Lorsqu'il fit un petit oui de la tete, le jeune homme se sentit rassuré. Qui sait ce qui serait advenu si le jeune homme avait décidé d'amener sa petite amie. Aoi était sur qu'au fond la jeune femme était quelqu'un de bien. Mais si ici elle choquait Aoi et les autres, qu'est ce que ce serait au Japon ? Ou toutes les traditions étaient très importantes, elle n'aurait pas été accepté et le week end des jeunes hommes aurait sans aucun doute été écourté parce que plus personne ne voudrait d'eux. Ils ne pouvaient pas se permettre une chose pareille, le guitariste n'aurait pas put le supporter.

-Oui,on ira a un cos play,et tous...

-Merci, tu ne pouvais pas me faire plus plaisir...

Il serra longtemps et fort dans ses bras, il soupira doucement et lui dit.

-Bon, et si on les rejoignait maintenant ?

Il fit oui de la tete il vallait mieux,oul es autres allait vraiment se poser des question. mais il lui fit signe d'attendre quelques minutes,Yuki se netoyat le visage et se remaquillat afin qu'on ne voitpas qu'il ai pleure. il commençat a netoyer le visage de son frere,puis le maquillat a l'identique d'avant. Puis il lui prit la main et l'emmenat dans le salon...

A

Aoi allait se faufiler a l'extérieur de la chambre lorsqu'on son frère lui fit signe d'attendre. Silencieusement, il le regarda se maquiller, assis sur le lit, puis son frère s'approcha de lui, mouilla délicatement son doux visage pour retirer les traces de maquillages, et le remaquilla avec la plus grande douceur du monde, ce qui n'arrangea pas son sentiment profond de culpabilité.

Enfin, ils sortirent de la chambre, l'air neutre, comme si rien ne s'était passé. Les trois garcons étaient assis dans le grand sofa, et avait laissé au couple le siège en face d'eux. Il sentit qu'ils n'avaient pas du faire grand choses pendant leur absence, tous tiraient une tronche de 35.000 kilomètres de longs. Yuji alla de glisser entre Chiyu et Masato, dont il prit une nouvelle fois la main.

Un pesant silence s'installa dans la pièce. Il espérait que maintenant la jeune femme serait un peu plus douce dans ses propos, parce qu'il n'arriverait pas du tout a l'accepter. Et pourtant il fallait bien qu'il finisse par l'aimer, pour son frère jumeau.

Je laisse aoi faire,convenu par mp ^^

Et pourtant, en croyant que jamais il n'arriverait a percevoir une petite part de douceur dans les yeux de cette jeune femme, la lueur qu'il aperçut dans ses prunelles si froides lorsqu'il croisa son regard fut si intense qu'il lui arracha le cœur. Peut etre que finalement lui et les autres membres du groupe se trompaient, qu'ils avaient jugé trop vite la jeune femme. Mais avant qu'il n'ait put s'excuser, ne supportant pas que quelqu'un souffre a cause de lui, elle prenait la parole.

-je t'aime ma douce...

Moi aussi, mais non je ne veux rien visiter, je ne me sent pas à mon aise ici, pas vis à vis de toi et d'Aoi, mais j'ai bien vue que personne ne semble m'apprécier. Je suis différente de toi, mais c'est mon éducation qui fait que je suis comme ça, et tu devrais le savoir, je suis une serpentard, et j'ai beau faire tout les efforts du monde, je suis pas à mon aise, et je ne le serais jamais.

Aoi ouvrit et referma la bouche plusieurs foi, bouche bée, et Masato se mordilla la lèvre, l'air perdu. Le jeune guitariste n'en revenait pas. Yuki était entrain de perdre la femme qu'il aimait sous ses yeux, et tout ca parce qu'il ne supportait pas le language trop cru de la serpentard.

Tu es quelqu'un de formidable Yuki-kun, et je suis sûr que les autres aussi, mais moi je ne suis pas fait pour vos coutumes, ni ton monde. Tout nos opposes... Pardon Yuki-san.

Elle sortit, laissant les musiciens perplexes et perdus. Yuki allait s'effondrer d'un moment a l'autre, et au moment ou celui ci trébucha,Aoi le fit doucement s'asseoir. Il se mit a genoux devant lui et lui fit un doux sourire rassurant.

-J'y vais, ne t'inquiètes pas...

Et dans un coup de vent il sortit, laissant a Masato, Chiyu et Mitsuru, le soin de s'occuper de Yuki. Heureusement, la jolie brune n'était pas très loin, Aoi n'eut aucun mal a lui courir après. Dans le hall du batiment, il l'appella.

-Annaelle ! Attends !

Enfin, il s'arreta de courir, soufflant et reprenant peu a peu son souffle, il soupira et passa sa main dans ses cheveux afin de se relever. Comment dire qu'il avait été idiot et qu'il s'excusait a une telle jeune femme ? Elle troublait, elle lui faisait peur, c'est pour cela qu'il s'était braqué. Mais avant qu'il n'ait put parler, elle le repoussa, le jeune homme eut un léger hoquet.

Laisse moi Aoi-san. J'ai bien vue, que personne ne semblait m'apprécier chez vous et je ne veux pas que l'amour de ton frère ou votre amitié au sein de votre groupe soit brisé à cose de moi, çà me ferait trop de peine.

Le jeune homme secoua vivement la tete et rétorqua.

-Si il y a bien quelqu'un qui ne le brisera pas, c'est toi. Je voulais m'excuser, je n'ai pas été courtois avec toi. Mais j'avoue que j'ai très peur de ce qui est nouveau, et ta facon de parler m'a un peu choqué, parce que je n'ai encore jamais rencontré quelqu'un comme toi.

