Maintenant on ne se quittera plus [fe Eli][FINI]

Dans une rue animée de la célèbre ville de Londres, alors que toute chose vivante ou non était en mouvement constant, entre les bureaucrates toujours pressés, les familles qui faisaient les courses ou les groupes de copines qui faisaient du lèche vitrine, on pouvait voir si on y faisait attention, un homme, seul pour le moment. Adossé contre un mur a coté de la vitrine d’une boutique de mariage (tien un pur hazard :arrow: ) On pouvait voir une paire de lunette de soleil remonté sur ses longs cheveux brun et il était habillé le plus simplement du monde d’une chemise blanche a manches longues retroussées à hauteur de ses coudes, d’un jeans bleu savamment déchiré à certains endroits et d’une paire de tennis. Solal savait qu’il était en avance alors il s’était permis de se laisser aller dans ses pensées, ne faisant pas attention a un groupe de jeunes femmes qui s’extasiait devant les somptueuses robes de mariée a des prix exorbitants. Non, lui il repensait à la dernière fois qu’il avait vu Elisabeth. Dans la cabane hurlante et plus jamais ils ne seraient obliger de se cacher dans cette vieille cabane hideuse et craquant de partout. Elle n’était plus élève et il savait de source sure qu’elle avait obtenus ses examens.

Un léger sourire naquis sur les fines lèvres du mangemort et il se souvint de la promesse qu’il s’était fait ce jour là et il l’avait tenu, quelques jours après leurs dernier rendez vous, il avait envoyer une rose rouge a Elisabeth avec un simple petit parchemin enroulé autour. Parchemin qui ne contenait que trois petits mots. ‘‘je t’aime’’. Il n’avait pas écrit plus, par peur qu’on n’intercepte le hibou avant destination mais il savait qu’Elisabeth saurait qu’il s’agissait de lui. Aujourd’hui, ils avaient rendez vous pour diner ensemble du coté moldu pour avoir plus de chance de ne pas être déranger et il attendait sa venue par ce qu’il savait que cette fois, leur temps passé ensemble ne serait plus limité… Solal releva la tête et scruta les alentours pour la voir arriver de loin. Il ne voulait pas manquer une seconde pour pouvoir la regarder.

Enfin, un des moments les plus attendus pour Eli était arrivée, elle avait obtenu ses ASPIC avec mentions et avait enfin pu quitter Poudlard. Elle n’était désormais plus une élève et elle pouvait maintenant voir son cher et tendre sans fin. La belle brune n’avait plus à s’en faire pour l’heure, elle ne devait plus rentrer au collège. Peu de temps avant la fin de sa scolarité, la jeune femme avait reçu une simple rose rouge avec un morceau de parchemin comportant trois simples mots, « je t’aime ». Elisabeth avait immédiatement su de qui venait ce message, Solal. Elle s’était alors empressée de le montrer à Séléna qui s’était réjouie du bonheur de sa meilleure amie. Les deux jeunes femmes avaient brillamment réussi leurs examens et les parents d’Elisabeth lui avaient laissé champ libre pour les vacances avant son intronisation au sein des mangemorts. Enfin, la belle brune était totalement détendue et vraiment heureuse d’être enfin libre. Plus jamais elle n’aurait à retourner à Poudlard et elle pourrait enfin se consacrer aux deux choses qu’elle voulait le plus au monde, son homme et les mangemorts. Ses parents étaient vraiment très fiers de ses résultats et aimeraient qu’elle fasse des études supérieurs en étant dans les mangemorts en même temps mais ça, Elisabeth n’avait toujours pas de réponse à leur supplication, elle ne savait pas si elle désirait reprendre des études ou non.

Ce matin-là, la jeune femme s’était éveillée dans la chambre de son enfance toute tapissée de vert et argent (et oui, serpentarde dès sa naissance). Elle s’était étirée et s’était levée rapidement. L’ex verte et argent s’était alors dirigée vers sa salle de bain et avait prit une longue douche, se lavant les cheveux. La jeune femme avait rendez-vous avec son amoureux et voulait être parfaite. Elle sortit alors de la salle de bain, un peignoir rose recouvrant son corps et un essuie sur les cheveux. Elisabeth ouvrit alors sa penderie et sortit toutes ses tenues pour choisir celle qui conviendrait. Après de nombreux essayages infructueux, la belle brune opta pour un petit ensemble, jupe et t-shirt. Le tout était dans la simplicité la plus totale, en même temps, son cher et tendre l’attendait à Londres, du coté moldus et elle ne tenait pas spécialement à se faire remarquer par des tenues extravagantes. La jeune femme se regarda alors devant son miroir et fit un chignon de mèches bouclées, y plaçant de petites fleurs blanches assorties à sa tenue. Elle se maquilla légèrement et descendit l’escalier la menant dans le hall d’entrée.

Eli passa rapidement par la cuisine où son petit déjeuner l’attendait sur un plateau d’argent qu’elle attrapa avant de monter dans le salon. Les parents d’Elisabeth étaient déjà partis au travail et elle avait une paix royale. Elle déjeuna tranquillement avant de se diriger vers le hall d’entrée, laissant au passage un petit mot d’explication à ses parents. En effet, les Swann n’avaient toujours pas rencontré Solal mais cela ne tarderait pas à arriver. La belle brune se dirigea alors, à travers le jardin, vers le portail qu’elle passa en vitesse avant de transplaner vers Londres. La belle se retrouva alors tout près du point de rencontre qu’ils s’étaient fixés. Elle jeta un rapide coup d’œil autour d’elle et l’aperçu. Son cœur s’emballa, il était plus beau que jamais et tellement sexy. La jeune femme accéléra alors l’allure, passant devant une boutique de mariage où la vitrine était très attrayante mais elle n’y accorda qu’une petite attention. Eli arriva alors à hauteur du beau brun et se lança dans ses bras, ne lui laissant même pas la possibilité d’exprimer le moindre mot avant de l’embrasser passionnément. La jeune femme avait attendu ce moment avec la plus grande impatience. Enfin, ils n’étaient plus obligés de se cacher, ils pouvaient maintenant s’aimer au grand jour. La jeune femme eut alors une brève pensée pour sa meilleure amie qui désirait tant revoir son oncle.

« Je suis tellement contente de te voir enfin mon amour ! Tu m’as tellement manqué. »

La jeune femme n’en dit pas plus, elle n’en avait pas besoin. Elle savait que le beau brun pensait comme elle.

Solal scrutait les alentours, ne se souciant pas du soleil qui se reflétait dans ses yeux et faisait scintiller ses prunelles émeraudes, ne se souciant pas plus de la femme qui le dévorait des yeux plutôt que de s’intéresser aux affabulations de son amie. Il ne voyait plus rien, il ne voyait plus qu’elle… Cette magnifique apparition en jupe qui venait de sortir d’un coin sombre de la rue un peu plus loin et se dirigeait vers lui avec ce qui lui semblait être une lenteur agonisante. Alors qu’elle avançait le plus normalement du monde, il avait l’impression de se trouver devant un film qu’on aurait mis au ralentit tellement fort qu’il allait presque a reculons… Tout a sa contemplation, il se tourna vers Elisabeth, un léger sourire presque imperceptible aux lèvres, ne se souciant guère plus de l’autre bonne femme qui commençait a papillonner devant lui, c’est tout juste si elle n’inondait pas le trottoir de bave (non mais y en a je vous jure !! Lol) Mais Solal lui ne voyait qu’une chose, c’était les deux prunelles noisette qui le fixaient avec bonheur et ce qui ressemblait a une sorte de désir. Peu être tout simplement de l’amour.

Alors qu’elle arrivait à sa hauteur, elle se jeta littéralement dans ses bras (poussant légèrement l’autre au passage mais tout le monde s’en fou, surtout Eli et Solal) Puis elle l’embrassa sans autre forme de procès (lol suis pas nette aujourd’hui) Un doux baisé remplis de passion et dans lequel on pouvait sentir toute la frustration de l’ancienne Serpentard s’envoler. Baisé auquel le vilain mangemort sadique et sanguinaire répondit avec délice et en redemandant naturellement tout en passant lentement mais avec assurance ses bras dans le creux des reins de sa chère et tendre (enfin pas sur ça) et en la serrant tout contre son torse dans la quête infinie d’être le plus en contact possible. (Mais bon faut pas exagérer, ils sont en pleine rue). Trop vite au gout du mangemort, elle se détacha légèrement pendant qu’il veillait a ce qu’elle reste dans ses bras, puis il pu enfin entendre sa magnifique voix.

« Je suis tellement contente de te voir enfin mon amour ! Tu m’as tellement manqué. »

Solal sourit et ne répondit pas à la phrase d’Eli, il savait qu’elle savait qu’il pensait tout comme elle a se niveau là alors a quoi bon débattre pendant des heures ? A rien et puis il avait une activité bien plus intéressante et qui consistait à dévorer Elisabeth des yeux pendant quelques minutes d’un pur bonheur. Puis il se pencha vers elle et lui offrit un baisé plus réservé avant de passé un bras dans le dos de la jeune femme et de l’entrainer doucement a travers la foule, ne voyant pas une seule seconde qu’ils venaient d’anéantir les rêves factices de l’autre femme devant la vitrine de robes de mariée.

-Tu es magnifique dans cette tenue, même si tu es toujours la plus belle des femmes. Je voudrais savoir, tu as reçu mon cadeau ?… Oh et… Félicitation pour tes A.S.P.I.Cs

De loin, la jeune femme avait aperçu l’homme de sa vie et s’en était approchée avec grâce et élégance. Une jeune femme était placée non loin de lui et bavait littéralement devant le magnifique visage de Solal. Une bouffée de colère s’empara de la belle brune. Comment cette mégère osait-elle poser les yeux sur son amoureux ?? L’ex verte et argent n’accéléra cependant pas l’allure car elle s’aperçu que le beau brun ne prêtait aucune attention à cette fille et la fixait elle du regard. Ses prunelles émeraude brillaient, grâce au soleil radieux de cette matinée. La belle brune avait parfois peine à croire qu’un aussi bel homme puisse s’intéresser à elle et vouloir passer le restant de ses jours à ses cotés. Enfin, Elisabeth arriva à la hauteur de Solal et, poussant cette fille au passage, embrassa tendrement son amoureux. Elle se sentit alors attrapée par les bras du beau brun qui l’entourèrent, la faisant prisonnière des bras du mangemort. La belle brune plongea alors son regard noisette dans celui du jeune homme, elle ne se lassait pas de le contempler. Le mangemort lui sourit tendrement. Il n’avait pas besoin de lui dire ce qu’il ressentait pour elle, la belle brune le savait juste en plongeant son regard dans celui du jeune homme.

Le mangemort dévora la brunette des yeux durant quelques minutes avant de passer son bras à la taille d’Elisabeth et de l’entrainer à travers la foule dense des rues de Londres. En partant, la jeune femme se retourna vers la femme qui venait de retomber dans la dure réalité et lui décocha un petit signe de la main, un sourire sadique sur les lèvres, un petit rire mesquin s’échappant de ses fines lèvres. Et oui, la jeune femme était déjà une mangemorte jusqu’au bout des ongles. Les deux amoureux commencèrent alors leur balade le long des boutiques d’une grande rue londonienne. Souvent, les vêtements étaient très beau mais ne convenait aucunement au monde auquel les deux jeunes gens appartenaient. Elisabeth s’arrêtait souvent pour observer les différentes boutiques. Solal s’adressa alors à elle, lui demandant si elle avait reçu son cadeau et la félicitant pour ses ASPIC. La belle brune s’arrêta et se retourna vers son cher et tendre.

« Oui, j’ai reçu ton cadeau et j’en ai été très heureuse. Je suis contente d’avoir réussi mes ASPIC, au moins je ne suis plus obligée de rentrer au collège et je peux rester autant de temps que je veux à tes cotés sans avoir peur de me faire prendre. Tu es très beau, le blanc te vas à merveille, ça te donne un petit air angélique mon cœur.»

Le jeune homme la complimenta également sur sa tenue. Il avait un air d’ange qui cachait bien sa mature profonde. A les voir tous les deux, personne n’aurait pu se douter que ce beau brun était un mangemort solitaire et que la jeune femme à ses cotés s’apprêtait à suivre le même chemin. Les gens les regardaient parfois avec insistance et pourtant, la belle brune ne trouvait pas qu’ils avaient l’air différent des autres couples. La jeune femme embrassa tendrement son amoureux avant de se remettre en marche. Elisabeth ne se lassait pas de sentir les bras du beau brun autour de sa taille, la protégeant et la rendant inaccessible pour les autres.

