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| « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] | |
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| Sujet: « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] Sam 27 Mar - 14:51 | |
| && « I was a stranger, in a weird world…But I want to see the light »Le firmament se teintait de lueurs orangées, rouge et jaunes devant les yeux émerveillés et pourtant évasifs de la jeune fille se tenant sous la voûte céleste ce matin-là, alors que le jour terminait de se lever. Isabella ne cesserait jamais de voir pareil spectacle, né de la nature même, la beauté de la nature était telle que la jeune Poufsouffle ne pourrait cesser de laisser errer son esprit, ses pensées et son regard sur ce qui se créait devant ses yeux … Presque magiquement… En fait, c’était à son sens ce qu’il y avait de plus magique dans le monde, bien avant même la magie dont pouvait faire usage les sorciers. Qui plus est, eux, avaient besoin d’une baguette pour parvenir à la faire se manifester chez eux-mêmes. Tandis que la nature, elle, n’avait nul besoin d’artifice ou d’autres choses pour pouvoir en faire usage et il y avait quelque chose chez elle, qui faisait qu’Isabella se sentait épanouie devant pareil spectacle… Lorsqu’elle n’avait guère le moral, il lui suffisait de passer deux, ou trois heures, dehors, et de simplement rester sous les rayons de soleil printaniers qui parvenaient à percer la couche nuageuse… Ou même lorsqu’il pleuvait… Parfois, il pleuvait alors que le soleil apparaissait également… cela créait des effets lumineux tellement magique qu’Isabella ne pensait à rien d’autres que de rester à la contempler, et ce même malgré la fine pluie qu’il pouvait tomber. D’un côté, la pluie était comme une manière d’effacer les larmes, d’effacer des larmes ayant coulé précédemment sur un visage, lui redonnant toute son rayonnement d’antan. La pluie nettoyait tout, toutes les larmes de la nuit, rendant neuf à nouveau quelque chose, nus de tout ce qui pouvait le maculer. Et lorsqu’apparaissait alors l’arc-en-ciel, la jeune fille observait le visage humide de rosée le chemin qui semblait se dessiner devant elle, signe de lumières et d’un espoir naissant… Elle aurait tant envie d’aller emprunter. Ne pouvait-on voir au moins quelques secondes ce qu’il y avait au bout, au lieu de demeurer dans cette perpétuelle illusion de ce qu’était le monde dans lequel vivait Isabella… Ce matin-là, il faisait doux. Isabella était allongée parmi les herbes des parterres du parc de Poudlard, à proximité où se trouvait un immense arbre, un chêne, qui paraissait être là bien avant la création du château, et qui semblait avoir vu bien des choses… Parfois, elle se prenait à se rapprocher de lui, à vouloir lui demander combien d’années il avait traversé, si parfois il ne s’en sentait pas lassé ? Si parfois il n’avait pas envie d’autre chose ? Si parfois il ne voudrait pas aller vers d’autres choses, quitter définitivement ces lieux ? Afin de reprendre un souffle nouveau. Afin de ne pas vivre dans l’habitude, afin de ne pas rester emprisonné de soi-même, avec cette impossibilité de pouvoir avancer qui le hantait ? Mais ce jour-là, Isabella ne l’observait pas. Elle était simplement allongée, les mains derrière la tête, ses cheveux éparpillés autour d’elle, formant une sorte de couronne qui l’auréolait. Ses yeux étaient fermés, elle profitait du calme environnant, de la quiétude des lieux, imaginant dans sa tête un ailleurs, imaginant peut-être un moyen de s’évader ailleurs, loin de tout… A côté d’elle, un livre… Les Voyages de Gulliver, d’un certain auteur britannique, Jonathan Swift…Parfois, elle avait l’impression d’être une autre version modèle réduit de ce personnage. Parfois, elle avait l’impression d’être un géant dans le monde, n’osant pas même faire un pas en avant de crainte d’écraser, de casser, quelque chose. D’autres fois, elle avait l’impression d’être un être minuscule, qui au contraire craignait d’avancer de crainte de se faire écraser…Il demeurait donc dans l’ombre, n’osant sortir, allant jusqu’à craindre la compagnie des autres, semblant trop grands pour elle. Minuscule, avec un cœur trop étroit pour ce qu’il contenait, contenu qui n’avait pas suffisamment de place pour pouvoir s’épanouir, resserré entres d’étroites parois, avec une peur indicible également que tout ne s’échappe…Et de nouveau, souffrir. Isabella aimait la littérature pour cela… Pour une échappatoire à la réalité, réalité qui n’était bien souvent que souffrance que pour beaucoup de personnes… Et le livre présentement à côté d’elle, son esprit dérivait pour le moment sur les côtés de Liliput, Isabella n’était plus Isabella, mais un autre personnage avec une autre vie, qui vivait d’extraordinaires aventures, qui découvrait bien d’autres civilisations, … D’autres civilisations bien plus proches finalement de son mode de pensée et dans lequel davantage elle se sentait plus apte à évoluer. Elle laissait un temps, tout derrière elle… « Mais la nature aussi s’éveille en ce jour, Au doux soleil de Mai nous la voyons renaître ; Les oiseaux de Vénus, autour de ma fenêtre, Du plus chéri des mois proclament le retour ! Guidez mes premiers pas dans nos vertes campagnes ! Conduis-moi, chère Elvire, et soutiens ton amant : Je veux voir le soleil s’élever lentement, Précipiter son char du haut de nos montagnes, Jusqu’à l’heure où dans l’onde il ira s’engloutir, Et cèdera les airs au nocturne zéphyr. Viens ! Que crains-tu de moi ? Le ciel est sans nuages ; Ce plus beau de nos jours passera sans orages ; Et c’est l’heure où déjà sur les gazons en fleurs Dorment près des troupeaux les paisibles pasteurs ».… C’est un poème qu’elle avait lu il y avait peu, un soir, une nuit qu’elle ne parvenait à dormir. Un poème dont les mots avaient résonné comme de douces notes de musiques dans son esprit, glissant sur ses parois en lui insufflant un nouveau souffle. Et elle les avait répété, et sans s’en rendre compte, elle les avait appris, aussi facilement que si c’était elle qui les avait écrit. Alors même qu’il avait été écrit il y avait bien longtemps, aux environs du 18e siècle, et dans le monde des moldus… Par un moldu. Un moldu du nom de Lamartine. « Quand la voix du matin vient réveiller l’aurore, L’indien, prosterné, te bénit et t’adore : Et moi, quand le midi de ses feux bienfaisants Ranime par degrés mes membres languissants, Il me semble qu’un Dieu, dans tes rayons de flamme, Et échauffant mon sein, pénètre dans mon âme ! »En ce moment, elle n’était que l’un de ces paisible pasteurs, qui comme elle, dormait doucement sous le soleil printanier, près des troupeaux. La jeune fille semblait même entendre ces mêmes troupeaux, paître à ses côtés. Doucement, alors qu’elle répétait la seconde strophe du poème, les mots se dessinaient sur ses lèvres, silencieusement. Elle fuit néanmoins par ouvrir les yeux, un instant éblouie par la soudaine luminosité à laquelle sa vue n’était plus habituée, comme s’ils revenaient d’un très long voyage… Elle se releva et assise, passant les bras autour de ses jambes, elle laissa son regard dériver sur la surface étincelante sous le soleil du lac, du moins jusqu’à ce qu’elle perçoive le bruit d’herbes écrasée sous le bruit de pas de quelqu’un qui approchait…
