C'est un Requiem[FE Juliette]

Cette nuit était une soirée plutôt à donner le cafard, je n'aime pas beaucoup soirs de pluie. Mais souvent ces nuits sont de mauvais présages. Dois-je le prendre pour moi ? Au plus profond de moi même je sens que cette nuit est particulière, pourquoi ? Va savoir... Je marcher seul dans les rue de la grande ville de Londre et je m'arrêta devant la grande place, je regarda droit devant moi quand soudainement les éclairs gronda, je regarda le ciel et je fit un long soupire mettant en silence pour quelque instant cette pluie de corde, je leva ma capuche et la mit sur ma tête marchant calmement droit devant moi puis je m'arrêta et j'entendis mon prénom peut être me trompais-je mais je préféra regarder autour de moi. Et je remarqua qu'il y avait pu personne d'un seul coup je dis alors à cette instant :

"Je le sens mal cette fois, cette balade risque d'être mouvementer. Quelque chose cloche et je parierais entre mille qu'il y a des mangemort cacher dans l'ombre"

Je leva le bras droit vers le ciel et ma manche mouiller glissa légèrement puis je fis un mouvement violent vers le sol qui fit tomber ma baguette que je rattrapa je resta sur mes garde faisant attention que les moldus ne me voient pas. Mais pour tout vous dire je n'ai jamais eu ce sentiment que quelque chose aller m'arriver. Je dirigea ma baguette autour de moi et je me colla contre le mur et ferma légèrement les yeux reprenant mon calme je les ouvrit de nouveau et j'allai dans un coin à l'abris de la pluie là où j'étais sûr que personne ne me trouverais et je regarda la grande place qui était encore vide, quasiment personne. Je me posa plein de questions sur le coup :

"Pourquoi n'y a t'il personne ? Pourquoi je suis le seul ici... Et surtout pourquoi j'ai l'impression mais je ne vois qu'une seul solution pour qu'il y est quasiment personne, même pas un chat. A moins que je rêve ce qui m'étonnerais fortement..."

Je referma les yeux puis tourna la tête de gauche à droite et je vit plein de monde marchant dans les rues et la grande place, je n'aurais donc fait un rêve... Cela m'apprendra à trop regarder les films dramatique de moldu ! Ou film d'horreur bref, je me remit à marcher et je soupira légèrement de nouveau l'orage gronda de nouveau et je me dit qu'en faite l'orage ma fais rêver, et je me revit enfant en train de courir pour rien un peu partout.

Une nuit sans lune, une nuit sans étoiles, un ciel plein de nuage ou l'on entendait le tonnerre gronder, les éclairs brillés et la pluie tomber sur mon visage. Je marchais d'un pas vif pour rentrer chez moi, car j'avais finis mon travail à la boutique.

J'espérais en chemin ne tomber sur personne, car j'avais nul envie de me battre, rien qu'être chez moi au chaud. Ma cape resserrer au tour de moi et de mon visage, me permettais de me protéger de cette pluis battante. Je regardais au tour de moi, il n'y avait personne ou presque, mais j'avais un mauvais présentiment, comme ceux qui vous disent de faire attention à quelque chose ou a un ennemis. Pour couronner le tout, en vent glacial se mit à souffler et la pluie redoublat d'intensité, alors je me hâtais de rentrer chez moi, pour me mettre au sec.

Je fus heurté de plein fouet par quelque chose ou plutot quelqu'un, il ne manquait plus que çà. Je fue envoyer de plein fouet contre un lampadaire, à croire que j'étais entée en plein dans une armoire à glace.

Vous n'auriez pas pus faire attention où vous mettiez vos pied? grondrais-je sur l'inconnus qui m'était entrée dedant

J'avais la main dans ma poche de robe pile sur ma baguette, car si c'était un sorcier je serais prette ainsi à me défendre facilement. Je me redressais quelque peu à moitié sonné, il faut dire que le choc avait été rude. Levant les yeux vers la personne, je ne vis pas son visage, mais rien qu'a sa taille et à sa carrure, je vie qu'effectivement c'était une armoire à glace

Moi qui voulais trouver les restes de mon passé et ainsi en finir avec ces cauchemar que je faisais toute les nuits je n'arrive pas à retrouver les morceaux de mon passé, du moins le plus important. J'avais l'impression au fond de moi même que quelque chose ou quelqu'un de très important pour moi avait disparut, et à chaque fois que mon rêve se termine je ne voyais rien autre que la marque maudite et le signe des mangemort dans le ciel. J'ai l'impression que quelque chose n'aller pas chez moi, ces rêves avait commencer peu de temps après que j'ai quitter poudlard, mais si c'était une personne proche de moi... Très proche même ! Je ne savais pas qui était cette personne, mais j'ai l'impression que ce cauchemar étais réel et comme prémonitoire. Je pouvais ressentir la colère de cette personne, je ferma légèrement les yeux et j'entendis une voix mais je n'arriver pas à me souvenir de qui cette voix provient :

"Hibiki... On se reverra ? Répond moi s'il te plait... Ne me dis pas que toi aussi tu va m'abandonner...Je... HIBIKI !!"

J'ouvrit les yeux et je me retrouva au quai soudainement, c'était peu de temps après la fin de sa scolarité a poudlard. Je me mit à marcher rapidement et soudainement je fut bousculer par une fille, moi aussi sans le vouloir, ma capuche c'était lever légèrement, je la remit bien et je dis simplement :

"Pardon je voulais pas..."

Je reprit ma route e j'alla vers la gare pour aller me réfugier devant le quai mais je m'arrêta juste avant d'entrer, je me sentit comme paralyser. Quelque chose m'empecha de me souvenir... Je recula et je me dis que la réponse était là... Mais impossible d'y aller.

A la voix qui s'excusa, je compris qu'il s'agissait d'un homme, mais surtout cette voix semblait me semblait famillière comme revenue d'entre les morts, un souvenir lointain et presque effacé. Un visage dans un rêve, un visage ombré, floutté, disparut par les années et qui s'effaçait petit à petit venait de ressurgir du fond de ma mémoir et de mon coeur.

Non çà ne pouvait pas être lui, il avait disparut à la fin de notre dernière année scolaire sans avoir pris le temps de répondre. Cette voix qui m'avait brisé le coeur, m'avait rendue aussi froide que la glace et aussi cruelle que le démon.

Voilà pourquoi lorsque j'avais fait la connaissance d'un mangemort en plein recrutement, je n'avais pas refusé une seule seconde et j'avais rejoins le camp de l'ombre. J'étais encore bas dans l'échelle des mangemorts, mais je faisais de mon possible pour me hisser le plus haut possible.

Hey pas si vite.

