconde à gauche, tournez et vous verrez un magasin faisant des costumes par exemple.

Victor le remercia chaleureusement et suivit le chemin indiqué par le mouton de panurge. Mais alors dirait-on après cela de lui comme les autres. On lui a donné des consignes vers un objectif, il les a suivit. Le Ministère fait pareil mais à une plus grande échelle. Ils donnent des ordres pour que les citoyens obtiennent ce qu’ils veulent, un sentiment mensonges de contrôle et de sécurité et en échange ils offraient leurs capitulations totales et absolues. Il était assez paradoxal que Victor veuille changer cette société alors qu’il y vivait dedans. Mais en même tout ce qui est et par définition dans la société. Enfin bon, passons ! Victor avait tendance à toujours tout rationnaliser, à étudier de fon en comble, à dénaturer de tous sentiments. Sans sentiments, pas de souffrance et encore moins d’erreur. Arrivé à destination, il entra dans la boutique et chercha du regard la patronne de l’établissement.

Une journée calme et tranquille dans ma petite boutique, je n'avais pas vue le moindre client et celà m'avais permis de travailler sur de nouveau croquis de vêtements. Depuis que j'avais rendue service à Math, les clients affluaient de plus en plus, à croire qu'il m'avait fait beaucoup de publicité.

Mais pour une fois, celà me faisait un bien fou d'être tranquille et de respirer cinq petites minutes, car entre les missions et la boutique, je n'avais plus de temps pour moi, ni pour faire de nouvelles créations et il fallait vraiment rafraîchir un peu la collection de vêtements, mais en ce moment, j'avais beaucoup d'idées poir des créations spéciales enfants.

Et bien voilà, j'avais trouver mon idée, des vêtements pour enfants, toute une ligne vestimentaire rien que pour eux, de la naissance et pour les plus âgés, celà augementerais, ma clientelle, enfin celle des parents, mais je devrais alors pensées à agrandir ma boutique, ou à réagencer les rayons de telle façon à faire entrer les premiers modèles pour enfants.

Cependant mon calme ne dura pas longtemps et je fue sortie de mes pensées, par la clochette de ma porte, signalant l'arriver d'un client. Levant mes yeux de mon carnet de croquis, je me levais et observa rapidement le nouveau venue qui était un homme.

Bonjour Monsieur, soyez le bienvenue. déclarais-je d'un ton poli et souriant Que puis-je pour vous?

Le jeune homme regarda un instant la boutique et la façon dont elle était organisée, jugeant et jaugeant d’un simple regard les alentours de la boutique pour voir si c’était un établissement sérieux ou non. La propreté régnait, les articles présentaient de façon astucieuse et ordonnés mais Victor ne vit pas la moindre trace de smoking. Espérons que la jeune femme puisse le faire de suite et en bonne qualité, cela va de soit. Jetant un fin regard posé sur la patronne en question, jeune et peut être inexpérimenté, il entendit celle-ci répondre à son salut cordialement comme tout bon commerçant se respecte

- Bonjour Monsieur, soyez le bienvenue. Que puis-je pour vous?

Victor s’approcha de la demoiselle en question, son attention toujours occuper à scruter le magasin de fond en comble, puis il reporta son regard sur la jeune artisane et lui demanda d’une voix assez monocorde

-J’aimerais assez que vous me confectionner dans la journée une veste smoking de ce genre ci, aux coutures cachés, à l’étoffe légère, sans accro et sans poche intérieur. Le noir d’encre pour l’extérieur et l’intérieur de la veste est rigoureusement nécessaire comme couleur proéminente et unique. Je ne veux non plus aucune fantaisie que ce soit, pas de col ou de rabattement trop excentrique et le tout avec des boutons de manchettes que je vous ai apporté.