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| Sujet: Re: « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] Sam 27 Mar - 17:47 | |
| && « I was a stranger, in a weird world…But I want to see the light » Ce matin je m'éttais levé du gauche, j'était de mauvaise humeur. La nuit qui avait précédés était la pire nuit que j'avais passé. Pourquoi? Et bien parce qu'un jeune crétin de Gryffondor ne faisait que de ronfler. Je m'éttait levé à 10hoo c'était vraiment quelque chose d'exceptionels pour moi, car se lever à dix heures du matin, ce n'était pas mon confort. Je regarda vers la fenêtre , et vu le soleil brillant de milles feux. Il était d'un jaune étincellant comme si il s'approchait de plus en plus de nous. Il faisait beau dehors, le ciel était dégagé et il n'yavait pas un seule nuage dans ce ciel bleu clair. Il y'avais un petit vent léger qui soufflait à Poudlard, mais ce n'était pas un petit vent de rien du tout qui allait m'empêcher d'allez dehors par un temps aussi magnifique. Alors je m'habillas, puis je sortit de ma salle commune en me prèssant, et fonça dehors à toute allure. Une fois dehors, il commençait à faire beaucoup plus chaud, que je ne pensais, alors j'enlevis ma veste et l'entoura autour de ma taille. Je marchais vers la cabane de Hagrid, le géants de Poudlard mais aussi le professeur de Soin Aux Créature Magique. J'allais souvent la bas pour allez le voir, mais c'est temps si, il n'était pas là, je me demandais pourquoi. M'enfin, après avoir éssayer d'allez parlé à Hagrid, je me retourna et marcha en direction du Parc de Poudlard, mon endroit préfèré de Poudlard. Le Parc était un bon endroit pour faire de nouvelles rencontre, pour allez discuter avec ses amies, faire des ballades avec ses amies, ou même mieux encore, être avec son/sa amant(e). Une fois arrivé au Parc, je me sentit léger, comme un oiseaux, et commença à croire que je volais, mais je ne trouvais pas d'ou cela pouvais venir. La brise du vent me carraissais la joue droite, puis la joue gauche, et me chatouilla le bout de mon nez. Cette sensation, de me sentir léger prit fin, et regarda tout autour de moi, personne ... Le Parc était désert. Je me mis à marcher encore et là plus loin, je vis d'autre élèves entrain de s'amuser dehors entre ami(e)s. C'est alors que je me sentît un peu fatigués, et just'à côté de moi ce trouvais un chêne. Il était immense, et magnifique il était là depuis plus longtemps que la construction du château, mais personne ne savait par qui il avait été planter. On savais qu'il était vieux car il avais été planter au 18éme siécle. Je me mis contre ce vieux chêne, et sortit de ma poche mon livre que j'arrêtais pas de lire, et de re-lire. C'était un livre de poême. Le poême je trouvais ça super romantique et c'est pour sa que j'en avais dit un à voix haute: " Si je t'aime, aime moi. Si j'ai peur, rassure moi. Si je pleure, console moi Mais si je meurt, je t'en suplis ne me suis pas.". Ce petit poême pour moi était très touchant, et me faisait beaucoup mal au coeur. Ce poême avais été écrit pour que les garçons qui ont une petite amie leur disent. C'était vraiment touchant. J'adorais les poêmes d'amour avec tant de tendresse et d'amour. Ensuite j'entendit une autre voix, c'elle d'une fille. Elle aussi racontais un beau poême à voix haute, cette voix. Cette voix, cette douce et magnifique voix me disait quelque chose, mais je n'arrivais plus à me souvenirs de qui il s'agissais. Je me relevas et fit un tour et demi autour du chêne et là, vu une fille assise contre le chên elle aussi. De dos, je ne la reconnaissait pas , mais elle me disait vraiment quelqu'un. Je m'approcha d'elle et elle s'arrêta de dicter son poême , car elle entendait mes pas allez vers elle. Alors je me mis devant elle et la regarda dans les yeux, elle était si ... Mais c'était Isabella... Isabella Cavaletti, la Poufsouffle. Elle se leva et je lui demanda: -Isabella? Qu'est ce que tu fais ici? |
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| Sujet: Re: « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] Dim 28 Mar - 21:43 | |
| Ses doigts saisirent un brin d’herbe, sa main caressa le sol autour d’elle, le jour continuait de se lever… Isabella aimait se trouver dans la belle nature, la nature était propice à l’imagination, à la tranquillité, … A la poésie… En fait, la poésie et la nature étaient bien deux choses liées, la nature était poétique d’office… D’origine. La poésie était une douce musique à l’oreille, qui portait ses notes dans le coeur même des Hommes tentant de leur infiltrer ce sentiment de quiétude intérieure, en leur faisant oublier leur volonté de supériorité sur les autres après laquelle ils courraient… Leur faire oublier cette cupidité. Il n’y avait rien de plus pure que les notes chantantes d’un poème…
« Viens guider mes pas vers la tombe Où ton rayon s’est abaissé, Où chaque soir mon genou tombe, Sur un saint nom presque effacé. Mais quoi ! La pierre le repousse ! Un léger souffle a murmuré ; Mon œil se trouble, je chancelle : Non, non, ce n’est plus toi ; c’est elle Dont le regard m’a pénétré »
…La poésie était souffle… La poésie était souffle ; quand elle en lisait, il lui semblait son propre souffle à elle qui s'insufflait dans ses veines par le moyen des mots. La poésie était son propre souffle, était sa propre essence... Il lui paraissaient entrer en elle, ne faire plus qu'un avec elle... Elle se sentait alors extrêmement proche de ces poètes qui n'étaient plus aujourd'hui. Ils lui semblaient qu'ils avaient la même genre de vie qu'elle, qu'avec eux non plus la vie n'avait pas été simple... La poésie était le souffle de la vie, dont le poète se servait pour transmettre ce qu’il pensait de la nature… Entendant de plus en plus des pas se rapprocher d’elle, elle s’était donc interrompu : de temps en temps même, celui lui arrivait d’être tellement dans ses pensées qu’elle n’entendait pas même les gens parler autour d’elle… Oui, Isabella pouvait être excessivement rêveuse. Etait, d’ailleurs. Enfin, en quelque sorte, c’était sa seule manière à l’échappatoire de la vie réelle… Un sourire éclaira son visage alors que prenait devant elle, ni plus ni moins que Mathieu. Un jeune Gryffondor dont elle avait fait la connaissance lors d’un cours où ils avaient fait équipe ensembles. En grande timide et en personne trèèèèès réservé vis-à-vis d’aller vers les autres, Isabella avait eu du mal au début, mais très vite il avait su lui remonter le moral ! En un mot, sa vie avait commencé à être sauvée à cet instant, car auparavant, la jeune Poufsouffle n’avait plus de souffle ni d’espoir pour continuer à marcher le long du chemin de la vie ... Et cela l'avait vraiment aidée... Comme la poésie qui la faisait vivre, sa présence l'avait vraiment aidée...
