Retour au château (PV Ness)

Après quelques minutes à essayer de se rappeler le mot de passe, Jezabel fit enfin son entrée dans la Salle Commune de sa chère maison. A son grand soulagement, il n'y avait pratiquement personne, juste deux premières années qui était en train de faire une partie d'échec version sorcier. Tout en soupirant, elle se laissa tomber sur le premier canapé qui se trouvait à sa porter, malgré le fait que le serveur lui est donner un reméde contre la gueule de bois, elle sentait toujours les effets dans on organisme. Elle releva doucement ses mains pour les regarder plus attentivement, elle s'était sacrément bien amochée, mais elle ne sentait rien du tout, la douleur était au niveau de son coeur et elle ne l'a quitterais que quand son frère serait de nouveau sur pieds....Enfin, si ce jour arrivait. La vie était vraiment injuste, elle qui n'avait jamais vraiment souffert de tout ce qui arrivait dans le monde, était à deux doigts de perdre la personne à qui elle tenait le plus au monde, celui qui l'a comprenait sans la jugé.

- Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?

Elle avait parler à haute voix, attirant l'attention des deux jeunes enfants sur elle, un regard quelque peu effrayé au vu du visage des deux garçons. En réflichissant, elle se demandait où pouvait bien être tout les autres élèves, en regardant rapidement l'heure, elle se rendit compte qu'elle avait râter une bonne partie de ses cours. Ses parents allaient encore lui en vouloir, c'était certain, mais elle était comme ça et personne ne pourrait rien n'y changer.

La salle commune était plutôt calme cette après-midi là, le silence semblait parfois légèrement brisé par deux jeunes élèves qui jouaient aux échecs dont les esprits étaient si tendus qu'on pouvait presque les entendre réfléchir à haute voix. Ness était affalé dans un fauteuil tourné face à la cheminée, baguette pointée sur l'antre. Il essayait de se rappeler une formule, de s'entrainer. Mettre le feu à ces put**** de bûches d'un coup de formule et qui refusaient de prendre ! La journée avait avancée à grands pas, et il n'avait toujours pas, depuis le matin décollé de son fauteuil, séchant -et peut lui importait, soyez en sur- ses cours avec une lassitude infinie.
Il ne travaillait que deux matières, sortilèges et enchantement, défense contre les forces du mal. Les deux seules matières qui l'intéressaient, les deux seuls qui avaient un sens, une réelle utilité, à son humble avis.
Alors qu'il fronçait les sourcils et marmonnait pour la énième fois la formule qui aurait abrégé ses souffrances d'ignare s'il la récitait enfin correctement, il fut stoppé dans son élan par l'arrivée d'une jeune fille un peu plus âgée que lui, qui semblait à priori plongée dans un dialogue intérieure des plus mouvementés.

_Pourquoi, pourquoi, pourquoi ?

Houuu, la colle, la vilaine question existentielle ! Sceptique et légèrement agacé d'être coupé dans ses révisions -c'était si rare, il aimait mettre à profit ces quelques instants-, il leva le nez de son livre, tourna le fauteuil dans lequel il était posé vers l'entrée du cachot et leva un sourcil interrogateur à l'addresse de Jezabel. Etrangement, il se sentait fatigué d'avance, lassé, blasé par tous ses élèves stupides de cette minable école.

Un bruit derrière elle l'a sortit de ses pensées, en se redressant doucement elle remarqua qu'il n'y avait pas que les deux élèves de première année, mais aussi un jeune homme qu'elle avait déjà vu quelques fois. Doucement, sans aucun mot, elle se laissa retomber sur le sofa, reprenant le fil de ses pensées, essayant de trouver un moyen de pouvoir aller voir son frère sans avoir l'accord de ses parents. En transplanant ? C'était une assez bonne idée, surtout qu'elle avait eu son permis quelques semaines auparavant. Cette nuit, elle pourrait s'échapper en douce et aller jusqu'au portail pour pouvoir transplaner sans que personne ne l'a voit, elle pourrait même se rendre jusqu'à Pré-au-Lard pour être un peu plus discréte. Repensant au jeune homme, elle se releva doucement et le regarda à nouveau, il n'avait pas bouger mais son regard interrogateur sur elle eu le privilége de l'énerver encore plus.