Quand il amorça le mouvement pour partir, Elisabeth le suivit sans broncher mais Solal remarqua qu’elle s’était tourner pour faire un signe a quelqu’un. Plein de curiosité, il tourna la tête en direction du signe de main d’Elisabeth et il remarqua alors avec stupéfaction une femme plus ou moins jolie qui s’apprêtait a pleurer et qui, après le rire narquois d’Eli qui plut énormément a Solal, sembla des plus en colère. La pauvre si jamais elle tentait quoi que ce soit, elle ne savait pas a quoi s’attendre… Mais elle ne tenta rien et Solal déposa un baisé sur la tempe de la brunette tout en continuant le chemin. La laissant s’extasier sur certaines vitrines avant de lui poser la question qui le démangeait depuis plus d’une semaine. Question a laquelle elle ne tarda pas a répondre tout en se tournant face à lui.

« Oui, j’ai reçu ton cadeau et j’en ai été très heureuse. Je suis contente d’avoir réussi mes ASPIC, au moins je ne suis plus obligée de rentrer au collège et je peux rester autant de temps que je veux à tes cotés sans avoir peur de me faire prendre. Tu es très beau, le blanc te vas à merveille, ça te donne un petit air angélique mon cœur.»

Solal rit légèrement de la dernière remarque de sa merveilleuse chérie. C’était en effet un point qu’il avait en commun avec Séléna, ils n’avaient pas des visages de vilains mangemorts… C’était un avantage et Solal savait que si on se retournait sur lui coté moldu c’était par ce qu’on le trouvait beau. Chose qui semblait agacer Eli et qui mettait en émois son petit coté jalouse ce qui plaisait aussi énormément au mangemort. Il se félicita intérieurement de s’être vêtu de cette façon mais ne dit rien et répondit promptement au baisé de sa dulcinée. Apres quoi il la repris immédiatement dans ses bras pour reprendre la marche. Il avait beau ne le démontrer a personne encore, il avait bien remarquer les regards lubriques que la plus part des hommes lançaient sur Elisabeth à son passage et instinctivement il resserrait un peu plus son bras autour d’elle, par pur jalousie et possessivité. Il faisait attention mais viendrait le moment où il n’arriverait plus a se contrôler et où il s’en prendrait à celui qui la regarderait d’un peu trop près et dans ces cas là, l’autre ne serait pas beau a voir…

-Je suis contant de ne pas avoir été élève en même temps que toi… Je crois qu’il y aurait eu plus d’un mort dans le cas contraire…

La voix était légèrement froide et il avait parler a voix haute sans vraiment y faire attention, il fixait un homme en couple qui déshabillait littéralement Elisabeth du regard et qui ne semblait pas se préoccuper de la présence de Solal. Il ne sembla pas entendre ce qu’il venait de dire non plus et Solal se faisait violence pour ne pas aller lui montrer qu’il ne s’agissait pas de paroles en l’air dites dans le seul but de lui faire peur… Quand il disait quelque chose, il le pensait et tuer quelqu’un ne l’avait jamais déranger… Ce n’était donc pas maintenant que ça l’ennuierait… Mais il s’en empêchait il ne voulait pas être déranger et Elisabeth ne l’avait encore jamais vu dans son état de vilain méchant…

Les deux jeunes gens reprirent alors leur promenade à travers les rues de Londres. Solal ne rechignait jamais à laisser sa belle s’extasier devant les vitrines des grands couturiers moldus. Il faut bien avouer que la brunette adorait les vêtements et encore plus tout ce qui était tendance. Elle avait beaucoup de chance d’avoir une mère styliste qui exécutait ses moindres désirs. D’ailleurs, Elisabeth avait déjà fait part à sa maman de son envie qu’elle crée pour elle sa robe de mariée lorsque le moment serait venu. La jeune femme ne pouvait s’empêcher de dévisager méchamment toutes ces pimbèches qui osaient poser le regard sur son cher et tendre. Et oui, notre petite Eli est d’une jalousie maladive. Non pas qu’elle doute un seul instant des sentiments du beaux bruns envers elle mais le regard des autres femmes envieuses sur son amoureux la mettait hors d’elle et encore plus quad ces dernières étaient également accompagnées. Cependant, Solal ne semblait remarquer personne d’autre que sa dulcinée ce qui fit sourire la jeune femme. Pourtant, au fur et à mesure de leur avancée, les bras du mangemort se refermaient de plus en plus autour de la taille de guêpe de la jeune femme en signe de possession et de protection.

La belle brune était comme dans un rêve, elle adorait se retrouver en compagnie de Solal, en plein air, sans avoir à se cacher. Cependant, leurs escapades à l’air libre n’étaient possible que du coté moldus en vue de leur statut respectif du coté des sorciers. Le beau brun glissa alors quelques mots au creux de l’oreille d’Elisabeth. Il lui avouait qu’il était content de ne pas avoir été élève en même temps qu’elle sinon il en aurait tué plus d’un. La brunette savait très bien que le beau brun était on ne peut plus sérieux. Un rire cristallin s’échappa alors des lèvres fines de la jeune femme. Elle voyait déjà la scène se dérouler dans sa tête, son superbe mâle aux prises avec une dizaine d’autres garçons pour gagner le cœur de la belle. La jeune femme tourna alors son regard noisette vers l’amour de sa vie, un petit sourire narquois sur les lèvres.

« Alors, comme ça tu es prêt à tuer pour moi ! C’est une bonne nouvelle. De toute façon, si tu avais été élève en même temps que moi, tu peux être certain que je n’aurais eu d’œil que pour toi mon cœur. Tu t’imagines le beau trio que nous aurions pu former, Sély, toi et moi ??»

La jeune femme était déjà en train d’imaginer les escapades nocturnes qu’ils auraient pu réaliser ensemble. Bien sur, les deux jeunes femmes avaient fait leur quota de choses interdites et dangereuses, manquant plusieurs fois de perdre la vie. Cependant, les deux vertes et argent s’en étaient toujours bien sortie, sans aucune égratignure. Il formait vraiment un des plus beaux couples que l’on pouvait voir dans les rues de Londres. Si Solal n’avait pas été un mangemort aussi recherché, ils auraient eu tout le loisir de s’afficher en public et aurait certainement été admiré par plus d’une personne. En effet, les parents d’Eli avaient eu leur heure de gloire, la mère de la brunette était déjà connue comme une grande styliste et son père comme un très bon parti. Ils s’étaient alors rencontrer et avaient formé un couple des plus en vogue, ils l’étaient encore à l’heure actuelle. Elisabeth savait pertinemment bien qu’ils seraient certainement bien vus dans la bonne société mangemorte et qu’ils formeraient un beau couple durable.

Oh joie, émerveillement, pur moment de bonheur, elle riait… Bien que son visage restait totalement impénétrable, on pouvait lire dans les yeux du mangemort a quel point il aimait ce rire et surtout a quel point il aimait en etre la cause. Solal aurait tuer pour entendre se rire et d’ailleurs qui sait, peu etre qu’elle en rirait parfois… La folie des mangemorts ne peut aller qu’en grandissant au fils de leurs crimes et c’est logique, seulement, certain sont déjà plus fou que d’autre quand ils arrivent… Il se retrouva une fois de plus dans son petit monde où le rire cristallin de la jeune femme raisonnait en écho perpétuel puis il la vit bientôt se tourner vers lui et savait qu’elle avait l’intention de lui répondre alors il raccrocha et écouta avec attention.

« Alors, comme ça tu es prêt à tuer pour moi ! C’est une bonne nouvelle. De toute façon, si tu avais été élève en même temps que moi, tu peux être certain que je n’aurais eu d’œil que pour toi mon cœur. Tu t’imagines le beau trio que nous aurions pu former, Sély, toi et moi ??»

Solal ne releva pas, bien entendu qu’il tuerait pour elle, il serait même prêt a mourir pour elle. Il aurait fait n’importe quoi si elle le lui avait demander. Mais ça, bien qu’il savait qu’elle s’en doutait, il ne l’aurait avouer pour rien au monde. Il n’aimait pas ça, il considérait ça comme une faiblesse et s’en était une tant que ses ennemis pourraient s’en servir contre lui. Mais il aurait échanger cette ‘‘faiblesse’’ pour rien au monde. En entendant la fin de la phrase, il ne pu s’empêcher d’y penser. Alors qu’ils continuait sa route, suivant Elisabeth sans faire attention où il allait. C’était assez paradoxal pour lui de s’imaginer élève au même âge que sa nièce, il avait toujours fait office de figure paternel pour elle-même s’il ne s’était jamais pris pour son père.

Il sourit en imaginant tout de même toutes les facéties qu’ils auraient pu inventer et les crises cardiaques consécutives qui en auraient résulter naturellement, même au collège, même s’il devait se tenir a carreau, Solal était loin d’etre gentil quand on l’embêtait de trop prés. Chose qui était bien plus rare en fin d’étude qu’en début… Il avait déjà eu le temps de se forger une réputation. Perdu dans ses souvenir, le regard rêveur et un léger sourire aux lèvres, totalement inconscient du fait qu’il pouvait etre irrésistible comme ça, il avançait, ne faisant plus attention aux autres hommes, il valait mieux pas sinon il aurait tuer une bonne fois devant tout le monde rien que pour l’exemple. Ce fut finalement d’une voix rêveuse au début qu’il répondit a Elisabeth avec un léger rire rauque.

-Tu sais… Ca n’aurait pas été une bonne idée finalement… Alors, où allons nous princesse ?

La jeune femme lui parla alors du magnifique trio qu’ils auraient pu former avec Séléna. Elisabeth pouvait déjà imaginer les nombreuses péripéties qui auraient peuplés le quotidien des trois jeunes gens. Déjà rien qu’en compagnie de Sély, les deux jeunes femmes avaient fait les 4OO coups à en faire pâlir plus d’un. Le beau brun ne répondit pas immédiatement à Elisabeth, il semblait plonger dans ses souvenirs. On pouvait voir dans les yeux émeraude du jeune homme à quel point il était amoureux de sa compagne. Cela fit sourire la belle brune, un sourire mi-amusé, mi-sadique. Le mangemort était encore plus craquant et plus irrésistible dans cette posture. Franchement, heureusement que la brunette se souciait de son image de marque et de sa réputation sinon elle aurait été capable de lui sauter dessus sans la moindre hésitation à l’instant même mais sa bonne éduction l’en empêchait royalement. Les deux tourtereaux continuèrent alors leur périple à travers les petites ruelles étroites de Londres, le beau brun se laissant guider par la femme de sa vie. L’ex-serpentarde ne connaissait pas grand-chose de Londres mais on lui avait vaguement parlé d’un petit pub qui ne payait pas de mine mais dans lequel il faisait bon séjourner un moment. Elle se rappelait parfaitement sa situation pour y avoir ait un saut avec sa meilleure amie et voulait absolument montrer cet endroit au jeune homme. Solal reprit alors la parole d’une voix un peu rêveuse au début, ponctuée de son rire rauque tellement viril. Il lui avoua que ça n’aurait pas vraiment été une bonne idée qu’ils se retrouvent à trois à Poudlard et lui demanda alors où ils se rendaient.

« Je suis allée dans un pub il y a un petit moment de cela avec Séléna et je tenais absolument à te faire voir l’endroit. C’est très joli et calme. »

La belle brune ne voulait pas en dire plus, il fallait laisser aussi un peu de place au mystère et à l’étonnement. Enfin, ils arrivèrent dans une ruelle plus sombre que les autres. Cette ambiance lugubre plaisait grandement à la jeune femme, cruelle et mangemorte jusqu’au bout des ongles. Enfin, ils arrivèrent devant la devanture du café qui était vraiment affreuse il faut bien l’avouer. Elisabeth monta les premières marches avant de se retourner vers Solal et de lui déposer un tendre baiser sur les lèvres. En effet, la jeune femme était à sa hauteur ainsi surélevée. Elle lui attrapa alors la main et le traina à l’intérieur de la taverne quasi déserte. L’ambiance était orientale, des poufs et des coussins aux tons chauds peuplaient la pièce dans laquelle une odeur de jasmin et de menthe embaumait l’atmosphère. La jeune femme se faufila alors dans la pièce, trouvant un petit coin tranquille où ils ne seraient pas dérangés après avoir commandé une boisson. La jeune femme se retourna alors vers son cher et tendre pour voir sa réaction et ce qu’il en pensait. Un large sourire aux lèvres, elle l’embrassa de nouveau.