Alors qu’un sourire s’esquissait sur son visage, elle lui répondit enfin tout en demeurant assise mais en levant la tête vers le jeune gryffondor…
- Et bien, pas vraiment grand-chose… Tu sais bien que j’aime beaucoup profiter de la quiétude du parc de Poudlard, et donc quoi de mieux que le petit matin, au lever du soleil qui plus est, pour en profiter ! … Mais toi, tu fais quoi dehors si tôt ?
(et non j’ai pas envie d’me lever, j’suis très bien assise xD)
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| Sujet: Re: « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] Mar 30 Mar - 21:06 | |
| Une brise légère du vent me carrassait mes joue tout rouges. L'air était agréable à respirer. Le levée du soleil était agréable à regarde aussi. J'étais assis à côté d'un chêne du parc, et passa ma main dans l'herbe douce et verte. En passant ma main sur l'herbe, ceci me fit des petites chatouille à la paume de ma main. L'herbe fraiche et douce était agréable à toucher. J'étais toujours aussi contre le chêne, et je lisait des poème d'amour, dans le vide ( ). J'aimais bien lire les poèmes à haute voix, car je trouvais sa plus romantique. Pour une fois je n'avais pas été intéromput par des élève de Serpentard pour me gâcher cette belle matinée. De toute façon, si des Serpentards ce serraient pointées je les auraient renvoyer du il venaient avec un seul sort. Mais aucun Serpentard n'était venus et heureusement, je pouvais rester très tranquillement assis contre le chêne à dicter des poèmes que j'aimais bien. Je feuilletais le livre puis tombis sur un poème d'amour que je trouvais super romantique, je le dit à voix hautes, et épprouva quelque sentiment fort agréable. Puis je tournais les pages du livre et tomba sur une page vierge.. Pourquoi y'avait-il une page vierge au beau milieu du livre? Je feuilletas le reste du livre, et tout les pages étais à nouveau remplies de poème. Je trouvas sa louche, et me posa toujours la même question. Et puis, je laissa tomber et prit une autre page au hasard, quand tout à coup, mes yeux se glissèrent sur un poème merveilleux. Je le prit et l'annonça à voix haute de nouveau comme le précèdent poème: "Si tu pouvais jamais égaler, ô ma lyre, Le doux frémissement des ailes du zéphyre À travers les rameaux, Ou l'onde qui murmure en caressant ces rives, Ou le roucoulement des colombes plaintives, Jouant aux bords des eaux ;" . Ce petit poème m'avais très touché, c'est parôle était pur et simples mais très touchante si on les disaient à toute personne que l'on aime. Mais je ne l'avais pas lu comme un poème, mais je l'abais chanter pour faire plus d'impression, pour que le poème soit plus réaliste. Les poème était une chose merveilleuse, mais en les chantant je m'appreçu que celà était plus beau quand les dictant. Après avoir lu et chanter quelque poème, je m'arrêta pour faire une pause quand j'entendit une voix douce d'un jeune fille. Cette voix me disais bel et bien quelque chose. Je la connaissait mais n'étais pas sûre que cette voix était c'elle d'une fille que je connaissait. Je me relevas et tourna à côté du chêne et vu que c'était Isabella Cavaletti, une Poufsouffle élève du château Poudlard. Elle ne me vu pas encore, alors je lui avais demander ce qu'elle fasait ici. Elle m'avais entendu, et me regarda avec un petit sourire au bout de selèvres. Puis en restant tout le temps assise et elle me répondit: "- Et bien, pas vraiment grand-chose… Tu sais bien que j’aime beaucoup profiter de la quiétude du parc de Poudlard, et donc quoi de mieux que le petit matin, au lever du soleil qui plus est, pour en profiter ! … Mais toi, tu fais quoi dehors si tôt ?" . Ses paroles étais douce, et concrêtement bien chaleureuse. C'était vrai que d'etre dans le Parc le matin c'étais beaucoup plus agréable que d'y allez l'après midi. Puis Isabella me demanda ce que je faisait aussi ici, et si tôt. Je le regardais avec un air toucheur, et charmeur . Je m'approcha d'elle, et alla m'asseoir à côté d'elle. Je prit quelque brins d'herbe dans ma main et lui répondit aussitôt: "- Et bien pas grand chose, comme tu peut le voir, il y'a là un beau levez de soleil. Je suis venu ici pour mieux le regarder, car à l'intérieur du château, on le voie presque pas. Et de plus tu sais bien que le Parc et mon endroit préféré du château. Je pensais que ceci était une réponse clair. Après c'était à la Poufsouffle d'un être certaine. Je regarda encore Isabella, et vu qu'elle avais un livre de poème. Décidément, encore une autre personne qui aimais les poèmes. Je ne lui prit pas son livre, mais regarda de loin qu'elle titre cette chose inconnue portait. Mais je ne vis pas le titre car la Poufssouffle le rangea aussitôt. Je le regardais de plus en plus, et lui demanda : "- Tu aime les poèmes? Je ne savais pas. Tu sais, moi j'adore les poêmes. Je trouve sa si romantique, si charmant, et sa touche énormément. |
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| Sujet: Re: « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] Mer 31 Mar - 1:23 | |
| “Poesy is like the bird flying into the wind. It’s the voice of those who can’t talk”
Le jeune Gryffondor s’assit à ses côtés, lui répondant qu’il était venu, lui, voir le lever du soleil. Selon Isabella, c’était le moment du jour le plus beau, un moment magique à ne pas oublier… La jeune fille aurait une seule et dernière chose à faire que ce serait partir d’un, auprès de ceux qu’elle aimait, et de deux, devant un magnifique crépuscule ou encore une Aurore, la fin du jour d’un côté et l’aube du jour, de l’autre… La fin de quelque chose, d’un jour, mais qui renaîtrait quelques heures plus tard. Elle surprit son regard sur le livre dans ses mains comme s’il cherchait à voir ce cela était. Elle lui facilita la tâche en lui répondant…
- C’est un recueil de poèmes d’un poète moldu du 17e siècle ! C’est vraiment génial… Les poètes savent reconstruire et parler des émotions ou sentiments que tout le monde peut ressentir, et avec une telle facilité que je les admire ! J’aimerai écrire comme eux !...