Il fallait que je sache, il fallait que j'en ai le coeur net. Je rattrapais le jeune homme et me mis face à lui. Un lampadaire éclaira alors son visage, mais pas n'importe lequel, un visage si aimé par le passé, mais si haïs par le présent. Le voir la, face à moi me frappa alors de plein fouet, droit au coeur comme une lame de couteau

C'est... ce n'est pas possible.. ce n'est pas toi murmurais-je douloureusement avant de me reprendre vivement.

Qu'est ce que tu fais ici?

Dans ma vie je n'ai eu que déception, j'ai déçu beaucoup de gens... Mais moi aussi on m'a beaucoup déçu. Je n'ai jamais pu sourire surtout depuis la mort de ma petite soeur que je venait à peine de retrouver, ces portes qui se ferme quand je suis devant. En réalité la vie ne m'a jamais souris, personne ne m'a jamais attendu bien au contraire. Moi non plus je ne veut pas être aimer ! Qu'on me déteste à en crever, pour ma part je veut vivre de jour en jour un peu meilleurs. Mais... Chaque jour j'ai l'impression que quelque chose me manque, mon regard se leva vers le ciel un lampadaire était mal foutu et s'alluma au même moment m'aveuglant presque, je baissa la tête et la tourna en disant :

"Ça pique..."

En plus cette pluie qui n'arrête pas... Quelques seconde plus tard j'entendis la fille que j'ai bousculer sans le vouloir mais elle avait l'air mal, ou plutôt avait l'air de cacher quelque chose c'était louche ! Je l'écouta baissant de nouveau la tête, la fille m'avais vu mon visage. Et elle avait l'air surprise et me demanda ce que je faisait là. Je ne pouvais pas répondre à une fille que je ne connaissait pas ! Elle était bien marrante celle là et surtout que la pluie ne me faisait pas bon ménage je n'arriver pas a voir son visage clairement :

"Ce que je fais là ? Bah je regarde une porte fermer de la gare ça se vois pas ?"

Je descendis les marche et je commença à marcher plutôt vite essayant de trouver un endroit ou m'abritais. Je ne voulais pas parler à qui que ça sois...Surtout sous la pluie...

Ma parole, il était soit complètement débil, soit il faisait exprès de m'ignorer ou alors, il m'avait complement oublié, mais j'allais me rappeler à son bon souvenir et pas plutard que maintenant.

Te fiches pas de moi Hibiki, ne fait pas comme si je n'existait pas

Je n'allais pas la laisser fuir comme çà, pas après ce qu'il m'avait fait enduré et toute la souffrance qu'il avait cosé dans mon coeur et mon âme. Il semblait ailleurs, le regard droit et fixe sur une porte de la gare

...

Je ne répondis rien, mais courue à sa suite avec un peu de mal, ben quoi essayer donc de courir avec des talons et on en reparlera. Ma capuche tomba durant ma course, la pluie mouillait mon visage et trempais mes cheveux, mais je voulais mes réponses et je les aurais coûte que coûte, qui t'a être trempée comme une soupe.

Me postant à nouveau devant lui pour lui barrer le chemin, je le regardais droit dans les yeux, un regard mélé à la colère, et la tristesse.

Hibiki Kanto, je t'interdis de me planter ainsi et de m'ignorer comme si je n'existais pas à t'es yeux

Cette fois ci c'était moi qui était en plein dans la luimière et lui dans la pénombre de la nuit

Maintenant il faisait encore nuit, mais une fille me suit étrangement. Je me demande bien pourquoi elle me suis, elle avait peut être quelque chose à me dire. Je voulais aller dans un coins peu tremper et tranquille mais juste avant que j'entre dans ce lieu la fille se remit devant moi ! Elle était borné. Je la regarda droit dans les yeux d'un regard vide. Je reconnus après quelques seconde Juliette... Mon coeur s'était mit à battre plus fort et plus rapidement, je respira vite mais essaya de ne pas être bruyant. Je serra les poings la regardant et je les mit dans mes poches en disant assez calmement :

"Juliette...?"

Au risque de me répété, mon regard vide s'était légèrement refermer par la nostalgie que j'eus alors, en effet je ne m'attendais pas à la revoir d'aussitôt. Au fond de mon cœur j'étais heureux, mais d'un autre côté je ne voulais pas la revoir. Pourquoi je la fuis ? Et bien tout simplement parce que mes sentiments étant trop fort pour elle je ne voulais pas que ça continu donc j'ai préférer qu'on ne se voyant pu, et d'une façon volante... Mais apparemment son regard colérique cacher un regard triste. C'était une sorte de joie de me revoir, et dans son regard je pouvais aussi lire la haine qu'elle éprouve. Donc en silence m'avança vers elle et je dis calmement :

"Pourquoi est tu ici ?Je veut dire pourquoi tu n'est pas rentrer chez toi...Je ne m'attendais pas à te retrouver ici, je pense que toi non plus d'ailleurs."

Je me mit à rire, mais mon rire n'étais pas sincère... Je m'arrêta regardant à ma gauche sans rien dire, je n'avais pas de sujet de conversation pour dire quoi que ça sois d'ailleurs.

Il mit du temps à me reconnaître, mais il le fit quand même. Il avait bien changé durant ses cinq longues années. Son regard si vif et pétillant était à present ternis et vidé entièrement, bien qu'il y est une trace de nostalgie.

Bien sur que c'est moi

Il avait beaucouo grandis, et me dépassait facilement de deux voir trois tête, il ne ressemblait plus au jeun homme frèle et faible, sa carrure était plus dévelopé, il ressemblait maintenant à un homme un vrai. Si je n'avais pas si mal, j'aurais pu le trouver quelque peux séduisant, mais la haine et le chagrin, avait pris le pas sur tout mes autres bons sentiments.

Il me demanda ce que je faisais là et moi aussi je voulais savoir.

Je rentre du travail, et toi qu'est tu fait ici?! Non c'est vrai, je ne pensais pas te voir ici, mais, ni te revoir tout cours, mais maitenant que je t'ai sous la main, je veux savoir la vérité, je veux que tu me dises pourquoi tu m'a fuis il y a cinq ans?

