Sobhian n'en pouvait plus, on aurait dit que Miguel connaissait tout ses endroits sensibles...Quand ses lèvres se dépose a nouveau sur les siennes, elle répondit avec ferveur, ne voulant pas y mettre fin. Un peu de peur s'insinua en elle quand elle sentit ses mains au niveau de son jean, mais elle ne pu retenir un gémissement contre ses lèvres pendant qu'elle aussi descendait ses mains vers son jean.

*Miguel sourit et défit les boutons du jean de Sobhian.
Il le retira et caressa ses cuisses et entre jambes.
Il déposa quelques baisers sur sa poitrine.*

Le paradis sur Terre, elle se sentait tellement en sécurité avec lui, comme un objet précieux qu'il fallait manier subtilement de peur de le casser. Quand il lui avait enlever son jean et que ses mains avaient commencer à la caresser, elle n'avait pu retenir un soupir de bien être. Jamais un homme ne l'avait vu comme ça, et elle espérait qu'il serait le seul, de toute façon, elle savait que jamais un autre homme ne lui referait ressentir ce genre de chose. Avec le peu de force qu'il lui restait, elle prit le dessus et se retrouva au dessus de lui, déposant des baisers dans son cou puis descendant peu à peu sur son torse.

*Il se laissa et posa ses mais sur ses hanches
Il fut parcouru d'agréables frissons , il embrassa le bas de son ventre et gémit légèrement.*

Sobhian ne pu s'empêcher de sourire quand elle l'entendit gémir à son tour, lui prouvant qu'elle se débrouillait plutôt bien. Elle remonta vers sa bouche, déposant un baiser sur ses lèvres, léger, presque aérien mais le rendit beaucoup plus passionée par lui suite, tout en déboutonnant les boutons de son jean.

*Il se laissa faire et soupira de plaisir en sentant ses mains sur son jean.
Il frissona, caressant sa poitrine, son ventre et son dos.*

-Tu te débrouilles bien, pour quelqun qui n'a pas d'expérience.

- Merci...

Comme posséder, Sobhian enleva rapidement le jean de Miguel avant de revenir sur lui, un grand sourire sur le visage. Elle repoussa ses cheveux dans son dos avant de repartir à l'assaut de ses lèvres, laissant ses doigts jouer avec l'élastiquedu boxer de son petit ami.

Il se mordit la lèvre,
Et lui la refit passer en dessous de lui.
Il dégrafa lentement le soutien-gorge de Sobhian en l'embrassant sur la poitrine.*

Sobhian ne réagi même pas quand Miguel remit la situation à son avantage, mais quand il lui enleva son soutien-gorge, elle ne pu s'empêcher de rougir, d'ici quelques minutes elle serait nue devant lui, nue pour la première fois devant un homme. Elle agrippa les draps qui était sous elle pour ne pas gémir quand ses lèvres se posérent sur sa poitrine, ne pensant plus qu'à ce qui allait se passer et aux sensations de plaisir qu'elle ressentait.

*Bientot ils furent nus , l'un contre l'autre.
Miguel gémit. En entrant avec doceur en elle et dispersant des baisers fiévreux sur son corps.*

Sobhian serra les lèvres pour ne pas crier de douleur, une larme glissa le long de sa joue se perdant à la naissance de son cou. Peu à peu, la douleur s'estompa, laissant place à un plaisir qu'elle n'avait jamais connu. Elle ouvrit les yeux et croisa le regard de Miguel, qui lui transmettait encore plus de frisson qu'elle en avait déjà, elle souleva un peu la tête et déposa un baiser plein de promesse sur les lèvres de celui qui était désormais son amant.

*Miguel se mordit la lèvre en pensant lui avoir fait mal mais en la voyant il soupira de soulagement. Il mit le plus de douceur possible dans ses mouvements de bassins, tout em embressa sa poitrine et son cou. Il caressa sa cuisse.*

-Dis le moi si je te fais mal.

*Il poussa un petit gémissement.*

- Non, c'est bon, la douleur est partie....

Elle coordonna ses mouvements à ceux de Miguel, essayant de retenir ses gémissements, ce qui lui semblait presque impossible. Sobhian prit la visage de son petit ami dans ses mains pour le rapprocher du sien, elle ne voulait plus lâcher ses lèvres, elle voulait rester comme ça toute sa vie.