"- Tu aime les poèmes? Je ne savais pas. Tu sais, moi j'adore les poêmes. Je trouve sa si romantique, si charmant, et sa touche énormément.
Les yeux d’Isabella se mirent à briller. Briller d’une lueur étrange. Lorsqu’elle se mettait à parler de choses qu’elle aimait, de ses passions, de ce qu’elle aimait, ou d’autres qui le tenait à cœur, son regard retransmettait toujours l’émotion qui la tenaillait. La voix tremblante d’émotions, elle répondit, elle corrigea plutôt grâce à ses propres impressions et sensations de ce qu’elle pensait du noble art de la poésie…
- La poésie c’est bien plus que touchant, bien plus que charmant, bien que romantique ! C’est l’âme même d’une vie qui est mis dedans, l’âme du poète qui y retranscrit ses propres sensations, sentiments, malheurs, déprimes… C’est une partie de lui qu’il insère dans ses vers ! En ce sens, la poésie vit, vit plus que n’importe quelle autre chose… Elle reflète l’âme de celui qui l’a écrit,… Elle reflète des sentiments universels, de chacun d’entre nous, c’est pour cela que chacun peut s’y retrouver dans un poème, et d’une manière qui peut être différente les unes des autres. Mais l’effet principal en demeure et demeurera toujours le même au-delà des siècles… Les sentiments restent inchangés au-delà des années… Et les poèmes peuvent toujours toucher les gens au plus profond d’eux-mêmes, même si des siècles les séparent les uns des autres…
Silence… Isabella observa un temps de silence, réfléchissant à la fois à ce qu’elle venait de dire et également attentive à l’effet qu’avaient ses paroles sur Mathieu, ne serait-ce pour voir s’il pensait la même chose ? Elle l’observa un instant, puis déposa avec douceur son livre à côté d’elle et comme soudainement inspirée comme si par-delà les siècles l’inspiration de Lamartine s’infiltrait en elle, elle se leva. Respirant l’air frais venant d’est qui vint caresser son visage et l’entourer comme s’il désirait l’emporter par-delà les illusions de la réalité, elle rouvrit les yeux et se tourna vers le jeune Gryffondor, un grand sourire épanoui s’étalant sur son visage.
- Ce sont des vers que j’ai lu hier soir ! J'aimerai bien savoir ce que tu en penses ! Puis, après une profonde inspiration, elle clama tel un poète récitant ce qu’il avait fait après l’avoir écrit. Sa voix, émue, chaque fois s'emportant par chaque mot qu'elle prononçait…
« Ce n’est plus le temps de sourire, A ces roses de peu de jours, De mêler aux sons de lyre Les tendres soupirs des amours ! De semer sur des fonds stériles Ces vœux, ces projets inutiles, Par les vents du ciel emportés, A qui le temps qui nous dévore Ne donne pas l’heure d’éclore Pendant nos rapides d’étés !
Levons les yeux vers la colline Où luit l’étoile du matin ; Saluons la splendeur divine Qui se lève dans le lointain. Cette clarté pure et féconde Aux yeux de l’âme éclaire un monde Où la foi monte sans efforts. D’un saint espoir ton cœur palpite ; Ami ! pour y voler plus vite, Prenons les ailes de la mort. »
…Soudain, la jeune fille s’arrêta dans sa diction, troublée. Quand elle y pensait, ce dernier mot lui faisait peur car, à un moment donné, ô combien de fois avait-elle pensé vraiment pensé en finir une fois pour toutes avec toutes ces souffrances que la vie lui apportait ; ô combien de fois… Elle n’avait jamais eu le courage d’aller plus loin que la pensée ou qu’une amorce de geste … Et prononcer ce mot, aujourd’hui, avait une drôle de saveur dans sa bouche. Peut-être même que si Mathieu n’avait pas été là pour la relever… Non, il ne fallait pas y penser… Pensant à quelque chose, son regard s’illumina et elle tomba à genoux de nouveau devant le jeune Gryffondor…
- J’y pense, j’ai fait un magnifique poème au petit matin, peu avant que le soleil ne se lève… L’inspiration m’a prise d’assaut. Enfin, si tu veux le voir… Il est dans le recueil.
Son sourire était hésitant, indécis. Néanmoins son regard était plus sûre d’elle, trahissait l’émotion qui la taraudait quant à lui faire lire quelque chose qu’elle avait fait ! Comme le désir de partager une partie d’elle, ou comme la nécessité de se confier ! Se rallongeant dans l’herbe, elle murmura encore, comme pour elle-même comme s’il lui était impossible de s’exprimer aussi clairement que par des vers !
« Ce corps que la tombe réclame, Ce cœur de désirs épuisés, C’est un vêtement que notre âme, Rejette après l’avoir usé ! Mais tous ces lambeaux jeunes encore, Au feu divin qui la dévore, A sa jeunesse, à ses transports, Je sens que mon âme immortelle, Au moment où son corps chancelle, Pourrait user un autre corps ! »
Sa voix se brisa, et elle observa un silence, long, durant lequel elle parcourut la couverture de son recueil du bout du doigts, le caressant comme un précieux trésor, comme si… Comme s’il contenait tout ce qu’il y avait encore de beau et conservé intacte de son âme, dans l’intérieur même du bouquin. Elle leva les yeux vers Mathieu qui semblait l’observer et elle esquissa un sourire…
- C’est beau n’est-ce pas ? Lamartine était un génie je trouve. C’est le seul où je parviens autant à me retrouver dans ces poèmes, à m'identifier ! L'un des seuls en tous cas.
Elle laissa son regard parcourir les alentours. L’air frais caressant son visage, -une légère brise qui semblait lui redonner quelques couleurs- ; peut-être était-ce pour cela qu’elle aimait aussi être dehors à l’air libre. De cette manière, elle retrouvait quelques couleurs, paraissait moins pâle. Le vent s’engouffrant partout, faisant voleter ses cheveux sur son dos. Elle se sentait relativement bien… Elle pourrait même rester des heures ainsi. Et d’habitude elle aimait la solitude dans ces moments –ci mais la présence du Gryffondor ne la dérangeait pas. Au contraire. Même si elle avait peur de ce qu’elle pouvait bien ressentir.