Cela faisait si longtemps que j'ai pu entendit la voix de celle qui avait réussi à prendre mon coeur, on se connaissait plutôt bien... Je l'avais aimer comme ma soeur de coeur... Non... Je l'ai aimer plus que ça, plus qu'un amour simple. Cette amour me faisait peur, je n'avais jamais pu ressentir ce sentiment au part avant, je n'en étais pas vraiment sûr mais pour moi elle était très importante. Si je lui dis ça elle va m'envoie sur les roses. En effet l'ayant partit comme je suis partit il y a 5 ans elle me dirais que je suis un gros menteur, mais au fond... Peut elle savoir ce que je ressent vraiment pour elle si je ne lui avait pas avouer au moment de l'avoir quitter ? Je voulus m'expliquer clairement avec elle mais tout ce que j'aller dire elle aller trouver un moyen pour me le renvoyer en pleine figure donc j'aller la jouer stratégique cette fois. Au diable mes sentiments sincère, j'ai toujours était sincère pour elle et les raisons pour le quelle je l'ai quitter il y a 5 ans ne la regarde pas vraiment :

"Hum...Je suis content de te revoir... Mais toi tu as l'air plutôt pas contente...Enfin bref"

Elle penser ou elle ne voulait pas me revoir ? Comme on dit : La frontière entre l'amour et la haine est mince. Elle me dit qu'elle rentrer chez elle ! Mais qu'elle rentre chez elle... Je ne la retiens pas, elle ne devrait pas rester avec celui qui a oser "l'abandonner" ou encore la "fuir" il y a 5 ans. Sauf si... Elle aussi m'aimer, j'aurais donc tout envoyer en l'air. Et oui pauvre de moi, je ne fais que des gaffes.

"Tu veut savoir une histoire ancienne et ennuyante ? Je vais te le dire... En réalité je devais partir, j'avais une sorte de réunion et j'aller être en retard. Je n'avais pas le temps pour les adieux ou quoi que ça sois. Et ce n'était pas dans mes habitude de dire à quelqu'un que j'aime profondément adieu... J'avais aussi un besoin de m'isoler, je sais que tu m'en veut et pas qu'un peu et je suis sincèrement désolé mais puisque tu m'en veut... Ne vaudrait il pas mieux qu'on ne se revoit pu ? Pendant... Un moment ou alors plus jamais ? Ce que j'ai fais est inexcusable et même si je me met à genoux je pense pas que tu voudrais un jour me pardonner. N'ai-je pas raison ?"

Tout s'embrouillait en moi, j'étais heureuse de le retrouver, mais en même temps, j'avais envie de l'envoyer boulet le plus loin possible, sans avoir oublié de le torturer avant celà le plus longtemps et le plus douloureusement possible.

Il semblait contente de me revoir, mais j'avais un doute

Oui et non

La pluie continuait de tremper mon visage, et de couler dessus, j'avais un peu froid, mais je ne partirais pas avant de savoir la vérité, qui vint rapidement et qui me sembla complètement tordu, mais surtout incomplète, je ne savais pas pourquoi, mais je n'avais pas toute la vérité. Tous ses mots, toutes ses phrases me heurtèrent de plein fouet et me firent plus de mal que de bien.

Sais-tu ce que j'ai enduré après ton départ? Tout la souffrance que j'ai éprouvé? Toutes ses journées, ses semaines, ses mois et ses années à attendre de t'es nouvelle, à espérer te revoir en vain, puis à faire mon possible pour tenté de t'oublier, oublier t'a présence, t'es souvenirs, pour me rendre compte qu'en fait tu t'enfichais de moi royalement que t'a réunion avait été plus importe qu'un simple mot, juste un au revoir ou un adieu. Non tu m'a laissé seul, tous vous m'avez abandonné les uns après les autes, comme si je n'avais jamais exister pour vous.

Des larmes de souffrances se mirent à couler le long de mon visage se mêlant à la pluie et ainsi passer inaperçut aux yeux d'hibiki. Il voulait ne plus me revoir, que se soit pour un temps ou alors plus jamais.

Vas-y abandonne moi encore, fuis, si c'est ce que tu veux, çà m'est maintenant complètement égal, mais par t'a faute, ou plutôt grace à toi, peut importe, mais vie est devenue comme je l'est voulue au presque. Je me suis retrouvé des amis et vie plus ou moins correcte, mais avec un vide dans le coeur, et maintenant je sais que plus jamais il ne sera comblé. Tu veux que je parte, et bien soit, je te laisse. Adieu Hibiki Kanto

Je ne pris même pas la peine de remettre ma capuche sur mon visage pour me protéger de la pluie, au contraire, je laissais la pluie emporter mon chagrin et mes derniers sentiments avec elle. Reprenant ma route d'un pas lourd, et difficile, je gardais la tête haute avec le peu de fierté qu'il me restait encore

Juliette a subis de la souffrance après mon départ... Au fond ce n'était pas un secret pour moi, on étaient tout les deux très très proche voir presque inséparable. Il a fallut que je fasse l'idiot en partant de cette manière, et elle crut exactement ce que je voulais qu'elle croient. Qu'elle n'avait pas d'importance pour moi et que c'était les autres qui passer avant elle. Mais si elle aurait était plus dans la logique, elle aurait du trouver louche que je ne lui disent pas au revoir ! Elle et moi nous étions inséparable et du jour au lendemain ça change ? Pour ma part c'est impossible ! J'ai beau essayer de l'oublier mais mes sentiments pour elle sont plus fort que tout, et même si j'essaye de l'ignorer ou encore de l'oublier c'est impossible il me faudrait une vie pour l'oublier complètement. Mon coeur se serra comme si un poignard était entrer de force, j'avais l'impression que le monde était devenu noir même si j'essaye tant bien que mal d'effacer cela. Elle m'avoua tout ce qu'elle avait sur le coeur ou presque, elle se sentait abandonner par moi et tout les autres... Je serra encore plus les poings les cachant ne voulant pas lui montrer une once de sentiments. Je voulais continuer de lui faire croire que je ne ressent rien pour elle... Et que plus jamais je ne voulais la revoir mais... Je ne pouvais pas ! Mon amour enfin si c'est bien ça était bien trop fort pour que je puisse la laisser partir sans dire quelque chose. J'attendis qu'elle termine et quand elle commença a partir il était temps que j'arrête tout ces mensonges et que je lui disent la vérité.

"Juliette... Je t'ai mentis en te disant que j'avais une réunion plus important que toi...Que j'aller être en retard... J'avais bien une réunion, oui mais le menssonge était que j'aller être en retard. Et je voulais que tu crois que ma réunion était plus important que toi ! NON la vérité est que...

Je baissa alors la tête la regardant partir et avouant enfin ce que je ressent vraiment pour elle.

"...Je t'ai abandonner pour une raison vraiment stupide... Mais je n'arrive pas à le dire avec de simple mots alors je vais te le dire d'une autre façon qui est tout autant explicite."