« Qu’en penses-tu alors ?? » Lui demanda-t-elle en parcourant la pièce du regard.

Elisabeth se sentait tellement bien en compagnie du beau brun. Jamais elle ne voudrait avoir rencontrer quelqu'un d'autre. La belle brune était persuadée d'avoir enfin trouvé son âme-soeur, la personne qui était faite pour vivre avec elle, le seul homme capable de la calmer et de la contenir.

« Je suis allée dans un pub il y a un petit moment de cela avec Séléna et je tenais absolument à te faire voir l’endroit. C’est très joli et calme. »

Tien, première nouvelle, Séléna sortait du coté moldu ?! Voila bien une chose dont le mangemort n’était pas au courent. Pourtant sa nièce lui disait tout sur tout, ou presque. Mais il cacha sa surprise par un immense intérêt et ne dit rien, bien qu’il faudrait qu’il aille demander a Séléna si elle avait souvent fait ce genre de sortit dans le monde moldu et surtout dans quel but précis. Oui, il se comportait réellement comme une sorte de grand frère surprotecteur avec Séléna et en effet, il ne servait pas a grand-chose de vouloir savoir les choses maintenant qu’elles étaient passé depuis longtemps mais Solal avait le gros défaut d’être curieux. Mais le mangemort savait aussi qu’il ne se mettrait pas en colère, après tout il n’avait pas le droit de blâmer sa nièce pour des choses qu’il avait lui-même fait a son âge sous le nez de ses parents qui n’avaient jamais rien su.

Il oublia donc bien vite et s’intéressa plutôt a se fameux pub. Qu’Est-ce que cela pouvait bien être ? Surement quelque chose de bien puisqu’Elisabeth l’aimait et le fils Grey savait que la demoiselle avait bon goût. Comme elle avait arrêter sa phrase de cette façon, Solal savait aussi qu’elle n’en dirait pas plus et qu’il devait attendre pour satisfaire sa curiosité. Il suivit donc Eli en silence, lui faisant totalement confiance et ils arrivèrent dans une ruelle un peu plus sombre que les autres. Eli marchait comme si elle était chez elle, on voyait qu’elle était déjà venu par ici et d’un coté, ça arrangeait le brun qui trouvait qu’ils avaient ainsi moins l’air d’avancer à l’aveuglette dans les rues de Londres. Rien qu’a l’allure de la ruelle, Solal savait pourquoi les deux jeunes femmes s’étaient retrouver ici plutôt qu’ailleurs. Filles et petites filles de mangemort aussi loin que le règne de Voldemort existe, les deux demoiselles se sentaient surement bien plus a l’aise dans ce genre d’endroit plutôt que dans une grande place ensoleillée et pleine de monde.

Elisabeth s’arrêta bientôt devant une devanture de ce qui ressemblait à un établissement abandonné depuis des années de le mangemort commençait a se demander où elle l’entrainait mais il ne laissa toujours rien paraitre et attendit de voir l’intérieur. Eli s’arrangea pour se retrouver a la même hauteur que mister Grey et déposa un léger baisé sur ses lèvres, baisé auquel il répondit tout en s’empêchant de l’approfondir d’avantage puis elle lui tourna le dos et entra dans le pub suivie de prés par Solal qui, très mal élevé pour une fois, observait les moindres coins et recoins. Il n’y avait pas foule et c’était déjà un bon point pour le mangemort. Le patron semblait homnibulé par Elisabeth et aussi plutôt surpris de voir de qui elle était accompagné. Surement était-il habituer a voir Séléna en compagnie de sa meilleure amie et ainsi pouvait-il loucher sur les deux demoiselles qui avaient tout juste la majorité dans son monde sans magie. L’ambiance était chaude et empestait l’encens, Solal, habituer aux couleurs froide et sombre de son manoir, était quelque peu déboussolé, mais ce qui le gênait le plus, c’était le regard lubrique que le patron posait sur Elisabeth…

Il sa rejoignit cependant sans rien dire et se demandait pour qui le moldu le prenait. Il ne pouvait s’empêcher de se demander si Eli et Sély avaient déjà fait des jaloux ici ou non. Il ne demanda rien, ne voulant pas faire une crise de jalousie a retardement, il voulait que la soirée se passe bien pour finir en beauté avec la plus grande frayeur de sa vie, c’était pour ça que depuis le début, il n’était qu’attente et nervosité, une vrais bombe a retardement qu’il ne valait mieux pas mettre en colère sous peine de mise a mort immédiate. Eli pris parole après avoir commende une boisson (Solal avait commende la même) et le mangemort en profita pour essayer d’oublier l’autre abruti total quelques minutes.

« Qu’en penses-tu alors ?? »

Bien qu’elle parcourait la pièce du regard, Solal préférait laisser ses yeux sur le magnifique corps visage de la demoiselle. Il attendit quelques secondes avant de venir s’installer tout prés d’elle et d’avouer dans un murmure rauque, sadique a souhait et terriblement aguicheur comme il savait qu’elle aimait.

-Je n’ai pas l’habitude de ce genre d’endroit… Mais tant que tu es avec moi, ça me va, car qu’importe où nous allons, tu es toujours la plus belle des visions a mes yeux… Le seul bémol de cet endroit… C’est les regards de son abruti de patron…

Solal eu un léger sourire quelque peux crispé mais sadique aussi et embrassa doucement Elisabeth dans le cou avant de se redresser et de la regarder pour voir sa réaction, car il aimait énormément voir comment elle réagissait à ses paroles.

Les deux amoureux pénétrèrent alors dans le pub choisi par Elisabeth. En effet, il leur arrivait très souvent, à Séléna et elle de disparaitre de Poudlard pour se rendre du coté moldus afin de ne pas être repérées et dénoncées par on ne sait quel abruti partisan invétéré de Dumbledore. La brunette capta alors un regard assassin de l’homme de sa vie en direction du patron du bar. En effet, ce dernier tentait toujours de séduire les deux jeunes femmes lorsqu’elles venaient passer un moment ici mais elles avaient toujours refusé les avances de l’homme qui les laissait à présent en paix malgré les regards qu’il leur lançait par moment. Un sourire naquit sur les lèvres de la jeune femme. Elle se demanda si c’était une bonne idée d’avoir emmené Solal dans cet endroit. Ils passèrent tous les deux au comptoir où Eli commanda la spécialité de la maison, un thé à la menthe. Solal suivi le choix de sa dulcinée. Les deux jeunes gens s’assirent alors dans un coin sombre et inoccupé de la taverne. Là, au moins, ils étaient sur de ne pas être dérangé. Le patron viendrait les servir et s’éclipserait jusqu’au moment où ils iraient recommander une boisson ou partiraient. D’ailleurs, l’homme ne tarda pas à arriver avec les deux tasses et la théière. Eli le remercia en le payant et le bonhomme s’éclipsa sans un mot de plus. Le beau brun se rapprocha alors tout contre la belle brune et lui chuchota quelques mots à l’oreille de sa voix rauque. Il avait prit un ton quelque peu sadique et aguicheur qui fit littéralement fondre la jeune femme.

-Je n’ai pas l’habitude de ce genre d’endroit… Mais tant que tu es avec moi, ça me va, car qu’importe où nous allons, tu es toujours la plus belle des visions a mes yeux… Le seul bémol de cet endroit… C’est les regards de son abruti de patron…

Il embrassa sa compagne dans le cou lorsqu’il eut terminé sa tirade avant de plonger son regard émeraude dans les yeux noisette de la belle brune pour en savourer la réaction. Un frisson parcourra le corps de l’ex verte et argent, c’était toujours cette même sensation qui prenait possession d’elle lorsque Solal l’embrassait dans le cou. La jeune femme lui sourit tendrement et déposa un tendre baiser sur ses lèvres avant d’approcher sa bouche du creux de l’oreille du beau brun. Elle se colla tout contre lui, sentant au passage les battements de son cœur et la chaleur qui émanait de lui. La jeune mangemorte respira le parfum envoutant de son amoureux, elle comprenait parfaitement que bon nombre de filles tombaient sous son charme et cela ne l’enchantait aucunement. Le point positif était qu’il n’avait d’yeux que pour elle et elle seule. Elle aimait tellement être dans ses bras, jamais elle ne pourrait s’en lasser.

« Je dois bien avouer que tu as beaucoup de chance que nous soyons dans un lieu public sinon tu n’aurais déjà plus de vêtements depuis un bon moment. Ne t’inquiète pas pour le patron, c’est un bon à rien. Il sait bien que ni Sély ni moi ne sommes le moins du monde intéressé par lui. Tu nous vois avec un moldus ?? »

Elle termina sa phrase par un nouveau baiser langoureux qu’elle fit durer à son plus grand plaisir en passant doucement sa main le long du torse du jeune homme en s’arrêtant juste au dessus de sa ceinture (ben non, on est pas des obsédés ). La jeune femme s’éloigna un peu de son amant, versant les deux tasses de thé et y ajoutant une petite dose de sucre. Elle savait que le mangemort réagirait à ses paroles mais elle voulait lui laisser le temps de la réflexion. La belle brune but alors une petite gorgée du breuvage avant de venir se replacer tout contre son partenaire et de plonger son regard dans l’océan vert des yeux de son chéri.

Elle frissonna avant de se pencher a son tours sur lui, oubliant son sourire pour l’embrasser avec légèreté puis Solal se figeât, voyant qu’elle allait à l’encontre de son oreille tout en laissant son visage très prés de celui du mangemort tout penaud tout a coup. Ce fut au tour de Solal de frissonner. Il aimait la sentir si prés de lui, son visage caché dans son coup et ça serait encore mieux s’il la tenait possessivement dans ses bras. Mais il revint sur terre et écouta ce qu’elle voulait lui dire. Car c’était bien pour ça qu’elle était arrivé là. Non ?!

« Je dois bien avouer que tu as beaucoup de chance que nous soyons dans un lieu public sinon tu n’aurais déjà plus de vêtements depuis un bon moment. Ne t’inquiète pas pour le patron, c’est un bon à rien. Il sait bien que ni Sély ni moi ne sommes le moins du monde intéressé par lui. Tu nous vois avec un moldus ?? »

Merlin tout puissant jamais de la vie. D’abord, Eli, il ne la voyait avec personne, personne a part lui. Elle était a lui, pour lui et seulement lui comme il était à elle. Non mais, que quelqu’un ose avoir ne serait ce que l’idée d’un geste déplacé envers la demoiselle et il verrait ce qu’est un mangemort digne de ce nom en action. Mais a plus tard les pensées, elle l’embrassait et il répondait avec bonheur comme a chaque fois, accueillant les baisés de la jeune femme comme de précieux trésors comme s’ils étaient les derniers. Il sentit avec délice les mains de sa compagne glisser lentement le long de son torse et s’arrêter à sa ceinture puis elle s’éloigna pour les servir.

- La seule personne avec qui je te vois, s’appelle Solal Grey… Tu connais ?!

Oui, il avait bien le droit de plaisanter tout en étant légèrement sarcastique. Apres tout, il était comme ça. Et ainsi, avec cette réponse, il lui prouvait une fois de plus sans s’en rendre réellement compte, sa possessivité. Oui il était possessif et protecteur même s’il savait parfaitement qu’elle était tout a fait capable de se défendre seule mais un dicton disait qu’on ne protège que ce qu’on aime… Et c’était justement ce qu’il faisait. Bien entendu, Solal faisait attention a ne pas être trop étouffant. Pour ce qui était de Séléna il ne savait pas franchement avec qui il la voyait ou non. Il y avait eu ce Serdaigle de 6ème année qui avait disparut en lui ravageant le cœur a deux reprises, puis le baronet qui avait eu du mal a se décider entre mangemort et auror puis apparemment Baldwell lui tournait moitié autour lui aussi… Pour sur elle était enviée mais pour le moment il n’y en avait pas eu un seul pour la rendre totalement heureuse et ce tout le temps. Ah il avait pas l’air le tonton mangemort mais il en savait plus qu’il ne le laissait croire…

Elisabeth bu un peu avant de revenir se lover tout contre lui et aussitôt, il passa son bras autour d’elle, se sentant soudainement bien mieux. Il réfléchissait toujours mais plus a ce qu’elle avait dit. Il se demandait comment pimenter un peu leur sortie… Il n’était pas du genre a rester sage, ni du genre exhibitionniste non plus je vous rassure mais il voulait faire mumuse… Il y avait le patron et quelques clients… Il observait la salle tout en passant machinalement ses doigts sur la hanche de la jeune femme dans de douces caresses légère comme le vent. Sans vraiment encore savoir ce dont il avait envie, il demanda mine de rien.