« Would like to be free »
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| Sujet: Re: « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] Mer 31 Mar - 18:06 | |
| Mathieu et Isabella étais toujours assis à côtés du chêne du parc, ils étaient entrain de parlés de poésie. Qu'elle étrange sensation Mathieu aimais la poésie et Isabella aussi, au moins ils avaient quelque chose en commun. Mathieu lui trouvais que la poésie étais quelque chose de romantique et de charmant mais Isabella ne voyais pas les choses de la même manière. Isabella expliqua à Mathieu que le poète écrivais ses poésie avec du cœur de l'émotion tout ce qui vas avec. Mathieu étais un peu surpris que Isabella sache autant de chose à la poésie que lui. En effet Mathieu ne connaissait pas très grand chose à la poésie. De plus Isabella lui dit d'autre choses comme «
La poésie c’est bien plus que touchant, bien plus que charmant, bien que romantique ! C’est l’âme même d’une vie qui est mis dedans, l’âme du poète qui y retranscrit ses propres sensations, sentiments, malheurs, déprimes… C’est une partie de lui qu’il insère dans ses vers ! En ce sens, la poésie vit, vit plus que n’importe quelle autre chose… Elle reflète l’âme de celui qui l’a écrit,… Elle reflète des sentiments universels, de chacun d’entre nous, c’est pour cela que chacun peut s’y retrouver dans un poème, et d’une manière qui peut être différente les unes des autres. Mais l’effet principal en demeure et demeurera toujours le même au-delà des siècles… Les sentiments restent inchangés au-delà des années… Et les poèmes peuvent toujours toucher les gens au plus profond d’eux-mêmes, même si des siècles les séparent les uns des autre ».
Mathieu n'en revenais pas. Les paroles de Isabella lui avais touché le cœur. D'un coup il su qu'Isabella savait plus de choses que lui en matière de poésie. Puis un silence apparut pendant quelque seconde, et le jeune Gryffondor regardait le ciel tranquillement. Quand tout as coup la jeune Poufsouffle lui écria qu'elle avais lu des vers hier soir, et elle voulait que Mathieu lui dise ce qu'il en pensait. Ses vers commençais comme ça «
Ce n’est plus le temps de sourire, A ces roses de peu de jours, De mêler aux sons de lyre Les tendres soupirs des amours ! De semer sur des fonds stériles Ces vœux, ces projets inutiles, Par les vents du ciel emportés, A qui le temps qui nous dévore Ne donne pas l’heure d’éclore Pendant nos rapides d’étés !.
Mathieu écouta son premier vers. Celui-ci étais magnifique, mais il écouta bien puis il entendit un autre vers arrivés. «
»Levons les yeux vers la colline Où luit l’étoile du matin ; Saluons la splendeur divine Qui se lève dans le lointain. Cette clarté pure et féconde Aux yeux de l’âme éclaire un monde Où la foi monte sans efforts. D’un saint espoir ton cœur palpite ; Ami ! pour y voler plus vite, Prenons les ailes de la mort. ».
Mathieu l'écouta attentivement, puis sentit que la jeune fille c'était arrêter. On aurais dit que le mot « mort » l'aurais fait peur. Puis elle se releva sans pensée à quelque choses ou bien sûr en pensant à quelque chose. Et puis d'un seul coup, elle retomba à genoux devant le jeune Gryffondor. Le jeune Gryffondor la regarda mais pas un mot sortit de sa bouche. Et Isabella reprit la parole en lui disant qu'un beau matin elle avais fait un poème, et que l'inspiration lui étais montée à la tête, et que si Mathieu voulait le voir, il étais dans le recueil. Mathieu vu le recueil, mais ne le pris points, car il ne voulais pas toucher au affaire de la Poufsouffle. Mathieu la regarda un instant puis écouta de nouveau Isabella. Elle recommença un vers «
« Ce corps que la tombe réclame, Ce cœur de désirs épuisés, C’est un vêtement que notre âme, Rejette après l’avoir usé ! Mais tous ces lambeaux jeunes encore, Au feu divin qui la dévore, A sa jeunesse, à ses transports, Je sens que mon âme immortelle, Au moment où son corps chancelle, Pourrait user un autre corps ! ».
Puis sa voix se brisa, et elle observa un grand silence qui durais longtemps. Puis elle prit son recueil dans ses mains, et tourna les pages, comme si .. Comme si il y'avais quelque chose à l'intérieur qu'elle ne pouvais s'empêcher de regarder. Et puis elle regarda Mathieu en lui demandant si cela étais beau. Mathieu lui donna un grand sourire, il ne pensait plus qu'a un truc, c'était elle. Mathieu la regarda tellement, qu'il n'entendit même pas la fin de sa phrase. Puis Mathieu lui répondit:
« Je ne savais pas que le poète écrivais avec des sentiment. Puis il reprit, T'es vers son vraiment très beau Isabella. Tu as écrit un poème et il doit être magnifique. Mais je doit te dire quelque chose... Quelque chose que..
Mathieu n'arrivai même pas à lui dire ce qu'il ressentais, avec peur qu'elle le prenne mal, ou qu'elle soit déjà prise, Mathieu resta bouche ouverte tout de même, mais aucun mot n'y sortit. |
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| Sujet: Re: « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] Lun 12 Avr - 12:54 | |
| « ♪ Under The Same Sun ♪ » >> Clik <<Ressentir... Ressentir ? Elle semblait vide de tout cela. En y songeant, elle ne semblait pas même savoir ce qu’elle pouvait bien ressentir. C’était confus… Alors elle s’écartait de soi, ou au contraire se plongeait en soi-même, dans la volonté simple d’oublier… Pendant un moment, elle resta allongée dans l’herbe, à écouter le chant des oiseaux comme si c’était un poème qui était chanté par eux… Le doux soleil de Printemps se déposait la terre, sur elle en même temps, la réchauffait de ses doux rayons ; elle conserva les yeux fermés un moment. Mathieu était un auditeur attentif ; il ne l’avait pas même coupée pendant qu’elle récitait les poèmes qui, de manière aussi indispensable qu’incroyable, semblait correspondre à Isa’ presque comme si c’était elle qui les avait écrits. Surtout le dernier. Chaque vers était son reflet… Elle aurait pu rester éternellement ainsi. Pour la première fois, elle se sentait vraiment calme, tranquille, paisible… Elle n’avait pas envie de se remettre à parler pour le moment, alors elle restait ainsi, immobile sous les chants des oiseaux, le soleil ainsi que la