Sforzando...Euh, qu'est ce que ca veut dire ?

Chanson a écouter en lisant :http://fr.youtube.com/watch?v=6NRV_UYG7Rs&feature=related
Au loin, le soleil se couchait lentement, donnant au ciel écossais des couleurs orangées magnifiques. Dans la magnifique clairière, isolée du monde dans laquelle Kamijo s’était installé, un ruisseau coulait lentement, contre les petits rochers dissimulés par quelques sapins, l’herbe était d’un vert sombre, et chuintait d’humidité a chaque pas du japonais. C’était sans aucun doute l’endroit le mieux situé pour s’isoler du monde. Personne, ou presque, ne semblait le connaitre, au grand plaisir de celui que l’on appelait « L’empereur », ou le « Descendant de La Rose » le premier surnom étant lié a sa magnifique prestance, et le deuxième, a la prophétie japonaise liée a sa naissance.

Kamijo faisait souvent peur, ou plutôt laissait n’importe qui démuni face a ses démons d’un seul regard…Son regard si attrayant. D’un bleu perçant et pale, d’une brillance mystique. Quelques mèches de ses cheveux d’un brun très cuivré reposaient doucement sur son visage aux traits purs et doux. Il avait une prestance magnifique, bien qu’il ne soit pas très grand par apport a certains. Il posa la rose rouge qu’il tenait coincé entre ses doigts gantés de blancs par terre, ainsi que plusieurs parchemins. Il était habillé assez simplement, aux tendances plutôt moldues : une cape blanche et argent, une chemise en tissu blanc, un jean d’un blanc éclatant et des converses blanches, rendant le halo qui l’entourait encore plus pur et mystérieux.

Il prit le premier parchemin et le déroula. Contrairement a ce que vous auriez plus pensez, ce n’était pas une quelconque leçon ou lettre du Ministère. C’était une chanson, une chanson en japonais, la langue maternelle du jeune homme, qui se nommait « Sforzando » car dans sa vie moldue, le jeune homme était l’idole, avec son groupe, de toute une génération. Sa voix avait bercé et redonné espoir a des milliers d’adolescent, et continuait toujours. Le jeune homme était persuadé de faire une bonne action en apaisant les mœurs de chacun. Et en quelques sortes, il avait raison.

Il ferma ses yeux quelques instants, ouvrit la bouche, et souffla. La musique pure de ce morceau lui revint instantanément en tête. Sa voix douce, étonnamment grave et chaude, puissante, envahit la petite clairière. Cette voix était un véritable sort en elle-même, elle donnait de véritable frissons, renversait l’âme, donnait les larmes aux yeux, et faisait presque pleurer la personne la plus dure.

Stéphanie l'assistante infirmière de Poudlard était en congés ce jour là et elle ne savait pas quoi faire, alors elle alla se promener dans une clairière ou tout était calme, il fallait qu'elle se change les idées avec le mariage de son amie et la naissance du fils d'une des élève de l'école elle était un peu démoralisé car elle se sentait seule.

Dans la clairière une voix vient la sortir de sa rêverie, une voix magnifique on avait l'impression qu'elle descendait du ciel comme si c'était un ange qui chantait, elle cherchait d'ou cela venait et en écoutant un peu mieux elle se dirigea vers la source de ces vibrations extraordinaire, l'infirmière stoppa son pas en apercevant un homme assis en train de chanter les yeux fermé, elle s'approcha de lui et se mit assise à côté de lui, il était d'une beauté incroyable tout habillé de blanc on aurait dit un ange, Stéphanie ferma les yeux et écouta la chanson qui lui donnait des frissons un peu partout sur le corps.
Etait-ce un rêve ou la réalité ?

Au bout d'un moment le chant s'arrêta et elle ouvrit ses yeux bercé de larmes même si elle ne comprenait rien de cette langue une émotion l'avait envahie au plus profond d'elle.
La jeune femme regarda l'inconnu qui était toujours là .

Je suis désolée de vous avoir dérangé, c'était vraiment extraordinaire, je vais vous laisser tranquille .

Le jeune nippon avait bien entendu des pas derrière lui. Il n’avait pas réagit, car il avait cette détestable habitude que les gens le prennent pour un spectre tellement il était beau et pur. Mais son visiteur surprise ne détala pas comme tous les autres, qui avaient peur de lui car, il représentait la vérité, une part d’eux même qu’ils voudraient oublier, pour ne pas y être confrontés, ils fuyaient Kamijo. Il venait donc seul ici, ou avec Hizaki, Yuu, Yuki, et Teru, les seuls qui arrivaient parfaitement à le comprendre. Cette fois, il n’était venu qu’avec Hizaki. Mais il restait sous sa forme animale, une buse.

La voix de Kamijo mourut doucement et il ouvrit les yeux, pour croiser un regard magnifiquement naïf et enfantin. Elle avait de longues boucles blondes, un visage bien dessiné, des lèvres pulpeuses et rougies par la fraicheur de la soirée. Leurs regards s’accrochèrent quelques instants. Elle ne détourna même pas les yeux pour ne pas croiser les siens. Non. C’était comme si quelque lien les avaient reliés pendant quelques secondes. Ce fut d’ailleurs bien trop court, car la jeune femme s’apprêtait déjà a s’enfuir. Dommage, lui qui avait cru que pour une fois, il pourrait parler avec quelqu’un de différent de lui…

Inconnue- Je suis désolée de vous avoir dérangé, c'était vraiment extraordinaire, je vais vous laisser tranquille.

Le jeune homme aux yeux dont la couleur s’approchait dangereusement de celle des aveugles, et aux cheveux bruns très cuivrés la transperça de son regard, alors qu’elle se levait, et s’apprêtait à partir. Et si … ? Et si elle voulait seulement partir pour le laisser tranquille et pas pour fuir ? Kamijo hésita, l’espace d’une seconde tout du moins.

Kamijo- Non !

Mais avant qu’elle ne disparaisse, sa main gantée se glissa dans la sienne, avec une douceur fragile à pleurer. Il lui fit un léger sourire, ou l’on pouvait surement deviner une pointe de mélancolie. Il la fit se tourner doucement vers lui, comme si il avait peur de la briser sous ses doigts, et posa délicatement sa rose rouge dans la main droite de la jeune femme, avant de prendre l’autre dans la sienne.

Kamijo-Restez…

Kamijo avait cet apparence attendrissante d’enfant totalement perdu a son premier rendez vous. Mais il avait aussi une prestance majestueuse, comme si il était un grand aristocrate perdu dans un monde qui n’était pas le sien. Il était différent, certes, et faisait peur a certains. Mais il était tellement attirant…

La jeune femme se leva doucement et tourna les talons pour laisser tranquille ce beau jeune homme qui avait un regard pénétrant, elle avait remarqué ses yeux d'une couleur d'un bleu presque transparent il dit alors juste un mot Non, apparement il ne voulait pas qu'elle parte alors il fit glisser une de ses main qui portait un guant blanc dans la sienne avec douceur, elle se retourna et vit un léger sourire s'afficher sur son visage d'ange.
Dans la main droite de Stéphanie le bel inconnu lui glissa une magnifique rose rouge et lui prit l'autre main délicatement.

Restez...