Il sortit de sa poche de veste sept boutons de manchettes en or avec les armureries de sa famille inscrites dessus. A vrai dire, c’était le seul témoignage de son identité véritable mais que peu de gens ne connaissait Et puis, quand il portait un masque peut de gens survivaient après les avoir vu…a vrai dire pour l’instant personne. Il sorti aussi une bourse pleine à craquer et reprit toujours aussi condescendant dans le ton

-Bien entendu, mon offre ne demandant aucune créativité de votre part, une totale soumission à mes exigences et des heures de labeur interminables ainsi que mon délai court de ce jour, votre travail serra gracieusement récompensé, cela va de soit. Tout travail mérite salaire. Je vous demanderez aussi la plus grande discrétion, si toute fois dans cette rue, cela en est capable.

Il fixa le regard de la jeune femme, se demandant si elle était oui ou non en clin à accepter le défi de cet homme qui serrait à coup sur pour elle plus que laborieux.

-Alors, acceptez-vous ma demande ? Ou dois-je allez ailleurs ? A moins que ma bourse ne soit pas assez pleine ?

Il sembla cherche quelque chose du regard, puis finit par répondre à ma question. Je sortie un carnet et pris note, il voulait une veste de smoking la plus sobre pssible, me donna des boutons de manchettes en or, finement sciller que je trouvais très beau. Le délais était court, mais faisable bien évidament, après tout la magie était là pour nous dépanner.

Bien sur, il n'y a aucun problème pour moi. Il me faudrait juste vos mensurations et je vous propose un tissus souple, léger, mais très élégant, de couleur sombre de préfèrance. Et je vous propose de passer la chercher se soir vers 18 heures.

Agitant ma baguette, plusieurs ruban à mesurer vinrent s'enrouler au tour de l'homme pour prendre sa taille, de long en large et en travers. Pendant que je notais sur mon carnet, mes mesures, il me parla du montant qu'il allait me verser.

Ne vous en fait pas pour moi, j'ai déja vue des délais plus cours, et vous serez je pense satisfait de votre commande. De la discrètion? Bien sûr, celà va de soit, chaque commande et demande est du domaine privé et secret.

Levant les yeux de mes notes, je ne baissais pas d'une seule seconde mon regard, face à ses yeux si sombre et si stricte et sa question ne m'étonna pas plus que celà.

Je pense vous avoir répondue. Oui j'accepte celà sans problème. Pour ce qui est de l'argent, nous verrons celà à la réception de votre veste.

Apparemment, la jeune femme présuma cela possible. Elle réfléchit un instant et dit à l’adresse de l’homme vêtu de noir et si obscur

- Bien sur, il n'y a aucun problème pour moi. Il me faudrait juste vos mensurations et je vous propose un tissus souple, léger, mais très élégant, de couleur sombre de préfèrance. Et je vous propose de passer la chercher se soir vers 18 heures.

Victor acquiesça par reflexe et manifesta son contentement

-Et bien c’est parfait

A peine avait-il dit ces mots que Juliette fit son petit train-train et un mètre commença à prendre mille et une mesure. Victor ne bougea pas d’un pouce, question d’habitude. Le visage neutre et impassible, il attendait patiemment. Puis quand Victor avait parlé du paiement, Juliette lui répondit

-Ne vous en fait pas pour moi, j'ai déja vue des délais plus cours, et vous serez je pense satisfait de votre commande. De la discrètion? Bien sûr, celà va de soit, chaque commande et demande est du domaine privé et secret.

Puis, après avoir demandé combien il faudrait pour tout cela, la jeune tailleuse répondit toujours aussi professionnellement qu’elle se le devait

-Je pense vous avoir répondue. Oui j'accepte celà sans problème. Pour ce qui est de l'argent, nous verrons celà à la réception de votre veste.

Victor fut un salut à la jeune femme et lui répondit derechef

-Très bien, je reviens donc dans quelques heures pour la réception de mon dut.