brise fraîche qui remuait ses cheveux, les déplaçant et venant les placer sur son visage, empêchant alors qu’on la discerne sous ce masque de chevelure… Puis, elle rouvrit les yeux, se redressa ; ses cheveux reprirent place ensuite de chaque côté de son visage et elle écouta Mathieu… Un moment elle fut considérablement surprise. Vraiment, il ne savait pas qu’un poème écrivait avec des sentiments ? En ce qui la concernait, cela lui semblait comme une évidence. Les poètes exprimaient, par-delà leurs vers, tout ce que les autres n’osaient dire… Ils étaient leur voix. Ils étaient humains aussi. Et par conséquent ils avaient un cœur, des sentiments, comme n’importe qui d’autres. Ils n’étaient pas des automates, mais au contraire des hommes lires fiers de ressentir et d’exprimer cela dans leur vers pour eux-mêmes avant tout, et également pour les autres… Ils exprimaient leurs expériences dans leurs écrits ; en cela, il ne pouvaient qu’exprimer leurs propres ressenti, et leur état, vis-à-vis de ces évènements… Et donc leurs sentiments. En ce qui la concernait, un poème n’avait de véritable d’âmes que lorsqu’il parlait de sentiments… Il vivait aux travers de sentiments, il vivait par les sentiments qui traversaient ses vers. Imaginer écrire un poème sans qu’il n’y eut pas le moindre ressenti ou sentiment à l’intérieur lui paraissait impossible ; cela rendait tellement le poème plus sincère, plus vrai… Mais avant qu’elle n’ait eu le temps de répondre, Mathieu avait reprit tout en s’interrompant aussitôt après dans ses paroles… Isabella demeura interdite, ne comprenant pas ce qui se passait et pourquoi il semblait avoir peur de dire ce qu’il voulait dire. Ou qu’elle se moque ? Il avait été toujours là lorsqu’elle en avait eu besoin, par conséquent elle ne voyait pas pourquoi elle se moquerait… Ce n’était pas du tout son genre qui plus est. Etait-ce si grave que cela ? Avait-il honte de quelque chose qu’il avait fait ?... Une brève lueur de frayeur vint trembloter dans son regard. Isabella commençait à s’inquiéter que cela fusse si grave. Son cœur se serra même d’appréhension. Elle avait oublié son propre poème un instant, le poème se trouvant dans le recueil qu’elle tenait encore dans ses mains. Elle se redressa un peu plus, s’assit en tailleur sur l’herbe, attendant peut-être qu’enfin Mathieu retrouve la parole… Comme il ne semblait la retrouver, elle dit alors d’une voix quelque peu brisée… - Est-ce si grave que cela, qu’est-ce donc ? Tu as fais quelque chose ? … Et pourquoi sembles-tu avoir peur ?... Tous ces mois, tu as toujours été là… quand j’allais mal. Il n’y a aucunes raisons que je ne le sois pas non plus pour toi… Jamais. (puis, après quelques secondes et une inspiration elle reprit…)… Mais maintenant que tu as commencé, continue, sinon je ne vais pas cesser de me demander ce qu’il y a…Son regard posé sur lui était mi-suppliant, mi-encourageant, mi-inquisiteur… Elle essaya de sourire, afin de le rassurer peut-être… Elle se rendit compte alors que son estomac était noué. [HJ : En fait j'te mettrai le poème au suivant parce que là elle est bien incapable de songer à son poème alors qu'elle s'inquiète pour Mat' xD ]
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| Sujet: Re: « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] Lun 12 Avr - 19:51 | |
| Il ressentais une forte émotion pour Isabella. A chaque fois qu'il la regardais son cœur se mettais à battre deux fois plus fort qu'avant. Il ne pouvais s'empêcher de la regarder à chaque fois qu'il la voyais c'était plus fort que lui. Il aimait tout chez elle. Sa beauté, son élégance, sa gentillesse, mais il n'osa pas encore lui avoué qu'il l'aimais. Depuis qu'il étais sortit du château et qu'il avait retrouver Isabella derrière le chêne il ne parla que de poésie avec Isabella. La fille et le garçon avait quand même un point commun, c'était la poésie. En effet la poésie étais vraiment quelque choses d'émotionnelle. Mathieu est un auditeur confirmé, il avait écouté les poèmes sans même la coupée une seule fois. Mathieu se leva puis regarda encore une fois et regarda le ciel bien bleu, et écouta les chants des oiseaux. Le chants des oiseaux étais magnifique, Mathieu l'écouta de tout son cœur, et entendit ce chant comme un poésie. Les oiseaux avaient un piaillement magnifique tout de même. Il regarda encore le ciel, mais cette fois-ci en allant s'asseoir de nouveau au côté d'Isabella. Puis une fois as c'est côté, il ne put s'empêcher de la regarder encore et encore. Il étais amoureux de cette fille , et celle-ci ne pensait pas l'avoir encore vue. Pourtant Mathieu faisait tout pour qu'elle remarque, il rougissait à chaque fois qu'il l'a voyais, il étais toujours là quand elle avait des problèmes. Puis il n'arrêtais pas de la regarder avec une émotion pur. Pour revenir au sujet des poèmes, la jeune fille semblais être étonné qu'il ne sache pas que les poètes écrivais avec des sentiments, mais pour la jeune Poufsouffle cela semblais vraiment évident. Mais ce n'étais pas de sa faute. Mais avant qu'Isabella eu le temps de répondre, Mathieu l'interrompit de suite. Il avait quelque chose à lui dire, mais n'osais. Pourquoi? Et bien il ne savait pas pourquoi il ne voulais pas lui dire, peut être avait-il peur qu'elle se moque? Pourquoi se moquerais t-elle? Il étais toujours là pour elle, et elle pouvais bien lui rendre l'ascenseur. Non Mathieu avais et étais toujours nul pour dire au fille qu'il les aimais, pour n'importe qu'elle fille il n'aurais jamais cracher le morceau aussi rapidement qu'un autre. Il ne pouvais pas, c'était une phobie pour lui. Il sentais qu'il serrais toujours bloqué, mais avec Isabella c'était un différent des choses. Lui il l'aimais tellement qu'il ne pouvais jamais cesser d'être avec elle, ou de la regarder. Ses sentiments pour elle était vraiment plus fort mais coincé comme il était, il n'aurais jamais pu lui dire ce qu'il ressentais pour elle. Mais courageux comme il est il lui dit qu'il avait quelque choses à lui dire. Mais comme il ne reprit points la parole il entendit Isabella lui dire
