Une rencontre particulière [FE Flora Wayne]

HJ : C'est court mais j'essaie de me surpasser au prochain =) Ca devrait être possible -_-]

Une silhouette… Un regard dur comme le fer, froid comme la glace, gris-bleu électrique qui vous transperçait de pars en pars…
Nooon…
Une plainte, un cri, un souffle… Rien qu’un souffle… Plus rien…
Le cauchemar se termina. Tout s’effaça. Tout autour d’elle ne fut plus que néant alors qu’elle tremblait de toute la force de ses jambes bien qu’elle s’obligea à rester debout… Un souffle d’air vint effleurer sa peau tandis qu’en face d’elle se dessinait un pâle horizon aux couleurs dorées et argentées… Sentant ses membres s’engourdir, elle se laissa aller contre le sol enneigé ; à ce simple contact elle frissonna au froid. Sans bouger pourtant, elle demeura inerte, s’attendant à ce qu’on l’achève…

***
Elle ouvrit les yeux, sauta sur ses pieds, jetant des coups d’œil autour d’elle… Les battements de son cœur ralentirent, elle sembla respirer mieux, beaucoup plus calmement soudain. Elle se trouvait dans le parc de Pré-au-Lard. Un soleil printanier brillait au-dessus du paysage, répandant une douce chaleur bien que le temps demeurait frais. Elle baissa les yeux et ramassa le livre qu’elle avait eu de posé sur ses genoux. Elle le rangea et soupira, alors qu’un vent frais balayait ses cheveux et lui apportait quelques paix aléatoire à son âme. Décidant de bouger, elle se leva et marcha un peu, jusque la sortie du parc. Elle ne cessait pourtant de s’interroger tandis qu’elle marchait et un pli soucieux lui barrait le front. Alors qu’elle abordait l’entrée du parc, elle croisa une personne fort belle dont le charme et le charisme aurait perturbé tous les hommes normaux quel qu’ils étaient. D'une pâleur très extrême qui plus est... Non sans demeurer étrangement intriguée, elle la regarda passer du coin de l’œil jusqu’à ce qu’elle la dépassât. Non sans être intriguée, elle préféra rester sur ses gardes...

[hj: Moi c'est pas mieux au début non plus]

Une nouvelle journée commençais, après avoir passer la nuit dans le monde des moldus à la recherche de quoi se nourrire, j'avais regarder une nouvelle aube se lever devant moi, signe d'une journée ou le soleil allait reigner en maître. Par chance l'air était encore frais et je ne sentirais pas trop les méfaits du soleil.

Comme Yuki était aujourd'hui, j'avais décider de retourner sur Prés au Lard pour trouver mon inspiration à de nouvelles création, et oui que voulez-vous, je suis passionnée et accro à la mode. J'étais passer par la poste pour envoyer mon dernier model à ma maison de couture, car bien que je travallais depuis peu pour moi, j'avais garder bon contact avec mon ancien patron, qui se faisait toujours un plaisir de me donner des conseils sur mes modèles.

Depuis ma sortie de la poste, je marchais d'un pas léger et calme, allure humaine pour foi, et regardais droit devant moi la tête haute et le regard fière, non pas comme une sang pur loin de là, mais j'avais l'habitude de garder cette posture afin de mieux affronter le monde. Sur mon passage comme toujours je semblais rendre fou les hommes et même certaines femmes, dommage pour eux, car mon coeurr appartenais depuis peu à un jeune nippon.

Sur mon chemin, je croisais une jeune fille, surement une élève de Poudlard au vue de sa tenue, qui semblait m'observer, je n'y pretta pas plus attention comme aux autres et m'installait tranquillement sur un banc, pour lire le dernier magazine de mode professionnelle.

Une jeune femme aux cheveux rouges et au visage d'une pâleur extrême qui l'aurait presque effrayée si jamais Isa' n'avait pas connu pire comme étrangeté, passa à côté d'elle. La jeune Poufsouffle demeura immobile un long moment durant, songeant avec curiosité, s'interrogeant intérieurement sur l'étrange attitude de la jeune femme qui semblait marcher avec une élégance humaine mais pourtant surhumaine... Bella avait toujours été très observatrice ; quasiment rien ne pouvait échapper à son attention; c'est pour cela qu'elle remarqua chaque détail de son attitude, du moins en partie... Elle ne sut ni pourquoi ni ce qui la prit soudain : ses pieds semblèrent bifurquer d'eux-même, comme succombant à une nette curiosité qui émanait d'elle. Jamais encore elle n'avait expérimenté cela... Elle voulut faire demi-tour avant de repasser les grilles du parc. Pourtant, bien qu'elle essaya de ne pas ressentir une telle curiosité car à son avis elle n'en avait pas à en ressenir (ce n'était pas poli de fixer ainsi les gens ni de le suivre), elle ne put néanmoins s'empêcher de s'approcher. C'était comme si le monde entier s'était lié contre elle afin qu'elle ne puisse pas détourner les pieds de son propre destin qui se dessinait peu à peu chaque jour devant elle... Isa' se sentit frisonner à la seule pensée de cela. Lorsque celle-ci vint à elle. Elle n'y comprit rien cependant. Pourtant, elle continua de marcher à allure lente en direction de la jeune vampire... ou plutot étant donné qu'elle ignorait, vers la jeune femme à l'allure étrange.