Elle acquessa d'un signe de tête et se remis assise à côté de lui ne savant pas quoi dire elle le détailla de la tête aux pieds, il avait une présence inimaginable, comme un ange tombé du ciel, une beautée qu'elle n'avait jamais vu, il était très attirant et enfin elle prit la parole avec une voix sensuelle qu'elle ne pensait pas avoir.

Merci de me permettre de rester, je m'appelle Stéphanie Aubry et merci pour cette rose.

Ce sont les seules mots qu'elle avait réussit à sortir, elle qui n'était pourtant pas timide se voyait complètement dérouté par ce jeune homme, il semblait sortir d'un rêve, d'un merveilleux rêve c'était incroyable comme il pouvait l'intimider elle avait les joues empourpré en regardant la rose déposé dans sa main, elle la carressa doucement pour ne pas l'abimer.

Votre chanson était vraiment.......... indescriptible je ne trouve pas les mots j'ai pleuré même si je ne connais pas la traduction elle m'a transpercé le coeur.

Stéphanie se sentait appaissé au près du jeune homme comme si un hallo de lumière douce se propagait autour de lui.

Le jeune homme avait toujours été un véritable gentleman. De toute façon, il avait été élevé comme cela. Dans la dureté on lui avait appris a toujours se comporter comme cela. Il était fils d’Empereur ! Son père adoptif était peut être quelqu’un de très bourru, violent et méchant, il était tout ce qu’il n’était pas. Il avait hérité cette douceur et cet esprit de son père français, mort par amour pour sa mère. C’est ce qu’elle lui avait toujours raconté. L’histoire de son père avait remplacé les contes de fées. Il parait qu’il était exactement comme lui. Il avait hérité de ses yeux, de son teint, de son magnifique sourire, et de sa couleur de cheveux.

Inconnue-Merci de me permettre de rester, je m'appelle Stéphanie Aubry et merci pour cette rose.

Kamijo- Ce n’est pas grand-chose…J’aurais préféré un cadeau a la hauteur de votre beauté, Stéphanie....Je me nomme Kamijo

Debout devant elle, il joua avec une nouvelle rose rouge qui était apparue entre ses doigts gantés. Les épines de la rose s’enfonça profondément dans sa peau, mais il ne saignait pas, n’avait pas mal. Il était né Rose. C’était l’enfant de la Rose. Délicat, magnifique et dangereux. Comme le disait la Prophétie. Il lui fit un sourire. Kamijo avait le plus beau sourire du monde, charismatique et doux, il avait des dents blanches, une était légèrement plus avancée que les autres, ce qui lui donnait l’air encore plus humain et charmant.

Inconnue-Votre chanson était vraiment.......... indescriptible je ne trouve pas les mots j'ai pleuré même si je ne connais pas la traduction elle m'a transpercé le coeur.

Kamijo-On me le dit souvent…Mais venant de vous, c’est encore plus touchant, vous avez l’air d’avoir une âme particulièrement sensible a la musique…Vous aimez ?

Le jeune homme s’assit doucement près d’elle, sa main gantée frôlant délicatement celle de la jeune femme, lui procurant un long frisson déroutant tout le long de l’échine.

Que sa voix était douce et reposante avec un brin d'accent qui fesait chavirer le coeur de la jeune femme.

Quel beau prénom c'est Asiatique si je ne me trompe pas.

Stéphanie remarqua que le jeune homme avait fait apparaitre une nouvelle rose rouge dans sa main et les épines transpercèrent ses doigts la jeune femme le regarda et s'apperçut que pas une goute de sang n'était apparut c'était incroyable sa première pensée revenait devant elle c'était un ange oui les anges ne peuvent pas saigner.

On me le dit souvent…Mais venant de vous, c’est encore plus touchant, vous avez l’air d’avoir une âme particulièrement sensible a la musique…Vous aimez ?

Vous me flattait vraiment, oui j'aime la musique et surtout celle qui vient du coeur c'est la plus belle.
J'ai remarqué que vous ne saignez pas je l'ai tout de suite vu car je suis une ancienne médicomage et je me demandais si vous n'étiez pas un ange tombé du ciel ?

Pourquoi avait elle dit ça, peut-être pour savoir si ce n'était pas son imagination qui lui jouait des tours car depuis plusieurs semaines elle se sentait seule et c'était surement la solitude et le soleil qui lui donnait des idées un peu folles, elle secoua la tête et ferma les yeux, elle avait peur de les rouvrir et de s'apercevoir que le beau Kamijo avait disparut alors ses paupières se soulevèrent doucement et elle croisa le regard intense du jeune homme, alors ce n'était pas un rêve, elle lui fit son plus beau sourire et la main du jeune homme frola la sienne à ce moment une bouffé de chaleur envahit son corps tout entier.

La rose rouge faisait partie de Kamijo. Il était une rose, le fils d’une rose. Tout comme cette buse qui veillait continuellement sur lui. Il leva légèrement le visage vers le ciel, l’ombre du rapace s’y profila rapidement. Hizaki était toujours la quand il le fallait. Kamijo avait énormément souffert, auparavant. Il n’avait plus envie de souffrir, ses amis, les quatre autres descendants de la Rose étaient les seuls, jusqu’ici, a ne l’avoir jamais, au grand jamais fait souffrir, mais quelque chose lui disait qu’il n’avait pas besoin de se méfier de Stéphanie, qu’elle prendrait soin de lui, de son âme fragile. Il sourit rêveusement en continuant de regarder le ciel orangé.

Stéphanie-Quel beau prénom c'est Asiatique si je ne me trompe pas.

Kamijo-Oui…Mais savez vous ce qu’il signifie ? Amour…Il signifie Amour en Japonais.

Il observa sa réaction avec une certaine impatience. La mère de Kamijo lui avait donné ce prénom pour honorer la mémoire de son père français, mort par amour. Par amour pour sa mère, pour qu’elle ne soit pas punie. Le beau chanteur soupira doucement et fit tourner la rose entre ses doigts. Penser a son père, qu’il n’avait jamais connu, lui faisait penser a cette rose.

Stéphanie-Vous me flattez vraiment, oui j'aime la musique et surtout celle qui vient du coeur c'est la plus belle.J'ai remarqué que vous ne saignez pas je l'ai tout de suite vu car je suis une ancienne médicomage et je me demandais si vous n'étiez pas un ange tombé du ciel ?

Le jeune homme éclata d’un rire magnifique. Un ange tombé du ciel…Kamijo…C’était la première fois qu’on lui disait cela. Hizaki avait toujours trouvé les bons mots pour l’empécher de sombrer, mais la…C’était la plus belle chose qu’on lui avait jamais dit, lui qui avait été privé d’amour dès son enfance…Une boule d’émotion se forma dans sa gorge, et ses yeux magnifiques s’étaient remplis de larmes de joies. Il avait toujours été comme cela. Très sensible a l’amour que l’on lui portait, sur scène ou dans la vie.

Kamijo-Non…Je ne suis pas un ange…mais je suis énormément touché qu’une femme aussi belle et douce que vous puisse le penser… Je ne sais meme pas trouver un terme assez beau pour vous décrire, vous aussi. Il n’y en a pas, vous etes bien trop belle…

Amour son prénom signifiait Amour en Japonais que cela lui allait bien un être aussi pur et doux, elle l'avait remarqué quand il avait chanté et son visage, son corps exprimait l'amour.