- Est-ce si grave que cela, qu’est-ce donc ? Tu as fais quelque chose ? … Et pourquoi sembles-tu avoir peur ?... Tous ces mois, tu as toujours été là… quand j’allais mal. Il n’y a aucunes raisons que je ne le sois pas non plus pour toi… Jamais. (puis, après quelques secondes et une inspiration elle reprit…)… Mais maintenant que tu as commencé, continue, sinon je ne vais pas cesser de me demander ce qu’il y a…
Mathieu l'entendit mais restas bloqué quelque instant. Perdue quelque part comme si il ne pouvais plus s'en échapper. Mais dés un instant il fut décoincé comme si les paroles de la fille... lui avais fait du bien. Elle paraissait vraiment trouver les mots qu'il fallais pour le décoincé. Puis il lui répondit avec un sourire un peu masquée:
Non ce n'est pas si grave. C'est quelque chose que j'aurais pu te dire il y'a longtemps déjà. Je semble avoir peur? Non c'est juste qu'avec les filles, et bien je suis coincé. C'est vrai que j'étais là pour toi, et merci d'être la aussi pour moi, mais ce que je vais te dire vas te paraître absurde. Il s'interrompit quelque instant puis reprit- Isabella, je t'aime. |
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| Sujet: Re: « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] Mar 13 Avr - 0:18 | |
| « Maybe I Maybe You » >> Clik <<
Que pouvait-il bien avoir sur le cœur ? Pendant qu’il se levait, qu’il allait se placer face au mac, observer l’horizon, Isabella le suivit des yeux, préférant rester silencieuse cette fois afin de le laisser décider du moment qu’il voulait parler… Elle s’interrogeait sur ce qui pouvait bien se passer… Et en même temps qu’elle l’observa de loin, son esprit réfléchissait à toute vitesse, cherchant ce qui peut-être ces derniers temps clochaient chez le jeune Gryffondor… La jeune fille fit défiler tout ce dont elle se souvenait, tous leurs souvenirs communs de ces derniers mois, semaines… Il était beaucoup présent à ne pas douter, toujours là quand elle le voulait, et même quand elle ne le voulait pas ; sa présence la rassurait. Il lui parlait avec un certain engouement –peut-être trop ?- Non… Ils riaient, s’amusaient… Isabella se sentait revivre à ses côtés… Il lui semblait lui-même heureux, encore plus d’ailleurs lorsqu’elle était là… Elle n’avait jamais remarqué –ou du moins trouvé bizarre- le moindre de ses attitudes, de ses regards… Cela signifiait-il qu’elle n’était tout simplement prête à reconnaître les sentiments qui l’envahissait, qui se transformait, vis-à-vis de Mathieu ?... Ou avait-elle peur ?... Peur d’aller trop loin, plus loin, et que ça ne marche pas entre eux, et qu’ensuite cela ne soit plus du tout pareil entre eux… ? Elle savait ressentir de forts sentiments, pour lui, mais jusqu’à quel point ?... Se sentait-elle prête ? C’est alors que relevant la tête de ses pensées, elle vit le jeune Gryffondor revenir puis s’asseoir à côté d’elle. Essayant de l’encourager, ou le rassurer, elle sourit. Après ses paroles, il était resté comme bloqué… Puis, avec un sourire un peu caché, il lui dit enfin ce qu’il avait sur le cœur… Isabella l’écouta sans l’interrompre. Ce n’était pas grave, c’était toujours ça … Un poids s’enleva un peu du cœur d’Isabella… Quelque chose qu’il aurait dû lui dire depuis longtemps… La phrase suivante lui fit hausser un sourcil… Apparemment c’était une question de relation garçon/filles… Concernant sa timidité, Isa’ sourit. Elle l’avait remarqué… même si cela rajoutait à son charme. Le mot « absurde » lui fit hausser un sourcil… Pourquoi le trouverait-elle absurde ? Les mots suivants semblèrent déverser un torrent en elle comme si on lui avait renversé un seau d’eau sur la tête et que celle-ci lui coulait le long du dos… « Je t’aime »… Ces mots lui semblaient tellement irréels, tellement impossibles… Tellement… La jeune fille sentit ses yeux lui piquer et des larmes y apparurent. Des larmes d’émotions… A n’en pas douter ses mots l’avaient émue… Mais elle ne savait pas… Elle ne savait pas que penser, ne savait pas ce qu’elle ressentait… Une chose était certaine, elle ne voulait pas le décevoir, ou lui faire mal… Elle ne pouvait pas dire encore si elle l’aimait ; mais ce qui était certain c’était qu’elle tenait beaucoup à lui… Son coeur se serra… Elle ne pouvait pas lui dire cela. Elle allait lui faire c’était certain, et elle savait ce que c’était d’avoir mal en nous-mêmes, au fond du cœur… Mais elle ne savait pas… Après environ un temps interminable sembla t-il, elle ouvrit la bouche, le regarda un instant et répondit d’une voix où perçait l’émotion qu’elle ressentait…
- Pourquoi est-ce absurde ? Ce sont des nobles sentiments que l’amour, comme l'amitié, des sentiments honorables et indignes d'être moqués, au-delà de toutes choses… (elle esquissa un sourire puis, le cœur brisé, elle ajouta et la souffrance du dilemme qui la traversait se lut sur son visage)… Je suis considérablement touchée par ce que tu viens de me dire… (…elle avala difficilement sa salive ; elle ne semblait même plus en avoir tellement sa gorge était sèche)…Je suis désolée je ne sais pas…Tu es important pour moi, je ne me sens vraiment bien qu’à tes côtés, j’éprouve de forts sentiments à ton égard mais…
Sa voix se brisa alors pour se muer en un sanglot. - Je suis désolée… Elle gâchait toujours tout de toutes les manières. Ses yeux humides contemplèrent Mathieu ; elle ne parvenait pas à analyser ses réactions… Mais l’émotion qui l’étreignait était bien trop forte et elle se leva, laissant son livre de poésie derrière elle. Elle ne voulait pas lui imposer cela, mais elle ne voulait pas partir comme cela, telle une voleuse… Elle l’observa un instant puis se rapprochant de lui, elle se pencha, l’embrassa sur la joue, le tenant contre elle quelques secondes peut-être pour camoufler ses propres larmes d’indécision…
« Ne m’en veux pas… »
Elle s’écarta, se leva puis le cœur gros de partir ainsi, elle se mit à courir en direction du château… Elle avait peur, elle avait honte… Et de s'éloigner de lui, elle ressentait comme une intense douleur au fond du coeur...
Derrière elle, elle laissait le parchemin sur lequel figurait son poème… Il remua un peu à cause du vent, mais ne s’envola pas puisqu’il le livre le coinçait par un côté de la feuille.
- Spoiler:
Sans toi.