Je me mit à courire pour aller devant elle au plus vite et je l'embrassa sans plus rien dire, je savais à présent qu'elle avait le choix... Me giffler et partir, ou encore même me repousser... bref je savais que ça aller pas être une réponse positif loin de là. Et de toute façon maintenant je m'en fiche... Je lui ai montrer... Ce que je resentait vraiment pour elle, je m'arrêta et recula en disant :

"Désolé de t'avoir embrasser, mais je voulais que tu comprenne une chose c'est qu'en réalité j'avais peur de ce que je ressent vraiment pour toi... Je n'ai jamais... ressentit un sentiment aussi fort pour toi ! Et le truc c'est qu'il n'arrêter pas de grandir, je voulais le détruire... Mais au lieu de ça j'ai détruit autre chose ! Notre amitié, maintenant je ne suis pu rien pour toi... Mais pour moi tu es tout... Et tu restera la bienvenu..."

Je commença à partir mais je ne part pas réellement je marcha à son opposé esperant qu'elle me demande de rester. Mais elle m'en veut et ça se sent...Donc... Je prend les devant.

Je n'avais pas envie de rentrer chez moi, je n'avais plus envie de quoi que se soit, ma vie continuait de se briser un peu plus chaque jour et je voulais mourir, car je ne pouvais pas continuer à vivre dans cette souffrance et toute cette douleur que j'avais dans mon coeur, mon esprit et mon âme.

Il me laissa partir avant de me rejoindre, je ne comprenais pas pourquoi, mais apparament il semblait vouloir me dire quelque chose. Mentie? Il m'avait menti sur la vérité des choses, et il voulait que je le crois.

Tu m'a encore mentis, tu m'a trop menti, comment veux tu que je te croie? Comment voir le vrai du faux? J'en peu plus de tout celà

Alors avant que je comprenne, il m'embrassa, j'en avais si souvent rêvé, mais je ne pouvais pas, je n'avais pas envie, mais en avais-je vraiment la force, de refuser se baisé, mais ma raison pris le dessus sur mon coeur, et ma main s'abatti sur son visage pour une violente giffle. J'écoutas ce qu'il avait à me dire, j'avais tellement rêvé qu'il m'aime moi aussi, mais il avait tellement fait de dégat, m'avais tellement brisé que maintenant il était temps que que jez face pareil et que je lui rend la monnais de sa pièce.

Je le suivie pas, mais je savais qu'il m'entendrais parfaitement.

J'ai longtemps rêvé de ce moment, ou je pourrais enfin t'embrasser et te faire comprendre que tu étais tout pour moi, ma vie, mon frère de coeur, ma raison d'être, mais tu as tout détruit en prenant la fuite, en m'abandonnant dans ma solitude. Tu m'a brisé, tu m'a fait mal, bien plus qu'un doloris et là tu voudrais après autant d'année de séparation t'acceuillir à bras ouvert comme si de rien. Mais mon vieux, la vie n'est pas un conte de fée. Je peu pas te pardonné ce que tu m'as fait, je suis descendue aux enfers, sans vouloir remonttez à la lumière, à la vie, mais j'ai rencontré un homme qui à fait de moi ce que je suis et qui m'a permis de sortir toute ma douleur accumulé durant toute ses années

J'aivais mal, très mal pour pouvoir lui pardonné ainsi, son départ m'avais transformé en une personne cruelle et sans le moindre sentiments, un vraiment mangemort qui savait parfaitement user de ses charmes et de ses nombreux masque pour obtenir tout ce dont je désirais.

Il était tant que la souffrance s'arrête pour celle que j'aime, je suis surement la cause de toute ces souffrance mais si elle croit qu'elle était la seule à souffire de la sorte...Non, ce n'était pas du tout le cas, moi j'ai subis encore pire... J'essaye de montrer un garçon fort qui n'éprouve pu aucun sentiment même si je venait avouer que je l'aimer, et personnellement sa réponse a était une giffle sur la figure, je le mérite... Et je veut qu'elle me tue, qu'elle évacue toute cette haine ! Elle était normalement l'être que j'aime, mais maintenant elle m'a avouer que c'était une mangemort, elle a rejoins les lignes ennemis au notre, elle m'avais tout simplement trahis, j'ai réussi à perdre la dernière personne qui était importante à mon coeur, elle est morte... Juliette est morte ! Morte en se recouvrant d'un voile de haine, morte surtout en me détestant et en voulant que je souffre plus qu'elle, mais si seulement elle savait que j'avais déjà eu toute les souffrance qu'elle a eu ? Et tout ça en une seul journée, j'ai vraiment tout perdu... Ma petite soeur que je venait à peine de retrouver, ma famille, mes amis ! Absolument tout, maintenant que j'avais retrouver celle qui avait prit une place aussi importante, elle m'avoue être morte depuis que je l'ai quitter, bref... En résumer ai-je droit de vivre ? Ma place est avec mes parents... J'ai fais enterrer tout mes proche dans un même cimetière les uns à côté des autres, tout les gens qui sont mort était un peu comme ma famille. J'ai surement du oublier de mettre mon prénom, enfin bon... Je ferrais mieux d'écrire mes dernière volontés au prêtre le plus proche... Ou alors mourire ici... Je lui dit simplement :

"Plus le temps passe et plus je me dis que ma place est parmi les miens...

Je lui fit un sourire la pluie s'arrêta et je dit à Juliette ou du moins son corps :

"Tu ne veut peut être pas remonter à la lumière et rester derrière ce voile de mensonge... Ce voile croit tu réellement qu'il t'aidera à te trouver une raison de vivre ?"

Je sortit ma baguette et je lui jeta puis je recula metant me bras vers la gauche et la droite et je leva la tête en disant :

"Fais moi souffrire... Ou alors... Détruit moi, et surtout détruit cette haine qui t'habite... Je suis celui qui ta fais souffrire tu est devenu mangemort et tu as l'occasion de tuer un ordre du phénix... Aller... Fais le ! Personne nous regarde ! Elimine celui qui ta fais le plus de mal... De toute les façon je pense pas qu'on se reverra étant mangemort tu as du te faire de nouveau ami parmi les méchant... Mais en réalité dans l'histoire il n'y a pas de méchant...C'est juste selon nos point de vue."

Que faire? Que dire, je ne savais, pas je ne savais plus, je me retrouvais totalement perdue, abandonné à nouveau, mais en même temps je n'avais pas envie d'autre chose, je voulais juste moi aussi mourir.

Je n'avais pas dit, mais il avait compris tout seule que j'étais maintenant devenue par sa faute une mangemorte.

Chaqu'un à la place qu'il désiré avoir.

Il s'arrêta et me fis face, je voyais dans son regard autant d'amour et de souffrance qu'il y avait d'amour et de haine dans le mien. Il me jetta sa baguette sans que je comprenne de suite pourquoi, mais il m'expliqua que je pouvais le tué, que je sorte ma haine sur lui, mais que je ne sois plus celle que j'étais devenue à force de souffrance et de douleur. Ce qu'il me demanda, je ne pouvais me résoudre à la faire, je ne pouvais pas lui prendre sa vie, même s''il était maintenant un membre de l'ordre et un ennemis de première classe.