Victor prit congés de la jeune artisane et s’en alla de la boutique. Il passa les quelques heures qui le séparait de dix huit heures en se rendant à une librairie pour acheter quelques ouvrages des grands penseurs chères à son cœur. Puis, quand cela fut terminé, il refit le plein d’ingrédient pour potion. Quand le tout fut enfin terminé, Victor retourna voir la tailleuse avec dix minutes d’avance. Il poussa le porte d’entré et demanda passivement

-Ma veste est –elle prête ?

Il sembla ravie que j'accepte cette commande dans un délai aussi cours, bien sûr la magie était dans ce genre de cas là, un allier très précieux.

C'était comme j'appréçiais beaucoup, un client calme et discret, pas comme par exemple les commères que j'avais l'habitude de voir et qui restait des heures et des heures à parler de leur petite personne, ou de ce qu'elle avait vue ou fait.

Il pris congé et je le saluais d'un sourir poli

A toute à l'heure

Aussitot fut-il partie, que je me rendis dans mon atelier à l'arrière de ma boutique, ainsi je pourrais travailler tranquillement. Pour le fil à coudre je pris un fil de soie très fin, mais aussi très solide, car renforcer avec plusieurs technique secrète de mon fourniseurs et pour le tissus je pris du lin noir, c'était léger et chaud à la fois et celà faisait très chic, lorsque c'était bien travailler.

Sortant aiguille,s, fils, tissus et mesure en tout gendre je m'atelais avec plaisir à ma tache me concentrant sur mon travail. Je ne fus pas déranger par le moindre client ce qui m'étonna quelque peu, mais que je trouvais pratique.

A 18 heures pile, lorsque la porte s'ouvrit que et j'entendis la voix de mon client venir chercher sa chemise, je venais de donner les derniers coup d'aiguille pour fixer le dernier bouton de manchette.

Sortant de mon atlier souriante, je tendis à mon client sa veste pour qu'il puisse la regader et juger de lui même la qualité du travail ou non. Personnellement j'étais assez fière de mon travail et grace au fil de soie les coutures étaient entièrement invisible et j'avais suvie sa demande à la lettre

Et voilà, prette à l'heure, en espérant que celà soit comme vous le désiriez

Il était à peine rentré dans la boutique en question que la jeune artisane sortit de l’arrière boutique, la veste de smoking en question à la main. Elle avait le grand sourire aux lèvres et il était évident de voir qu’elle avait finit le travail en question.

-Et voilà, prette à l'heure, en espérant que celà soit comme vous le désiriez

Victor attrape délicatement l’étoffe en question et la tendît devant lui pour admirer le travail tout en répondant toujours aussi condescendant.

-A l’heure certes mais voyons voir si elle répond à toutes les exigences soulevés !

Il caressa le tissu assez doux mais pourtant épais, parfait ! Il retira la veste qu’il portait alors et mit la nouvelle. Bougeant les bras et les épaules pour voir s’il y est bien dedans, il se rendit agréablement compte que la veste ne gênait absolument pas ses mouvements. Cherchant le moindre défaut de couture, il eut bien déjà dut mal à voir les fils et fut assez impressionné de voir la couture régulière, digne des plus grands à vrai dire. La couleur était plus obscur que la nuit elle-même puis il vérifiât si bien entendu, il n’y avait aucune poche intérieure…question de symétrie et en effet, aucune poche n’y fut confectionné. La doublure était douce et à vu d’œil aucune fantaisie des grands stylistes ne fut posé : la sobriété était le mot clé. Il toucha délicatement ses boutons de manchettes, seuls vestiges physique et presqu’aussi morale de son passé. A dire vrai, ces derniers lui ont été offerts par une personne très spécial à son cœur et qui l’est encore. Le seul être dont il n’arrivait toujours pas à se séparé : sa femme…enfin son ex femme. Il avait gardé ses boutons pour garder en lui quelques choses de cette famille qu’il cachait, de cette femme qu’il aimait mais qu’il avait fait fuir. Voilà ce qui se passe quand une femme préfère la vengeance à sa femme. Le spleen s’empara de Victor mais son visage tout autant que ses yeux ne laissèrent rien transparaitre. Il reprit son expertise et demanda