- Dit moi princesse… Tu veux t’amuser un peu ??? Avec les moldu bien sur…

Jamais de la vie Elisabeth n’aurait pu se mettre avec un moldus et ca, Solal le savait ! Elle détestait les moldus et les tueraient tous sans aucun sentiment. Elle se blottit contre lui, aimant le contact de la peau de son chéri sur la sienne. Jamais elle ne pourrait se passer de lui, il était sa vie et elle était la sienne, ils ne formaient plus qu’une seule personne. Le beau brun lui déposa un tendre baiser sur les lèvres auquel elle répondit ardemment. Après quelques secondes de silence, le jeune homme reprit la parole. Il ne la voyait avec personne d’autre qu’un certain Solal Grey. Est-ce qu’elle le connaissait ?? Grande question !

« Ce nom me dit vaguement quelque chose …. Tu le connais bien toi ?? Je me souviens juste d’un homme irrésistible avec un regard des plus envoutant, on aurait envie de rester à ses cotés pour l’éternité. Il me semble qu’il est avec une certaine Elisabeth Swann … Ca te dit quelque chose à toi ?? Je trouve qu’ils forment le plus beau couple du monde moi ! »

La belle brune adressa alors un clin d’œil à son amoureux. Ils adoraient se taquiner l’un l’autre, c’était devenu un jeu entre eux. La belle brune s’écarta alors un peu de son mangemort pour avaler une rapide gorgée de thé avant de revenir se coller contre son homme. Celui-ci passa directement son bras autour d’elle, prouvant ainsi qu’elle n’était pas libre et sa possessivité. Il passa machinalement sa main sur la hanche de la jeune femme, un silence des plus agréable s’étant installé entre aux. Ils n’avaient pas besoin de se parler pour se comprendre. Soudain, Solal reprit la parole à la surprise d’Elisabeth. Il lui proposa de s’amuser un peu … Avec des moldus. Un sourire sadique naquit sur les lèvres fines de la jeune femme. Elle aimait ce genre de proposition ! La belle brune sourit alors tendrement à Solal.

« Ce serait avec le plus grand des plaisirs, m’amuser avec toi est toujours intéressant. Qu’as-tu derrière la tête, beau brun ?? J’ai envie de savoir ! »

Eli observa alors la salle, très peu de non sorcier s’y trouvaient. Il y avait bien entendu que patron, que l’homme de sa vie avait immédiatement prit en grippe, et quelque autres clients. Miss Swann reporta alors toute son attention sur la personne la plus importante dans la salle à ses yeux. La jeune femme plongea alors son regard noisette dans les yeux émeraude qu’elle aimait tant. Elle attendait patiemment la suite des événements même si elle mourait d’envie d’en connaitre le but intérieurement. L’action et le danger ne lui faisait pas peur et encore moins lorsqu’elle se retrouvait aux cotés de Solal, il la rendait plus forte mais aussi plus dangereuse et moins prudente. Pour cacher son impatiente, elle lui frôla doucement le visage, ayant une irrésistible envie de coller ses lèvres contre celles, sucrées, de son cher et tendre ce dont elle ne se priva pas. Celui qui n’avait pas encore comprit que les deux tourtereaux étaient en couple étaient sans conteste aveugle !

« Ce nom me dit vaguement quelque chose …. Tu le connais bien toi ?? Je me souviens juste d’un homme irrésistible avec un regard des plus envoutant, on aurait envie de rester à ses cotés pour l’éternité. Il me semble qu’il est avec une certaine Elisabeth Swann … Ca te dit quelque chose à toi ?? Je trouve qu’ils forment le plus beau couple du monde moi ! »

Le clin d’œil qui suivit fit littéralement fondre le cœur de glace du mangemort et ça ne fut rien quand il imprima toute la phrase de la demoiselle. Bien que son visage fut rester le plus impassible du monde par habitude, ses iris émeraude brillaient plus que de coutume. Il était flatté, et c’était normal après tout, un compliment ça fait toujours plaisir, surtout quand ça vient d’Elisabeth. Elle répondait avec humour à ses taquineries, c’était ce qui plaisait au mangemort d’ailleurs, ils se comprenaient tellement bien que s’en était presque sur réaliste. Il ne répondit rien et s’était de répondre par un signe affirmatif à ses propos, le tout accompagné d’un sourire malicieux. Elle revint dans ses bras et Solal aurait bien arrêter le temps. Ainsi il l’aurait garder pour toujours avec lui, contre lui… Ou là… Solal se gifla mentalement, depuis quand était-il si fleur bleu… Il devait se reprendre et tout de suite, même s’il se disait que dans le font, la première idée était la bonne… Mais bon, il savait qu’il se contrôlerait au bon moment, c’est-à-dire en mission…

Apres un moment d’intense réflexion, durant laquelle le fameux mangemort sadique a souhait refaisait surface et cherchait un moyen de passer le temps qui pouvait aussi plaire a sa compagne, il proposa enfin a Miss Swann de s’amuser un peu. Apres tout, ils se retrouvaient tout les deux dans un petit établissement moldu pommé dans une ruelle sombre, et ils n’étaient pas des anges, c’était même tout le contraire bien que leurs physiques fassent penser qu’ils étaient incapable de faire du mal. Pourtant, pour un mangemort, même récemment recruté, il n’y avait que ça d’amusant. Bien entendu, Solal se doutait qu’Eli était mangemort dans l’âme depuis un bon nombre d’années même si elle ne portait pas la marque avant. Apres tout, il n’y avait pas besoin d’avoir une marque pour être ‘‘mauvais’’.

« Ce serait avec le plus grand des plaisirs, m’amuser avec toi est toujours intéressant. Qu’as-tu derrière la tête, beau brun ?? J’ai envie de savoir ! »

Solal était contant de lui, il avait eu raison en pensant que son début d’idée plairait a la demoiselle. Ils étaient ensemble, seuls au monde et pour une fois, Eli n’avait plus la menace de se faire virer du collège. Bien d’autres auraient trouver ça étrange voir atroce mais pour Solal, c’était une sorte de romantisme a l’état pur. Et puis, si on y réfléchissait bien, la base du romantisme c’était de faire plaisir a celui ou celle qu’on aime et le rendre heureux. Et comme cette proposition plaisait a Elisabeth… Mais bon, tout le monde n’a pas le même raisonnement que lui, dommage d’ailleurs par ce que sinon, il n’y aurait que des mangemort.

Qu’avait-il comme idée derrière la tête ? En voila une bonne question… Il ne savait pas trop mais tout tournait autour du fait de faire du mal a ces abrutis et qui sait, peu être même au patron… mmmm oui… Son activité préféré lorsqu’il était seul, la torture… Et s’il faisait un cadeau des plus original a Elisabeth… Lui offrir la Une du journal local demain matin ??? Un meurtre sanglant commis par allez savoir qui… Ca lui plairait peu être… Qui ne tente rien n’a rien comme ils disaient… Solal avait trouver son idée au moment où elle lui offrait un nouveau baisé. Il l’obligea donc doucement a rester prés de lui pour pouvoir lui parler sans être entendu. Si son idée plaisait, ils allaient s’amuser… Mais il mettrait une condition, Eli allait savoir ce qu’il aimait dans ce genre de torture… D’une voix taquine aux accents mauvais, il lui murmura presque sensuellement.

- Je te propose de participer a une de mes activité favorites… La torture de moldu sans défenses… Tout le bar, par ce qu’un seul pour nous deux c’est trop peu, je suis du genre vorace… J’impose une condition pour rendre le jeu plus marrant, plus le droit à la magie a partir du moment où nous les avons maitriser et ou nous nous seront enfermer dans le bar… Torture a la moldu… Qu’en penses tu mon ange ?

Solal regardait Elisabeth dans les yeux, aucune des personnes présentes n’auraient pu s’imaginer avec l’air qu’il avait, qu’il venait de proposer a la jeune femme de les massacrer les uns après les autres en prenant leur temps et en faisant profiter les vivants du spectacle en sachant parfaitement qu’ils seront les suivants… Ce genre de situation stimulait l’imagination en général et la monté d’adrénaline pourrait être intéressante pour une fin de soirée en tête a tête dans un grand lit moelleux…

Solal ne laissa rien paraitre de ses sentiments lorsque la jeune femme lui parla de lui et d’elle mais elle vit une lueur faire son apparition dans les prunelles émeraude de son amoureux, cela lui suffisait. Les yeux parlent et n’ont pas besoin de la parole. Même si le mangemort ne lui disait que très rarement qu’il l’aimait, elle savait que c’était le cas à chaque fois qu’il posait le regard sur elle. A les voir tous les deux, on leur aurait donné le bon dieu sans confession, ils avaient un visage angélique mais cachaient bien leur véritable nature. Le mal était la voie qu’ils avaient choisie et la marque qu’ils arboraient fièrement sur leur avant bras gauche respectif en était la preuve. Elisabeth était fière de faire partie de la famille des mangemorts et aussi d’avoir trouvé l’homme de sa vie parmi eux. Elle allait bientôt devoir songer sérieusement à présenter Solal à ses parents.

Lorsque la belle brune accepta le divertissement proposé par le beau brun, celui-ci rayonna. C’était leur première sortie officielle en tant que couple et aussi la première fois que la jeune femme ne devait pas rentrer au collège et où elle était libre de ses choix et de ses actes. L’idée de torturer des moldus lui faisait plaisir. L’endroit était parfait, reculé du centre ville …. Personne ne viendrait à leur secours et puis, ils leurs suffiraient de jeter quelques bons sortilèges et ils seraient en toute tranquillité pour accomplir leurs actions. Il lui précisa qu’ils ne pourraient utiliser leur baguette que pour les maitriser mais qu’ils recourreraient à la méthode moldues pour la torture. Cette idée plaisait beaucoup à la jeune femme, c’était une première, elle n’avait jamais pratiqué ce genre de chose et toute nouvelle expérience était bonne à prendre. Cela pourrait toujours lui servir. La jeune femme sourit alors à l’homme de sa vie, une lueur malveillante venait de faire son apparition dans ses prunelles noisette, la rendant encore plus belle mais plus terrible.

« Il faudra juste que tu me montres, je suis douée pour la torture à l’aide de sortilèges mais je ne connais rien aux joies des supplices moldus. Cette expérience me tente vraiment, tout peut se révéler utile un jour. Il faut penser aux sortilèges de protection de base pour éviter toute intrusion durant notre jeu ! Quand est-ce qu’on commence mon cœur ?? »

Elle lui susurra cette phrase dans le creux de l’oreille, le sentant frissonner de plaisir. La jeune femme plongea alors son regard noisette dans les yeux émeraude de son chéri, attendant ses instructions. La fin de journée s’annonçait des plus agréables et enrichissantes. Eli avait soif de connaissance. Ils passeraient ainsi leur fin de soirée à deux, sans personne pour les déranger. Personne n’aurait pu imaginer ce que les deux jeunes gens venaient de concoqueter durant leur conversation. La surprise allait être de taille, les deux tourtereaux allaient maintenant s’unir dans la noirceur en commettant leur premier crime ensemble. La belle brune bouillonnait d’impatience à l’intérieur m ais fit preuve de calme et de savoir vivre, il ne fallait pas précipiter les choses. Leur plan devait ne comporter aucune faille. Personne dans le bar n’aurait pu se douter une seule seconde qu’ils se trouvaient en fait en présence de deux amants diaboliques et que leur minable petite existence allait bientôt prendre fin dans d’atroces souffrances.

Bien qu’il semblait des plus serein du monde vu de l’extérieur, intérieurement, Solal n’était qu’attente et fébrilité. Il angoissait légèrement, il manquerait plus qu’elle n’ait pas la même définition d’une soirée en amoureux a s’amuser, et il aurait tout faux le grand mangemort. Mais d’un autre coté il était plutôt évident que ça plairait a la jeune femme. D’ailleurs il n’eu pas longtemps a attendre car bientôt elle se pencha vers lui et laissa son souffle courir sur son oreille pour le faire frissonner encore une fois puis elle lui murmura enfin sa réponse.