Kamijo éclatat de rire quand la jeune femme lui demanda si c'était un ange, elle remarqua avec émotion qu'il avait les yeux emplis de larmes et cela la touchait profondément, elle ne savait plus ou se mettre mais c'est avec les mots qui lui dit ensuite qu'elle se sentait troublé, il la trouvait belle même encore plus que cela car il ne trouvait pas les mots pour la décrire, elle se sentait rougir.

Si je peux me permettre moi aussi je vous trouve très troublant, incroyablement beau, éléguant et vos yeux sont d'une beauté insoupsonné je n'en avait jamais vu de tels, ils m'hypnotisent, je ne peux pas détourner mon regard du vôtre.

Stéphanie se pencha un peu vers le jeune homme et passa un doigt sur sa joue satinée et douce, elle voulait être sûr que ce n'était pas un mirage, quand elle sentit la douceur de son visage un grand sourire vient se former sur ses lèvres rouge quelques instant plus tard elle avait toujours son doigt posé sur le visage du jeune homme et elle le regarda intensément et en une fraction de seconde elle se rendit compte de ce qu'elle était en train de faire alors elle retira vite sa main et voulu détourner son regard mais elle n'y arrivait pas, ses yeux étaient toujours fixé sur le bel ange assis à côté d'elle, le sourire de l'infirmière ne s'était pas évahnoui au contraire il s'était intensifié.
Pour changer de sujet elle lui demanda très sincèrement:

Pouvez-vous me chanter une autre chanson j'ai besoin d'un peu de dépaysement et écouter votre voix si douce me rend très heureuse.

Il était sincère dans chacun de ses mots. Pour une fois, ils n’étaient pas prononcés comme des phrases en l’air pour soigner son image. Parce que chez lui, flatter une femme, c’est a cela que ca servait. Il y avait peu de place pour les sentiments pour un empereur. C’est en tout cas ce que son père adoptif s’évertuait à lui apprendre, a ce fils batard qui rêvait de chansons, de voyages, et d’amour. Au détriment du pouvoir et du luxe. L’Empereur n’avait pas réussi a le garder sous sa tutelle bien longtemps, puisqu’il s’était enfuit, et maintenant, il avait quelque chose de bien plus important à faire. Accomplir la Prophétie de la Shammane avec les autres, surtout, continuer a faire de la musique, une des seules choses pouvant lui faire oublier un passé douloureux.

Stéphanie-Si je peux me permettre moi aussi je vous trouve très troublant, incroyablement beau, élégant et vos yeux sont d'une beauté insoupçonné je n'en avais jamais vu de tels, ils m'hypnotisent, je ne peux pas détourner mon regard du vôtre.

A lui, grand sorcier et chanteur connu dans le monde entier, vous ne pouvez pas savoir a quel point de tels paroles lui firent du bien. Il n’avait jamais obtenu autant d’amour autrement que par son public, et ses amis. Il ne s’en plaignait pas, mais le fait de savoir que ces paroles venaient d’une jeune femme aussi magnifique et qu’il ne connaissait pas depuis très longtemps lui faisait un véritable choc.

Il croisa doucement ses mains sur ses longues jambes très fines et baissa légèrement la tête en souriant.

Kamijo-Il parait que j’ai hérité des yeux de mon père…

Hizaki passa au dessus de lui en poussant un cri perçant. Celui-ci était visiblement satisfait. Ce fut lorsqu’il sentit le doigt de la magnifique jeune femme, qu’il réagit. Un peu farouchement, au début, mais il se calma bien vite. Lorsqu’elle eut retiré sa main de sa joue, il fit la même chose du bout de ses doigts gantés de blanc. Il caressa doucement la joue satinée de la jeune femme.

Stéphanie-Pouvez-vous me chanter une autre chanson j'ai besoin d'un peu de dépaysement et écouter votre voix si douce me rend très heureuse.

Kamijo-D’accord.

Il ferma doucement les yeux, et sa voix grave, douce, au timbre particulier et magnifique perça une deuxième fois le silence, pour « forbidden gate » sa chanson préférée de « Versailles » son groupe.

Lorsque Stéphanie sentit le doigt ganté du jeune homme sur sa joue elle eut des frissons partout dans son corps et quand il retira sa main elle sentait comme une brûlure à l'endroit même ou son doigt se trouvait quelques secondes avant, elle n'avait jamais ressentit cela les carresses que d'autres hommes lui avaient faites n'était rien comparé à ce qu'elle était en train de ressentir en ce moment, une bouffé de chaleur l'envahie aussitôt.
Kamijo était d'accord pour lui chanter une autre chanson et quand il commença à chanter elle ferma les yeux et se crut au paradis sa voix était d'une douceur particulière, elle écouta sans dire un mot et rien que le timbre du jeune homme la fesait trembler de bohneur, quelle merveille on aurait dit le chant d'une sirène.
La chanson prit alors fin et l'infirmière avait gardé ses yeux clos comme si dans le silence la voix du jeune homme résonnait encore et encore.

C'est vraiment merveilleux, je crois que je ne me lasserai jamais de vous écouter votre voix est si sensuelle....... que j'ai l'impréssion que.........

Stéphanie n'arrivait pas finir sa phrase car si elle disait ce qu'elle était en train de penser le jeune homme se lèverait et partirait en la traîtant de folle.
Que lui arrivait elle ? Des pensées sensuelles s'insinuaient en elle, il ne fallait pas qu'elle y songe sinon dans quelques minutes elle se jeterait dans les bras du beau jeune homme et l'embrasserait avec fougue.
Elle releva la tête pour le regarder dans les yeux d'un bleus parfaits comme deux magnifique océans pur qu'elle se serait bien volontier jeter dedant, elle se sentait rougir.

Kamijo sentait le regard perçant mais approbateur de son meilleur ami sous sa forme de buse dans son dos. Il se retourna pour scruter l’endroit. Rien qui ne soit vraiment évident. Hizaki avait toujours été de bon conseil pour faire de grands choix. Si il se laissait emporter par les sentiments…Il serait peut être heureux ? Mais qui sait si elle n’allait pas le faire souffrir ? Cela lui semblait impossible, un être aussi pur ne pouvait pas faire de mal a une mouche.

L’amour était un sentiment tout nouveau pour le jeune homme. Il trouvait cela tellement fort, le fait que la jeune femme lui semble indispensable, que ses lèvres lui semblaient tellement douces, ses cheveux si beaux et si brillants, son visage si pur et sa voix si mélodieuse. A coté de cela, la Prophétie n’était qu’un détail de sa vie sans importance. L’amour, c’était tellement effrayant et si bon à la fois ! S’il y plongeait, il ne pourrait surement plus s’en passer. Mais tout cela…Semblait laisser la raison de coté. Seulement, le jeune nippon ne savait pas ce qu’il allait devenir, il ne savait pas ce qu’il devait faire pour accomplir cette prophétie qui lui collait a la peau, a lui encore plus qu’aux autres. Car il était obligé, de garder une rose sur lui toujours, pour vivre correctement, si il ne l’avait pas, c’est comme si il perdait un bras, une jambe, ou un rein. Il pouvait vivre sans, mais ce serait un véritable supplice.

Stéphanie- C'est vraiment merveilleux, je crois que je ne me lasserai jamais de vous écouter votre voix est si sensuelle....... que j'ai l'impression que.........