- Qu'est-ce qu'il y a ? Je te gêne ?

Le ton de sa voix n'était pas des plus amical, le jeune homme, Ness si elle se rappelait bien, ne lui avait pourtant rien fait, mais même si elle recontrait le Professeur McGonagall elle pourrait s'en prendre à elle, a ses risques ou péril. Son regard était aussi le reflet de ce qu'elle ressentait, envoyant des éclairs au jeune garçonqui ne devait rien y comprendre, mais cela ne lui faisait rien, elle voulait juste essayer d'oublier et de trouver un moyen pour pouvoir s'échapper pendant la nuit. Une cape d'invisibilité serait la bienvenue pour pouvoir sortir de l'établissement sans que personne ne s'en rend compte. Elle avait encore quelques heures pour peaufiner, elle raterait même le repas si il le fallait.

La jeune fille continuait son chemin pour se jeter sur le canapé le plus proche, sans vu sur le monde qui l'entourait ni sur Ness, ses pensées seules étalées sous ses yeux.
La réalité sembla lui revenir d'un coup, et elle reprit conscience du regard du Serpentard sur sa personne.
Réponse acérée à sa question muette.
Si tu savais, ma pauvre amie, comme mes pensées envers toi sont pour le moment aussi agréables que celles que tu portes à mon égard ! Des fous, à Poudlard il y en a, et de tout âge, 1 ère année à la 7 ème. Mais des qui parlent seuls en gesticulant, sans même nier leur statut, non, vraiment, je n'en avais encore jamais vu. Tu as au moins le privilège d'être la première. Sois heureuse.
Aussi agacé que sa comparse, il répondit, avec une franchise totale et un brin de provocation dans la voix :

_Disons... que ça risque d'arriver très vite !

Elle s'était levée, et lui aussi. Tu veux risquer ta vie à ce jeux-là, Jezabel ?
Simple regard méprisant, toisant de toute sa hauteur -et il était plutôt grand, il fallait l'admettre-l'élève plus âgée qui se tenait devant lui.

En entendant la phrase du jeune homme, elle sentit la colère envahir toute sa personne et elle se leva pour se mettre en phase de Ness. Jezabel n'avait pas peur, même si il était beucoup plus grand et fort qu'elle, il n'arrivait pas à la faire trembler, celui qui y arriverait n'était sûrement pas encore né.

- Eh bien, je suis pressée de voir ça.

Provocante, elle l'était presque tout le temps, et là, même si elle risquait d'en prendre plein la vue, elle restait stoïque, ayant lever le regard pour le plonger dans celui de son comparse, elle lui lança un petit sourire qui ce voulait tout aussi provocant que son hatitude. Cela lui faisait beaucoup de bien de s'en prendre à quelqu'un d'autre qu'elle même, mais si cela c'était passer dans un autre endroit ça aurait été nettement mieux, elle ne voulait tout de même pas donner le mauvais exemple aux deux jeunes enfants qui avaient l'air très captivé par leur altercation.

- Préviens moi quand ce sera le moment, je commence réellement à m'ennuyer.

Comme pour le montrer, elle fit semblant de bailler avant de se retourner pour aller s'installer sur le canapé qu'elle avait quitter pour venir faire face au jeune homme.