« Il faudra juste que tu me montres, je suis douée pour la torture à l’aide de sortilèges mais je ne connais rien aux joies des supplices moldus. Cette expérience me tente vraiment, tout peut se révéler utile un jour. Il faut penser aux sortilèges de protection de base pour éviter toute intrusion durant notre jeu ! Quand est-ce qu’on commence mon cœur ?? »

Alléluia !!!! Elle ne les envoyait pas sur les roses lui et ses idées stupides et mal placés… Aussi discrètement que possible, il soupira de soulagement, et coup de bol, son soupire pouvait s’expliqué grâce au frisson qui avait parcouru son corps quelques secondes plus tôt. Il se repris vite cependant et les paroles de la demoiselle arrivèrent en intégralité dans la cervelle du mangemort. Elle ne connaissait rien aux tortures moldu… Ca n’étonnait pas Solal tant que ça, après tout elle était de sang pur, tout comme lui me direz vous mais Solal s’était expatrié pour apprendre d’autres techniques. De plus, pour évité d’être repéré et aussi en l‘honneur de son ainé, il avait privilégier cette sorte de torture, certes plus salissante mais tellement plus drôle… Solal, aimait bien a insonoriser la pièce et a faire en sorte que leurs cris fassent écho contre les murs… Ils étaient ainsi plus fort et se répétaient sans cesse pour la plus grande joie des oreilles du brun et pour la plus grande horreur de celles du ou des torturés… Mais il n’allait pas choisir cette option cette fois ci… Il fallait commencer doucement.

Elle se redressa et là, Solal ne pu se contenir d’avantage. Le regard qu’elle avait, cette pointe de malveillance et cet air mauvais la rendant tellement belle, irrésistible… Poussé par sa pulsion primaire, il la pris vivement contre lui et l’embrassa avec fougue. Elle avait le don de le rendre complètement cinglé en un sourire. Il lui vola donc un baisé à la fois doux et passionné et la garda contre lui pour profiter de cet instant hors du temps puis le plus discrètement possible, il sortit sa baguette magique et lança quelques sorts permettant de fermer les portes et d’insonoriser la pièce. Une fois cela fait, il rangeât sa baguette bien moins discrètement que pour la sortir et regarda Eli. D’une voix plutôt banale et pas encore passionné, il s’adressa a elle sans baisser le ton, se doutant que les autres pouvaient l’entendre.

- Va y mon ange… Amuse toi maintenant… Ils ne peuvent pas sortir et on ne peu pas les entendre dehors…

Le sourire se fit mauvais et la lueur d’un mélange de violace et de sadisme se reflétait lentement dans son regard qui s’assombrissait a vu d’œil. Gagné par l’envie de défoulement. Il s’installa mine de rien, confortablement sur le pouf et s’apprêtait a admirer le spectacle pour commencer… Il sourit a Eli et sadique jusqu’au bout, il décida de mettre la panique générale dans l’établissement. Se rappelant brièvement des bribes de film moldu qu’il avait déjà vu, il se mis a gueuler de sa voix calme et glaciale dans le salon.

-Mesdames et messieurs… Je réclame toute votre attention…

Il attendit qu’ils aient tous les yeux tournés vers lui et que le patron arrive dans son champ de vision tout en réfléchissant a ce qu’il allait dire puis il pris sa décision et continua sur le même ton.

- Je n’ai pas pour habitude d’expliquer avant mais ce soir j’ai une certaine bonté d’âme alors voila de quoi il retourne… Il se trouve que pour notre première sortie en amoureux, j’ai décider d’offrir un cadeau très spécial a la femme de ma vie…

Solal s’arrêta, tout sourire de voir ces abrutis s’imaginer une quelconque bague ou collier, voir même voiture ou il ne savait quoi encore… Ils étaient tellement confiant s’en était que plus drôle pour lui. Il n’attendait que de voir leurs visages se décomposer quand ils comprendraient…

- Et ce cadeau mes chers… C’est vous…

Ne faisant finalement pas attentions à leurs air surpris où totalement défaits, il tourna les yeux vers Elisabeth et lui dit d’une voix plus agréable et velouté.

- A toi l’honneur mon amour.

L’excitation était à son comble entre les deux amants, leur première sortie en amoureux allait se révéler riche en évènement. Tout compte fait, ce n’était pas une si mauvaise idée de se rendre dans ce café, les deux jeunes gens pourraient enfin sceller leur amour dans la terreur. Lorsque la belle brune donna sa réponse, plus que positive, à son chéri, elle sentit celui-ci frémir sous ses mains, ce qui fit naitre un petit sourire sur les lèvres de la jeune femme. Solal était extrêmement réceptif aux moindres petites attention de sa compagne. Miss Swann se redressa alors un peu et l’homme de sa vie ne pu se contenir plus longtemps, il l’embrassa langoureusement, fougueusement, baiser auquel Eli répondit avec ardeur. Elle adorait quand le beau brun prenait ce genre d’initiative. Il la garda alors prisonnière de ses bras, ce qui ne déplut aucunement à la jeune femme. L’attitude possessive et protectrice de son cher et tendre lui plaisait énormément.

Eli le vit alors sortir discrètement sa baguette magique et jeter quelques sortilèges pour insonoriser la salle et empêcher ces sales moldus de s’enfuir. Un sourire sadique s’installa alors sur les lèvres fines de la jeune femme. Le mangemort s’adressa alors à elle sans prendre la peine de baisser le ton, il lui demandait de s’amuser et elle n’allait pas s’en priver. Le jeune homme s’installa alors confortablement aux cotés de sa dulcinée, lui adressa un simple clin d’œil et un sourire sadique avant de se mettre à crier dans la salle, réclamant l’attention des clients du bar. Tous les regards se tournèrent alors vers lui, se demandant certainement ce qu’il lui prenait. Il annonça alors qu’il avait décidé d’offrir un cadeau spécial à la femme de sa vie, Elisabeth. Le visage de la jeune femme s’illumina, elle était heureuse d’être à ses cotés et comptait bien y rester jusqu’à la fin des temps.

Le silence s’installa dans la salle, un silence d’envie et d’excitation. Peut-être s’attendaient-ils à une demande en mariage ou encore à un bijou offert mais rien de tout ça n’allait avoir lieu. Elisabeth vit tous les regards posés sur eux. Elle regarda alors son chéri, celui-ci continua alors sa phrase, annonçant aux personnes présentes qu’elles étaient le cadeau du jeune homme à sa belle. La jeune femme observa alors les visages des clientes, ils ne semblaient pas encore comprendre la portée des paroles du jeune homme. Un sourire sadique éclaira alors leur visage respectif. Solal tourna alors ses prunelles émeraude vers la jeune femme et lui annonça qu’elle aurait l’honneur de frapper la première. Elisabeth se leva alors, lissant le devant de sa jupe blanche au passage, elle ressemblait à une apparition céleste mais était plutôt su coté ténébreux. Elle attrapa alors sa baguette magique dans sa main gauche, se tenant prête à intervenir dès qu’elle aurait réellement annoncé la couleur aux moldus.

« J’ai l’immense honneur de vous annoncer que vous allez participer à une séance assez spéciale. Je me présente, Elisabeth Swann, mangemorte et l’homme de ma vie, Solal Grey, mangemort également. Bien, maintenant que vous connaissez notre identité, votre seule option est … La mort ! Je dois vous prévenir que vous ne pourrez en aucun cas vous enfuir, toutes les sorties sont fermées et inviolables. Vous pouvez hurler, nous avons prit soin d’insonoriser les lieux. Résignez-vous, votre heure est venue. »

La belle brune se tût, observant la réaction des clients du bar, certains semblaient terrorisés et d’autres semblaient prendre la situation à la rigolade mais plus pour longtemps. D’un geste de sa baguette, tous les clients ainsi que le personnel se retrouvèrent ligotés solidement grâce à des chaines sortie du néant. La jeune femme se promena alors parmi ses proies, observant leur visage terrifié ‘un après l’autre. Nombre d’entre eux lui demandèrent une clémence totale, invoquant des enfants, des familles et d’autres choses. Un rire glacial s’échappa des lèvres de la jeune femme, tant de peur, tant de détresse, cela la rendait plus forte, plus terrible.

« Je suis au regret de vous annoncer que je n’accèderai à aucune de vos différentes et nombreuses requêtes. Mon amour, je n’ai jamais pratiqué la torture moldue, tu te rend bien compte que mes parents ne se seraient jamais abaissé à m’apprendre ce genre de chose alors que je suis une sang pur. Est-ce que tu pourrais m’enseigner cette technique ?? A toi l’honneur du premier. »

Elisabeth revint vers l’homme de sa vie, passant ça et là sa main sur ce qui passait en dessous. Elle s’arrêta à hauteur de Solal, lui adressant un large sourire et un clin d’œil avant de se pencher vers lui pour l’embrasser tendrement. En effet, le beau brun n’avait pas bougé d’un centimètre et n’avait dit mot, certainement pour juger de l’efficacité de sa compagne. Elisabeth était fière d’elle, ses paroles avaient eu l’effet escompté et bientôt les actes allaient suivre. Dès qu’elle aurait comprit un minimum de ces techniques, elle se mettrait en piste et commencerait réellement le jeu. Elle rangea sa baguette dans son sac à main, comme elle l’avait promis à son cher et tendre.

Sadique comme tout, Solal souriait tout en se passant une main sur son menton mal rasé et fixait les autres le plus calmement du monde, attendant de voir comment tout ça allait continuer. Comment Elisabeth allait faire, s’ils auraient ne serait-ce que la présence d’esprit d’essayer de réagir… Mais ils ne semblaient tout bonnement pas comprendre ce qu’il venait de dire, ou alors ils pensaient a une plaisanterie… Allez savoir, peu être qu’ils n’arrivaient pas a y croire et ça le vexait un peu il fallait bien le dire, qu’on le prenne a la rigolade, lui Solal Grey, dernier héritier mâle de la longue lignée de mangemort sanguinaires… Seulement il gardait tout son calme, c’était assez paradoxale d’ailleurs qu’il réussisse a être aussi maitre de lui-même alors que l’adrénaline montait a une vitesse fulgurante… Ce fut au tour d’Elisabeth de se lever et de prendre les choses en main.

« J’ai l’immense honneur de vous annoncer que vous allez participer à une séance assez spéciale. Je me présente, Elisabeth Swann, mangemorte et l’homme de ma vie, Solal Grey, mangemort également. Bien, maintenant que vous connaissez notre identité, votre seule option est … La mort ! Je dois vous prévenir que vous ne pourrez en aucun cas vous enfuir, toutes les sorties sont fermées et inviolables. Vous pouvez hurler, nous avons prit soin d’insonoriser les lieux. Résignez-vous, votre heure est venue. »

Solal écoutait avec attention, un léger sourire aux lèvres, un bon verre de vin rouge aurait été le bienvenu mais il ne dit rien, se demandant pourquoi elle avait tenu a ce qu’ils sachent leurs noms et se disant que tous ces abrutit n’avaient aucune idée de ce que le mot mangemort voulait dire. Mais il s’amusait beaucoup et quelle ne fut pas sa joie de les entendre pleurer, commencer a hurler en se retrouvant soudainement enchainés… Elisabeth rit ce qui fit frissonner le cruel mangemort mais pas de peur, bien au contraire. Puis elle sembla être clémente et leur expliquer a quel point elle n’était pas le petit ange que tout le monde s’imaginait.

« Je suis au regret de vous annoncer que je n’accèderai à aucune de vos différentes et nombreuses requêtes. Mon amour, je n’ai jamais pratiqué la torture moldue, tu te rend bien compte que mes parents ne se seraient jamais abaissé à m’apprendre ce genre de chose alors que je suis une sang pur. Est-ce que tu pourrais m’enseigner cette technique ?? A toi l’honneur du premier. »

Elle était revenue vers lui et l’avait embrasser passionnément avant de ranger sa baguette. Solal ne voyait pas le déshonneur a apprendre la torture moldue… Il fallait penser a toute éventualité et se retrouver sans baguette en était toujours une. Solal était même plutôt fière d’être un des rares sang pur a connaitre ce genre de torture et il l’apprenait même a Séléna de temps en temps. Elle honorerait la dague de son père bientôt. Mais le mangemort se leva donc et disparu un moment dans une espece d’arrière salle avant d’en revenir avec plusieurs couteaux de cuisine. Il s’approcha d’Elisabeth et l’embrassa rapidement avant de lui en donner un et de lui murmurer sournoisement :

- Fait attention a ne pas te blesser ma chérie…

Il lui adressa un sourire taquin et lui tourna le dos et après avoir poser une partie des couteaux sur une table éloignée des captifs, il se mis a déambuler dans les rangées en jouant avec un couteau entre ses doigts. La plus part pleuraient en silence et encore ils n’avaient rien vue pour le moment. Mais l’une d’entre eux eu le malheur de hurler dans une crise d’hystérie soudaine et sans chercher a comprendre, le mangemort lui envoya le couteau en plein cœur, la tuant sur le coup. Ne prenant pas garde aux cris horrifiés des autres moldus, il se tourna vers Eli avec un air d’excuse, comme un môme pris en faute.