C’est drôle, mais personne n’avait jamais décrit sa voix d’une telle façon. Les adjectifs qui revenaient le plus souvent, étaient : ensorcelants, planante, magnifique et incroyablement belle et apaisante. Mais jamais on l’avait dit sensuelle. Il en trembla presque de…Plaisir ? C’était incroyable de ressentir tout aussi intensément, et de voir le monde aussi beau. Ca lui permettait de sortir un peu de sa solitude, et de sa mélancolie quotidienne, rançon de la grandeur.

Kamijo- L’impression que quoi … ?

Le jeune homme lui fit un sourire de gamin, un sourire pétillant de malice, pour la première fois depuis extrêmement longtemps. Il n’avait sourit comme cela que lorsqu’il était sur scène, avec ses amis, et surtout Hizaki. Il s’approcha doucement d’elle, son regard s’intensifiant encore. Elle ne détourna même pas les yeux, elle semblait…Absorbée…

L’impression que quoi … ?

Kamijo lui sourit et elle se sentait vraiment à l'aise au près de lui comme si il la connaisait depuis toujours ou qu'il arrivait à sonder son âme rien quand la regardant, un sourire pétillant vint s'afficher sur le visage de la jeune femme et elle sut alors qu'elle pouvait lui répondre.

Si je vous le dit vous allez vous enfuir en courant, mais si vous y tenez vraiment alors je vais terminer ma phrase, j'ai l'impréssion que vous êtes un rêve un très beau rêve et que j'ai surtout une envie folle de vous embrasser, de vous caresser.

Voilà elle l'avait dit, normalement elle aurait dut baisser la tête en lui disant cela mais n'arrivait pas à détourner son regard du sien comme si elle était hypnotisé par cet être tombé du ciel pour elle et seulement pour elle.
Stéphanie avait toujours la rose offerte par Kamijo dans la main, elle sentait les pétales douces glisser sur ses doigts, elle avait remarqué aussi qu'il s'était approché un peu plus mais elle resta immobile tout en admirant ses yeux.

C'était la première fois qu'elle avait l'odace de dire ce qu'elle pensait, la prendrait elle pour une folle ou une déséquilibré mentale, peu importe elle se sentait soulagé et envahie par une vague de bonheur même si il ne ferait rien ou qu'il se mette à rire elle garderait quand même une image et une sensation en pensant à lui, un ange comme elle l'aimerait l'appeller.
Beaucoup d'images défilla dans sa tête elle imaginait Kamijo en train de l'étreindre passionnément et l'embrasser d'une douceur et d'une passion électrisante.

Le jeune homme se rendit peu à peu compte de la portée de ses agissements. Il se sentait tellement bien qu’il n’avait pas comprit qu’il mettait la jeune femme en danger, par apport à l’ avenir. Il ne méritait pas une telle femme. Elle ne devait pas l’aimer, parce qu’elle souffrirait. Malheureusement, les sentiments ne se commandent pas, et c’était comme si en l’espace d’une heure la jeune femme lui était devenue indispensable, pour vivre. Comme si, si elle partait loin de lui, il suffoquerait. Il releva doucement sa main délicate et gantée, pour caresser une nouvelle fois la joue pale de la belle infirmière, qui semblait tout de même avoir prit quelques couleurs.

Stéphanie- Si je vous le dit vous allez vous enfuir en courant, mais si vous y tenez vraiment alors je vais terminer ma phrase, j'ai l'impression que vous êtes un rêve un très beau rêve et que j'ai surtout une envie folle de vous embrasser, de vous caresser.

*Un rêve…Je suis un rêve…* Les battements du cœur du jeune asiatique se muèrent en des palpitations d’une rapidité impressionnante, une poussée d’adrénaline le fit relever la tête. Comme si c’était la toute première fois qu’il entendait ce genre de choses. Et c’était la vérité. Toute sa vie, il avait était le fils batard d’un grand Empereur, celui que tout le monde rejetait, le rebelle, qui écopait de dizaines de coups de fouets presque toutes les semaines. Pour cette jeune femme, il était un rêve. C’était tellement beau ! *Elle veut m’embrasser ! Me…Caresser ?* A cet instant, le jeune chanteur ressemblait vraiment a un gamin de 15 ans totalement perdu a son premier rendez vous. Il avait déjà embrassé…Mais ce n’était pas pareil. Il lui semblait que cela faisait des années qu’il souhaitait qu’elle lui fasse cette déclaration.

Kamijo-Vous n’êtes pas folle…Je ne mérites pas que vous…M’aimiez…Je ne vous mérite pas, vous êtes bien trop belle, bien trop douce…Bien trop parfaite…

Il entendait presque Hizaki le presser *Allez ! Qu’est ce que tu attends ? Embrasse-la !* Comme pour son premier baiser, il fut un peu maladroit, mais tellement attendrissant. Il posa doucement son autre main sur sa joue et attira en douceur le visage de la jeune femme vers le sien avant de déposer simplement ses lèvres fines sur les siennes. Et d’approfondir son baiser…Tendrement…

Stéphanie sentit encore une fois la douce main du jeune homme lui caresser la joue, elle voulut lui prendre la main et lui faire des centaines de baisers dessus mais n'osa pas bouger, les batements de son coeur s'accélérèrent et sa tension monta d'un cran, comment une simple petite caresse pouvait lui faire tant d'effet que se passerait-il si il l'embrassait ?

Vous n’êtes pas folle…Je ne mérites pas que vous…M’aimiez…Je ne vous mérite pas, vous êtes bien trop belle, bien trop douce…Bien trop parfaite…

Avant qu'elle n'ai put dire quoique ce soit Kamijo lui posa son autre main sur son autre joue et attira son visage vers le sien elle vit son regard intense lui transpercer le coeur et une seconde plus tard il déposa un délicat baiser sur ses lèvres, quelle merveille de sentir la douceur et la fraicheur de ses lèvres sur les siennes jamais elle n'avait connue une extase pareille, il lui semblait que tout son être était en train de voler autour d'elle, son coeur battait tellement vite qu'il risqait d'exploser.
Stéphanie passa alors ses mains autour du cou du jeune homme et se rapprocha un peu plus de lui sentir son corps tout contre le sien était une sensation incroyable, un feu brûlait en elle.
Elle prit l'initiative d'approffondir le baiser il se fesait plus intense, plus sensuel, puis quand leurs lèvres se séparèrent la jeune femme planta son regard dans celui du bel homme, elle avait toujours ses mains autour du cou de Kamijo et ne voulait surtout pas bouger elle se sentait si bien comme ça et posa sa tête sur son torse.

C'est plutôt moi qui ne te mérite pas ...... un ange tombé du ciel ce n'est pas pour moi et tu sais je ne suis pas aussi parfaite que tu le penses j'ai aussi des défauts.
Sinon je ne sais même pas ce que tu fait dans la vie, à part chanter comme un dieu, je ne connais rien de toi. Tu voudrais bien m'en dire plus ? Je voudrais connaître l'ange qui a ravi mon coeur et mon âme d'une seule chanson et d'un seul regard.

Le tutoyement était venu naturellement à l'infirmière c'est vrai qu'après un baiser pareil elle ne pouvait plus le vouvoyer même si il avait une préstence royale, elle le voyait bien il devait être le descendent d'un roi ou d'un duc.
Elle espérat qu'il ne s'en formaliserait pas.