La jeune fille prit une moue colèrique qui contrasta étonnement bien sur son charmant visage fin qui se voulait mauvais, qui se voulait perfide et arrogant, qui se voulait simplement Serpentard. Il faisait de son côté autant d'efforts qu'elle pour prendre un air insupportable et dédaigneux teinté de hauteur.
Pressée, disait-elle. Soit ! Exaucé mademoiselle, ton génie va tout faire pour assouvir ton voeux !
Elle paraissait le chercher, c'était sûr, une brindille de provocation et de cran qu'il aperçut dans les yeux de Jezabel le fit sourire bien malgrès lui. Il jouait depuis qu'il était né lui aussi à ce jeux là mais avait rarement eut l'occasion de croiser d'autres personnes dans ce même cas de figure. Il regrettait cependant la méchanceté que mettait à cela sa consoeur plutôt que de la sincèrité. Il ne s'agissait pas d'être honnête, mais simplement de vouloir faire mal. Et se faire agresser par une inconnue n'était pas des choses qu'appréciait Sir Fury.
Elle tourna les talons et s'installa dans le canap après avoir mimé exagérément un baillement. Bof, tu étais mieux au naturel Miss, inutile de t'épuiser en de vains mouvements, ce n'est pas tellement convaincant...
Ni une ni deux, il n'allait pas se faire prier deux fois (bien qu'il se complaisait souvent dans cet état de force) ! On lui tendait un perche, il allait s'en servir pour frapper ! Comme elle faisait la fière, allongée dans une pose de top modèle sur son divan ! Il s'approcha a grandes enjambées, se baissa, saisit a deux mains le dessous du canapé et le retourna avec toute la force dont il était capable. Opération réussie, la jeune fille se retrouvait sur le sol. Il espèrait au moins qu'elle s'était fait mal si ce n'était en plus qu'elle avait ainsi l'air ridicule. Agir plutôt que parler, cesser des discours futiles. Parler de choses utiles, et en l'occurence, le caprice d'une fille âgée de deux de plus que lui ne l'intéressait pas...

Qu'est-ce qu'il pouvait l'énerver, jamais quelqu'un n'avait réussi à la mettre dans cette état, mais bon elle avait déjà le fait que son frère soit entre la vie et la mort qui faisait ressortir son mauvais caractère. Après avoir fait son petit numéro, elle retourna s'installer sur le canapé, ne reportant plus son attention vers le jeune homme de peur de voir sa colère augmenter, elle n'était pas du genre à se donner en spectacle devant des enfants à qui elle devait tout de même donner le bon exemple. La tête poser sur une de ses mains avant de regarder le feu brûler dans l'âtre, se perdant à nouveau dans ses pensées et essayant de ne plus penser à Ness. Avant même qu'elle ne se rende compte de la proximité du jeune homme, elle sentit le canapé basculer et elle se retrouva sur le sol son poignet craquant sous la force de la chute. Un rire nerveux sortit de ses lèvres, pendant que des larmes de colère roulaient sur ses joues rougi par sa colère. Tenant son poignet avec son autre main, elle essaya de se relever doucement tout en jetant un regard furibond au jeune homme qui avait un sourire sur les lèvres.

- Espèce d'idiot, pour qui tu te prend ?

En jetant un rapide coup d'oeil à son poignet elle le vit bleuir, elle espérait de tout coeur qu'il n'était pas casser, elle ne voulait pas aller voir Mme Pomfresh, surtout pas à cause de lui. D'un coup de baguette elle remit le canapé en place avant de passer devant son condisciple et de se réinstaller dessus tout en massant doucement son poignet de plus en plus douloureux.

- Qu'est-ce que tu fait encore là ? Tu attend que je m'en prenne à toi, tu pourra toujours attendre, moi j'ai des principes, ce dont d'après tout ce que je viens de voir tu est omis....J'aurais préférée aller régler ça autre part, en regardant autour de toi tu verra qu'il y a deux enfants de onze ans qui sont influençable.

... la harpie semblait malheureusement ne pas s'être calmée. Avec de telles méthodes et une si grande diplomatie, Ness avait de quoi s'y attendre, mais rien ne l'exaspérait plus que les histoires qui trainaient en longueur. "Vite fait, bien fait". Et il venait à contre coeur de lui fournir une excuse pour continuer à se plaindre; évidemment, elle sautait dessus. Il braqua ses yeux sur le poignet de Blair et prit une moue maussade. Bon, c'était au moins quelque chose de réussit, mais il sentait qu'il allait payer le prix fort si cette pimbêche blonde ne le lâchait pas.