Non, je refuse! Tu m'entends je REFUSE hurlais-je, tout celà était impossible pour moi Je peux pas, c'est au dessus de mes forces. Je peux pas prendre t'a vie, cette vie, la tienne compte trop pour moi. Tu penses que parce que nos route se sont séparés nous ne pourrons plus nous revoir? Tu fais encore une fois preuve de lacheté. Des amis? Non, je n'ai pas personne, je ne veux plus m'ataché. A part celui qui m'a sortie de là où j'étais et qui m'a redonné un peu goût à la vie, je ne suis plus qu'une coeur brisé, un corps sans âme voué aux ténèbres éternelles.

Je rammaissais sa baguette et la rendis à Hibiki sans rien faire, sans tenter quoi que se soit.

Etant dans l'ordre du phénix parmi les gens de la lumière entendant celle que j'ai aimer autre fois... Dire qu'elle n'était plus rien qu'une sbire de Voldemort me faisait mal au coeur, et surtout de suivre ces gens sans le moindre intérêt... Apparemment je ne vaux pas grand chose pour elle, je reprit ma baguette et je me mit à réfléchir à ce que j'aller dire. Mon regard devint plus froid quand je me retourna remettant ma baguette à sa place je dit très calmement mais légèrement nerveux et frustré de ne pu voir celle que j'ai aimer pour moi Juliette n'est pu celle que j'avais aimer, mais plus que l'ombre d'elle, celle que je ne voulais jamais voir parmi les Mangemorts... Bref, aujourd'hui le mal était fais, que dois-je faire ? Je préféra lui demander :

"Que devons nous faire maintenant ? Tu dis m'aimer, mais tu as rejoins mes ennemi. Là je vais t'avouer être perdu. J'aurais voulu voir tout le monde sauf toi, croit tu qu'on est pas lié... Tu est peut être pas lié à moi mais j'ai fais un rêve qui s'est réalisé. J'aurais voulus que la fille qui était dans mon rêve sois tout le monde sauf toi. Mais apparemment le destin en a voulu ainsi."

Je me mit à rire nerveusement en ne disant rien, en faite c'était la première fois que j'étais aussi mal dans ma peau, malgré ce que Juliette est devenu elle représente encore tout pour moi... Mais d'un autre côté je la méprise maintenant que j'ai vu juste. Je suis sûr d'une chose c'est que nos chemin risque réellement de ce séparer... Pour de bon... Je dis alors :

"Juliette, je suis peut être un rêve qui sais ! Peut être que si tu me tue je serrais toujours vivant... Qui sais ? Moi en tout cas je le sais, je ne vais pas te dire ce que tu dois faire, tu es libre de ton choix, tu as sombrer dans les ténèbre, moi dans la lumière... J'ai peur que nos chemain se sépare de nouveau. J'en ai marre de fuir et j'aimerais rester avec toi, mais étant de l'ordre et toi mangemort tu...on aura des soucies de nos propre camp... S'il te plait, tu t'est souvent adresser à moi comme celui qui ne se perd jamais, aujourd'hui c'est moi qui a besoin de tes conseils : Que dois-je faire ? Que doit-on faire ?"

J'étais perdue, il repris sa baguette et me dit en me faisant bien comprend que maintenant il n'y avais plus de possiblité entre nous, tout simplement parce que j'étais mangemorte et lui membre de l'ordre, deux ennemis, deux amants, perdu dans se monde cruel, bien trop cruel pour pouvoir aimer et être aimé librement

N'est mangemort que par ses choix, mais est humain avant tout. J'ai un coeur et un coeur qui souffre de d'avoir perdue, et de continuer à te perdre encore parce que nous sommes différent. Alors ce baisé ne veux rien dire pour toi, parce que je suis l'ombre et tu es la lumière?! Les rêves sont sujets à différente interprétations, mais si tu restes sur l'image ou l'idée première, tu n'avanceras jamais dans la vie

J'éprouvais un certain mal à l'aise, j'aurais presque pou avoir honte de ce que j'étais devenue, mais j'avais surtout appris à ne jamais avoir de regret que se soit dans le passé ou le présent. J'écoutais ce qu'il avait à mee dire, quelque peux, voir vraiment embrouilé par la situation.

Je ne sais pas si tu es un rêve ou non, mais je sais que jamais je ne pourrais te tuer, plutot mourir que de te faire celà. Je suis ce que je suis et on me prend tel quel avec mes défauts et mes qualités. Tu membres de l'ordre, je suis mangemort et alors? Nous sommes avant toute chose des êtres humains, mais si tu ne veux plus me voir suite à mes choix et à ce que je suis devenue, et bien vas t'en, tu n'a plus rien à faire ici, ni dans ma vie. Ton amour n'a donc pas de valeur si pour toi un choix efface les sentiments d'une vie complète.

Je la regarda droit dans les yeux, et je les ferma légèrement écoutant sa voix... Sa voix m'avais terriblement manquer et même si elle était mangemorte elle rester malgré tout Juliette, la fille que j'ai considérer comme l'être la plue chère à mon coeur aucun or ne pourra jamais m'aveugler à ce point ! Elle a peut être rejoins l'ennemi mais cette fille restera pour moi celle que j'ai connus il y a plus de ans.

En l'écoutant attentivement une histoire m'est venu à l'esprit. Et bizarrement j'avais envie de la lui raconter si ça se trouve elle connaissait déjà les personnages de mon histoire mais en regardant notre situation cela concorder.

"Et bien je ne part pas, je reste avec toi. Je me fiche royalement que tu sois ma pire ennemi car ce n'est pas toi ma pire ennemi... Ce n'est pas les mangemorts mes pire ennemis ! C'est Lord voldmort... Et oui je n'ai pas peur de dire son prénom non plus, car je sais qu'il est mort mais il a encore des fidèle... Et tu as si puis je dire rejoins les serpentard. Toi et moi on était à gryffondor et je dois dire que pour avoir rejoins l'ennemi c'est que tu as du énormément souffrir par ma faute. Dit toi que tu n'avais pas besoin de me gifler juste me dire que tu était mangemort m'aurait fait un mal immense, je ne veut pas qu'on se revoit... Pas en ennemi en tout cas."

Je m'approcha d'elle et je la prit dans mes bras et décida de lui raconter une histoire... L'histoire qui me vient toujours à l'esprit quand je vois notre situation :

"C'est l'histoire d'un paysan tombant amoureux d'une princesse, cette princesse aussi était follement amoureuse de lui, mais a cause de leur place hiérarchique ils ne pouvait plus se voir qu'en cachette... Un jour le père apprit que sa fille avait une relation avec un paysan et décida de tuer le paysan... Mais elle se suicida pour aller le rejoindre."