Ce soir la, Miguel et Sobhian ne firent plus qu'un.
L'espagnol se laissa glisser prés de la jeune femme et il la prit dans ses mains en fermant les yeux, épuisé

La nuit fut agitée pour Sobhian, malgré la fatigue qu'elle ressentait, elle n'arrivait pas à fermer les yeux. Par contre, la respiration régulière de Miguel lui fit comprendre que lui avait réussi à s'endormir rapidement. Doucement, pour ne pas réveillé son petit ami, elle se leva et s'habilla, elle avait besoin de bouger pour ne pas réfléchir à tout ce qui était arrivée ces derniers temps dans sa vie. Ses pas la menèrent à la bibliothéque, elle alluma la lumière grâce à sa baguette, attrapa ce fameux livre qui n'arrêtait pas de la hanter et s'installa sur un fauteuil. Le mot avait retrouver sa place, cette écriture fine, un peu penché avec une belle caligraphie était donc celle de son vrai père, de celui qui était en partie responsable de sa venu au monde. Elle n'arrivait toujours pas à croire que sa mère avait une femme de ce genre, de mentir à un homme hônnete qui l'aimait plus que tout, le trahissant avec un Mangemort.

- Pourquoi maman ?

Elle avait parler à voix basse, comme ci elle se parlait pour elle même, ne voulant plus penser à son soi disant père, elle reposa le livre et alla en chercher un autre qui lui rappelait son ancienne insouciance. Après avoir reprit sa place, elle ouvrit l'album photo, la première image était celle d'un couple arborant fièrement un diplôme, attestant qu'ils étaient maintenant apte à entrer dans la vie active. La jeune femme, blonde avec de long cheveux lui arrivait à la taille, a un grand sourire, une main tenant son diplôme et l'autre poser sur son ventre arrondi par une grossesse avancée. L'homme, brun, de grande taille, à l'air tout aussi heureux que sa compagne, arborant un sourire qui avait du irradier toute la pièce, transmettant son bonheur à toute les personnes de la salle...Ses parents, ceux qu'elle avait aimé mais qui lui avait menti sans besogne pendant de longues années. La photo suivante la montrait alors qu'elle venait tout juste de naître, dans les bras de sa mère alors que son père caresse doucement les cheveux de sa femme en la regardant ému...Peut être que lui même ne savait même pas qu'elle n'était pas sa fille, sinon peut être ne l'aurait-il pas accepter...Peut être ne l'aurait-il pas aimer, tout simplement. A cette pensée, elle laissa tomber l'album par terre, fermant les yeux en essayant de ne pas penser, sans s'en rendre compte, elle s'endormi sur la pensée que peut être son père l'avait appris et c'est ce qui l'avait pousser à la mettre sous la garde de sa grand-mère.

Lorsque Miguel sentit que le lit était vide, il était a peu prés quatres heures du matin.
Il se leva, pris ses vêtements et s'habilla, passa un main dans ses cheveux sombres
il sortit de la pièce pour rejoindre le couloir ou régnait une fraiche ambiance qui lui donna
des frissons.

Instinctivement , il se dirigea vers le passage secret qui menait a la bibliothèque et le traversa, sur de trouver sa petite amie dans la pièce d'à coté.

Il poussa la lourde porte en baillant, et vit la jeune femme endormie dans un fauteuil prés du feu crépitant dans l'âtre. Mais malgré cela, la fraicheur de la bibliothèque restait constante.
Il s'approcha d'elle et la souleva sans la réveiller avant de rejoindre leur chambre. Il la déposa sur le lit et la couvrir avant de se recoucher.

Quand Sobhian se réveilla, il était près de sept heures, en ouvrant les yeux, elle remarqua qu'elle n'était plus dans la bibliothéque. Se retournant doucement pour regarder son petit ami, elle ne pu s'empêcher de sourire, il avait l'air si serein, elle aurait pu croire qu'elle avait un ange à côté d'elle. Entendant du bruit dans le couloir, signe que sa grand-mère était lever, elle en fit de même rapidement, essayant de ne pas réveillé Miguel, il fallait quelques réponses à quelques questions.

Deux heures plus tard, ce fut au tour de Miguel d'émerger de ses rêves.
Il entendait vaguement les voix de Sobhian et d'Iphigénia, il chercha dans son sac des vêtements de rechange .

Aprés avoir enfilé une chemise noire, un jean délavé et des baskets. Il laissa tomber ses cheveux noirs et soyeux sur ses épaules et ouvrit la porte pour sortir dans le couloir et rejoindre le salon.

-Bonjour...!

- Grand-mère, je peut te parler ?
- Bien sur ma chérie, qu'est-ce qui ce passe ?
- Allons dans le salon, je ne veut pas réveiller Miguel.

Sobhian ne pu s'empêcher de voir sa grand-mère faire apparaître un sourire à l'entente du nom de son petit ami, signe évident qu'elle l'appréciait. Arriver dans le salon, elle demanda à sa grand-mère de s'asseoir avant de commencer son interrogatoire.

- Tu étais très proche de maman, n'est-ce pas ?
- Bien sur, c'était ma fille, il ne pouvait pas en être autrement.
- Est-ce qu'elle te parlait de tout ce qui lui arrivait dans sa vie ? Ses amours par exemple ?