- D’accord, d’accord c’est pas de la torture… Mais elle m’énervait… Alors… Qui va commencer…

Prenant un autre couteau dans sa poche, il regarda autour de lui, se demandant qui allait être la première victime de leurs tortures… Puis après quelques minutes, il se décida, son dévolu s’abatant sur un grand blond a l’air arrogant qui ne lui plaisait pas… Il le choppa par le col de la chemise pour le mettre debout et le coller contre le mur avant de jouer avec le couteau, laissant la pointe glisser sur l’homme sans chercher a le blesser pour le moment…

- Alors… On joue les malins… C’est pas très intelligent tu sais… A ton avis, il va finir où ce bout de métal ???

Sans lui laisser le temps de répondre Solal lui enfonça d’un coup sec dans le bras gauche, le plantant au mur par la même occasion sous les hurlement de douleur de l’homme en question. Sans préambule, Solal déchira le t-shirt du blond et se tourna vers Eli

- Vien faire joujou mon ange…

Le visage des clients du bar leur donnait un air totalement niais ! Ils paraissaient ne pas saisir l’ampleur de l’annonce que venait de faire successivement les deux tourtereaux. Solal resta calme, observant la femme de sa vie. Elisabeth parla d’un ton froid et posé pourtant, elle bouillonnait d’impatience intérieurement mais elle se devait de se concentrer. Pourtant, leur répit fut de courte durée car la jeune femme fit apparaitre des chaines qui se glissèrent pour emprisonner les moldus définitivement. Des cris et des pleurs résonnèrent alors dans la pièce, pour leur plus grand plaisir. Le vrai visage d’Elisabeth était enfin dévoilé au grand jour, sous ses apparences d’ange une véritable diablesse sommeillait mais plus pour bien longtemps, juste le temps pour elle d’apprendre. La jeune femme revint alors vers celui qui partageait sa vie et l’embrassa. Le beau brun disparut alors dans une arrière salle pour en revenir rapidement, armé de beaux couteaux de cuisine comme ceux exposé chez les Swann. La jeune femme observa les objets et Solal lui tendit l’une d’entre elle en lui demandant de faire attention de ne pas se blesser. Elle se contenta de lui adresser un sourire radieux.

Le jeune homme s’écarta alors de sa compagne après lui avoir déposé un rapide baisé sur les lèvres. Il se promena alors entre les potentielles victimes, les observant un à un en tripotant son couteaux. Cependant, une des seules femmes présentes de l’assemblée commença à faire une crise de nerf, portant le nom d’hystérie. D’un geste précis et froid, le beau brun lui envoya le couteau dans la poitrine, juste au niveau du cœur. La femme s’affaissa instantanément, morte. Un sourire sadique naquit sur les lèvres de la jeune femme. Quel beau spectacle pour leur première sortie officielle entre amoureux. Solal se retourna alors vers la belle brune, comme pour s’excuser de ce qu’il venait de se passer. Ce n’était pas vraiment de la torture mais ce n’était pas grave. La jeune femme ne voulait pas le déconcentrer et donc elle se contenta d’un signe de tête et de lui envoyer un baiser. Le mangemort attrapa alors un autre couteau qui se trouvait dans sa poche. Il promena son regard sur l’assemblée et jeta son dévolu sur un jeune homme blond, très imbu de sa personne et paraissant extrêmement arrogant ! Il lui planta alors le couteau dans son bras gauche, lui arrachant au passage un cri de douleur. Il invita alors Eli à venir le rejoindre, ce qu’elle fit avec la plus grande joie.

« Merci mon cœur, je pense avoir comprit ce que je devais faire. »

La jeune femme attrapa alors son couteau de la main gauche et passa la pointe le long du torse du jeune blond, lui entaillant la peau en surface. Il ne fallait pas y aller trop profondément, il ne fallait pas tuer le plaisir. La jeune femme dessina alors le contour des tétons du blond qui hurla sous la douleur. La mangemorte se retourna alors vers son cher et tendre, son couteau ensanglanté dans sa main.

« Qu’en penses-tu ?? Est-ce que je m’y prends bien ?? J’ai besoin de ton avis pour m’améliorer et me perfectionner mon cœur. »

Ils échangèrent alors un sourire des plus sadiques, la belle brune attendant le verdict de son amoureux. Elle reporta quelques instants son regard sur sa première victime qui se tordait de douleur, des filets de sang s’échappant petit à petit de son corps. La belle brune reporta alors son regard sur son dulciné, ses prunelles changèrent radicalement. Son regard dur et froid se transforma alors en un regard doux et chaleureux.

[HJ : je tien a préciser que je suis pas si vilaine que Solal. ]

Solal sentait la folie monter doucement en lui, avec le temps, il avait appris a la contrôler, a la réfréner et la faire venir quand il le voulait et seulement quand il le voulait. Bien entendu, il arrivait encore qu’il se laisse emporté par sa schizophrénie mais c’était plutôt rare. D’ailleurs, c’était mieux comme ça, ainsi il pouvait apprendre a Séléna à faire comme lui. A savoir se contrôler dans toutes les situations possibles… Et l’entrainement avait déjà commencer, elle était à peine sortie de Poudlard qui avait repris une formation intensive mais tout de même moins sauvage que celle qu’elle avait avec sa mère. Bref, pour le moment et afin de resituer le contexte pour que vous ne vous perdiez pas bande de petits curieux, nos deux mangemort amoureux se trouvent donc dans un petit bistro moldu aux allures orientales et à la devanture plutôt décrépie. Apres un bref moment de calme et de léger ennuis, nos deux tourtereaux n’ont rien trouver de mieux a faire que de faire mumuse avec les quelques pauvres moldus qui avaient eu le malheur de sortir le même soir qu’eux et dans le même établissement qu’eux. C’est donc dans ce but que les deux mangemort ont insonoriser les lieux et condamner les entrées avant de ligoter les moldus puis Solal a tuer une femme a tendance hystérique et commencer a torturer un blond à l’air hautain avant de passé le relais a la plus si douce, Elisabeth. Il craignait un peu sa réaction quand il lui demanda de venir s’essayer a ce sport tout nouveau pour elle mais elle semblait des plus enjouée.

« Merci mon cœur, je pense avoir comprit ce que je devais faire. »

Solal ne dit rien et la regarda avancer, un air sombre passant dans le regard émeraude et qui sembla aussi passé dans les iris noisette. La demoiselle pris rapidement les choses en mains et commença a taillader le blond qui n’en menait pas large, Solal s’imprégnait des hurlements de douleur qui déchiraient le silence seulement troublé par les sanglots étouffés des autres captifs.

« Qu’en penses-tu ?? Est-ce que je m’y prends bien ?? J’ai besoin de ton avis pour m’améliorer et me perfectionner mon cœur. »

Hein ?! Bah oui, la folie ça vous prend une grande partie de votre attention quand même. Mais Solal ne laissa rien paraitre et échangea un sourire avec sa dulcine. Il regardait les captifs et pensait, il aimait a prendre son temps, faire durer la douleur c’était parfois pire qu’un doloris. Le regard du mangemort tomba sur une femme qui regardait le torturé avec un drôle d’air… Curieux comme y a pas, Solal observa la femme avec attention… Au bout d’un moment et pour l’avoir vu bien souvent, il compris. Elle était avec ce mec… En voila une idée qu’elle est bonne… Solal embrassa rapidement Elisabeth et tout en s’avançant vers la dite femelle, il expliqua.

- C’est bien et même tres bien princesse… Tu n’es pas dégouté par la vue du sang c’est déjà pas mal… Mais vois tu pour que la torture prenne sans arrêt une allure des plus attractive il faut savoir innover, laisser nos envies nous mener vers l’impulsivité imprévisible… Par exemple…

Solal pris doucement la main de la captive et fit disparaitre ses chaines puis il la conduisit devant l’homme qui saignait abondamment et ne cessais de gindre. Une fois devant il demanda a la femme sur un ton aimable.

- C’est ton mari ? Ton petit ami ? L’amour de ta vie ?

La femme qui pleurait toujours, finit par répondre par un signe de tête affirmatif ce qui étira le sourire sadique de Solal.

- Tue le…

Sans même craindre qu’elle s’en prenne a lui, Solal lui colla un couteau dans la main et voyant qu’elle ne réagissait pas, il continua sur un ton légèrement plus fort et nettement plus menaçant.

- Si tu l’aimes tu le tueras par ce que si tu ne le fait pas, c’est moi qui le tue… Mais moi, je ne l’aime pas alors ça ne va pas m’ennuyer de faire durer la torture… Va y… Abrège ses souffrances… Regarde le, il ne demande que ça, il ne sait pas endurer la douleur alors aide le… Il t’implore du regard de le tuer… Il mourra bien plus vite et tu lui épargneras une bonne heure de douleur… Décide toi vite… Je ne vais pas attendre longtemps…

Apres quelques minutes où les pleurs avaient redoublé et étaient mêlés à des gémissements d’impuissance, la femme, voyant Solal faire un mouvement dans sa direction, tua son conjoint en lui demandant pardon. Solal rit et poussant la femme en pleurs vers Eli, sans craindre quoi que ce soit pour l’ex-Serpentard puisque le couteau était resté dans le buste du cadavre numéro deux, il demanda à miss Swann.

- Oh mon ange regarde cette vilaine a oser tuer l’homme qu’elle dit aimer… Punis là.

La tournure que prenait leur première sortie en amoureux devenait très intéressante. La torture était certainement un délicieux moment qu’ils passaient ensemble. Eli savait que Solal serait prêt à n’importe quelle folie pour faire plaisir à la femme de sa vie et cela faisait partie des divertissements qui rendaient folle de joie la belle brune. Elle était encore insouciante et un peu trop vive pour une mangemorte mais cela s’arrangerait certainement rapidement avec le temps, l’entrainement et les conseils avisés de son chéri. La jeune femme voulu savoir si son travail convenait à l’homme de sa vie et il l’en félicita. Il parcouru alors la pièce du regard, s’attardant sur une jeune femme en larmes, regardant d’un drôle d’air le blond qui était entrain de se vider peu à peu de son sang sous les yeux éberlué des autres clients. Ce regard, Elisabeth le connaissait bien, même très bien. C’était le genre de regard qu’elle posait sur Solal, un regard empli d’amour. Solal embrassa alors rapidement Eli avant de se diriger vers la femme.

Un sourire sadique s’afficha ouvertement sur les lèvres de la belle brune, ses prunelles noisette s’éclairant lorsque le beau brun parla d’innovation pour pigmenter et rendre plus délectable la séance. D’une douceur infinie, le mangemort saisit la main de la dite captive et les chaines qui la retenaient prisonnière s’envolèrent. Il lui posa la question de savoir s’ils étaient en couple, elle et ce blond hautain qui avait cru pouvoir tenir tête au couple de mangemorts. Au début, elle ne répondit pas, se contentant de sangloter mais Solal se fit alors plus dur et plus terrible, la femme se contenta alors de hocher la tête affirmativement. Un sourire sadique s’inscrivit alors sur le visage du beau brun, le rendant encore plus irrésistible aux yeux de Miss Swann. Il tendit alors un couteau à la femme qui s’en saisit, tremblante de peur. Il lui demanda alors de tuer son cher et tendre. La belle brune avait une irrésistible envie de sautiller et de frapper dans ses mains telle une enfant pourrie gâtée qui aurait eu le dernier caprice entre ses mains mais elle réussit à se contenir, sa fierté passant avant tout !

Ne voyant aucune réaction de la part de la cliente, Solal se fit plus froid et menaçant. Il lui susurra quelques paroles à l’oreille que la jeune femme pu distinguer clairement. Deux possibilités s’offraient au couple, soit elle le tuait, soit Solal s’en chargerait. La jeune cliente finit pas se décider et tua son amour en lui demandant pardon. Dans un état lamentable, Solal poussa alors la femme totalement ébranlée vers Elisabeth. Cette femme avait osé tuer l’homme qu’elle disait aimer, c’était une faute impardonnable, Eli se voyait dans l’obligation de la punir et son cher et tendre l’encourageait grandement dans cette voix. La belle brune n’éprouvait aucune crainte et aucun remords. Elle fit le tour de la femme, observant pas où elle pourrait bien commencer.