Il la regarda dans les yeux en froncant les sourcils. Tout ce qu'il avait dit la avait été difficile a avouer, mais il l'avait fait, il avait ouvert son coeur a une inconnue.

Yuki-kun a été le premier petit ami que j'ai eue et je pensais me faire enfin des amis, qui m'accepterait malgrés le faite que je vienne de la pire maison de Poudlard, mais je me suis trompé, Yuki et moi sommes complètement opposé l'un a l'autre, il aime les couleurs et moi le sombre, il est la nuit et je suis le jour, tout nous rapproche mais tout nous éloigne aussi. Alors je préfère me sacrifier et de voir vous sacrifier. Prenez soin de vous les uns, les autres.

Elle se pencha vers lui et déposa ses lèvres sur sa joue avant de disparaitre. Il se rendit compte qu'il pleurait, il pleurait comme un enfant. D'autant plus qu'il commencait a pleuvoir. La tete baissée, il rentra a l'intérieur, et monta lentement les escaliers jusqu'a son appartement en se mordillant le doigt.

Il ouvrit la porte de l'appartement, et y trouva un Yuki qu'il ne reconnaissait pas. Un poids plus lourd que jamais s'abattit sur son cœur alors que dehors la pluie redoublait d'intensité,au loin grondait l'orage.

-Pardon Yuki...

Il sortit sur le balcon ferma la porte derrière lui, la pluie trempa instantanément ses vetements. Ses cheveux lui collèrent au front, il se dirigea vers la rambarde du balcon, ou il s'assit au dessus du vide. Si il bougeait, maintenant, il tombait. Ce qu'il ne voulait pas, bien entendu. Il ne voulait pas mourir, mais il était bien, ici, il pourrait pleurer a sa guise, personne ne le verrait.

Yuki avait besoin plus que jamais de son frère et de ses amis... Il n'en voulait pas à son frere entrangement,il n'en voulait qu'a une seue personne,lui meme...Il venait peutbetre de eprdre la femme de sa vie,il retournerait la voir,maispas maintenant il etait trop faible pour ça. Il ouvrit la porte du balcon et femrat par magie derriere lui il s'assit sur le sol,en regardant ses pieds... Puis dit à aOI

-Tu n'y peux rien aoi,kun...C'est pas de ta faute...

Il sortit de sa poche,un peit morceau depapier,ou etait grifonner quelques petit mot...Lui venant de son frère,c'etait quelque chose,qu'il gardait toujours sur luidepuis qu'il l'avait eut,il y a 5 ans,alors qu'il etait à l'hosto...

-Nous c'est pour la vie Aoi?

Ses tresses retombantes, il avait l'air d'un petit chiot abandonné.La pluie glissait sur ses joues, cachant a la vue de tout le monde les larmes qui roulaient en abondance sur ses joues. Il murmura les paroles d'une chanson de son groupe préféré, Merry. Le jeune homme avait une très belle voix douce et enfantine, mais la guitare l'avait toujours emporté sur le chant, dans la musique. Peut etre qu'un jour il chanterait, sait on jamais.

Il entendit la porte s'ouvrir et se fermer derrière lui, mais il ne bougea pas d'un pouce, ne s'arreta pas de chantonner, avant que son frère lui dise.

-Tu n'y peux rien aoi,kun...C'est pas de ta faute...

-Si c'est de ma faute...

Murmura t'il, accablé. Avec délicatesse, il passa ses jambes par dessus la rambarde, et rejoint le jeune blond, il s'assit par terre, près de lui et passa son bras autour de ses épaules. Takeru sortit de sa poche un morceau de papier jauni qui lui rappelait énormément de souvenir. La chute de Takeru dans la mer, sa tete se frappant violamment sur un rocher, et ces heures entières qu'il avait passé a l'hopital a écrire une chanson pour son frère sur un bout de papier.

-Nous c'est pour la vie Aoi?

-Et meme plus, dit il dans un petit sanglot. Il laissa son frère jumeau se blottir dans ses bras.

Yuki

J'edite,je dois y aller

Yuki se sentait comme protege dans les bras de son frere,pourtant le quel des deux etait le plus fragiles,bonne question,sans doutes les deux... Il deposat sur les mains de son frere des petit baisers,ravi d'enttendre ça sortir de sa bouche... Il dit

-Tu sais,j'en ai jamais vraiment parler,mais...Mamou,me manque terriblement

Mamou,etait leur nounou grec,qui avait etait un peu la mere qu'ils n'eurent jamais,souvent Yuki disait qsu'il naque de la presence de sa mere,mais il ne parlait presque jamaisde Mamou

HJmauvais perso

Yuki était un peu plus grand et plus fort que Yuji, cela c'était très vite vu. En primaire et au collège, c'était toujours Yuki qui protégeait son jeune frère. Lui il était le petit bonhomme qui aimait écrire, qui aimait la musique et qui aimait se faire remarquer, il n'avait pas la réputation de quelqu'un de fort, et souvent il avait envié son frère.

Après, tout avait changé. Yuji avait réussi a se forger un caractère en béton alors que Yuki, avait prit la vie un peu trop a la légère comme il la prenait au collège. Il avait rapidement appris que la force physique ne comptait pas, mais c'était le mental, le plus important.

-Tu sais,j'en ai jamais vraiment parler,mais...Mamou,me manque terriblement

-Oh moi aussi...Dieu seul sait ce qu'elle est devenue...

Il sentit ses yeux le picoter, et les larmes perler doucement a ses paupières. Comme il avait aimé Mamou ! C'est elle qui lui avait fait découvrir les livres, et surtout la musique traditionnelle. C'est grace a elle qu'il avait découvert sa passion pour la guitare. Il sourit avec nostalgie en y repensant.