Je me mit à rire et tout en la serrant contre moi je dis d'une voix sûr de moi :

"J'ai fait mon choix... Tu as raison, nous somme humains, nous ne somme pas parfait. Et je ne vais pas... Non je ne vais pas être celui qui te rejettera parce que tu est une mangemorte pour moi tu reste : Juliette Ashkent, la fille que j'ai connus en troisième année et que j'ai aimer en secret pendant tout ce temps."

Je mit un genou dans la flaque d'eau et prit ses mains et je lui demanda clairement :

"Juliette... Veut tu vivre avec moi, pour le meilleur comme pour le pire ?"

Maintenant j'ai abattu ma dernière carte, les dés sont jeter.

Il voulait rester à mes côtés, j'en avais besoin, je voulais tellement qu'il reste, mais en même temps qu'il me quitte, je ne savais plus quoi faire, ni quoi choisir.

Je veux tellement que tu restes, mais j'ai envie que tu partes, j'ai peur de te perdre à nouveau, j'ai eue assez mal comme çà. Tout s'embrouille autour de moi et dans mon coeur, je ne sais plus où j'en suis, ni ce que je ressent. Je veux, que tu restes, ne me quitte plus, jamais plus.

J'écoutais sa petite histoire qui me fit alors penser à nous deux, nous étions pareils, de deux mondes différents, un amour impossible, mais pourtant si fort qu'il irait au dessus de tous

Cette histoire, c'est toi et moi, deux personnes de mondes différents, s'aimant pour le meilleur et le pire, contre l'avis de tous et peut importe leur avis.

J'écoutais la suite de son dialogue et je fus très touché par ses paroles et fut étonné de sa demande.

Moi aussi je t'aime de tout mon coeur, mais pour l'instant non je ne veux pas vivre avec toi, je ne te rejette pas loin de là, mais laisse moi le temps de m'habituer de nouveau à toi et à ce que je pensais oublié

Dans ses parole flou je comprit sans l'écouter jusqu'au bout qu'elle était dans la confusion la plus total. Son coeur lui dit qu'elle veut qu'elle reste, mais dans sa tête elle veut que je partent. Elle ne trouvait donc pas l'harmonie en elle même, je fut pareil jusque il y a quelques instant. En effet moi aussi j'ai était détruit en mille morceau en perdant tout les êtres les plus chère que j'avais. Mais au fond de moi il exister un mot s'appellent "espoir". L'espoir ma donner la force de me relever des ténèbres et de ne pas y succomber, je ne sais pas combien de fois je suis tomber nez à nez avec l'envie de devenir mangemort, mais j'ai des principes et dans mes principes rejoindre les ténèbres n'existe pas.

Je la regarda d'un regard chaleureux en lui répondant d'une voix direct un peu sec mais direct et sincère :

"Tu ne sais pu où tu est...Tu est ici à Londres à mes côté, je ne suis pas un rêve et je suis bien prés de toi, laisse toi simplement guider par ma voix qui t'apportera réponse à certaines questions que tu te pose. Autre fois j'ai était un garçon lâche prêt à partir pour quelqu'un sois la raison, aujourd'hui je sais qui je suis et ce que je veut. Je ne t'abandonnerais pu, ce temps est révolu."

Elle m'avoua qu'elle aussi avait penser que c'était leur histoire, une histoire d'amour existante mais impossible... Le mot impossible n'existe pas dans l'amour, il n'y a aucune limite ! Aucune frontière, aucune loi. Je me jura alors de franchir cette fichu barrière... Notre amour n'aura ni mangemort... Ni ordre de phénix, je surpasserais l'obstacle quoi qu'il puissent m'arriver.

"Faisons nous la promesse de ne pu jamais se perdre ne serrait-ce de vue ? Soyons comme avant... Aussi soudé, je t'assure dès qu'on s'est connus je me suis très vite attacher à toi. Je ne t'ai jamais mentie sur tout ce que je t'ai dis... Juste notre départ fut baser sur le mensonge... n'en reparlons pu...s'il te plait"

Je lui sourit et la prit dans mes bras en disant :

"Prend ton temps, mais sache que nous traverseront cette corniche ensemble."

Que faire? J'étais totalement perdue, d'un coté j'avais tellement voulue être avec lui autrefois, mais maintenant je voulais me vanger et le punir en me servant de lui comme taupe chez les membres de l'Ordre pour récolter des informations pour les miens.

Tout s'embrouillait en moi et à force de réfléchir, j'en avais la tête qui tournais et me dit que finalement j'allais laisser les choses couler d'elle même et d'agir en conséquence, mais pour ma part, je ne pouvais pas passer d'une haine totale vis à vis d'hibiki à un amour débordant façon pousouffle.

Un rêve ou un cauchemard?! Je ne sais, pas je ne sais plus, mais il faut que tu sasches que je pourrais pas passer comme çà d'une haine totale pour ce que tu m'as fait à un amour débordant en un claquement de doigts. J'ai des responsabilités au sein des miens, et je refuse d'être passé pour traître s'ils apprenaient notre relation. J'aimerais te croire lorsque tu me dis que tu ne me quittera plus jamais, mais j'ai du mal pour l'instant

Sa demande de promesse avait quelque chose à lourd résonnance et surtout à ne pas prendre à la légère, mais la vie était si courte, qu'il valait mieux profiter de chaque moment d'amour et de tendresse offert.

Je veux bien te revoir de temps à autres, mais celà risque d'être très dur, car entre mes obligations vis à vis des miens et mon magasin, je risque de ne pas être disponible. Tu me demandes d'être comme avant, mais je suis désolé, pour le moment çà m'est impossible...

A contre coeur, je quittais la douceur de son étrainte, la chaleur de ses bras pour lui faire face.

Je ne peux que t'offrir pour l'instant mon ami, bien que mes sentiments pour toi soit toujours présent, il reste trop enfouis profondément dans mon coeur pour que je puisse faire comme lorsque nous étions enfants

Mon regard était neutre, je ne savais pu quoi penser ni dire... Devrais-je partir l'oublier ? Elle veut du temps, mais le danger est toujours présent, tant que je serrais dans l'ordre je n'aurais pas la paix... Ni avec les mangemort, ni avec l'ordre surtout si ils apprenne ma relation avec Juliette qui n'aboutira jamais apparemment, j'ai essayer de me faire pardonner mais comme je l'avais penser ça aller raté. A quoi bon... Maintenant mes doutes étaient fonder. Juliette était la fille de mes rêves... Et la marque des mangemort voulait dire qu'elle avait rejoins leur camp. D'après ce que je vois je ne serrais jamais donc en sa présence, tout les matins je me réveil en sursaut faisant toujours ce même cauchemar. Mais à présent je ne le ferrais pu, c'était une sorte de mise en garde et je ne l'ai pas écouter, j'aurais peut être dues partir avant qu'on entame la discutions. Le mal était fais et malheureusement plus le temps passe plus j'avais l'impression de la perdre.