« C’est très mal de mettre fin aux jours de la personne qu’on dit aimer … La punition sera à la hauteur de cette faute impardonnable. Par quoi vais-je commencer ?? Un doigt ?? Un orteil ?? Une oreille ?? »

Les paroles étaient souvent plus terribles que l’acte même. La jeune femme balada son couteau sur chaque partie qu’elle citait, sentant la peur envahir peu à peu la femme qui allait certainement bientôt s’effondrer. Elisabeth devait à présent se décider, la séance de torture devait continuer et ils avaient encore du pain sur la planche. D’un geste froid, calculé et méticuleux, la belle brune commença à entailler doucement, délicatement même, l’oreille droite de la clientes, la laissant pendre à la vue de tous. Les cris de la femme s’élevèrent alors dans toute la pièce, se répercutant en écho contre les murs. Un rire démoniaque sortit alors des traits angéliques de Miss Swann.

« Crie, crie tant qu’il en est encore temps et que tu peux le faire … Personne ne peut t’entendre, tu mourras dans une totale indifférence ! »

Lorsque la jeune femme eut fini de hurler, Eli s’approcha de son visage et, à l’aide de la pointe de son couteau, elle entailla la commissure des lèvres de la clientes qui hurla et ouvrit plus profondément les plaies, lui donnant un large sourire. Cette séance était des plus divertissantes, cela plaisait à la jeune femme. Elle se retourna alors vers son cher et tendre, adosser au comptoir et l’observant. Elle lui décocha un large sourire, signe qu’elle s’amusait comme une petite folle. Laissant quelques secondes la femme à ses cris, elle s’approcha du mangemort et l’embrassa tendrement.

« Savez-vous que je vous aime Mister Grey ?? Je ne pourrai jamais oublier la merveilleuse première sortie officielle en couple que vous m’avez fait vivre très cher ! »

Solal venait à peine de pousser la femme vers Elisabeth tout en dévorant la brunette des yeux. Solal vit la femme en larme atterrir contre Elisabeth qui pris les choses en mains après un regard sur lui et ce sourire si machiavélique qui lui allait tellement bien. La femme se retrouva debout à coté d’Eli et l’ancienne Serpentard commença à tourner autour d’elle, comme un rapace qui venait de repérer sa proie, un rapace sacrément joli du point de vue du grand Brun.

« C’est très mal de mettre fin aux jours de la personne qu’on dit aimer … La punition sera à la hauteur de cette faute impardonnable. Par quoi vais-je commencer ?? Un doigt ?? Un orteil ?? Une oreille ?? »

La main qui tenait le couteau, suivait les paroles de la jeune femme et passait sur chacune des parties du visage qu’elle citait, faisant trembler la captive encore d’avantage. Solal restait debout, à sa place, tournant le dos au cadavre, observant Elisabeth avec attention, jouant machinalement avec un couteau, le faisant tournoyer entre ses doigts… Elisabeth passait à l’action et s’occupait finalement de l’une des oreille alors qu’un cris perçant déchirait le silence et les pleurs discret des autres.

« Crie, crie tant qu’il en est encore temps et que tu peux le faire … Personne ne peut t’entendre, tu mourras dans une totale indifférence ! »

Merlin tout puissant, bien qu’il venait de laisser un léger rire s’échapper de ses lèvres, Solal préféra se tourner pour observer la salle dans son ensemble. Il n’était pas dégouté par une telle torture, loin de là, il avait simplement trouver Elisabeth tellement belle avec ce sadisme naissant qui se révélait d’avantage à chaque cris inhumain que poussait la victime, qu’il avait préféré détourner sa propre attention sur autre chose histoire de ne pas prendre Elisabeth devant les futur morts… Il devait attendre. Donc, il regardait le reste de la salle, marchant à pas lent, réfléchissant alors qu’il entendait les cris se taire, la femme devait trop souffrir pour pouvoir encore hurler. Mais bientôt, les cris reprirent ce qui signifia à Solal qu’Eli était repassé à l’attaque. Solal avait fait le tour de la salle voyant les captifs trembler sur son passage, peut-être avaient-ils compris qu’il était en quelque sorte celui qui décidait de l’avancement de la soirée, du moins, pour le moment… Il s’adossait au comptoir et tourna les yeux vers Elisabeth qui semblait des plus amusées alors qu’elle s’approchait de lui pour l’embrasser.

« Savez-vous que je vous aime Mister Grey ?? Je ne pourrai jamais oublier la merveilleuse première sortie officielle en couple que vous m’avez fait vivre très cher ! »

Solal sourit et embrassa Elisabeth sur le bout du nez tout en la prenant affectueusement dans ses bras.

- Mais la soirée n’est pas encore finie….

Il resta perdu dans ses pensées quelques minutes, laissant un peu de répits aux moldus pendant qu’il réfléchissait au meilleur moyen de faire tourner la police en bourrique le lendemain quand ils découvriraient la scène de torture… Sans grand but, il se mis a fredonner tout en passant ses doigts dans les cheveux d’Elisabeth. Puis il se déscida à parler, tout en se détachant de la jeune femme, avançant doucement vers l’homme toujours accroché au mur.

- Dit moi Princesse… Tu aimes, la peinture ???

Tout en parlant, Solal avait poser sa main sur l’homme à l’endroit où il y avait le plus de sang et une fois les doigts bien imbibés, il se mis à tracer un pentacle sur le mur autour du mort. Il n’avait aucune idée de ce que ce symbole signifiait mais il savait que les moldus allaient chercher un sacré bout de temps dans le vide. Ce qui l’amusait grandement. Certes, le sang s’était dégoutant mais un petit coup de baguette et il n’aurait plus rien sur les mains. Juste à coté, après avoir finit le pentacle, il écrivit en lettre de sang : ‘‘La mort n’est qu’une aventure de plus.’’ ‘‘Attention, on vous surveille.’’… et tout un tas de phrase tout aussi stupides les unes que les autres…

Elisabeth prit rapidement les choses en mains, elle avait trouvé un nouveau passe temps grâce à son cher et tendre. La jeune femme qui se trouvait en face d’elle tremblait de tous ses membres ce qui ne fit qu’accroitre l’excitation de la jeune mangemorte. Elle commença alors à s’interroger sur la première chose qu’elle couperait à la moldue. Ses cris et ses larmes ne changeaient rien au caractère d’Elisabeth à part qu’ils la rendaient encore plus sadique et plus méchante qu’elle ne l’était déjà sous ses airs d’ange. On pouvait aisément affirmer qu’Elisabeth Swann était un ange déchu. Après quelques minutes d’amusement sadique, la belle brune se détourna de sa victime qui continuait à se vider de son sang. Cette situation ne déstabilisa pas la jeune femme, sa proie finirait bien par mourir. Elle s’approcha alors de son amoureux et l’embrassa tendrement, baiser auquel il répondit langoureusement. Après la phrase de la jeune femme le remerciant de la merveilleuse soirée qu’il lui faisait vivre, Solal Grey l’embrassa sur le bout du nez et la prit affectueusement dans ses bras. A ce moment-là, la brunette aurait aimé qu’ils soient seuls et qu’ils puissent rester enlacés dans cette position pour le reste de l’éternité. Il lui annonça que la soirée n’était pas encore terminée avant de se perdre dans ses pensées. Elisabeth savait qu’il réfléchissait au meilleur moyen pour continuer leur œuvre collective. Le beau brun réfléchissait tout en passant ses doigts dans la chevelure soyeuse de sa jeune compagne et en fredonnant. Quelques minutes plus tard, il se détacha de la jeune mangemorte pour se diriger vers l’homme qui était mort mais toujours accroché sur le mur.

Tout en prononçant ses mots, il passa ses doigts à l’endroit où il y avait le plus de sang sur le corps du jeune homme blond et se mit à l’étaler sur les murs en demandant à sa chère et tendre si elle aimait la peinture. Avant même qu’elle lui réponde, le beau mangemort commença à badigeonner les murs de pentacles et de phrases totalement absurdes aux yeux des sorciers qu’ils étaient. Le sang ne serait pas trop difficile à enlever de leurs doigts, un seul coup de baguette magique suffirait pour le faire disparaitre. Un rire sadique s’échappa alors des lèvres de la jeune demoiselle qui n’avait pas encore répondu à son amoureux mais qui observait l’assemblée prise de nouveau dans une vague de panique extrême. La belle brune restée à proximité du comptoir avança alors lentement entre les tables pour rejoindre le beau brun tellement sexy lorsqu’il faisait de l’art. La jeune mangemorte trempa alors ses longs doigts fins dans ce qui leur servirait de peinture et l’étala rapidement sur le mur. Elle arriva alors à sa hauteur et lui chuchota quelques mots à l’oreille.

«Je te trouve très sexy lorsque tu peins mon amour, je pense que ton chef d’œuvre aurait encore été plus magnifique s’il avait été fait sur moi dans d’autres circonstances. Il faudra qu’on pense à une séance de ce genre avec de la vrai peinture un de ses jours quand nous serons seulement toi et moi dans un endroit plus approprié, du genre ta chambre, la mienne ou encore un endroit quelconque du manoir, ça pourrait vraiment être très excitant tu ne trouve pas ?? »

La jeune femme savait l’effet que ses paroles produiraient sur son bien aimé elle était seulement curieuse de la réponse qu’il lui donnerait. Elle adorait le taquiner avec ce genre de chose. Souvent, il cédait facilement à ses caprices de ce point de vue là, lui procurant le plus de bonheur et de plaisir possible. De plus, ils étaient toujours en recherche de nouvelles sensations et de nouvelles choses à tester, cela pourrait très bientôt en faire partie. Elle reprit alors la parole tout haut, s’adressant directement à l’assemblée plutôt qu’à Solal bien que son avis ferait toute la différence.

«J’aime beaucoup la peinture et l’art en effet, je te trouve très doué dans ce domaine. Cependant, je trouve que la couleur est un peu trop froide sur mes doigts …. Il nous faudrait du sang chaud … Tu ne trouves pas mon amour ?? Qui pourrait bien nous servir de base de couleur pour notre chef d’œuvre ?? »

Un sourire sadique s’afficha sur les lèvres de la jeune femme lorsqu’elle eut terminé sa phrase. Elle pouvait lire la peur dans les yeux de ses futures victimes. La jeune mangemorte avait hâte que tout soit fini. Non pas qu’elle s’ennuyait de ce jeu, bien au contraire mais elle avait envie de se retrouver seule avec Solal. Ils se lançaient de petites choses qui pouvaient certainement paraitre anodines mais qui n’en faisait pas moins naitre le désir. Le beau brun avait de la chance qu’Elisabeth était bien élevée et qu’elle ne voulait en aucun cas se donner en spectacle devant cette pourriture de moldus sinon le beau mangemort aurait déjà fini tout nu depuis un bon moment si elle avait un tant soit peu écouté ses pulsions.

Solal avait à peine finit de posé sa question qu’il entendit le rire à la fois amusé et ironique de la jeune femme s’élever parmi le début de panique qui prenait les captifs. Il ne se formalisa pas le moins du monde de l’état des moldus et continua gaiement à peindre tout un tas d’inepties et de symboles sur toutes les surfaces un peut trop claires des murs. Quelques minutes plus tard, il entendit la jeune femme s’approcher de lui et il la vit du coin de l’œil, tremper généreusement ses doigts dans le sang souillé de ce moldu avant de l’imiter et de colorer le mur. Il était occupé à la dévisager sans retenue lorsqu’il la vit s’approcher de lui pour lui murmurer à l’oreille.

« Je te trouve très sexy lorsque tu peins mon amour, je pense que ton chef d’œuvre aurait encore été plus magnifique s’il avait été fait sur moi dans d’autres circonstances. Il faudra qu’on pense à une séance de ce genre avec de la vrai peinture un de ses jours quand nous serons seulement toi et moi dans un endroit plus approprié, du genre ta chambre, la mienne ou encore un endroit quelconque du manoir, ça pourrait vraiment être très excitant tu ne trouve pas ?? »

Le regard émeraude s’éclaira d’une étincelle qui ne semblait pas vouloir s’éteindre. Bientôt, un sourire carnacier accompagna le regard illuminé alors qu’il s’imaginait parfaitement les scènes qu’elle lui décrivait le plus intimement possible. Peut-être n’avait-elle pas envie que les moldus entendent, peut-être avait-elle déjà compris que de l’entendre murmurer plaisait énormément au mangemort, peut-être était-ce autre chose encore, allez savoir. Il repris alors sur le même ton qu’elle avait un regard affamé tout en se rapprochant d‘elle avec des airs de prédateurs.