Kamijo, encore un novice en la matière du baiser, fut quelque peu maladroit. Mais tout cela, ne fut rien du tout par apport a l'intensité de ce baiser. Magnifique était un mot bien trop faible pour décrire le baiser. Il faudrait qu'il écrive quelque chose sur cela, c'était obligé.Tout semblait d'un coup devenir meilleur et plus facile alors que ça ne l'était pas. Il y avait cette prophétie a accomplir...Le fait qu'il soit pour le moment immortel et condamné a rester seul toute sa vie. La voix de la prophétesse tournait dans la tête.

"Des aristocrates joliment vêtus
Dans un monde gorgé par l'odeur des roses
C'est là que vivent deux clans...
L'un qui croit que la mort apporte le bonheur éternel.
Les autres recherchent la vie éternelle.
Un jour les deux rêves devinrent réalité,
Les autres ne pourraient jamais être détruis.
Ils étaient forcés de vivre dans la solitude comme si c'était une punition sans fin.
Juillet 1977
L'heure des autres est arrivée.
Les descendants de la rose sont apparus.
Par cette rencontre, les souvenirs de ce jour revinrent à la surface.
et... L'histoire commence..."

Malheureusement, c'était cela son destin, remettre de l'ordre dans le passage entre la vie et la mort.

Le baiser prit fin trop tot, laissant les idées noires s'immiscer encore une fois dans son esprit.

Stéphanie- C'est plutôt moi qui ne te mérite pas ...... un ange tombé du ciel ce n'est pas pour moi et tu sais je ne suis pas aussi parfaite que tu le penses j'ai aussi des défauts.
Sinon je ne sais même pas ce que tu fait dans la vie, à part chanter comme un dieu, je ne connais rien de toi. Tu voudrais bien m'en dire plus ? Je voudrais connaître l'ange qui a ravi mon coeur et mon âme d'une seule chanson et d'un seul regard.

Le jeune homme eut un léger sourire contrit . Oui, que faisait il dans la vie a part chanter ? Il y avait cette quête de lui même qui le hantait toujours, l'empêchait de dormir, et de se faire des amis. Les seuls qu'il avait...Etaient dans le même cas que lui...Pourtant, chez les moldus, il était un des hommes les plus aimés de la planète.

Kamijo- Ma vie...C'est le grand flou depuis ma naissance...Je chante...C'est tout ce qu'il me reste tu sais. Mais si je t'en dis plus, tu me prendras pour un fou.

Meme lui, n'y avait pas crut, au début. D'être le descendant d'un des aristocrates désirant la vie éternelle et dont le vœu avait été exaucé. Il fallait qu'il retrouve cet homme ou qu'il soit. Dans une tombe ou a l'autre bout du monde.

La jeune femme avait enlevé ses mains du cou de Kamijo mais avait gardé sa tête sur son torse, elle entendait les battements affolés du coeur du jeune homme, elle aussi son coeur battait à tout rompre, elle posa une de ses mains sur son torse et ferma les yeux pour mieux capter les ondes qui les entouraient.

Ma vie...C'est le grand flou depuis ma naissance...Je chante...C'est tout ce qu'il me reste tu sais. Mais si je t'en dis plus, tu me prendras pour un fou.

Maintenant c'est lui qui disait que si il en racontait plus elle le prendrait pour un fou, mais jamais elle ne le prendrait pour un fou, car pour elle c'était un être pur, un ange, une personne qui ne lui ferait jamais de mal, elle le sentait au plus profond d'elle.

Mais non jamais je ne te prendrais pour un fou, même si tu me dis que tu es un ange ou un être de lumière et bien je te croierai et je ne m'en formaliserais pas le moins du monde.
Je te trouve exeptionnel, irréelle serait plus approprié pour un homme comme toi, un rêve quoi.

Elle avait relevé la tête vers lui en disant tout cela et elle le regarda dans les yeux, un superbe sourire s'était affiché sur son visage elle prit ensuite la main du jeune homme dans la sienne et entelaça ses doigts aux siens.
De temps en temps elle remarqua qu'il regardait le ciel, elle leva les yeux et aperçut pour la première fois une buse qui tournait au tour d'eux, elle reporta son attention sur Kamijo et lui demanda d'une voix très douce.

C'est ton ange gardien qui tourne au dessus de nous ? Si c'est le cas alors je ne savait pas qu'un ange gardien pouvait avoir un ange gardien aussi ?

Elle avait échappé un petit rire sur la dernière question.

Toutes ses choses...Il se sentait à la fois tellement bien et perdu devant tant de douceur offerte d’un seul coup. Hizaki avait lui-même était une très grande source de douceur, mais la douceur n’était pas la même. Ils étaient à la fois si semblables et différents, que le jeune homme sentait son bon sens s’envoler sous les caresses de la jeune femme. Pourtant, il fallait qu’il la mette en garde, lui raconte tout depuis le début. Il caressa distraitement les boucles blondes de la jeune femme, en pesant, dans sa tête, le pour et le contre. Le contre l’emportait forcément mais le pour avait un argument de taille. Le devoir.

Stéphanie-Mais non jamais je ne te prendrais pour un fou, même si tu me dis que tu es un ange ou un être de lumière et bien je te croirai et je ne m'en formaliserais pas le moins du monde.
Je te trouve exceptionnel, irréelle serait plus approprié pour un homme comme toi, un rêve quoi.

C’était bien plus effrayant que cela. Il répéta dans un murmure la prophétie comme une incessante litanie qui le hantait jour et nuit. Sur scène comme en civile.

Kamijo- D’accord, je vais te conter mon histoire, mais si tu veux t’enfuir. Fais-le. Je ne t’en voudrai pas.

"Des aristocrates joliment vêtus
Dans un monde gorgé par l'odeur des roses
C'est là que vivent deux clans...
L'un qui croit que la mort apporte le bonheur éternel.
Les autres recherchent la vie éternelle.
Un jour les deux rêves devinrent réalité,
Les autres ne pourraient jamais être détruis.
Ils étaient forcés de vivre dans la solitude comme si c'était une punition sans fin.
Juillet 1977
L'heure des autres est arrivée.
Les descendants de la rose sont apparus.
Par cette rencontre, les souvenirs de ce jour revinrent à la surface.
et... L'histoire commence..."

Je suis né au Japon. Mon père était un jardinier français et ma mère une princesse. Tu te doutes que mes grands parents n’avaient jamais accepté le fait qu’ils s’aimaient. Lorsque ma mère est tombée enceinte, ils sont devenus fous, car elle était promise, à l’Empereur, et qu’il n’accepterait jamais d’avoir un fils batard. Mon père a accepté de s’enrôler dans l’armée pour que ma mère me garde. Il est mort peu après ma naissance sur les champs de batailles. Je ne l’ai jamais vu. Ma mère est devenue impératrice et mon soi disant père m’a élevé comme il se le devait. Je n’étais pas fait pour une telle éducation, je crois. Je lui ai souvent désobéi et j’en ai gardé des marques. J’ai rencontré Hizaki lorsque je me suis enfui du château. Il était bien plus dans le besoin que je l’étais. On ne s’est plus jamais quitté, et lorsque j’ai eu 14 ans, nous avons fui le Japon pour la Chine, on nous avons rencontré mes autres amis, et une femme, une sorcière, une shammane, comme on l’appelait. C’est elle qui nous a attribué cette prophétie. Elle nous a apprit a nous servir d’une baguette et de nos autres pouvoirs. Ca fait deux ans que je suis en Angleterre. Nous devons accomplir une chose ici, et je ne sais pas vraiment ce que c’est.