-Bien entendu, vous n’avez pas mit de griffe personnel ? Pas de signature où que ce soit, quel qu’elle soit ? S’il n’y a pas de problème de se côté-là, je vous annonce que votre travail et parfait et je m’empresse de me l’acquérir

Il s'empressa d'essayer la veste et de la passer sous toute les coutures, de la vérifier de long en large et en travers. J'avais toujours une petite boule au fond de moi, signe de trac évidant, car j'avais toujours peur d'avoir fait un faux pas, ou une erreur quelque chose qui ne plairait pas à un client, mais jamais pour le moment quelqu'un avait été dessus de mon travail et je remerçais toujours Merlin pour faire un si bon travail.

Durant toute l'inspection je n'avais pas beaucoup parler, car il n'y avait pas grand chose à dire, mais il fallait quand même expliquer son travail.

Le tissus est à base de lin léger et soyeux, travailler de façon à rendre la veste chaude en hivers, mais aussi agréable à porter l'été. Le fil de couture est une soie travailler spécialement pour être invisible

Il sembla être ravie de ma travail et me fit une remarque sur ma griff ou une signature quelconque.

La griff est présente, car ce serait comme ne pas signer un tableau de maître,est enfaite de si petite taille, qu'elle n'est visible qu'a la loupe moldue ou un sort de grossissement. La discretion est un point d'honneur que j'aime à tenir. Je suis en tout cas ravie qu'elle vous plaise.

Il me rendie la veste que je pliais soigneusement avant de l'embaler avec du papier de soie

Pendant qu’il se faisait une idée de la qualité de travail qu’avait fait la jeune femme et du respect du cahier des charges précédements exposés, elle informa Victor du tissu qu’elle avait choisit ainsi que des raisons.

-Le tissus est à base de lin léger et soyeux, travailler de façon à rendre la veste chaude en hivers, mais aussi agréable à porter l'été. Le fil de couture est une soie travailler spécialement pour être invisible

Victor réfléchit un instant. A vrai dire, il ne connaissait pas grand-chose en tissu et donc tout naturellement, deux questions lui vinrent à l’esprit immédiatemment.

-Le lin que vous avez employés, est-ce un tissu résistant ? Se froisset-il ? Mais surtout n’est-ce pas trop dur à nettoyer ?

Etant donné que Victor mettrait ce costume pour des activités pour le moins…sportives, il ne voulait en aucun être géné dans ses déplacement, être surpris de voir sa veste déchiré au moindre effort ou être une labeur à nettoyer chaque soir. Puis, après avoir répondut à sa question, l’artisane précisa qu’en effet, elle avait posé sa griffe

-La griff est présente, car ce serait comme ne pas signer un tableau de maître,est enfaite de si petite taille, qu'elle n'est visible qu'a la loupe moldue ou un sort de grossissement. La discretion est un point d'honneur que j'aime à tenir. Je suis en tout cas ravie qu'elle vous plaise.

Si celle-ci était presque indicernable. Mais bon, Victor aurait bien aimé qu’elle n’ai aucune trace, qu’il n’y ai aucun moyen de remonter jusqu’à lui si jamas il devait abandonner ce « costume ». Il verrait bien plus tard s’il lui est possible de la retirer. Si ce n’est pas possible, et bien tant pis, il s’en contenterait. Il sortit sa bourse bien pleine et demanda toujours sous son ton neutre et relevé

-Combien vaut cette merveille ?

Les Gallions résonnaient dans sa bourse de cuir et Victor attendait patiemment l’estimation que ferrait l’artsiane de son travail. Il est assez intéressant de connaitre le prix qu’elle donne à son travail. Trop, c’est qu’elle se sur-estime, pas assez, c’est qu’elle se sous-estime…

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