- Ah oui ?! Et pourquoi avec de la peinture ?! Cela serait surement bien plus agréable avec quelque chose comme, du miel… Ou du chocolat… Et pourquoi pas de la glace ou de la crème chantilly ?

Solal était maintenant si près d’Elisabeth qu’il sentait leurs deux corps se frôler. Il l’embrassa doucement avant de continuer.

- Je te dévorerais toute crue….

La fin de la phrase fut accompagnée par un sourire à la fois malicieux et affamé. Il se redressa totalement lorsqu’il vit la jeune demoiselle se tourner vers l’assemblée complètement effrayée.

« J’aime beaucoup la peinture et l’art en effet, je te trouve très doué dans ce domaine. Cependant, je trouve que la couleur est un peu trop froide sur mes doigts …. Il nous faudrait du sang chaud … Tu ne trouves pas mon amour ?? Qui pourrait bien nous servir de base de couleur pour notre chef d’œuvre ?? »

Solal sourit au compliment mais resta silencieux et écouta attentivement la fin de la phrase. Oui, la couleur était trop froide de plus, il n’y en avait presque plus. Elle lui demandait s’il n’était pas d’accord avec elle sur le fait qu’il leur fallait du sang chaud puis elle lui demanda qui ils pouvaient bien tuer. Le fils Grey resta silencieux un instant en regardant la salle, faisant planer d’avantage la menace sur tous les moldus présents et apeurés. Il finit cependant par dire avec un certain désintérêt. (oui, Solal se lasse vite)

- Tue qui tu veux mon ange mais ne touche pas au patron de l’établissement… Je lui réserve une toute autre utilité.

Solal déposa un baisé dans le cou de la demoiselle et disparu dans l’arrière salle en quête d’alcool. Ce fut la raison pour laquelle tous les autres purent entendre un vacarme assourdissant dans les cuisine puisqu’il retournait tous les ustensiles et les meubles qui se trouvaient sur son passage.

Il revint quelques longues minutes plus tard avec une bouteille de champagne et une bouteille de vin. Il comptait bien boire le champagne mais pour ce qui était du vin… Dans une autre main il tenait un tire bouchon et un fouet électrique. Il montra l’engin à la demoiselle.

- Regarde mon amour, ça pourrait peut-être donner quelque chose d’intéressant tu ne trouves pas ?!

Comme la jeune femme s’y attendait, le jeune homme ne put s’empêcher de réagir aux paroles qu’elle venait de prononcer au creux de son oreille. Il lui répondit alors sur le même ton que c’était une excellente idée et qu’ils pourraient utiliser autre chose que de la peinture … Du chocolat, de la chantilly, du miel ou encore de la glace. Un sourire d’envie s’inscrivit alors sur les lèvres boutons de rose de la belle brune. Solal avait toujours de magnifiques idées pour compléter les siennes. Leurs deux corps étaient maintenant si proches que la belle brune pouvait sentir le cœur de son chéri battre. La jeune demoiselle l’aimait tellement maintenant ! Il s’approcha encore plus près d’elle et lui murmura quelques mots à son oreille, lui avouant qu’il aimerait la manger toute crue sur place avant de l’embrasser tendrement, baiser auquel la jeune femme répondit immédiatement. Jamais elle ne pourrait vivre sans lui. L’idée qu’ils seraient bientôt de retour à la maison pour assouvir leur désir enchantait terriblement la jeune mangemorte. C’était une bonne perspective en plus de ce jeu de tuerie très amusant qu’ils étaient en train de partager. Elisabeth trempa alors ses fins doigts dans le sang d’un des corps et commença à dessiner sur le mur. Le sang ne plaisait pas à notre brunette, enfin pas ce sang là du moins ! Il était froid sur ses doigts et elle n’appréciait pas cette sensation de fraicheur et puis, elle ne voulait pas perdre de temps sans en tuer un autre. Une lueur totalement sadique s’alluma alors de nouveau dans les prunelles noisette de la jeune demoiselle lorsqu’elle proposa à son chéri de mettre un autre moldus à mort ! Le beau brun lui affirma qu’elle pouvait tuer qui elle voulait sauf le patron à qui il réservait une autre fin. Elisabeth commença alors à tourner parmi leurs futurs victimes tandis que Solal disparaissait dans l’arrière cuisine faisant un vacarme total, renversant certainement tout sur son passage.

Cependant, la jeune mangemorte ne s’en soucia pas, elle savait que son cher et tendre savait se maitriser à la perfection. Elle continua alors à se promener parmi les moldus restant qui étaient totalement effrayé et la suppliaient de leur laisser la vie ce qui amusait la jeune femme. Elle avait toujours son couteau dans les mains et s’amusait à le passer sur des parties différentes du corps de ses futures victimes sans pour autant leur faire du mal. Ils avaient tous les deux l’art de plonger l’assemblée dans un état de panique et de peur hors du commun. Soudain, Elisabeth jeta son dévolu sur une grosse femme bien grasse. La belle brune la trouvait extrêmement laide avec ses pustules sur le bout du nez. On aurait vraiment dit une sorcière telle qu’on pouvait les décrire dans les contes pour enfant. Eli la fit lever, la femme chancelant sur ses pieds trop petits pour supporter son poids et l’entraina de force vers le devant de la salle, la trainant même sur le sol durant quelques instants. Lorsque la jeune Swann fut arrivée à la place qu’elle désirait, elle commença à ouvrir le ventre de la femme qui hurlait de peur et de douleur. Sur l’entre fait, Solal réapparut dans la salle tenant à la main un fouet électrique, un tire bouchon et dans son autre main une bouteille de champagne et une autre de vin. La jeune femme n’appréciait pas outre mesure le vin mais aimait le champagne. Solal s’adressa alors à elle et la jeune demoiselle abandonna là le corps de la grosse femme qui était encore vivante. Elle se viderait de son sang et mourrait certainement rapidement mais de toute façon, cela importait peur à la belle brune. Son amoureux lui demanda alors si elle avait une idée de ce qu’ils pourraient faire avec ce qu’il avait trouvé dans la cuisine. Elisabeth resta silencieuse quelques secondes.

« Nous pourrions boire le champagne tu ne crois pas ?? J’adore le champagne. Pour ce qui est du vin rouge, je n’en ai aucune idée. Nous pouvons toujours déboucher la bouteille avant d’utiliser le tire- bouchon pour éviscérer un ou deux moldus ! C’est une chouette idée non ?? »

Ses dernières paroles firent encore un peu monter la pression parmi leurs futures victimes. Elisabeth, qui était de l’autre coté de la pièce lorsque son chéri était revenu dans la pièce, se déplaça et se dirigea de sa démarche aérienne vers le jeune homme avant d’arriver à ses cotés et de lui prendre la bouteille de champagne des mains avant de se diriger vers le bar. Là, la brunette saisit alors deux coupe et débouchonna la bouteille de champagne avant d’en verser dans les deux flutes et de retourner vers son cher et tendre. La jeune femme lui tendit alors une des deux coupes de champagne qu’elle venait de servir et plongea son regard noisette dans les prunelles émeraude du beau brun.

« Buvons à cette superbe sortie mon cœur ! Je t’aime. »

« Nous pourrions boire le champagne tu ne crois pas ?? J’adore le champagne. Pour ce qui est du vin rouge, je n’en ai aucune idée. Nous pouvons toujours déboucher la bouteille avant d’utiliser le tire- bouchon pour éviscérer un ou deux moldus ! C’est une chouette idée non ?? »

Boire le champagne ? Ca c’était effectivement ce qu’il avait prévu, il n’y vit donc aucune objection et quand bien même, ce n’était pas à ce propos qu’il lui avait poser la question. Le vin rouge, il comptait en utiliser une partie pour le patron du bar et il hésitait à utiliser l’autre pour immoler un ou deux moldu… L’ennuis c’était que tout risquait de prendre feu enfin, avec un peut de chance, elle le laisserait utiliser sa baguette pour empêcher que le feu ne crame tout. Mais encore une fois, ce n’était pas à propos de ça qu’il avait poser la question. Elle parla ensuite du tire bouchon ce qui étonna grandement le mangemort, il n’avait tout simplement pas penser à ça le moins du monde…

- En réalité, je te parlait du fouet électrique…

Solal fixait Elisabeth qui s’était déjà avancer, abandonnant momentanément sa nouvelle victime pour s’intéresser au bar. Il la vit bientôt revenir vers lui avec deux flutes de champagne pleines. Elle lui en donna une qu’il pris en silence, dévorant la jeune femme des yeux. A ce moment précis, il ne voyait plus rien si ce n’est la douce et diabolique jeune mangemort face à lui.

« Buvons à cette superbe sortie mon cœur ! Je t’aime. »

Solal sourit et son regard s’éclaira un instant à la nouvelle déclaration d’amour de la demoiselle mais il l’empêcha de toucher à son verre. Lui, il ne voulait pas trinquer tout de suite, non, non, non… Il voulait le faire lorsqu’il lui offrirait ce qui se cachait dans sa poche depuis plusieurs heures maintenant. Seulement, d’un autre coté, il était vrais qu’il avait soif et puis il devait détourner son esprit pour ne pas faire la plus grosse bêtise de sa vie en prenant la demoiselle pour la pire des exhibitionniste.

Il finit par sourire et déposer sa flute de champagne avant de prendre celle de la jeune femme. Il en bu une gorgée sans la lâcher des yeux puis il alla se placer dans le dos de la jeune femme, collant son torse contre ses omoplates. Sa main libre se posant sur son petit ventre plat tandis que l’autre présentait la flute à la jeune femme pour la faire boire. Il lui murmura à l’oreille.

- Nous trinquerons plus tard… Quand je te donnerais ton cadeau…

Solal respira avidement l’odeur parfumé de la demoiselle en souriant diaboliquement puis s’éloigna. Il soupira en regardant les autres, ils n’était plus très nombreux à être encore en vie, peut-être qu’il devait accélérer les choses… Il ne tenait plus en place de toute manière et puis il ne voulait pas se laisser totalement submergé par sa folie ce soir. Il devait rester totalement maitre de ses actes et ses pensées pour pouvoir faire ce qu’il avait prévu.

- Princesse, si tu veux bien nous allons abréger leurs souffrances, j’ai assez jouer et je pense à un tout autre jeu mais celui là nous concerne tout les deux uniquement…

Il sourit et après un nouveau regard lubrique, il attrapa le patron tremblotant par un bras pour le trainer au centre de la pièce. Il pris un autre captif au hazard et le fit s’asseoir devant le patron de l’établissement avant de lui mettre un couteau dans les mains. Sachant très bien que l’homme ne tuerait pas l’autre, Solal pris la main qui maintenait l’arme puis trancha lui-même la gorge de l’autre à genou, d’une oreille à l’autre, sans plus de considération.

- Je ne tien plus en place Eli… Je n’attend que de t’offrir ce que je t’ai acheter… Ca fait une semaine que j’attend que ça…

Solal continuait à parler à la jeune femme, la regardant, comme s’il ne venait pas de tuer un homme à l’aide d’un autre. Il obligea le patron du bar à se rasseoir sur une chaise et lui pris le couteau des mains tout en fixant Elisabeth. Il tourna brièvement les yeux et lança le couteau à travers la pièce avant qu’il n’aille se planter dans un autre captif qui hurla de douleur. Il ne voulait pas que ces sangs impurs soient témoins de sa demande en mariage. Ils n’avaient pas à voir ce genre de chose, il voulait qu’Eli et lui soient les seuls a connaitre ce moment ‘‘féerique’’ et a pouvoir s’en souvenir…

- A ton tour.

Cette fois ci il s’adressait au patron du bar. Il déboucha la bouteille de vin et l’obligea à en boire une bonne partie, il en rependit un peu sur le moldu puis il pointa sa baguette sur l’homme tremblant de peur.

- Voila le parfait coupable de ces atroces meurtres à rite satanique… Le vilain patron à peter un boulon et a tuer tous ses clients…

Solal eu un rire sadique et lança un sort sur le patron pour modifier sa mémoire puis un autre pour accélérer les effets de l’alcool pour que le moldu sombre dans l’inconscience….

» On se connait ?! Non mais maintenant oui apparemment .. [Andrew McCollins]
» Un groupe de musique? [Fe Nick+Calvin] OUVERT A TOUS MAINTENANT
» fini
» Dans un lieu inconnu [FE] [FINI]

Maintenant on ne se quittera plus [fe Eli][FINI]

Maintenant on ne se quittera plus [fe Eli][FINI]

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