Mais cette prophétie est une quête, dont nous sommes affublés, moi, descendant d’une des « roses », et mes amis. Pour le moment…Je suis en quelque sorte immortel et condamné a vivre seul, tout comme mon ancêtre. Si nous ne rétablissons pas l’ordre entre la vie et la mort, moi et cette buse passeront le reste de l’éternité seuls… Je ne veux pas te faire subir cela, je suis sur qu’il y a quelqu’un de bien mieux que moi que tu rencontreras, et surtout qui t’offriras une vie tranquille.

La jeune femme désigna le ciel, ou tournait son ami, presque aussi majestueux et grandiose que lui cette fois ci, il ne réagit pas, au fait que Kamijo ait révélé la vérité a quelqu’un. Ca devait être la meilleure chose a faire.

Stéphanie-C'est ton ange gardien qui tourne au dessus de nous ? Si c'est le cas alors je ne savait pas qu'un ange gardien pouvait avoir un ange gardien aussi ?

Le jeune homme sourit, amusé.

Kamijo-Il s’appelle Hizaki, et c’est en fait un homme. Nous veillons l’un sur l’autre depuis notre plus tendre enfance.

Stéphanie écouta avec attention l'histoire de Kamijo, comme il devait souffir devoir rester seul avec seulement quelques amis ça doit être dur.

Tu sais je trouve que tu es courageux même encore plus que cela essayer d'accomplir cette prophétie sans pouvoir aimer quelqu'un ça doit être dur, mais je ne te laisserai pas seul, je veux t'aider et peut-être que l'amour d'une femme te permettra de voir plus clair en toi et connaitre la solution à ce problème, personne ne pourra m'offrir ce que toi tu m'offre et personne ne me conviendrai sauf toi je ne veux pas d'une vie tranquielle car je n'en ai jamais eu et je me sens bien comme ça un peu d'action j'adore je ne pourrais pas rester là à rien faire ce n'ai pas dans ma nature je sais que je n'ai pas le droit de te dicter tes actes mais sache que si je ne pouvais plus te revoir j'en serais inconsolable, c'est bizard comme les choses sont faîtes je ne te connais que depuis environ une heure et j'ai l'impression que cela fait une éternité comme si le destin nous avait mis sur la route l'un de l'autre et ne t'inquiète pas pour moi je suis une femme très forte.

La jeune infirmière avait dit ces mots avec un timbre déterminé.

Je vais te raconter un peu mon histoire aussi voilà alors mes parents sont morts tous les deux quand j'étais petite et ce sont mes frères qui mont élevé, comme ils étaient pris beaucoup trop par les métiers j'ai appris à me débrouiller seule donc je suis devenue médicomage et j'ai aidé beaucoup de gens c'est dans ma nature je ne peux pas laisser les autre se débrouiller j'ai un besoin fou d'aider mon prochain, mais avec toi c'est autre chose tu es essentiel dans ma vie et je........... je............ t'aime!
Oui je t'aime comme je n'ai jamais aimé quelqu'un et si tu me demandais de te laisser tranquille je crois bien que j'en mourais et si je dois alors mourir pour toi je le ferais sans hesitation.

Un sourire avait germé sur les lèvres de la jeune femme, son regard était intense elle se pencha alors sur Kamijo et l'embrassa à perdre haleine comme si sa bouche l'avait ensorcellé.

Kamijo avait attendu sa réponse avec une pointe d’angoisse…En fait, non. Ne nous voilons pas la face, il était tellement angoissé de sa réponse qu’il pensait que son pauvre cœur allait exploser sous une telle pression. C’est drôle comme on peut s’attacher a une personne en quelques minutes, alors qu’il avait parfois mit des années avant que quelqu’un fasse vraiment ses preuves pour devenir ne serait ce qu’un ami fidèle a ses yeux. Le jeune homme caressa tendrement une dernière fois la joue de la jeune femme, pensant vraiment qu’elle alla se lever, et disparaitre tout de suite dans les fourrés. Mais non, au lieu de cela, elle sourit et parla.

Stéphanie-Tu sais je trouve que tu es courageux même encore plus que cela essayer d'accomplir cette prophétie sans pouvoir aimer quelqu'un ça doit être dur, mais je ne te laisserai pas seul, je veux t'aider et peut-être que l'amour d'une femme te permettra de voir plus clair en toi et connaitre la solution à ce problème, personne ne pourra m'offrir ce que toi tu m'offre et personne ne me conviendrai sauf toi je sais que je n'ai pas le droit de te dicter tes actes mais sache que si je ne pouvais plus te revoir j'en serais inconsolable, c'est bizard comme les choses sont faîtes je ne te connais que depuis environ une heure et j'ai l'impression que cela fait une éternité comme si le destin nous avait mis sur la route l'un de l'autre et ne t'inquiète pas pour moi je suis une femme très forte.

Kamijo- On m’a beaucoup dit que j’étais courageux…Je ne pense pas…Enfin, le courage ne vient jamais tout seul. J’ai vraiment de la chance d’avoir des amis aussi fidèles, même si ils sont en nombre énormément réduit. Le courage, est entrainé par l’amour. Je ne peux pas dire qu’en ce moment j’en manque. Mes fans et mes amis m’en donnent plus que je n’en mérite.

Elle, l’aimait elle ? Il n’en savait rien, mais il espérait que non. Car elle mettrait une partie d’elle en danger. Il ne pourrait pas dire sa vie sans certitude, mais si il s’avérait que la quète des jeunes hommes échoue, ils n’auraient pas le droit…De vivre leur amour. Parce que oui, il y pensait sérieusement, il était amoureux d’elle, mais il devait lutter contre ses sentiments. Pour le moment au moins.

Stéphanie-Je vais te raconter un peu mon histoire aussi voilà alors mes parents sont morts tous les deux quand j'étais petite et ce sont mes frères qui mont élevé, comme ils étaient pris beaucoup trop par les métiers j'ai appris à me débrouiller seule donc je suis devenue médicomage et j'ai aidé beaucoup de gens c'est dans ma nature je ne peux pas laisser les autre se débrouiller j'ai un besoin fou d'aider mon prochain, mais avec toi c'est autre chose tu es essentiel dans ma vie et je........... je............ t'aime!
Oui je t'aime comme je n'ai jamais aimé quelqu'un et si tu me demandais de te laisser tranquille je crois bien que j'en mourais et si je dois alors mourir pour toi je le ferais sans hesitation.

Le jeune homme sentit son pouls s’accélérer dangereusement sous la montée d’adrénaline provoquée par le stress. Il ne fallait pas qu’elle lui promette de telles choses, il ne le supporterait pas.

Kamijo-Moi aussi…Moi aussi Je t’aime mais je ne veux pas que tu me promettes de telles choses. Car si il s’avérait que la quête échoue, je serai vraiment immortel et voué a la solitude. Je ne supporterais pas d’être loin de toi toute l’éternité.

Le baiser qui s’en suivit, fut plein de promesses qui resteraient surement intenues. Mais ses forces avaient totalement disparues. Il se laissa donc aller aux caresses, et au parfum enivrant de l’amour.

Moi aussi…Moi aussi Je t’aime mais je ne veux pas que tu me promettes de telles choses. Car si il s’avérait que la quête échoue, je serai vraiment immortel et voué a la solitude. Je ne supporterais pas d’être loin de toi toute l’éternité.