- Qu'est-ce que tu fait encore là ? Tu attend que je m'en prenne à toi, tu pourra toujours attendre, moi j'ai des principes, ce dont d'après tout ce que je viens de voir tu est omis....J'aurais préférée aller régler ça autre part, en regardant autour de toi tu verra qu'il y a deux enfants de onze ans qui sont influençable.

"Attendre que tu t'en prennes à moi ?" Mais que racontes-tu là, je n'ai rien attendu du tout, à peine débarques-tu dans la salle avec tes grands airs et ton discours qui se voulait sans doute déchirant et mélancolique que je n'ai eu le temps de ne lever qu'un sourcil avant que tu ne me tombes dessus !

_C'est une excuse face au fait que tu t'es mise en colère dès le premier orteil que tu as posé ici, la carte "Serpentarde plus âgée et responsable" ? C'est moi que t'essayes de faire culpabiliser là ? Tu rages parce-que malgrès tes grands gestes théâtraux personne n'a daigné prêter une oreille et une épaule sur laquelle tu puisses pleurer à une fille dans ton genre ? Et maintenant que tu t'es fais mal, que je t'ai donné une bonne raison, tu la joue forte ?

il avait dit ça avec un ton sarcastique et glacé. Le regard vert qu'il lui lançait était tout aussi peu engageant et chaleureux que le ton qu'il avait employé.

- Tu vois je ne suis pas du genre à chercher quelqu'un pour me plaindre, je n'aurais pas vu le regard que tu me lançait, à ce moment même tu aurais été au calme, parce que j'avais l'intention d'aller faire ma malle et de quitter ce château aussi rapidement que je le pouvais, mais maintenant tu vois rien que pour te faire râger, je vais rester ici au lieu d'aller voir mon frère mourrant sur son lit de mort....J'était juste venu ici pour réfléchir au meilleur moyen de quitter des abrutis qui n'arrivent pas à se tenir dès que quelqu'un leur lance un mot de travers.

Il n'y avait plus aucune colère dans sa voix, non il ne méritait pas du tout qu'elle s'énerve pour lui surtout qu'il avait l'air de n'attendre que ça. Reprenant contenance, elle fit comme-ci il n'était plus là, attrapant un livre qui traînait dans les parages de sa main valide avant de l'ouvrir et de commencer à lire sans faire attention à la présence du jeune homme. Son poignet avait doublé de taille mais elle s'en fichait, il se remettrait tout seul, même si elle devait souffrir pendant plusieurs jours. En entendant les murmures ainsi que les rires des deux jeunes adolescents, elle se retourna un regard calme mais qui pouvait être effrayant.

- Evitez de faire du bruit, vous risqueriez d'énerver quelqu'un de susceptible.

Le jeune Serpentard esquissa un sourire amusé. Soit cette fille disait vraiment n'importe quoi simplement pour lancer des mots, tels quels, en vrac, et défendre la maturité qu'elle prétendait avoir acquise, soit elle se moquait simplement de lui. Il avait très envie d'en rire, mais il eut tout de même un regard de pitié pour la pauvre fille :

_C'est trop d'honneur pour moi, je ne puis accepter, je ne saurai être digne de votre présence à mes côtés.

Bon, ok, en réalité, c'était surtout une manière élégante de l'avertir que si elle restait quelques secondes de plus à lui cracher à la figure, il lui casserait bien plus qu'un poignet. Il était déjà tenté par son cou, à tordre.

_Et la précision sur ton frère, c'est pas encore un prétexte pour te plaindre, ça peut-être ?! il eut un regard méprisant à son égard, en tout cas, si tu dis vrai, laisse moi te dire que tu es bien plus qu'une simple abrutie. Serais-tu débile ET irresponsable, bien que tu fasses tout pour prouver le contraire depuis tout à l'heure ?