"Ce n'étais pas un débordement d'amour que je t'ai fais, juste révéler les sentiments pour toi, cela ne se reproduira pu. J'ai fais de belle promesses mais..."

Je soupira en me retournant et restant sur place pour dire d'une voix calme :

"Nous ne somme pu à poudlard, tout à changer mais pas les sentiments que j'avais pour toi. Ils sont rester les même malgré les années passer mais plus je te parle plus je me rend compte qu'essayer de m'accrocher à mon passé ne me sert strictement à rien. Je t'ai perdu dans la nuit, et je ne peut pu revenir en arrière..."

Je soupira faisant un pas à l'avant en disant :

"Peu importe ce que je ressent pour toi, nos sentiments ne sont qu'éphémére. J'ai tout perdu... Ma famille... Mes amis... Toi... A quoi puis-je me raccrocher maintenant ? Ce que je veut dire : me donner ton amitié c'est bien beau mais... Ton amitié ne vaux rien pour la simple et unique raison que nos camps sont opposé."

Je m'arrêta et tourna légèrement la tête en disant calmement :

"La question que je te pose maintenant est : Quel est ton choix ? Qu'on ai une relation amical impossible ? Qu'on essaye de vivre un amour impossible ? Ou qu'on s'entre tue comme le veut notre camp...nos croyance... Nos envie ? Moi, je préfère partir et essayer d'oublier que tu t'est enfuis derrière cette mascarade, un simple écrant de fumé qui te dis en ce moment même : tue moi, ou encore manipule moi pour savoir ce que vont faire l'ordre contre les mangemort ? Je le sais tout ça, vu que c'est l'instinct."

Je ferma les yeux et me retourna un peu plus loin d'elle en disant :

"La distance que je voyais entre toi et moi était la même que celle actuellement, prés de moi mais loin. Le compte à rebours à commencer... Il faut que tu fasse un choix et vite, car moi je ne pourrais pas attendre éternellement."

Je m'en douté de quelle choix elle aurait choisi... Maintenant... Va elle choisir de partir ou encore de me tuer ? En tout cas c'était sûr que c'était sois l'un et sois l'autre, mais faut pas qu'elle croit que j'aller me laisser tuer aussi facilement si elle choisirais de me tuer. Je la regarde et dit :

"Je t'aime...malgré tout, et je veut pas que tu parte mais que tu reste. Mais comment dire, une petite voix me dis de te tuer, choisissant mon libre arbitre je ne le ferrais pas... Et sache que si tu me cherche tu serra ou me trouver, toi seul à le pouvoir de me retrouver ou que je sois. Mais il faut le vouloir..."

Que pouvais-je faire? Voulais-je vraiment lutter contre notre amour, contre mes sentiments et ses sentiments? Des sentiments que j'avais crue complètement éteind, mais qui venaient de refaire surface à une vitesse vertigineuse.

Je suis désolé, mais tout celà pour moi est si soudain. J'avais crue avoir réussi à faire le deuil de te sentiments, mais ce n'est pas vrai. Mais tout çà me fait peur

Soupirant longuement, je le regardais s'avancer vers moi, m'expliquant que ses sentiments pour moi, n'avais absoulement pas disparut, bien au contraire. Et les miens apparement non plus.

Il n'avait plus rien, je n'avais plus rien. Que pouvais-je faire? Ne comprennait-il donc pas quee j'avais besoin du temps, de voir que ce n'était pas juste un rêve, mais le retour de l'être le plus chère

J'ai peur Hibiki, peur que tu ne sois qu'un doux rêve, un poison, une drogue à laquelle je ne pourrais plus me passer, mais qu'en réveillant, je m'apperçoit que ce n'était qu'un chimère créée par un coeur meurtri d'une longue solitude dépravé d'amour?! Je n'ai pas fuis, je suis là, derrière un masque de mépris et de haine, pour cacher ma souffrance et surtout mon amour pour toi...Te tuer, te faire du mal? Impossible, plutôt mourir sur place que devoir te faire subir celà.

Il me dit ne pouvoir attendre, et moi alors, j'avais bien attendue son retour.

Tu me dis ne pas pouvoir, mais moi vois-tu, j'ai attendue ton retour cinq longue années, tu m'oblige à faire un choix et vite, mais c'est égoïste de t'a part je trouve. Je te demande d'attendre que je mette mes sentiments au clair, mais toi tu veux une réponse, là tout de suite, maintenant. Mais je ne peux pas

Oui, il y avait de la distance entre nous, mais c'est lui qui l'avait crée le jour de son départ, et moi je m'y étais enfoncer, cacher sous un masque, derrière une carapace de mépris, de haine, en priant merlin, de ne plus jamais aimer quelqu'un, pour ne plus souffrir après son départ

Cette distance, c'est toi qui l'a créé, moi je m'y suis juste engouffré, pour ne plus rien ressentir, pour me cacher, pour prier merlin de pouvoir t'oublier, mais sans le moindre succès.

Soupirant longuement, je n'avais envie de plus rien, je ne voulais plus rien que vivre, vivre ou fuir, être avec lui ou être encore et toujours seule?! Des choix, et des questions, un rêve, une envie, toute ses choses qui font ce que nous sommes vraiment.

Ses mots, j'ai rêvée de les entendres si souvent, mais maintenant que c'est le cas, je me rend compte que celà fait très mal. Car aimer, c'est souffrir en silence. On dit qu'il n'y a qu'un pas entre haine et amour... C'est peut être vrai, ou pas, je m'enfiche, je n'ai pas envie de réfléchir, je veux juste, être aimé pour ce que je suis, pas à cause d'une marque sur un bras ou toute autres chose. Juste pour moi, un simple jeune femme au coeur brisé.