Lui aussi il l'aimait mais ne voulait pas qu'elle souffre à cause de la prophétie mais elle savait très bien ce qu'elle faisait rien au monde ne pourrait jamais la séparer de lui même si il devait devenir immortel elle trouverait un moyen de rester avec lui quoi qu'il lui en coûte, elle ferait n'importe quoi pour deumerer à ses côtés même se faire mordre par un vampire pour qu'elle aussi soit immortel.

Leur baiser prit fin mais elle resta blotit dans ses bras rester auprès de lui, tout prêt pouvait lui donner la force pour eux deux d'affronter cette prophétie et qu'elle puisse lui décrocher la lune, elle le regarda encore une fois dans les yeux et sentit son coeur palpiter encore plus fort, elle ne voulait pas un amour impossible avec Kamijo non , elle voulait un amour pur et qu'il dure le plus longtemps possible.

Tu sais si ta quête échoue, même si je sais que tu réussira, je me ferais immortel pour toi, j'irai jusqu'à aller voir un vampire pour devenir comme toi et même si je dois boire du sang le reste de mon existense je le fairais pour toi pour nous, pour notre amour et je serais tienne pour l'éternité tu ne peux pas rester seul je ne le suporterai pas tous les mots que je t'ai dit son vrai jamais je ne pourrais vivre sans toi.

Des larmes commençèrent à perler le long de ses joues c'était des larmes de joies mélangé à de la peur, la peur de le perdre à jamais, elle baissa latête pour ne pas montrer ses émotions mais elle sentait son regard pesait sur elle, un regard pénétrant, elle releva alors la tête vers Kamijo pour lui montrer qu'elle était sincère.
Le bruit du vent siffla dans ses oreilles, elle leva les yeux aux ciel et s'aperçut que la buse commençait à descendre et se poser sur la branche d'un arbre, quelques secondes plus tard un homme jaillit de derrière ces mêmes arbres et s'approcha d'eux.

Même si il essayait de lutter contre, le jeune homme se sentait tellement bien, accompagné. Il savait à présent qu’il pouvait compter sur Yuu, Yuki, Teru, Hizaki et Stéphanie pour l’accompagner, et que lui serait toujours la pour eux, pour les conseiller, les consoler. Ce n’était il pas le principe même de l’amitié et de l’amour avec un grand A. Mais est-ce que cette jeune femme si belle qui se disait si forte arriverait telle a tenir le coup ? Serait elle vraiment prête a sacrifier son droit de mourir pour lui, qu’il ne connaissait que depuis quelques heures ?

Stéphanie-Tu sais si ta quête échoue, même si je sais que tu réussira, je me ferais immortel pour toi, j'irai jusqu'à aller voir un vampire pour devenir comme toi et même si je dois boire du sang le reste de mon existense je le fairais pour toi pour nous, pour notre amour et je serais tienne pour l'éternité tu ne peux pas rester seul je ne le suporterai pas tous les mots que je t'ai dit son vrai jamais je ne pourrais vivre sans toi.

Il voulait répondre quelque chose à une telle déclaration. Il avait peur de tenir la vie de la jeune femme entre ses doigts, de lui faire du mal sans le vouloir, et de faire des bêtises. Il la serra un peu plus fort contre lui, pour sentir son odeur. Elle sentait tellement bon. Pour lui s’était très important que quelqu’un sente bon, pour lui. Elle sentait la fraise et la framboise. Il sentit de légers sanglots la secouer, et se sentit coupable de déclencher cela chez elle. Il caressa doucement ses bras. Il ne vit pas Hizaki s’envoler dans les arbres, et disparaitre, quelques minutes après, un homme presque aussi magnifique que Kamijo, aux cheveux noirs et longs, parfaitement lisses lui tombant sur les épaules, un costume de samouraï, mêlé a un habillement distingué, bleu foncé.

Hizaki s’approcha du couple, et s’assit près d’eux. Que dire dans un moment pareil, lorsqu’une jeune femme que vous ne connaissez pas sanglote dans les bras de votre meilleur ami, plus qu’un frère. Le jeune homme aux cheveux noirs fit un joli clin d’oeuil malicieux a son ami, puis se pencha sur la jeune femme pour poser sa main sur son bras. Une légère lumière s’en échappa. Si le sort avait marché, la jeune femme devrait se sentir parfaitement bien et détendue d’ici quelques secondes.

Kamijo-Stéphanie…Je te présente Hizaki. Mon ange guardien.

Stéphanie sentit que Kamijo resserait son étreinte à présent il avait son nez dans les cheveux de la jeune femme et il huma son parfum, elle avait vu le nouveau jeune homme se diriger vers eux mais le regarda à peine pour elle seul comptait Kamijo elle sentit une nouvelle main se poser sur son bras et d'un seul coup elle éprouva en elle une douceur et un calme incroyable, elle se détendit alors doucement dans les bras de Kamijo et releva la tête avec un sourire éclatant comme si les larmes qu'elle avaient versé quelques seconde auparavent ne c'était jamais écoulé.

Kamijo lui présenta alors son ami et ange gardien, comme il disait, sous le nom de Hizaki le nouveau venu s'était instalé à côté d'eux et elle lui fit un sourire tout en lui tendant la main pour le saluer comme il se devait.
Il était aussi très beau mais pour Stéphanie rien n'égalait la beautée de Kamijo surement parce qu'elle l'aimait comme une folle.

Enchanté de vous connaitre !

Hizaki lui sourit en prenant doucement la main qu'elle lui tendait, elle se retourna ensuite vers son ange et regarda ses magnifique yeux qui pétillaient de bohneur, elle se trouvait bien dans ses bras comme si plus rien au monde ne comptait à présent.

Je voulais te demander si ton ami approuvait notre début de relation, car je ne vais pas te laisser partir loin de moi je veux rester toujours dans tes bras très doux et sentir tes lèvres sur les miennes, je ne peux pas m'en passer et je voudrais l'approbation d'Hizaki pour me donner corps et âme à toi car je suppose que c'est plus qu'un ami et je ne voudrais pas le froisser ou te voler à lui.

La jeune femme fit un léger baiser sur le coin des lèvres de Kamijo.

Voir Hizaki, faisait a chaque fois un bien fou au jeune homme. Avec ses yeux verts brillants d'intelligence et d'expérience, mais de malice aussi, ses longs cheveux d'un noir profond et brillant, ses traits reposés et sa force tranquille, il était l'antithèse de Kamijo, qui était incapable de tenir en place plus deux minutes, malgré l'air neutre et calme qu'il s'efforçait de prendre avec les inconnus. Plus d'une fois, Hizaki avait dut apaiser les accès de colère ou d'émotion de Kamijo, et jamais il ne l'avait abandonné, malgré les paroles blessantes qu'il avait put lui balancer. C'était alors normal qu'il soit la alors que son ami était totalement perdu, même si il ne connaissait pas plus que lui l'amour. Jusqu'ici, la relation des 5 descendants avait été assez exclusive et complexe.

Stéphanie- Enchanté de vous connaitre !

Hizaki-De même...

Ses doux yeux verts, arrondis et aux pupilles dilatées comme les buses, se baladèrent entre Kamijo, qui tenait Stéphanie dans ses bras, visiblement très rassuré qu'elle se soit calmée. Il se sentait mal d'avoir déclenché une crise de larmes de sa part, alors qu'il détestait tellement faire du mal a ceux qu'il aimait, même sans le vouloir. Ce qui était parfaitement normal et humain.