Iphigenia ne s'attendait pas à cette question de sa petite fille, bien sur que sa fille lui parlait de tout, il y avait toujours eu un lien spécial entre elles.

- Oui, elle me racontait tout par hibou, ou bien pendant les vacances.
- Est-ce qu'elle a eu beaucoup de petits amis ?
- Quelques uns, comme toute les jeunes filles de son âge....Pourquoi tu me pose toute ces questions ?
- Quand sa relation avec papa à commencer, elle était bien en cinquième année ?
- Euh....Non, elle a débutée quelques semaines avant la fin de leur quatrième année.
- Est-ce qu'elle a eu une aventure avec un autre homme pendant qu'elle étaitavec papa ? Quelqu'un de pas très recommandable...Un Serpentard ?

Iphigénia devenait de plus en plus blanche, c'est vrai que sa fille n'avait pas été un modèle de vertu, la preuve devant elle, puisqu'elle était tombée enceinte à dix sept ans à peine.

- Il y a eu une rupture d'a peu près deux semaines entre tes parents, c'était pendant leur septième année, et oui, ta mère a eu une relation secrète avec un autre homme pendant cette période...Mais ce n'était pas un Serpentard, c'était un Serdaigle.

Un Serdaigle, elle ne s'était pas attendu à ça, comment un membre de cette maison pouvait se tourner vers les Forces du Mal...Et si elle avait ça dans le sang et qu'un jour elle se découvrait une fascination sans bornes pour la Magie Noire ?

- Tu le sais...N'est-ce pas ? Orion n'est pas mon père est tu le savait depuis le début et tu ne m'a rien dit, pourquoi ?
- Quand ta mère a appris qu'elle était enceinte, ça a été un chox pour tout le monde, surtout pour elle....
- Un choc ? Tu parles, elle a tromper papa avec un autre qui se révèle être mon père, c'est plutôt moi qui est eu un choc.....Est-ce que papa était au courant ?
- Il l'a apprit l'été de tes neuf ans, par hasard, en rangeant la grenier de votre maison il a retrouver quelques carnets que ta mère avait utilisé en tant que journal intime, elle avait relaté toute sa vie dedans...Ainsi que c'est écart de conduite.

Sobhian ne pu s'empêcher de se mettre à rire nerveusement avant d'éclater en larmes, un écart de conduite, elle était née d'un écart de conduite. La tête entre les mains, elle n'entendit pas Miguel arrivé.

- Bonjour...!

Sobhian excédée de savoir que tout le monde lui avait menti, senti la colère monter en elle, elle ne pu s'empêcher d'hurler.

- Rien, tout va bien, ma vie est un rêve, on me ment depuis ma naissance et on n'est pas capable de me dire la vérité une fois que je suis en âge de comprendre. A part tout ça, tout va très bien.

Elle se leva pour essayer d'évacuer un peu la colère mais ça ne savait à rien, c'était encore pire que quand elle était assisse.

- Il faut que j'aille faire un tour....Ne m'attendez pas.

Et sans que personne n'ai eu le temps de réagir, elle avait transplaner, dans le seul endroit où elle oublierais peut être ses soucis.

Miguel fut si surpris qu'il ne bougea pas en la voyant transplaner.
Il voulut la suivre, mais Iphi lui dit qu'elle reviendrai.
Alors il l'attendit , pendant longtemps...

Sobhian avait passer la journée au Chaudron Baveur, noyant sa tristesse et son désarroi dans des verres de Whisky Pur Feu. Elle avait rencontrer un homme assez mystérieux qui lui avait montrer les choses assez différement de ce qu'elle en pensait en ce moment. Vers Une heure du matin, après une bonne dizaine de verre, elle transplana dans la salon de chez elle, ayant comme destination le canapé, mais à cause de l'alcool, elle tomba trois mètres à coté, sur le tapis. Elle ne pu retenir un rire en se voyant ainsi par terre, l'alcool ne lui allait vraiment pas. Perdu dans son fou rire, elle ne remarqua pas son petit ami, assis dans un des fauteuils.

Iphi et Miguel avaient passé la journée a discuter. Pour changer les idées a la vieille femme l'espagnol lui parla de son pays et des choses qu'il aimait. Iphi alla se coucher très tôt, aprés que Miguel lui ai préparé un bon plat chinois.
L'espagnol regarda la télévision et mangea.
Il était plus de minuit lorsque Sobhian s'étala devant lui, en pleine crise de fou rire.

-Sobhian !

- Oh, salut Miguel ! Je ne t'avais pas vu !

Elle essaya de se relever rapidement, mais retomba lourdement sur le sol, provoquant une nouvelle crise de fou rire. Après avoir repris ses esprits, elle se leva et si dirigea vers le bar pour prendre un nouveau verre.

- Tu m'accompagnes ?