J'ai au plus profond de moi attendu ce moment, je voulais régler ce qui était fait... Je ne connaissait pas les sentiments de Juliette en mon égard et d'ailleurs je penser qu'elle ne me considère simplement comme un simple ami. Plus elle me parler et plus je sentit que mon cœur ralentissez c'était comme si il aller arrêter de ce battre. Je serra légèrement les poings l'écoutant, je pouvais entendre au dela des mot son coeur pleurant ayant une impression que le moment présent était une illusion, et d'ailleurs moi aussi j'en ai peur mais ce que je pouvais dire c'est que j'étais bien là devant elle. Et il était tant que je lui fasse bien comprendre que ce n'était pas un rêve, un rêve doux dit-elle ? Mais le rêve dont je l'ai conduis était loin de l'être. C'était un perpétuelle cauchemar entre le passé et le présent, elle n'arrive pas à m'oublier mais moi non plus je ne pouvais pas l'oublier. Même si je montre le contraire, j'ai actuellement envie de pleurer mais pleurer était une marque de faiblesse. Je ne voulais pas montrer de signe de faiblesse car officiellement c'était mon ennemie mais même étant mon ennemi elle ne l'était pas car nos sentiment l'un en vers l'autre était si fort qu'il nous empêche même de se faire du mal physiquement, on s'est fait tout les deux souffrir et moi je l'ai fais plus souffrir que nul autre... Je me déçois moi même, maintenant que je sais qu'elle souffre je souffre aussi c'était comme de l'empathie, mais ma souffrance était une douleur plus que psychologique et physique c'était les deux en même temps. Quand elle finis de parler je décida alors de dire quelque chose pour ne pas perdre la face et essayer de faire croire que j'étais pas toucher mais dans mes paroles ça se senter car ma voix était tremblante :

"Je t'ai mal juger par le passé... Il est vrai que la sixième année était la plus marquante pour nous deux, et pour tout te dire je voulais te l'avouer à la fin de notre année. Je voulais te l'avouer avant de fuir mais maintenant que j'y réfléchis ça aurait était pire... Aujourd'hui se dresse devant toi un Hibiki qui est sûr de lui, il n'est pu le pleurnichar qui reste à l'arrière mais qui essaye de parler à tout le monde. Je... Je sais que si je te disais que j'étais désolé ça ne suffirais pas et que tu ne me croiré pas... Je... Je sens ta douleur a vrai dire et c'est un vrai cauchemar, un cauchemar eveiller. J'ai pu sentir exactement tout ce que tu ma dis rien qu'en me le disant j'ai eu une sorte de poignard dans le coeur c'est surement ce que tu a ressentit a mon départ, et..."

Je ferma les yeux reprennant légèrement mon souffle je tourna la tête et quand j'ouvrit les yeux mon regard était devenu dur mais joyeux en disant :

"Tout à l'heure je t'ai dis que nous étions ennemi... Mais... Ennemi est-ce le sens réel ? Est-ce que ennemi est le mot pour expliquer au gens qu'on est dans le camp adverse... NON, je ne suis pas ton ennemi, toi non plus tu ne l'ai pas. Mais nos chef le son et si un jour on venait à s'entre tuer, je te demanderais qu'on le fasse sans hostilité. Non pas que je veut que tu me tue ou que je te tue... Mais ce que je veut dire c'est que nous somme des...Amis pour le moment, nos sentiments sont réveler...et.."

Je m'approcha d'elle mettant mes mains sur ses épaule en disant droit dans les yeux :

"A partir de maintenant, je ne partiré pu jamais et je ferrais tout pour que tu me retrouve. Tu n'aura juste besoin que de penser à moi et je serrais là, en faite j'habite dans une maison assez calme et isoler, tu pourrais venir me voir quand tu veut ! Généralement personne ne me rend visite."

Je me mit à sourire lui faisant un petit bisou sur le front lui donnant une pomme rouge en disant :

"Ne t'en fais pas tu n'est pas blanche neige et dans la pomme empoisonner, demain quand tu te reveillera tu la verra à côté de toi ça te dira : non c'était pas un rêve. Bien sûr on se reverra peu mais... On se reverra je t'en fais la promesse ! Il n'est pu question que je te fuit à cause de mes sentiments, je ferrais face...Et je sais qu'on pourra un jour redevenir...De bons ami voir plus, je t'attendrais toujours... Et si tout à l'heure je t'ai dis que je ne pourrait pas t'attendre longtemps enfaite je peut le faire et je le ferrai... C'est juste que étant du camp opposé nous somme entre deux feu et j'ai peur que ta réponse vienne trop tard. Tu peut mettre 10 ans...et me faire attendre sache que je serrais toujours là. Mais quand même pas 10 ans...La vie est courte"

Je fis un léger sourire et dit :

"Si ça te dérangerais pas...Est ce qu'on pourrait passer un peu de temps ce soir, allons diner quelque part ou alors parler dans un coins isoler pour qu'on sois à l'abris des regard indiscret*

Je n'avais plus la force de faire quelque chose, je ne voulais plus le voir, ni l'entendre et en même temps j'avais besoin de sa présence à mes cotés. Le dilème était tel, que j'en avais le vertige.

Non, être désolé ne suffit pas. Tout ce temps à essayer de te comprendre, pour te voir fuir à la fin, non merci. Tu me l'aurais dit et là tu m'aurais complètement tué, et brisé sans retour en arrière possible. Tu me dis avoir changé, alors prouve le moi, montre moi qui tu n'es plus un gamin pleurnichard, et que tu es devenu un homme, un vrai, capabla d'assumer ses actes et ses sentiments. Tu ressents ma souffrance et encore tu es loin du compte, car quand tu es partie, j'ai eue l'impression que l'on m'avait arracher de force le coeur pour ne plus laisser qu'un trou béant.

Il fit une pause, comprenant que pour le moment nous ne pourrions qu'être ami, et ce qu'il dit vis à vis de nos camps n'était pas tellement faux que celà.

Pour le moment nous serons amis, j'ai besoin de temps pour penser les plaies de mon coeur et je compte sur t'a présence à mes cotés pour m'aider. Moi j'habite sur Londres, un petit appartement dans le quartier chic moldu, c'est calme et discret, vien me voir quand tu veux.

Il m'embrassa sur le front et je lui fis un sourir plein de douceur et de tendresse, puis je pris la pomme qu'il me tendie et me mis à rire lorsqu'il me dit qu'elle n'était pas empoissoné. Hibiki ajouta qu'il ne partirait plus jamais et j'en fus heureuse.

Peut être qu'avec le temps, je pourrais revoir ce que je ressent pour toi, mais pour le moment j'ai besoin de réfléchir, car tout celà est si soudain. Oui la vie est courte et il faut profiter de chaque instant présent.

Il me proposa d'aller manger ensemble, dans un endroit tranquil et calme

Le mieux est de manger dans Londres moldus, ainsi on sera en paix

[RP SANS SUITE]

» [FE] Requiem pour une larme de lune
» Nostalgies et retrouvaille[Fe Juliette]
» Juste nous[fe Juliette]

C'est un Requiem[FE Juliette]

C'est un Requiem[FE Juliette]

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