Stéphanie-Je voulais te demander si ton ami approuvait notre début de relation, car je ne vais pas te laisser partir loin de moi je veux rester toujours dans tes bras très doux et sentir tes lèvres sur les miennes, je ne peux pas m'en passer et je voudrais l'approbation d'Hizaki pour me donner corps et âme à toi car je suppose que c'est plus qu'un ami et je ne voudrais pas le froisser ou te voler à lui.

Le jeune homme vêtu de bleu ne semblait pas faire très attention aux paroles de l'infirmière, qui pourtant, le concernaient. Mais Kamijo sourit d'un air entendu.

Kamijo- Tu sais que peux t'adresser directement a lui...Qu'en penses tu Hizaki ?

L'ancien orphelin tourna lentement la tête vers eux et sourit largement.

Hizaki-Si tu arrives a réjouir son cœur, alors je suis totalement pour. Mais je veux que tu me promette, de ne jamais le faire souffrir, sinon je t'en voudrais toute ma vie...Et lui aussi. Et cela implique que tu ne fasse pas de gestes démesurés. Comme te faire mordre par un vampire, par exemple. Dit il en souriant.

Presque instantanément, les deux mains d'Hizaki et de Kamijo se rejoignirent. Comme ils l'avaient souvent fait enfant, cette habitude de se prendre la main dès que quelque chose d'important devait être dit, était restée. Hizaki serra doucement la main de son ami, en sentant son pouls battre a mille a l'heure.

Si tu arrives a réjouir son cœur, alors je suis totalement pour. Mais je veux que tu me promette, de ne jamais le faire souffrir, sinon je t'en voudrais toute ma vie...Et lui aussi. Et cela implique que tu ne fasse pas de gestes démesurés. Comme te faire mordre par un vampire, par exemple.

Stéphanie écouta Hizaki et un sourire lui vint au lèvres, c'est normale qu'il s'inquiète pour son ami la jeune femme le savait, elle le regarda alors et répondit avec avec sincérité.

Je te le promet, jamais je ne fairais souffrir Kamijo je l'aime beaucoup trop pour ça et je ne fairais pas de geste incensé, mais par contre je vous suiverez partout ou vous irez et vous aiderez le mieux possible dans votre quête car si je me sépare de Kamijo je crois bien que j'en mourrais.

Elle détourna son regard d'Hizaki pour le reporter sur son bel ange, elle vit que les deux hommes se comprenaient rien quand se regardant et se serrèrent la main, la jeune femme leva les yeux vers le ciel qui commençait à s'assombrir, de gros nuages noirs pointaient le bout de leurs nez, elle reporta son attention sur les deux hommes et se mit à rire avec enthousiasme.

Je crois bien que nous allons avoir une belle averse et si nous ne nous mettons pas à l'abris nous allons être trempé jusqu'aux os, moi cela ne me gêne pas car je sais bien que tu me sècheras façon moldu c'est ce que je prefère.

Elle avait dit ça à Kamijo en lui faisant les yeux doux et un clin d'oeil au passage, elle se pencha vers lui et lui prit les lèvres dans un baiser passionné, et plein de sensualité.
La pluie commença à tombé drut et les trois jeune gens courrurent aussi vite que possible sous un arbre, mais le tonnerre gronda au loin et il ne fallait pas qu'ils reste là, avec les éclairs qui déchiraient le ciel le danger était imminent alors Stéphanie vit Kamijo et Hizaki se lancer un regard et ce dernier transplana laissant seul les deux amoureux.

Hizaki, était bien plus qu’inquiet pour son ami. Il avait toujours été d’une nature énormément prudente, et même trop, parfois, et ne faisait encore moins confiance que son ami Kamijo. Mais il ne le montrait pas, après tout, il ne pouvait pas toujours être sur le dos de Kamijo pendant toute leur vie. Au moins, il serait la si cette jeune femme ne tenait pas sa promesse.

Alors il sourit un peu lorsqu’elle promit :

Stéphanie- Je te le promets, jamais je ne ferais souffrir Kamijo je l'aime beaucoup trop pour ça et je ne ferais pas de gestes insensés, mais par contre je vous suivrait partout ou vous irez et vous aiderez le mieux possible dans votre quête car si je me sépare de Kamijo je crois bien que j'en mourrais.

Que la jeune femme veuille les accompagner dans leur quête affola Kamijo. Il s’apprêtait à dire quelque chose, pour la persuader. Mais quelque chose l’en empêcha. Il savait que s’il lui disait une telle chose, elle lui en voudrait. C’était surement bien mieux pour elle, mais Kamijo n’aurait surement pas supporté qu’elle meure, et encore moins pour lui.

Le tonnerre gronda au loin comme le petit chat qu’il avait adopté devant un grand chien. Comme Kamijo l’avait prédit, lorsqu’il tourna les yeux vers son meilleur ami, celui-ci observait le ciel noir avec anxiété. Il savait que l’orage serait néfaste pour lui s’il restait ici. Mais pouvait-il vraiment laisser son ami ? Tandis que des questions angoissantes tournaient dans l’esprit du jeune chanteur, le rire de Stéphanie perça le silence lourd d’électricité statique.

Stéphanie-Je crois bien que nous allons avoir une belle averse et si nous ne nous mettons pas à l’abri nous allons être trempé jusqu'aux os, moi cela ne me gêne pas car je sais bien que tu me sècheras façon moldue c'est ce que je préfère.

Kamijo regarda Stéphanie d’un air désespérément perdu. Tout allait bien trop vite pour lui. Il l’aimait certes, mais leur relation brulait vraiment trop les étapes. Si cela continuait comme cela, dans deux heures ils se mariaient.

Kamijo-Euh…Oui ! Allons-nous mettre à l’abri là-bas !

Ils se précipitèrent sous les arbres. Mais déjà, Hizaki perdait de sa vivacité. Il décida de transplaner. En quelques minutes, il s’était volatilisés. Kamijo sourit a Stéphanie et dit doucement.

Kamijo-Allons chez moi, ce n’est pas bon de rester sous les arbres alors qu’un orage se prépare.

Il la serra contre lui et ils se dématérialisèrent.

-Chez Kamijo-

Quelques temps plus tard, les deux amoureux apparurent dans le salon d’une belle maison de banlieue londonienne. Le décor était purement oriental, les lumières tamisées, et un feu crépitait tranquillement dans l’âtre. Un tout petit chat dormait, bien installé entre des coussins. La pièce était bien rangée, mais quelques instruments de musique trainaient par ci par la. La guitare d’Hizaki était posée sur le canapé, la basse de Yuu était carrément par terre dans un coin de la pièce. Comme d’habitude, la guitare de Teru était parfaitement glissée dans son étui, et la batterie de Yuki était montée au fond de la pièce, près de l’escalier qui menait aux chambres, à l’étage. Il n’y avait personne. Seul une délicieuse odeur, comme celle qui régnait dans les restaurants asiatiques, venait de la cuisine. Kamijo sourit. Teru avait dut lui préparer quelque chose à manger avant de partir.

» Dire le secret d'autrui est une trahison, dire le sien est une sottise.__Voltaire [PV Sarah Nott]
» Je voulais te dire ...
» Tu sais que tu peux tout me dire [Fe]

Sforzando...Euh, qu'est ce que ca veut dire ?

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