Elle s'immobilisa à quelques mètres de la silhouette, s'arrêtant à côté d'un être au vieux tronc et au feuillage encore fourni et s'y adossa, ne sachant que faire mais ne parvenant toujours à rebrousser son chemin. Elle sentait inconsciemment que quelque chose lui soufflait de se rapprocher.. Mais quoi donc?!...

La jeune femme d'un pâleur de marbre s'était installée sur un banc. Elle semblait lire quelque chose... Un livre sans aucun doute. Bella n'eut qu'à se pencher très légèrement surla droite pour distinguer un magazine ouvert devant elle. *Bella, fais demi-tour... Tu es douée d'un telle curiosité parfois que tu m'effraie presque*, se morigéna t-elle bien que malgré sa réprimande, elle ne put faire un geste pour s'éloigner et rentrer plutôt à Poudlard. Et le pire, c'était qu'elle avait peur que la jeune femme ne se retourne vivement et qu'elle ne la voit. Bella savait qu'elle agissait avec une étrangère impolitesse qui lui était toujours inconnue et très rare. Elle se força à baisser le regard afin de regarder ses pieds. Elle ne voulait absolument pas que quiconque se sente espionner par elle... Et c'était l'impression oppressante qu'elle avait : d'espionner.

[HJ : J'espère pouvoir répondre le plus rapidement possible... XD ]

[hj: prend ton temps]

J'étais plongée dans mon magazin de mode, à chercher ma dernière création, que je trouvais à la seconde page, il n'y avait que la photo, et un tout petit article, avec mon nom, mon prénom, et le nom de ma création, mais c'était déja un début, j'étais d'ailleurs plutôt fière de moi, mais hors de question de rester sur mes lauriers, il fallait que je continue à travailler encore et encore, car je voulais être sur la première page de se magazine, si prisé et connus dans le monde.

Tout en continuant de la parcourir, je sentie un regard sur moi, plus qu'insistant à mon goût, mais je ne pris pas plus garde que çà, car après tout, ce n'étais pas nouveau, dès que je sortais en ville, que se soit dans le monde moldu ou celui des sorciers bon nombre de personnes se retournait à mon passage, et çà devenait plus qu'aggaçant, car je n'avais pas choisi ce que j'étais, mais je l'assumais avec fièreté et non honte.

Je fini par lever les yeux de mon magazine, pour voir d'où venait cette sensation d'être continuellement observer, puis balaya du regard le parc, et remarquais qu'il s'aggissait de la jeune fille de Poudlard que j'avais croiser à mon entrée dans le parc. Elle semblait observer ses chaussures et j'en profitais pour me lever discrètement et me faufiler derrière elle.

Tu sais que ce n'est pas très polis d'observer les gens ainsi?! lui dis-je d'une voix douce pour ne pas l'effrayer

Les lacets noués. Concentration absolue alors qu'Isa' était en train de se souvenir d'un très beau poème italien pour le réciter dans sa tête ou à voix basse afin de détourner son attention.

Non ti auguro la vita di una stella. sarebbe troppo lunga,
Non ti auguro la vita di una rosa, sarebbe troppo corta,
Ma ti auguro che la tua vita sia bella come una rosa e brillante come una stella!

Ce court poème avait bercé son enfance... Passé, enfance,... futur... passé... Isabella en ressentit sudain une atroce migraine... Elle n'en démordait pas moins. Voici ce sur quoi elle fixait avec insistance son attention lorsque soudainement, la jeune fille sursauta et faisant soudain volte face, elle se retourna sur cette même personne qu'elle avait observé et suivie jusqu'ici... Elle resta un moment complètement abasourdie alors que son regard passait du banc où elle était certaine avoir vu la jeune femme assise, et l'endroit où elle était à présent. Comment avait-elle pu franchir cette distance sans qu'Isabella ne s'aperçoive de ses mouvements ? Comment... Honteuse en entendant ses paroles, elle baissa vivement les yeux puis, les releva en répondant 'une voix d'excuses...

- Je suis désolée... Je n'ai pas voulu paraitre impolie... c'est juste que...

Elle s'interrompit soudainement, bien incapable d'expliquer ce qui lui avait pris soudain. Elle s'éloigna de l'arbre, fit un pas sur le côté, jeta un coup d'oeil vers le banc, revenant indécise sur la jeune femme en face d'elle... Toujours mi indécise, mi admirative... Sans comprendre, ses yeux papillotèrent, d'ébahissement

- Comment... Je ne vous aie pas vu... vous déplacer...

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