(autobiographie)
Un matin de septembre tout est calme dans cette rue de Séville faiblement ensoleillée . Je marchais dans le vieux village . la ville était au loin et on voyait se dessiner malgré l'épais brouillard , les formes fantomatiques des immeubles , bientot j'y serai. J'allai doucement au Lycée comme tout les matins mais ce n'était pas un jour comme les autres. Je fais partie d'un groupe. C'est une des choses qui me donne le courage de me lever le matin....Bref pour en revenir a l'instant présent , je montai dans le bus . Le trajet ne fut pas long est je me retrouvai bientot en centre ville devant tous ces immeubles... Quelque chose attira mon attention avant que j'eu tourné les talons . Tous les gens regardait en haut en direction du toit dun immeuble d'une dizaine d'étages. Curieuse je regardai autour de moi d'abord . Des voitures de police des gens regroupés devant des policiers . Tous regardaient le toit. Je regardai aussi et la j'ai cru que mon coeur allai cesser de battre , Miguel était debout au dessus du vide le visage pale et inondé de larmes , c'est tout ce que j'arrivai a distinguer d'ou j'était . Et puis les images de l'acccident me revinrent a l'esprit voila quelques semaines que les parents de Miguel étaient morts dans un accident de voiture.... Tout et allé trés vite j'ai bousculé les gens et les policiers et j'ai couru jusque dans l'immeuble et je suis montée vers le toit . Je ne savais plus ce que je faisait me je le faisait et sa sufisait. J'ai déboulé sur le toit , il faisait si froid et il était en t-shirt je me suis approchée.

-Miguel ne fais ca...

Il m'a regardée avec un regard que je ne lui connaissait pas un regard plein de désespoir.

-Viens

Bizzarement il m'a obéie , il a attrapé ma main et est passé de l'autre coté de la barriere et il a pleuré , pleuré dans mes bras.

Je crois que je n'ai jamais eu aussi peur de ma vie , et c'est pour ca aussi que j'adpre la chanson spring nicht de tokio hotel