Sans toi, le jour continue de se lever. Sans toi, les heures continuent d’avancer, Sans toi, je continue à dormir, à marcher, Sans toi, tout est néanmoins tellement dépeuplé, Même le silence dans lequel souvent je me complais, A des accès de nostalgie qui ne cessent de perdurer. Sans toi, le jour n’a plus la même couleur, Sans toi, les heures n’ont plus la même saveur. Sans toi, j’avance sans avancer, et j’ai peur… Peur de perdre ta trace, perdre ton souvenir. Peur de perdre les traces de ce qu’il me reste de toi. Ces choses, toutes ces choses que tu m’as laissée. Même si les souvenirs ne s’effacent jamais, Même si mes pensées se précipitent vers toi, L’impression qu’elles s’éloignent me saisit, Répandant un frisson de frayeur dans mon esprit… Et envahit mon cœur d’une étrange langueur… Je tremble de t’oublier, malgré mes promesses, Malgré ma promesse avant que tu ne partes. Et je crie, je hurle, pour que tu reviennes, Mais on ne m’entend pas. D’entre mes lèvres, Ce sont des cris muets qui s’en échappent. La seule chose pouvant parler à ma place, C’est cette larme glissant doucement sur ma joue. Mais qui peut la voir… ? Qui, alors que tu es loin. L’angoisse me saisit à la gorge, me glace. Et elles roulent, comme des diamants étoilés, Elles roulent de chaque côté de mon pâle visage. Elles manifestent la tristesse émanant de moi-même, Tristesse qu’elles tentent avec espoir de dissiper… Tentant de disséminer cette angoisse lancinante, Et créant dans mes yeux cette flamme dansante, Qui depuis que tu es parti, est née sans me quitter. Sans toi. Sans toi, je n’avance plus comme avant… Mon regard n’a plus de guide, il s’évade au hasard. Il va, va sans jamais regarder au loin, car tu n’y es plus. Sans toi, la vie n’est plus comme auparavant. Sans toi, je ne sais plus que penser, vers où m’orienter. Mon regard se perd, mes pensées s’évadent vers toi, Essayant de te voir, te revoir, ne serait-ce que ton ombre, Essayant de voir s’il peut te retrouver, mon esprit part… Mais lorsqu’il me revient sans rien, je me sens vidée. Il ne t’a pas trouvé, je le savais mais ne voulait me l’avouer. Me laissant tomber à genoux, fermant les yeux, j’espère… Tout ce qu’il me reste, c’est le souvenir, le souvenir de toi, Le souvenir de ton regard, de ton sourire, de ton rire… Qui depuis longtemps ne me fait plus sourire, Et qui néanmoins reste gravé dans mon esprit… Faisant ainsi vivre ton souvenir, vivre ta personne à travers moi, Comme si tu étais toujours là… Souvent, à y penser, je soupire. Je ne sais plus que faire, mais une chose certaine ; je le veux : Tu demeureras à jamais dans ma mémoire, au fond de mon cœur. Si c’est tout ce qu’il me reste de toi, alors je te le promets. Et ce même si je dois vivre dans le souvenir pour cela. Sans toi. Sans toi je ne sais que faire… 30/03/2010.
[HJ : Ne lui en veux pas, c'est pour mieux revenir ensuite vers lui ... Dans quelques semaines RPGiques on va dire... Allez, je lui donne une semaine pour découvrir ce qu'elle ressent vraiment... :o Suite au RP avec Lucy -> Let the heart speaking ♥ |
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| Sujet: Re: « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] Ven 16 Avr - 15:38 | |
| Ça y étais enfin. Mathieu n'arrêtais pas de la regarder à chaque reprise. Les émotions qu'il ressentais pour elle était plus que fort, il étais même hyper fort. Il avait toujours bloqué en histoire d'amour, il ne se sentais pas très alaise pour dire je t'aime à une fille. Son cœur lui avais bousculé pour qu'il lui dise depuis bien longtemps déjà, mais le jeune Gryffondor n'étais points persuadé qu'elle le prenne bien. En effet, le jeune Gryffondor avais peur qu'elle avais déjà un petit amies, ou alors qu'elle se moque de lui, ou même qu'elle ne ressente rien pour elle. Mathieu et Isabella se considérais comme des amis, mais Mathieu n'en pouvais plus de lui cacher le sentiments qu'il éprouvais pur lui. Perdu dans ses pensé, il se leva et regarde le ciel bleu et écouta les chants des oiseaux. Leur piaillement fit comme un poème doux et paisible. Mathieu se concentra dessus pendant plusieurs minutes. Il ne regarda pas derrière lui, mais savais que la Poufsouffle le regardais. Il sentit qu'elle le regardais attentivement, sans baisser son regard. Puis il sentit qu'elle baissa sa tête, au moment ou il retournais s'asseoir à côté d'elle. Mathieu attendit plusieurs secondes même voir plusieurs minutes avant de lui dire ce qu'il avais sur le cœur. Mais d'un autre côté il était certain de lui dire, il ne voulais pas attendre plus longtemps, de plus elle n'aurais peut être pas aimée qu'il ne lui dise points. Mathieu se sentit prêt, alors il ouvrit la bouche et un mot y sortit. Ce mot était « Je t'aime ». Enfin Mathieu lui avais dit, mais il voyais Isabella avec des larmes au coin des yeux, il voyais aussi qu'elle était émue mais le jeune Gryffondor pensait qu'elle ne savait pas... Mathieu savait qu'elle ne voulais pas lui faire de mal, mais pourquoi le ferrais-t-il souffrir? Pourquoi aurais-t-il mal qu'elle ne ressente pas la même chose que lui? Les émotions ne se contrôlaient pas, et il ne se contrôlerais jamais. Les émotion étais humains et ça il ne fallait jamais l'oublier. Isabella avais un air de ne pas savoir si elle l'aimais ou pas, bien sûr il étais toujours la pour elle, même dans les moments les plus difficiles mais elle considérais comme un ami peut être qu'il n'y avais rien de plus. Pas de sentiments fort pour lui. Mais Mathieu était certain d'une choses, c'était qu'Isabella tenait beaucoup à lui, et que lui tenait beaucoup à elle. Son cœur se serras. Mathieu ne dit plus rien, ne pensa plus, et entendit Isabella prendre la paroles «
- Pourquoi est-ce absurde ? Ce sont des nobles sentiments que l’amour, comme l'amitié, des sentiments honorables et indignes d'être moqués, au-delà de toutes choses… (elle esquissa un sourire puis, le cœur brisé, elle ajouta et la souffrance du dilemme qui la traversait se lut sur son visage)… Je suis considérablement touchée par ce que tu viens de me dire… (…elle avala difficilement sa salive ; elle ne semblait même plus en avoir tellement sa gorge était sèche)…Je suis désolée je ne sais pas…Tu es important pour moi, je ne me sens vraiment bien qu’à tes côtés, j’éprouve de forts sentiments à ton égard mais…
Sa voix se brisa d'un coup mais elle poursuivit «
- Je suis désolée…
Elle gâchais toujours tout de toute les manières. Il se regardèrent et Isabella avais les yeux humide. Elle semblais ne plus canaliser ses émotions. Puis elle se leva laissant son recueil derrière elle. On aurais dit que Isabella regardais au loin comme si elle voulais partir, comme si elle voulais abandonner le Gryffondor ici. Mais elle se retourna vers le jeune homme se pencha vers lui, et l'embrassa sur la joue, en le tenant toujours vert lui, tout en disant «
« Ne m’en veux pas… »
Puis elle s'écarta, puis partit en courant vers la château. Mathieu ne comprit pas pourquoi elle était partit en courant. Aurais-t-il fait quelque chose de mal? Il n'en savait rien, elle étais déjà partit qu'il ne lui avais même pas dit de réflexion. Alors, il se releva à son tour,en prennant le poème de Isabella, & tête basse il retournas au château tout un marchand calmement, & en réfléchissant. |
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| | | | « I was a stranger in a weird world…But I want to see the light » [FE Mathieu Lewis] | |
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