C'était idiot, idiot ! Il n'avait jamais vu de plan plus stupide que celui que la jeune fille venait de lui étaler d'un air triomphant et rageur. On se serait crût dans une coure de maternelle "Bisque bisque ragee euuuuh, nananananère !". Il détestait les gens qui n'avaient aucun sens du devoir, aucune morale, ou qui en profitait dès qu'une occasion se présentait pour les mettre de côté. Et il en faisait pourtant parti. Mais de ce qu'il voyait, la demoiselle également, et c'était une raison de plus pour pouvoir la haïr autant qu'il le voulait et la traiter sans retenue. Mais il devait bien lui accorder une chose, sur un point, elle avait raison : cette école était vraiment un refuge à vermine et à crétins.

Elle n'avait plus aucune force tout simplement, sans jeter un regard à son congénère elle s'allongea sur le canapé avant de fermer les yeux, pour ne plus rien voir et essayer de ne plus penser...En y repensant tout ce qu'il y avait dans ce château donnait vraiment de partir, mais elle n'avait jamais penser ça jusqu'à cette année, mais elle avait peur, elle ne pouvait pas le cacher, elle avait l'impression d'avoir deux personnalités et que les deux se battaient pour prendre le contrôle. Son poignet était toujours douloureux mais ce n'était rien, contrairement cela lui faisait sentir qu'elle n'était pas un monstre et qu'elle pouvait ressentir des sentiments, la douleur l'a faisait se sentir vivante. Les mots du jeune homme venait jusqu'à son cerveau mais elle ne l'écouta pas réellement, qu'est-ce que cela pouvait lui apporter de l'écouter à par de s'endormir d'ennui ? Il pouvais la haïr cele ne lui faisait rien du tout, si il voulait la tuer il pouvait aussi le faire, elle n'attendait plus vraiment rien de la vie, de toute façon pourquoi naître si c'était pour vivre dans un monde comme celui-ci ?

Ouvrant les yeux, elle vit le jeune homme toujours debout à attendre, à force il allait prendre racine c'était certain car même si il l'exécrait, elle n'avait pas envie, ni la force de faire quoi que ce soit. De tout façon il ne le méritait pas du tout, elle préférée encore se jeter du haut de la Tour d'Astronomie que de d'avoir à lui faire quoi que ce soit ou encore lui adresser la parole. Quand au fait qu'il ne voulait pas la croire pour son frère, ce la ne lui faisait rien, de tout façon à l'heure qu'il était il ne faisait plus partie de ce monde mais elle ne savait pas encore. A cette minute même elle aurait préféré être à la place de son aîné, n'ayant pas a supporter les idiots que pouvait abriter cette célébrisime école.

En fait, Ness n'était plus du tout en colère, au contraire, il éprouvait même une certaine indifférence méprisante envers cette fille, semblable à tant d'autres de Poudlard. D'ailleurs, elle non plus ne semblait plus l'écouter réellement, elle paraissait aussi lasse et fatigué qu'il l'avait été d'emblée alors qu'elle rentrait dans la salle commune en hurlant d'un ton hystérique.
Sans ajouter un mot, elle lui tourna le dos et partit rejoindre le si beau canapé que Ness avait récemment renversé avec plus de joie et d'agacement qu'il n'en fallait.
Bon, puisque nous nous quittons comme ça, autant reprendre là où on était. On ne se connait pas, on ne s'est jamais vu, on ne s'est jamais parlé, sans rancune quoi. Etrange, d'ahbitude lui qui ne laissait jamais rien passé... Il mit cette erreur sur le compte de la fatigue et se laissa à nouveau tomber dans le fauteuil qu'il avait quitté, feuilletant les pages de son livre de sortilèges et d'enchantement. Il espérait seulement que Jezabel n'allait pas le relancer, il avait suffisamment perdu de temps inutilement à cause d'elle.

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